La lignée des EUZET de Saint-Félix-de-Lodez et de Sète.
La branche de Sète (suite 1)
Sète vue du mont St-Clair
(photo J.C.E., le 19.09.2009)
Références
Références
Thèses
Livres, journaux, revues et sites Internet La couverture du livre de l'abbé CABANE
- Les renseignements sur la vie après leur mariage de Jeanne EUZET et de son mari, Charles André Eugène SERVEILLE, dans deux arbres publiés par GeneaNet, celui de Françoise MOREL (contact francescam) et celui des familles GILLI et GAMERDINGER (contact veromonaco). Consultation du 23.11.2013.
Annuaires de l'Hérault.
Recensements.
Fiches "cimetière" du service de l'Enregistrement
Registres matricules militaires
Registres des hypothèques du bureau de Montpellier (45Q 7/41, aux AD 34)
Registres des hypothèques du bureau de Lodève (45Q 7/22, aux AD 34)
Registres des hypothèques du bureau de Béziers (45Q 7/88, aux AD 34)
Photos et informations des familles
Etat civil.
Divers
Méthodes
Première étape : des catholiques ou des protestants ? La recherche par la religion et le témoignage.
Pour la lignée de Sète comme pour les autres, il fallait d'abord rechercher les
origines : catholiques ou protestants ? Arrivés avant la construction du port (1666),
pendant ou après, au XVIIe ou au XVIIIe siècles ?
Deuxième étape : une famille de jardiniers de Gignac ? la recherche par la profession et la localisation.
En effet, nous savions, également, que ces EUZET étaient jardiniers. Rien que pour les premières générations, c'est le
cas de Jacques EUZET-GALIBERT, de leur fils Jacques EUZET-SERANE et de leurs petits-fils Jacques EUZET-FARRAND et Honoré EUZET-PELUF ; c'est aussi
le cas de Charles ROCOURD, le père de Marie ROCOURD, mariée avec Jacques EUZET. Il y en a d'autres encore mais cette série est
déjà impressionnante et n'est donc pas le fait du hasard. Or, les registres de la
paroisse Saint Pierre de Montpellier en 1707 et 1713 nous indiquent l'existence d'autres
jardiniers parmi les familles alliées aux EUZET. Ainsi, le 2 novembre 1707, nous
trouvons le mariage de Guillaume BARRAL avec Marie GROS. Ce Guillaume était jardinier,
fils de Jacques BARRAL, également jardinier. Mieux, le père de
Marie GROS, Jean GROS, était aussi jardinier. Nous trouvons encore, au 25 juillet 1713, le
baptême de Jeanne PORTALES, fille de Jean PORTALES, jardinier, et de Jeanne
FAUQUIER (il ne s'agit donc pas du couple Jean PORTALES-Cécile BOISSE, parents de
Cécile PORTALES, mariée avec Jacques EUZET).
Troisième étape : à la recherche de "l'acte-clé".
On devrait toujours étudier les minutes des notaires proches avant de se lancer dans de
savantes constructions. La minute du contrat de mariage de Jacques EUZET et de Claire GALIBERT
attendait dans le minutier du notaire Antoine MERLE de Sète. Cet "acte-clé" a permis de
lever enfin le voile et de découvrir que "les deux premiers Jacques EUZET" étaient
frères, fils tous d'eux de ce couple tant recherché : Guillaume EUZET et Suzanne
BARRAL, eux-mêmes de Saint-Félix-de-Lodez. La mention du registre paroissial pour le
mariage de Jacques EUZET-GALIBERT était donc trompeuse : il était bien paroissien
de Saint Louis de Sète mais pourtant les bans ont été publiés à
Sète et à Saint-Félix-de-Lodez ! la minute notariale est plus précise que le registre paroissial.
Quatrième étape : un seul fondateur pour la prolifique branche de Sète.
On n'en finit pas de découvrir ses erreurs ! La 3ème étape n'était pas la dernière. Pendant longtemps, nous avons cru
qu'il y avait deux fondateurs à la branche de Sète : Jacques EUZET, marié en 1734 à Claire GALIBERT, et Jacques EUZET,
marié une première fois à Cécile PORTALES (en 1748) puis, une deuxième fois, avec Marie ROCOURD, en 1761.
Les BMS de Sète indiquaient que EUZET-PORTALES-ROCOURD était fils de Guillaume EUZET et de Suzanne BARRAL ; le contrat de mariage de
EUZET-GALIBERT montrait qu'il était aussi le fils du même couple et que Guillaume EUZET-BARRAL était installé à
Saint-Félix-de-Lodez. La conclusion paraissait logique : ces deux Jacques étaient frères et doubles fondateurs de la branche de
Sète.
Méthodes
Informations sur les conjointes et les conjoints de EUZET
Thèses
Livres, journaux, revues et sites Internet
Annuaires de l'Hérault
Recensements
Fiches "cimetière"
Registres matricules militaires
Photos et informations des familles
Hypothèques
Chronologie des actes
Etat civil
Divers
- Thèse de M. Jean-Claude GAUSSENT intitulée : "Les protestants et l'Eglise
réformée de Sète. Milieu XVIIe-milieu XXe siècles" qui est aux Archives municipales de Sète. Elle a été présentée à
l'université Paul Valéry de Montpellier III, le 28.03.1992. Le livre sur le même sujet est aux
éditions C. Lacour, collection Colporteur, 1993, à Nîmes).
- Thèse de Mme Claire EUZET intitulée : "Le musicalisme : une tendance de l'abstraction" (1996). Références :
96PA040135. Université de soutenance : Paris 4. 1610 pages. ISBN : 2-284-00674-4. Voir le site sur l'Atelier national de reproduction des thèses (catalogue musicologie).
- Journal commercial et maritime de Cette, n° 260 des 25-26.11.1877 : article sur la source d'eaux thermales découverte par Modeste EUZET (PAR 553/1, aux AD 34)
- Archives commerciales de la France, numéro du 11.02.1883 ; formation de la société DESMAZES-EUZET. En ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque Nationale de France (consultation le 12.10.2009)
- Archives commerciales de la France, numéro du 03.04.1884, p. 451 ; déclaration de la faillite de + Benjamin EUZET. En ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque Nationale de France (consultation le 18.10.2009)
- Archives commerciales de la France, numéro du 13.07.1892, p. 882 : liquidation judiciaire d'Achille EUZET, pour des articles de pêche, le 06.07.1892 - L.M. VAISSADE. En ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque Nationale de France (consultation le 12.10.2009)
- Journal commercial et maritime de Cette, n° 162 du 13.07.1892 : avis aux créanciers d'Achille EUZET (PAR 553/1, aux AD 34)
- Archives commerciales de la France, numéro du 21.10.1893, p. 1258 ; vente d'un chalet par DESMAZES-EUZET, 112, Port-de-Bercy. En ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque Nationale de France (consultation le 12.10.2009)
- Almanach national. Annuaire officiel de la République française pour 1900 ; Barthélémy EUZET, juge au tribunal de commerce de Sète, p. 724. En ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque Nationale de France (consultation le 10.07.2013)
- Archives commerciales de la France, numéro du 09.05.1908, p. 608 : Marseille - Déclaration de faillite - EUZET Georges restaurant, à l'Estaque. En ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque Nationale de France (consultation le 25.08.2012)
- Annuaire de l'Union des associations des anciens élèves des écoles supérieures de commerce, année 1923, pour Joseph EUZET, de Sète (génération 6 Galibert), en ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque de France (consultation du 18.11.2009).
- Bulletin mensuel du Comité national des conseillers du commerce extérieur de la France, mars 1914 (p. 193) et juin-juillet 1914 (p. 354) pour Joseph EUZET, de Sète (génération 6 Galibert) ; pour le second bulletin, il est précisé qu'il est agent de navigation (en plus de la mention "négociant en vins, à Cette" (Sète) qui est indiquée partout. Ces bulletins sont en ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque de France (consultation du 18.11.2009).
- L'expansion commerciale de la France, avril 1924, Assemblée générale du 11 avril (p. 136), novembre 1923 (p. 712) et avril-mai 1928, compte rendu du congrès national des conseillers du commerce extérieur de la France. Nice, 04-08.01.1928 (p. 228), pour Joseph EUZET, de Sète (génération 6 Galibert) ; en ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque de France (consultation du 18.11.2009).
- Revue des vins et liqueurs - produits alimentaires pour l'exportation. 31.01.1924. Directeur E. ALLEAU, 9, rue du faubourg Poissonnière, Paris (p. 20), pour Joseph EUZET, de Sète (génération 6 Galibert) : comité pour l'organisation de la section française à l'exposition de Londres, sous le patronage et avec le concours du comité français des expositions ; en ligne sur Gallica, le site de la Bibliothèque de France (consultation du 18.11.2009).
- L'Eclair, n° du 04.04.1944, en ligne sur le site des AD 34, pour l'avis de décès, à Roquemaure (30), de Charles EUZET (le 31.03.1944).
- Monographie de la commune de Sarcelles par un instituteur (4/1707, en usuel aux AD 95) : "De nombreux bois entouraient la possession du Haut-du-Roi, réunissant les hauteurs boisées d'Ecouen avec le massif d'Arnouville. Les essences dominantes de ces forêts étaient le chêne et le châtaignier dont on faisait les cerceaux, - de là le nom de Cercelle, première orthographe du nom de notre pays, - ou du sarcles (cercles), d'où le nom Sarcelle."
- Site Internet de l'association pour la promotion de l'histoire et du patrimoine de la vallée de Montmorency (http://valmorency.fr), texte de Jean-Pierre BEAU, augmenté en mai 2009 par Gérard DUCOEUR. Article sur les cercliers ou cerceliers : "FRANKLIN nous dit dans son dictionnaire des métiers [FRANKLIN (A.) Dictionnaire historique des Arts, Métiers et Professions. Paris 1906. J.C. GODEFROY, réédition en 2004] qu'on comprend sous ces noms : des fabricants, des marchands et des plieurs de cerceaux pour tonneaux. (...) L'abbé GALLET, dans son histoire de Sarcelles [GALLET (abbé M.) Recherches historiques sur Sarcelles, 1880, Le Livre d'Histoire, réédition 2005, p. 14-18], cite une charte du roi Louis IX (1269) (...) qu'il traduit (ainsi) "du merrain que l'on peut prendre de ladite forêt pour faire des tonneaux et des cercles (sarcels) pour mettre le vin (...)"
- Sur l'abbé Louis Antoine EUZET : article d'Emile APPOLIS : "Dans le monde des affaires au XIXe siècle, le mysticisme hétérodoxe à Sète" ; Annales, Economies, Sociétés, Civilisations, année 1957, vol 12, n° 2, pages 231 à 242 ; Persée : périodiques scientifiques en édition électronique (http://www.persee.fr).
- Sur l'abbé Louis Antoine EUZET : sa notice nécrologique dans "La semaine religieuse de Montpellier", cote PAR 1908, n° du 18.09.1873, p. 99, aux AD 34 (cité en note dans l'article d'Emile APPOLIS ci-dessus ; ce numéro est en déficit aux AD 34 ; peut-être existe-t-il dans les archives de l'évêché ?
- Sur l'abbé Louis Antoine EUZET : sa notice biographique (naissance, vie ecclésiastique, décès) à l'évêché a été transmise par M. Pierre-Denis REBOULIN, le 05.07.2013.
- Sur l'abbé François Abel EUZET : sa notice biographique (naissance, vie ecclésiastique, décès) à l'évêché a été transmise par M. Pierre-Denis REBOULIN, le 05.07.2013.
- La brochure "Le diocèse de Montpellier et le sanctuaire marial de Lourdes, une longue et riche histoire de liens privilégiés. 1858-1940", par Pierre-Denis REBOULIN, fait mention de l'abbé EUZET à Lourdes, en 1858 (il s'agit de Louis Antoine EUZET) ; les coordonnées de M. REBOULIN nous avaient été transmises par Mme Marie-Josée GUIGOU, le 25.06.2013 ; suite à un contact téléphonique avec M. REBOULIN le même jour, celui-ci nous a adressé sa brochure qui évoque les premiers contacts avec Bernadette SOUBIROUS par l'évêque de Montpellier et ses collaborateurs. Imprimé par PGH communication (voir la photo de la couverture à l'article de l'abbé Louis Antoine EUZET (génération 5 GALIBERT).
- L'ouvrage "Notre-Dame de Lourdes et le Diocèse de Montpellier" (Histoire des liens qui les unissent et de leurs rapports de 1858 à 1943) par l'abbé Henri CABANE, a servi de support à l'analyse de M. Pierre-Denis REBOULIN (Béziers, Imprimerie du Sud, 1949). La photo de la couverture, ci-dessous, nous a été transmise par M. REBOULIN, le 25.06.2013.
- Les postes successifs de l'abbé Louis Antoine EUZET, dans La Semaine Religieuse de Montpellier, n° du 18.09.1873, p. 99 (dicté au téléphone, le 26.11.2013 par l'archiviste de l'Archevêché, le père Alain HESS).
- Le Sémaphore de Cette : quelques numéros (1878, 1882, aux AD 34 (PAR 824/1)
- Bulletin trimestriel de la Société d'horticulture de Cette : quelques numéros (1899 à 1910), aux AD 34 (PAR 2011)
- Journal commercial et maritime de Cette : quelques numéros (surtout de 1888 à 1892 pour PAR 553/1) et, surtout de 1899 à 1910 pour PAR 553/2), aux AD 34
(fiches retirées de fichiers "actifs" et placées dans d'autres fichiers ; de là vient leur appellation "fiches cimetière")
- Décès de Marie Jeanne EUZET (génération 5 GALIBERT), en 1884 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 186 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès de Marie EUZET (génération 5 GALIBERT), en 1884 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 188 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès de Rose EUZET (génération 4 GALIBERT), en 1884 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 194 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès d'Antoine Joseph EUZET (génération 6 GALIBERT et Blida), en 1885 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 158 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès d'Elisabeth Rose EUZET (génération 5 GALIBERT), en 1917 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 169 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès d'Hilaire EUZET (génération 5 PORTALES), en 1919 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 175 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès de Thérèse EUZET (génération 5 GALIBERT), en 1921 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 198 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès de Françoise EUZET (génération 4 PORTALES), en 1925 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 172 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès de Noémie Elisabeth EUZET (génération 6 GALIBERT), en 1945 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 171 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès de Joseph Baptiste EUZET (génération 6 GALIBERT), en 1945 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Sète : 3 Q 15429 (vue 181 sur le site en ligne des AD 34).
- Décès d'Albert Etienne EUZET (génération 6 PORTALES et Limoges), en 1959 ; fiche "cimetière" de l'enregistrement, bureau de Frontignan, succession extérieure : 3 Q 5313 (vue 478 sur le site en ligne des AD 34).
- 1 R 891 : dossier militaire de Jean Baptiste EUZET, classe 1869 ; vue 194 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 908 : dossier militaire d'Honoré EUZET, classe 1872 ; vue 121 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 911 : dossier militaire de Barthélémy EUZET, classe 1873 ; vue 156 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 911 : dossier militaire de Noël François Ange EUZET, classe 1873 ; vue 169 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 915 : dossier militaire de Jacques Honoré (dit Henri) EUZET, classe 1874 ; vue 172 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 923 : dossier militaire de Pierre EUZET, classe 1877 ; vue 140 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 943 : dossier militaire de Georges EUZET, classe 1880 ; vue 281 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 944 : dossier militaire d'Esprit Henri Alfred EUZET, classe 1880 ; vue 31 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 945 : dossier militaire de Joseph EUZET, classe 1880 ; vue 139 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 950 : dossier militaire de Simon EUZET, classe 1881 ; vue 194 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 957 : dossier militaire de François Abel EUZET, classe 1882 ; vue 177 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 957 : dossier militaire d'Achille Pierre Jacques EUZET, classe 1882 ; vue 195 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 966 : dossier militaire de Baptiste EUZET, classe 1883 ; vue 226 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 969 : dossier militaire d'Hilaire EUZET, classe 1883 ; vue 122 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 994 : dossier militaire d'Antoine EUZET, classe 1886 ; vue 137 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 994 : dossier militaire de Pierre EUZET, classe 1886 ; vue 189 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1005 : dossier militaire de Lazare EUZET, classe 1887 ; vue 31 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1006 : dossier militaire de Louis Marius Joseph EUZET, classe 1887 ; vue 31 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1023 : dossier militaire d'Etienne EUZET, classe 1889 ; vue 283 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1118 : dossier militaire d'Albert Etienne EUZET, classe 1898 ; vue 45 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1168 : dossier militaire de Louis Antoine EUZET, classe 1903 ; vue 421 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1280 : dossier militaire de Marie Joseph Henri EUZET, classe 1915 ; vue 200 du registre numérisé aux AD 34.
- 1 R 1376 : dossier militaire de Georges EUZET, classe 1924 ; vue 70 du registre numérisé aux AD 34.
- Maria, épouse ROUCAYROL, Mauguio : vol 483 case 457
- Rosalie, épouse GRAS : vol 389 case 655
- Louis Antoine ou Louis, gérant de société : vol 386 case 80
- Joséphine Marguerite, épouse CANTO : vol 386 case 79
- Marie, veuve AUBRESPY : vol 378 case 668
- Ernestine, célibataire, majeure : vol 378 case 667
- Charlotte Maria ou Charlotte, épouse MICHEL : vol 360 case 631
- Barthélémy, tonnelier ou marin ou négociant : vol 341 case 745
- Henri ou Henri Alexandre Louis Joseph, mineur, sous-officier, Montpellier, Porto-Novo (Dahomey) : vol 335 case 362
- Marie Marcelle Charlotte ou Suzanne Marie Henriette Charlotte, mineure, Montpellier : vol 335 case 361
- Maurice ou Maurice Joseph Gabriel, mineur, commerçant à El Hajeb (Maroc) : vol 335 case 360
- Joseph ou Joseph Jean Etienne ou Jules Jean Etienne, mineur, employé à société automobiles, Montpellier, Dakar (Sénégal) : vol 335 case 359
- Yvonne ou Yvonne Marie Mathilde Charlotte, mineure, Montpellier : vol 335 case 358
- Marthe ou Marthe Henriette Berthe Marie ou Marthe Marie Henriette, mineure, majeure, Montpellier : vol 335 case 357
- Charles ou Joseph François Charles, employé de commerce, Montpellier, Saint-Jean-de-Védas : vol 335 case 356
- Georges, mineur, représentant de commerce : vol 332 case 410
- Rose ou Germaine Rose : vol 332 case 409
- Félicité Joséphine, épouse, veuve PROMPT, Lézignan-Corbières : vol 319 case 761
- Elisabeth ou Noémie Elisabeth, veuve GOUDAL : vol 308 case 44
- Marie Louise Catherine, épouse GOUDARD : vol 301 case 301
- Hilaire, employé de commerce : vol 301 case 297
- Catherine, fille majeure : vol 301 case 296
- Albert Etienne, employé de commerce, Limoges : vol 300 case 370
- Joséphine Suzanne Marguerite, veuve FABRE : vol 287 case 204
- Joseph ou Joseph Baptiste, négociant : vol 276 case 189
- Mathilde, épouse JALABERT : vol 275 case 428
- Françoise, veuve ABADIE : vol 274 case 326
- Françoise, la veuve : vol 238 case 466
- Achille, négociant ou fabricant de filtres, Frontignan, Marseille : vol 232 case 591
- Marie Claire, épouse BAILLE : vol 228 case 549
- Cécile, veuve MALLIÉ : vol 226 case 495
- Amélie, mineure : vol 225 case 442
- Rosa, épouse PASCAL : vol 225 case 441
- Joséphine ou Marguerite Joséphine : vol 225 case 440
- Marie, épouse CAVALIER : vol 225 case 439
- Augustine ou Augustine Lazarine, épouse PETERMANN : vol 223 case 536
- Augustine; épouse, veuve ARNAL : vol 215 case 583
- Elisabeth Rose, épouse HÉRAIL : vol 198 case 366
- Blaise, tonnelier et VAILLARD, maison de commerce : vol 195 et 196 cases 358 et 80
- Evelina : vol 191 case 505
- Alexandre, soldat, Montpellier : vol 190 case 320
- Jean Baptiste, mineur, tonnelier : vol 189 case 333
- Françoise Fanny : vol 189 case 332
- Honoré ou Jacques Honoré ou Jean Jacques Honoré, époux GUILHEM 355/44, jardinier, commis ou négociant ou courtier ou fleuriste : vol 189 case 331
- Alexandre, tonnelier : vol 185 case 525
- Magdeleine, épouse DOUCET, Lansargues : vol 182 case 431
- Marie, épouse ORUS : vol 182 case 430
- Catherine Françoise, épouse LAMAYOUX : vol 174 case 596
- Jacques, débitant de vins : vol 174 case 510
- Louise : vol 166 case 145
- François ou Jean François, peintre : vol 166 case 144
- Honoré, jardinier ou négociant ou entrepreneur de fumier ou commissionnaire : vol 166 case 143
- Jean Baptiste, négociant : vol 165 case 326
- Clarisse, épouse ESTAQUIER : vol 165 case 306
- Thérèse, épouse MIGNIOT, Montdidier, Paris : vol 164 case 418
- Gabriel ou Gabriel Marie : vol 164 case 105
- Elisa : vol 162 case 524
- Jean, capitaine au cabot : vol 161 case 174
- EUZET frères et ARNAL, maison de commerce : vol 156 case 463
- Françoise ou Françoise Henriette, épouse DURAND : vol 156 case 169
- Louis, menuisier ou commerçant : vol 155 case 57
- Jacques, cultivateur : vol 145 case 25
- Benjamin, maître tonnelier, Homps : vol 141 case 422
- Abel Jean Pierre, limonadier : vol 142 case 26
- Honoré, menuisier : vol 142 case 24
- Magdeleine Françoise, épouse TRINQUIER : vol 141 case 450
- Marie, épouse DÉFARGES : vol 141 case 416
- Jeanne, religieuse ou épouse MATIGNON, Compiègne, Angers : vol 141 case 415
- François Ange, tailleur de pierres, ex-limonadier : vol 140 case 82
- Dorothée Rosalie : vol 138 case 368
- Modeste, jardinier ou propriétaire : vol 137 case 324
- Michel : vol 131 case 543
- Etienne, cultivateur : vol 131 case 542
- Magdeleine, épouse TRINQUIER : vol 131 case 541
- François, cultivateur ou fossoyeur ou journalier : vol 131 case 540
- Raymond, marin : vol 128 case 19
- Elisabeth Honorine ou Honorine, épouse ARNAL : vol 120 case 429
- Rosalie Antoinette, épouse FABRE : vol 113 case 701
- Claire, épouse PALMIER : vol 113 case 700
- Marguerite, veuve BARRAL : vol 113 case 699
- Gracie, veuve FAURE : vol 113 case 698
- Marguerite, épouse ROUSSEL : vol 113 case 697
- Pierre : vol 106 case 393
- Françoise Henriette, couturière : vol 106 case 392
- Barthélémy, tonnelier ou marin ou négociant : vol 106 case 391
- Modeste, boulanger ou négociant : vol 106 case 342
- François, cafetier ou limonadier : vol 106 case 243
- Jean Baptiste ou Jean, travailleur de terre : vol 102 case 760
- Honoré, jardinier ou négociant ou entrepreneur de fumier ou commissionnaire : vol 92 case 735
- Rose, épouse BÉRAIL ou HÉRAIL : vol 89 case 339
- Cécile, épouse MOLLE : vol 89 case 338
- Blaise, menuisier : vol 89 case 337
- Charles ou Marc Charles, tonnelier ou voyageur de commerce : vol 89 case 336
- Claire, épouse DUGAS : vol 89 case 335
- Françoise, épouse VIALAT : vol 89 case 334
- Antoine et Cie ou François, tonnelier ou négociant : vol 36 case 348
- Jean Jacques : vol 15 case 34
- Claire, épouse CALAS : vol 15 case 33
- Louis ou Louis Honoré : tonnelier : vol 15 case 32
- Honoré, jardinier ou négociant ou entrepreneur de fumier ou commissionnaire : vol 6 case 342
- Marie Angéline, épouse MICHEL : vol 360 case 631
- Marie Louise, femme GOUDARD : vol 443 case 4
- Françoise, femme DURAND : vol 187 case 115
- Le buste d'Honoré EUZET, dans le jardin du château d'eau, à Sète, a été signalé par Mme Jeanne FOURMENT et les photos ont été prises par M. Alfred ROMAIN.
-Les photos d'Honoré et de Joseph EUZET sont tirées du "Dictionnaire biographique de l'Hérault" (collection "Les Dictionnaires
Départementaux", Paris, librairie E. Flammarion, 14 rue du Regard, NEAUBER Éditeur). Ni la date d'édition ni la date d'impression ne sont indiquées mais dans un encart publicitaire, il est fait état d'un nombre de souscriptions pour un ouvrage au 1er octobre 1904. On doit donc se trouver en 1903 ou 1904. Les informations sur Honoré EUZET ne dépassent pas 1901. Les photos, la notice biographique, les références sur le dictionnaire et sa date probable d'édition, grâce à M. François COULOMB.
- Informations et photos de Mme Ghislaine ROURE de BROCHE pour la famille de BROCHE des COMBES dans "Son site sur GeneaNet" (sur la famille de BROCHE) ; voir aussi les photos d'Henri et Charles EUZET dans Saint-Jean-de-Védas
- 27.02.1733 : bail à Jacques EUZET d'un jardin par François ANGELIN, à Sète (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/9, f°202, aux AD 34).
- 19.05.1734 : contrat de mariage de Jacques EUZET et de Claire GALIBERT (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/10, f°72, aux AD 34).
- 26.10.1734 : obligation de Guillaume EUZET à Jacques EUZET (notaire André TEISSIER père, de Ceyras : 2 E 23/101, f° 200 v., aux AD 34).
- 29.08.1740 ; émancipation de Jacques EUZET (notaire André TEISSIER père, de Ceyras : 2 E 23/104, aux AD 34). Acte trouvé par M. Philippe WALCKER.
- 09.06.1744 : transport pour la vente d'une terre, par Marie RIGAL à Jacques EUZET (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/15, f°55, aux AD 34).
- 12.02.1745 : quittance de Marie RIGAL à Jacques EUZET (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/15, f°185, aux AD 34).
- 17.02.1748 : contrat de mariage de Jacques EUZET et de Cécile PORTALES (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/17, f°261, aux AD 34).
- 22.11.1749 : vente à Jacques EUZET d'une terre, champ et vigne, à "la plage de Frontignan" de Sète, par Marie GACHON (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/17, f°372 v., aux AD 34).
- 22.03.1751 : bail à Jacques EUZET d'un jardin par Henri BOSC (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/18, f°248 v., aux AD 34).
- 01.06.1751 : estimation par des experts du bail à Jacques EUZET d'un jardin par Henri BOSC (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/18, f°324, aux AD 34).
- 02.09.1755 : bail à Jacques EUZET d'un jardin par Henri BOSC (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/20, f°396 v., aux AD 34).
- 05.10.1755 : plainte de Jacques EUSET, jardinier de Sète, contre VIVENS. Injures (Juridiction ordinaire de Sète : 10 B 1598, n° 252 bis, aux AD 34) : alors qu'il travaille comme jardinier dans le jardin de BOSC "dont il paye la rente", il découvre que le dénommé VIVENS aîné est entré dans le jardin et refuse d'en sortir. De plus, il a ouvert "le réservoir de l'eau qui donne de l'eau destinée pour les batimens de mer" ; il traite Jacques EUZET (patronyme écrit AUSET) de "brutal", de "fripon" et de "voleur" quand celui-ci lui demande de quitter le jardin ; un témoignage est apporté par Simon GOUDARD, cabaretier de la ville qui a entendu proférer les insultes.
- 14.02.1757 : diminution de rente par le conseiller BOSC à Jacques EUZET, sur le bail consenti en 1755 (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/21, f°291 v., aux AD 34).
- 01.06.1759 : contrat de mariage d'Elisabeth EUZET et Michel MARIOY (notaire Antoine MERLE, de Sète : 2 E 90/22, f° 308, aux AD 34).
- 07.04.1762 : contrat de mariage de Jacques EUZET et de Marie MONTAIGU dite ROCOUR(D) (notaire Barthélémy MERLE, de Sète : 2 E 90/24, f° 33, aux AD 34).
- 16.12.1763 : contestation entre Jacques EUZET et le conseiller en la cour des Aides et finances de Montpellier, Henri François Etienne BOSC au sujet du prix du bail de son jardin potager, à Sète ; le terme exact employé pour ce bail est "la table mise au jardin potager" une analyse est faite des contrats qui ont eu lieu depuis 1747 : le 02.11.1747, le conseiller BOSC a signé un contrat avec ESPAIGNAC, le 22.03.1751, celui-ci a été remplacé par Jacques EUZET, le 02.09.1755, un nouveau contrat a été signé avec Jacques EUZET, le 22.12.1762, GINESTI a remplacé Jacques EUZET ; il s'agit donc de déterminer ce qui est dû par le fermier sortant (EUZET) et par le fermier entrant (GINESTI) ; dans ces différents actes, le patronyme EUZET est écrit LAUZET ; sans rentrer dans le détail de toutes ces transactions, on note qu'en plus du prix proprement dit, l'évaluation comprenait des "estimes", des "surestimes" et des "remises", en fonction, notamment, des usages et des "herbages" laissés par un fermier à son successeur et par le "rouage du puits à roue" ; l'évaluation de ces éléments constituent la contestation de 1763 ; deux jardiniers experts sont désignés : Antoine MARTIN et Joseph AYMARD, de Montpellier ; il résulte de cette expertise que le prix de la "table mise" est et reste fixé à 330 livres ; la "surestime que Jacques EUZET laisse est de 295 livres mais, au total, s'il doit 723 livres, il a droit à une remise de 668 livres 1 sol 7 deniers qui ne le laisse débiteur que de 54 livres 18 sols 5 deniers ; il paye cette somme au représentant du conseiller BOSC ; de son côté, le nouveau fermier, GINESTI, lui paye 98 livres 6 sols 8 deniers, c'est-à-dire le tiers de la "surestime" ; l'acte est passé en l'étude, en présence de Bernard BLAQUIERE et de Barthélémy MERLE (étudiant en droit), de Sète (notaire Barthélémy MERLE, de Sète : 2 E 90/24, f° 281, aux AD 34).
- 08.10.1767 : dossier d'instruction pour la plainte de Marguerite PAGES ou PAGÈS ou PAGÉS ("fille de service chez M. GERBIER, contrôleur en la manufacture de tabac") contre Jacques EUZET ("jardinier du jardin de la manufacture de tabac"), fils de Jacques et de Claire GALIBERT, "pour avoir voulu attenter à l'honneur de la suppliante" (Juridiction ordinaire de Sète : 10 B 1610, n° 464, aux AD 34)
- 02.03.1770 : quittance du loyer d'une maison par Antoine MAYROIS aux enfants de Jacques EUZET et de Claire GALIBERT, suite à la succession de Philippe GALIBERT (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/27, f° 202, aux AD 34)
- 17.09.1772 : contrat de mariage de Marie Rose EUZET et de Mathieu FAUQUIER (notaire Jacques MARIN, de Gignac : 2 E 37/175, f° 1188, aux AD 34)
- 01.04.1774 : rixe dans laquelle sont impliqués Jean, Louis et Baptiste EUZET (notaire Antoine LARDAT de Sète : 2 E 89/20, f° 16, aux AD 34)
- 20.05.1774 : procuration de Marie EUZET à son frère Jacques (notaire Jacques Antoine 1 PONS, de Gignac : 2E37/à compléter, aux AD 34)
- 05.06.1774 : licitation d'une terre par les enfants de Jacques EUZET et de Claire GALIBERT, suite à la succession de Philippe GALIBERT (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/29, f° 190, aux AD 34)
- 14.09.1774 : testament 1 de Jacques 1 EUZET (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 39, aux AD 34)
- 03.11.1775 : testament 2 de Jacques 1 EUZET (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 101, aux AD 34)
- 04.01.1777 : prêt de 99 livres à Jacques 1 EUZET par Marie BOUDON, femme d'Antoine LARDAT (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 197, aux AD 34)
- 17.07.1777 : testament 3 de Jacques 1 EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/31, f° 64, aux AD 34).
- 30.07.1777 : contrat de mariage de Jacquette EUZET et de François PEYRONNET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/31, f° 96 v., aux AD 34)
- 11.08.1777 : plantation de bornes entre deux terres de Jean Jacques EUZET et Jean Pierre LUSSIOL (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/31, f° 74 v., aux AD 34).
- 29.08.1777 : testament 4 de Jacques 1 EUZET (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 267, aux AD 34).
- 03.11.1777 : donation de Marie MONTAIGU dite ROCOUR(D) à Jean EUZET (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 274, aux AD 34)
- 08.12.1777 : vente d'un terrain par Jacques, Marie, Elisabeth et Mathieu EUZET (enfants de Jacques et de Claire GALIBERT) à François BAISSADE (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/31, f° 111, aux AD 34).
- 06.01.1778 : contrat de mariage de Jean Louis EUZET et de Marie Madeleine BARRES (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 286, aux AD 34).
- 15.02.1778 : bail de deux terres à Louis EUZET par ses frères et soeurs (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 296, aux AD 34)
- 20.08.1778 : cession par Louis EUZET des deux terres baillées en février, à son frère Jacques (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f° 366, aux AD 34)
- 02.03.1779 : testament de Mathieu EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f°31, aux AD 34)
- 17.04.1779 : bail d'une terre par Elisabeth NOUGARET, veuve d'Antoine GUITARD, à Jean Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f°94, aux AD 34)
- 29.04.1779 : paiement de la rente de Marie MONTAIGU par Jacques EUZET (notaire Antoine LARDAT, de Sète : 2 E 89/20, f°410, aux AD 34)
- 22.07.1779 : dossier d'instruction pour la plainte d'Elisabeth EUZET (femme de Michel MAYROIS) contre Madeleine BARRES (femme de Louis EUZET), pour injures, menaces et voies de fait ; ces deux femmes habitent dans la même maison ; Elisabeth explique à "Henri JAUSSERAND, avocat en Parlement, tenant la justice en l'absence de Messieurs les officiers ordinaires de Monseigneur l'Evêque et comté d'Agde" que, depuis longtemps la nommée Madeleine BARRES entretient contre elle une animosité "qui l'a porte journellement à l'insulter et l'injurier. La plaignante est exposée d'autant plus qu'elle loge dans une maison avec ladite BARRES" ; le dossier montre que plusieurs matins, Madeleine BARRES l'a attendue dans le corridor et qu'elle lui a sauté dessus dès qu'elle est sortie de son appartement, elle lui a donné des coups, lui a déchiré son voile et, à chaque fois, ce sont d'autres personnes qui ont empêché une plus grande aggravation des faits ; le rapport du chirurgien (Pierre CLARIS, "Maître es arts en l'université de Montpellier et en chirurgie, chirurgien du roi à l'hôpital militaire de Cette" fait ressortir diverses contusions, plaies et égratignures subies par Elisabeth EUZET ; le chirurgien estime que ces blessures ont "été faites par les ongles et coups de poignet. Déclarons être du nombre de guérissables dans le délai de sept à huit jours, moyennant les pansements méthodiques" ; quatre témoins sont entendus (Marie CARRIERE, Thérèse CARRIERE, Marie GARIGUE et Antoine ESPIER) ; l'enquête est menée par le viguier de Sète, Antoine TARBOURIECH, avocat en Parlement. Elisabeth demande une provision de 50 livres et la contrainte par corps de Madeleine BARRES (demande signée par Jacques FERRAND, avocat). Henri JAUSSERAND juge que "de pareils excès méritent répréhension" et accorde à Elisabeth "la somme de 30 livres pour se faire panser et médicamenter au préjudice de la femme BARRES" (juridiction ordinaire de Sète : 10 B 1626, n° 935, aux AD 34)
- 15.08.1779 : quittance pour 50 livres de Michel MAYROIS à Jacques EUZET (au nom de ses frères et soeurs), suite à la succession de son père, Jacques 1 EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° ?, aux AD 34 - à compléter)
- 24.01.1780 : partage des biens de Jacques 1 EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° 147, aux AD 34).
- 24.01.1780 : obligation de Jean Jacques EUZET envers Jean GINESTET, pour 300 livres (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la quittance du 24.01.1781).
- 04.02.1780 : obligation de Mathieu FAUQUIER et Marie Rose EUZET envers Jacques LAPEYRE (notaire Antoine PONS, de Gignac : 2E 37/ - indiqué dans le paiement du 04.08.1780 - à compléter).
- 11.04.1780 : obligation de Pierre NOUGAREDE, envers Jean Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° 173 v., aux AD 34).
- 18.04.1780 : obligation de Pierre ORMES envers Jean Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° 175 v., aux AD 34).
- 04.08.1780 : paiement par Jacques EUZET et Jean Jacques EUZET à leur soeur Marie Rose EUZET (épouse FAUQUIER) du solde sur sa part dans la succession des biens de leur père et à Jacques LAPEYRE pour une cession faite par le couple FAUQUIER (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° 210 v., aux AD 34).
- 16.10.1780 : accord entre Jacques EUZET et Jean Jacques EUZET pour la division d'un champ sur la plage de Frontignan (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/32, f° 227, aux AD 34).
- 24.01.1781 : quittance pour le remboursement de l'obligation conclue entre Jean Jacques EUZET et Jean GINESTET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/33, f° 9 v., aux AD 34).
- 26.10.1781 : quittance d' Elisabeth EUZET à son frère Jean Jacques, suite au partage du 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/33, f° 107, aux AD 34).
- 28.07.1781 : testament de Jacques EUZET, époux de Gracie SERANE (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/33, f° 83, aux AD 34).
- 10.02.1782 : quittance de Louis EUZET à son frère Jean Jacques, suite au partage du 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/33, f° 144, aux AD 34).
- 27.07.1782 : quittance de Jean Baptiste EUZET à son frère Jean Jacques, suite au partage du 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/33, f° 196, aux AD 34).
- 19.12.1782 : vente d'une maison à Louis EUZET par Jean Baptiste et Marguerite LAPIERRE et remboursement partiel de sa part du partage de 1780 par Jacques EUZET à son frère Louis, le montant étant destiné à l'achat de la maison (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/33, f° 261, aux AD 34)
- 16.02.1783 : quittance finale de Louis EUZET à son frère Jacques, suite au partage du 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/34, f° 16 v., aux AD 34).
- 17.02.1783 : quittance pour Louis EUZET par Jean Baptiste LAPIERRE et Marguerite LAPIERRE, épouse d'Honoré GRENIER (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/34, f° 17, aux AD 34).
- 05.10.1783 : quittance de 600 livres de Jean GINESTET à Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/34, f° 77 v., aux AD 34).
- 11.05.1784 : quittance de 600 livres de Jean GINESTET à Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/34, f° 149 v., aux AD 34).
- 19.03.1785 : contrat de mariage entre Louis EUZET et Catherine PASCAL (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/35, f° 46 v., aux AD 34).
- 27.03.1785 : quittance privée de 200 livres de Jean Baptiste EUZET à son frère Jean Jacques, suite à la donation de Marie MONTAIGU du 03.11.1777 (indiqué dans la quittance du 26.04.1786)
- 03.08.1785 : quittance de Louis EUZET à son frère Jean Jacques, suite à la donation de Marie MONTAIGU du 03.11.1777 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/35, f° 52, aux AD 34)
- 16.02.1786 : quittance privée de 100 livres de Jean Baptiste EUZET à son frère Jean Jacques, suite à la donation de Marie MONTAIGU (indiqué dans la quittance du 26.04.1786)
- 26.04.1786 : quittance finale de Jean Baptiste EUZET à son frère Jean Jacques, suite au partage du 24.01.1780 et à la donation de Marie MONTAIGU du 03.11.1777 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/35, f° 263 v., aux AD 34).
- 14.09.1786 : quittance de la veuve d'André LAPIERRE (pour elle et pour Jean Baptiste et Marguerite LAPIERRE) à Louis EUZET pour 360 livres (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/35, f° 270 v., aux AD 34).
- 27.02.1787 ; quittance finale de Jean Baptiste et Marguerite LAPIERRE à Louis EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/36, f° ?, aux AD 34 - à vérifier - indiqué en marge de la quittance du 14.09.1786)
- 28.07.1787 : testament de Jacques EUZET (fs Jacques et Claire GALIBERT) : (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/36, f° ?, aux AD 34 - à vérifier)
- 16.06.1790 : contrat de mariage d'Antoine Etienne EUZET et de Claire PARAILLAC (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/37, f° 129, aux AD 34)
- 24 ventôse an II = 14.03.1794 : vente d'une terre par Louis BESSIERE aux frères Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/39, f° 123, aux AD 34)
- 17 messidor an II = 05.07.1794 : quittance par Jeanne RECOULY (veuve de Louis BESSIERE) pour la vente du
terrain faite le 24 ventôse (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/39, f° 156, aux AD 34)
- 30 pluviôse an III = 18.02.1795 : vente d'une terre par les héritiers d'André CHAUVAIN aux frères Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/40, f° 38, aux AD 34)
- 11 prairial an III = 30.05.1795 : vente d'une terre par André Fulcrand DOUARCHE aux frères Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/40, f° 76, aux AD 34)
- 26 vendémiaire an V = 17.10.1796 : vente d'une terre par les enfants de Joseph CASTANIER à Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° et n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la quittance du 6 germinal an VI (26.03.1798) et dans l'acte de cessation d'indivision entre Jacques et Honoré EUZET, le 18.10.1806)
- 11 prairial an V = 30.05.1797 : vente d'une terre par Fulcrand DOUARCHE aux frères Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° à compléter, aux AD 34- indiqué dans l'acte de cessation d'indivision entre Jacques et Honoré EUZET, le 18.10.1806 - il s'agit, peut-être, d'une confusion avec l'acte par les mêmes en l'an III)
- 26 vendémiaire an VI = 17.10.1797 : vente d'une terre par Claire EUZET à Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° 91 v., aux AD 34)
- 18 brumaire an VI = 08.11.1797 : vente d'un champ par Jean Joseph MARTINENQ et Jean Pierre PEYRONNET à Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° 98, aux AD 34)
- 30 brumaire an VI = 20.11.1797 : quittance par Antoine EUZET à Gracie SERANE (sa mère) de sa part de l'héritage paternel (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° 100 v., aux AD 34)
- 6 germinal an VI = 26.03.1798 : quittance par Barbe CASTANIER à Jacques et Honoré EUZET, suite à la vente du 26 vendémiaire an V (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° 140 v., aux AD 34)
- 17 thermidor an VI = 04.08.1798 : quittance de Jacques et Honoré EUZET pour un prêt de 100 francs à leur frère Antoine (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/41, f° 167, aux AD 34)
- 13 ventôse an VIII = 04.03.1800 : renouvellement du bail à ferme de son jardin par le conseiller BOSC à Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/42, f° et n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'acte de cessation d'indivision entre Jacques et Honoré EUZET, le 18.10.1806)
- 25 brumaire an IX = 16.11.1800 : vente d'une terre par Pierre LAPIERRE à Jacques et Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/43, f° et n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'acte de cessation d'indivision entre Jacques et Honoré EUZET, le 18.10.1806)
- 25 pluviôse an XI = 14.02.1803 : contrat de mariage de Jean Baptiste EUZET avec Marianne AUBERT (notaire Pierre Thomas François RUSQUIER, de Gignac : 2 E 37/164, f° 303, n° 122, aux AD 34)
- 22 germinal an XI = 12.04.1803 : part d'Antoine EUZET (frère de Jacques et d'Honoré) dans la succession de leurs père et mère (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/44, n° 110, aux AD 34) - vente d'une maison, du mobilier et de deux champs par Antoine à ses deux frères qui cèdent leur part dans une obligation.
- 14 fructidor an XI = 01.09.1803 : bail à ferme d'un jardin par Jean Antoine POUTINGON à Jacques et Honoré EUZET (acte sous seing privé - indiqué dans l'acte de cessation d'indivision entre Jacques et Honoré EUZET, le 18.10.1806)
- 6 frimaire an XII = 28.11.1803 : bail du domaine comprenant "la joncasse" par Jean Louis ARTAUD à Jacques EUZET, pour 5 ans (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/44 , n° à compléter - indiqué dans la quittance pour la vente d'une partie de "la joncasse" du 21 vendémiaire an XIV = 13.10.1805)
- 15 ventôse an XIII = 06.03.1805 : vente par Jean BOICHON d'une terre vigne à Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 117, aux AD 34)
- 25 floréal an XIII = 15.05.1805 : quittance et subrogation de droits par Jean PERRIN (ou PENIN) à Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 165, aux AD 34)
- 16 prairial an XIII = 05.06.1805 : quittance par Charles BRESSON père, procureur fondé de Jacques COSTE, à Honoré EUZET, pour la vente d'une terre le 24 pluviôse an XIII (13.02.1805) (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 181, aux AD 34)
- 5 fructidor an XIII = 23.08.1805 : déclaration de la vente par Jean Louis ARTAUD à Louis SEZARY (celui-ci pour Jacques EUZET) d'une partie de "la joncasse" (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 222, aux AD 34)
- 21 vendémiaire an XIV = 13.10.1805 : quittance pour la vente du 5 fructidor an XIII (23.08.1805) par Joseph CAVALLIER et Joseph SAVY (pour Jean Louis ARTAUD) à Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 247, aux AD 34)
- 8 frimaire an XIV = 29.11.1805 : vente par Jean Louis ARTAUD du reste de "la joncasse" à Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 271, aux AD 34)
- 2 nivôse an XIV = 23.12.1805 : vente par Jacques BENEZECH à Honoré EUZET, d'une terre vigne et luzerne (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/45, n° 285, aux AD 34)
- 05.01.1806 : quittance par la veuve de Joseph CASTANIER et ses enfants à Jacques et Honoré EUZET pour la vente faite le 17.10.1796 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 5, f° 1, aux AD 34)
- 25.01.1806 : prêt à Rose ROUSSON (ou ROUSON) par Honoré EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 12, f° 11 v., aux AD 34)
- 26.01.1806 : prêt de 71 francs par Jacques et Honoré EUZET à Françoise VIDAL (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 19, f° 27, aux AD 34)
- 20.02.1806 : prêt de 2625 francs par Elisabeth LAURENS, veuve de Pierre ANDRAU, à Jacques EUZET aîné, fils de Jacques et de Gracie SERANE (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 37, f° 61, aux AD 34)
- 02.05.1806 : quittance finale de Jean BOICHON à Honoré EUZET, suite à la vente du 06.03.1805 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 87, f° 121, aux AD 34)
- 13.08.1806 : vente d'une vigne par Catherine THOMAS, veuve de Jean Jacques EUZET, à Pierre BAISSE (notaire Pierre GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 63, f° 84 v., aux AD 34)
- 18.10.1806 : cessation de l'indivision entre Jacques et Honoré EUZET (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/46, n° 196, f° 227, aux AD 34)
- 11.01.1807 : accord entre cinq habitants de Sète (dont Jacques et Honoré EUZET) pour convenir du dépôt d'une somme de 3000 francs, afin d'assurer le remplacement de leurs enfants à l'armée (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 3, f° 288, aux AD 34)
- 21.02.1807 : remboursement et quittance de l'intérêt annuel du prêt de 1806 par Jacques EUZET aîné (fils de Jacques et de Gracie SERANE) à Elisabeth LAURENS, veuve de Pierre ANDRAU (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 28, f° 308 v., aux AD 34)
- 24.01.1808 : vente par Jean Louis ARTAUD à Honoré EUZET (fils de Jacques et de Gracie SERANE) d'une pièce de terre, au quartier dit du mas neuf (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/46, f° 565, aux AD 34)
- 19.02.1808 : remboursement et quittance de l'intérêt annuel du prêt de 1806 par Jacques EUZET aîné (fils de Jacques et de Gracie SERANE) à Elisabeth LAURENS, veuve de Pierre ANDRAU (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 38, f° 595, aux AD 34)
- 29.02.1808 : accord entre cinq habitants de Sète (dont Honoré EUZET) pour convenir du dépôt d'une somme de 3000 francs, afin d'assurer le remplacement de leurs enfants à l'armée (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/46, n° 47, f° 605, aux AD 34)
- 17.05.1808 : quittance de Jean LABORIE à Honoré EUZET (fils de Jacques et de Gracie SERANE) (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/46, f° 607, aux AD 34)
- 24.07.1808 : transport d'une créance de 3000 francs (sur Henri BOSC) par Antoine EUZET à Jean Baptiste VIDAL (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/46, f° 663, aux AD 34)
- 03.09.1808 : bail du mas neuf par Jean Louis ARTAUD à Honoré EUZET (fils de Jacques et de Gracie SERANE) (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/46, f° 707, aux AD 34)
- 21.02.1809 : remboursement et quittance de l'intérêt annuel du prêt de 1806 par Jacques EUZET aîné (fils de Jacques et de Gracie SERANE) à Elisabeth LAURENS, veuve de Pierre ANDRAU (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/47, f° 12, aux AD 34)
- 17.06.1809 : contrat de mariage entre François EUZET et Rosalie THEULON (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/47, f° 55 v., aux AD 34)
- 05.04.1811 : obligation de Louis EUZET à Etienne MARTINENQ (notaire Pierre BOUSQUET, de Sète : 2 E 89/28, f° 504, aux AD 34)
- 06.04.1811 : vente par Jean Louis ARTAUD à Honoré EUZET (fils de Jacques et de Gracie SERANE) de deux pièces de terre, au quartier dit du mas neuf (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/48, n° 78, aux AD 34)
- 10.01.1815 : vente d'un terrain à Frontignan, quartier de la plage, par Pierre PIOCH à Jean Baptiste EUZET (fils de Jean Baptiste et de Madelaine CONDAMINE) (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/50, f° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la vente à la compagnie du chemin de fer, le 01.11.1837)
- 12.10.1815 : testament d'Antoine GRÉS qui désigne Jacques EUZET (mari d'Elisabeth FARRAND) comme tuteur de ses quatre enfants mineurs, Antoine, Thérèse, Anne et Emilie GRÉS (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/50, f° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'acte de reddition des comptes de tutelle pour Thérèse, le 23.04.1820)
- 22.10.1815 : vente par Joseph Eugène BOYER et Jean Pierre BOYER, à Jean Baptiste EUZET, d'une maison, à Sète (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète, 2 E 90/50, f° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la quittance du 24.06.1836)
- 30.12.1817 : vente du mas neuf, par Marie ARTAUD (femme SERANNE) et Pierre Louis ARTAUD à Honoré EUZET (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2E 90/51, n° 316, aux AD 34)
- 21.09.1818 : bail pour 5 ans par Jacques EUZET (mari d'Elisabeth FARRAND), comme tuteur de Thérèse et Emilie GRÉS, de deux terres à Pomerols, à Jean GRÉS (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, n° 255, aux AD 34)
- 08.11.1818 : contrat de mariage de Marie Françoise EUZET et de François DURAND (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, n° 323, aux AD 34)
- 21.12.1818 : procuration (en brevet) d'Honoré EUZET (fils de Jacques) à son fils aîné, Jacques Honoré (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, annexée à la minute du 18.07.1819, n° 204, aux AD 34)
- 21.05.1819 : contrat de mariage de Claire EUZET (fille d'Honoré) avec Jean DUGAS (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, n° 150, aux AD 34)
- 18.07.1819 : prêt accordé par François RAT à Jacques Honoré EUZET, fondé de pouvoir de son père, Honoré (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, n° 204, aux AD 34)
- 01.09.1819 : quittance de Marianne PAGÉS (épouse de Pierre BERAIL) à Jacques EUZET, mari d'Elisabeth FARRAND (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, n° 231, aux AD 34)
- 08.11.1819 : contrat de mariage de Marie Françoise EUZET (fille de Jean Baptiste) et de François DURAND (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/52, n° 323, aux AD 34)
- 06.01.1820 : prêt accordé par François RAT à Jacques Honoré EUZET, fondé de pouvoir de son père, Honoré (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/53, n° 14, aux AD 34)
- 23.04.1820 : reddition de compte de tutelle de Jacques EUZET pour Thérèse GRÉS (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/33, aux AD 34)
- 05.05.1820 : paiement du reliquat du compte de tutelle par Jacques EUZET à Thérèse GRÉS (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/33, aux AD 34)
- 10.05.1822 : afferme d'un jardin et d'une vigne à Honoré EUZET (fils de Jacques) par Hyppolite TOURET (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète : 2 E 90/57, n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la cession du même bail, le 08.10.1828 (par le docteur VIEL) et dans la cession de cette ferme à son fils Honoré, le 17.04.1830)
- 30.12.1822 : vente d'une terre vigne par Honoré EUZET à Etienne PIALA (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/35, f° 250, aux AD 34)
- 07.09.1825 : testament de Jacques EUZET, fils de Jacques et de Gracie SERANE (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/38, f° 203, aux AD 34)
- 11.09.1825 : contrat de mariage de Jacques EUZET et de Jeanne VERGNES (notaire Antoine PONS, de Gignac : 2 E 37/243, n° 247, aux AD 34)
- 08.10.1825 : bail à loyer d'une maison par Louis EUZET à son fils Charles (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/38, f° 228, aux AD 34)
- 20.11.1825 : vente par les enfants de Louis EUZET de la maison issue de sa succession à Jean Pierre GRANIER et résiliation du bail à loyer consenti à Charles EUZET (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/38, f° 301, aux AD 34)
- 25.12.1825 : double quittance ; 1/ Des enfants de Louis EUZET à Jean Pierre GRANIER ; 2/ De Jean Etienne MARTINENQ aux enfants de Louis EUZET (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/38, f° 330, aux AD 34)
- 16.05.1828 : vente d'une pièce de terre jardin au quartier du mas neuf et la partie du bâtiment dit le mas neuf, par Honoré EUZET (fils de Jacques) à Louis Barthélémy LAFON (notaire Jean Henri GOUDARD, de Sète : 2 E 90/57, n° 100, aux AD 34)
- 16.05.1828 : afferme de la pièce de terre et du mas neuf (que vient de vendre Honoré EUZET à Louis Barthélémy LAFON) à Honoré EUZET par Louis Barthélémy LAFONT (notaire Jean Henri GOUDARD, de Sète : 2 E 90/57, n° 101, aux AD 34)
- 08.10.1828 : cession du bail d'un jardin par Jean Augustin Pascal VIEL à Honoré EUZET (fils de Jacques) pour 1800 francs (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/41, n° 194, aux AD 34).
- 25.01.1830 : testament de Jean Baptiste EUZET en faveur de son épouse, Marianne AUBERT (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/43, n° 26, aux AD 34).
- 17.04.1830 : cession d'Honoré EUZET (époux de Marie PELUF) à son fils Honoré EUZET (époux de Françoise BRIANT) ; l'acte est indiqué dans le texte au 17 mai, alors qu'il est contrôlé le 24 avril et que l'acte suivant est du 19 avril, c'est donc le mois d'avril qu'il faut retenir (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/43, n° 119, aux AD 34).
- 26.11.1830 : contrat de mariage de Modeste EUZET et de Marie LABAYLE (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/43, acte 292, aux AD 34).
- 18.05.1832 : partage des héritiers de Jacques EUZET ; c'est dans cet acte que l'on voit que Vincent EUZET habitait Sarcelles (alors en Seine-et-Oise) en 1832 (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/45, acte 101, aux AD 34).
- 14.08.1832 : contrat de mariage de Jean DUSSOL et d'Elisabeth EUZET (notaire Jacques LAURENS, de Sète : 2 E 89/45, acte 163, aux AD 34)
- 06.09.1835 : donation partage des enfants de François CALAS (époux de Claire EUZET) et de Jean Joseph CALAS (époux de Rose PEYRET), en particulier pour une maison qui sera achetée en 1837 par François EUZET et revendue par Abel Jean Pierre EUZET en 1869 (notaire Lucien CAZALIS de Sète : 2 E 90/60, à compléter - indiqué dans l'acte de vente du 01.12.1869)
- 09.11.1835 : contrat de mariage de Marie EUZET et Auguste ORUS (notaire Lucien CAZALIS, de Sète : 2 E 90/60, acte 281, f° 187, aux AD 34)
- 29.01.1836 : contrat de mariage de Catherine FABRE et d'Honoré EUZET, fils de François (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/49, acte 40, aux AD 34)
- 01.04.1836 : bail à loyer d'une champ par Jean Pierre DAURE à Françoise BRIANT (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/49, n° 93, aux AD 34).
- 09.05.1836 : jugement définitif du tribunal civil de 1ère instance de l'arrondissement de Montpellier : obligation pour Jean Baptiste EUZET de payer 843,36 francs dont 585,29 francs à Marie Anne AZAÏS (veuve de Jean Pierre BOYER).
- 17.06.1836 : prêt de 1000 francs par Joseph MAURY à Jean Baptiste EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/49, n° 154, aux AD 34).
- 24.06.1836 : quittance de Marie Anne AZAÏS, veuve de Jean Pierre BOYER à Jean Baptiste EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/49, n° 160, aux AD 34).
- 16.08.1837 : vente par Jacques Honoré EUZET d'une terre à Emile CAZANOVE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/50, acte 209, aux AD 34)
- 12.10.1837 : vente par les héritiers CALAS à François EUZET (fils d'Honoré) d'une maison à Sète, issue de la donation partage du 06.09.1835 (notaire Lucien CAZALIS de Sète : 2 E 90/61 à compléter - indiqué dans l'acte de vente du 01.12.1869)
- 23.10.1837 : déclaration de propriété de Jean Baptiste EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/50, acte 276 aux AD 34)
- 01.11.1837 : vente d'un terrain par Jean Baptiste EUZET à Thomas BRUNTON, pour la compagnie du chemin de fer de Montpellier à Sète (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/50, acte 306, aux AD 34)
- 11.11.1837 : vente d'une maison et d'une barraquette par Louis IMBERT à Modeste EUZET, marié avec Marie LABAYLE (notaire Lucien CAZALIS : 2 E 90/61, à compléter - indiqué dans la vente faite par Modeste EUZET à Hilaire VIVARES, en 1838)
- 02.01.1838 : vente d'une terre vigne par Modeste EUZET à Hilaire VIVARES (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/51, acte 7, aux AD 34)
- 15.08.1838 : quittance de Jacques Honoré EUZET à Emile CAZANOVE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/51, acte 306, aux AD 34)
- 07.11.1839 : quittance de Jean Baptiste EUZET à Bernard LAFON (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/52, acte 371, aux AD 34)
- 04.05.1840 : prêt de 1200 francs par Jean GÉRONY à Jean Baptiste EUZET et quittance de Joseph MAURY à Jean Baptiste EUZET pour son prêt des 1000 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/53, n° 156, aux AD 34).
- 07.10.1840 : vente d'un terrain, à Sète, par Jacques Honoré EUZET (fils de Jacques) à la compagnie de chemin de fer (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/53, n° 380, aux AD 34)
- 22 et 25.11.1840 : contrat de mariage de François Barthélémy EUZET avec Catherine GOUDARD (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/53, n° 454 et n° 457, aux AD 34)
- 16.03.1841 : vente d'une terre par Bernard IZOIR à Baptiste Sulpice (dit Jean Baptiste) EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/54, n° 98, aux AD 34)
- 23.06.1841 : prêt de 3000 francs à Jacques Honoré EUZET et Marie DUCAYLAR par Marie Catherine Adélaïde MEINADIER, veuve de Simon Pierre GOUDARD (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/54, n° 234, aux AD 34)
- 11.10.1841 : quittance par Bernard IZOIR à Baptiste Sulpice (dit Jean Baptiste) EUZET pour la terre vendue le 16 mars (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/54, n° 390, aux AD 34)
- 14.12.1841 : emprunt de 1100 francs par Jacques Honoré EUZET (fils d'Honoré) et Marie DUCAYLAR, son épouse, à François ARGELA (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/54, n° 485, aux AD 34)
- 26.04.1842 : contrat de mariage de Jean Baptiste EUZET et Claire MICHEL (notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : 2 E 90/66, acte 120, aux AD 34).
- 29.06.1842 : lettre de change de Françoise BRIANT (notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : 2 E 90/66, acte 187, aux AD 34).
- 25.08.1842 : jugement du Tribunal de 1ère instance de Montpellier, constatant l'absence de Jean Baptiste Marius Antoine FABRE et autorisant son épouse, Rosalie Antoinette EUZET, à contracter (indiqué dans la quittance OLIVET du 19.10.1847).
- 11.09.1842 : vente d'une maison, à Sète, au profit des héritières d'Antoine EUZET et de Claire PARAILLAC (notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : 2 E 90/66, n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la quittance du 19.10.1847).
- 17.02.1844 : vente d'un terrain par Jean Jacques André de CAVAIGNAC à Emmanuel ARNAL - terrain où il fera bâtir sa maison, rue des casernes (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/57, n° à compléter, aux AD 34) - indiqué dans l'obligation de 1866.
- 29.04.1844 : contrat de mariage de Modeste EUZET et de Jeanne CARRIERE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/57, n° 146, aux AD 34).
- 10.09.1844 : contrat de mariage d'Honorine EUZET et d'Emmanuel ARNAL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/57, n° 352, aux AD 34).
- 23.12.1844 : quittance de 1200 francs de Jean GÉRONY à Jean Baptiste EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/57, n° 529, aux AD 34).
- 26.12.1844 : quittance à Marie DUCAYLAR (épouse de Jacques Honoré EUZET) de 1100 francs, par François ARGELA (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/54, n° 533, aux AD 34
- 14.01.1845 : quittance par Antoinette BONAL et Jean FERRIOL à Marie DUCAILAR et Jacques Honoré EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 31, aux AD 34)
- 11.03.1845 : bail à loyer de Françoise BRILLANT à Nicolas GRAVE (notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : 2 E 90/69, acte 136, aux AD 34).
- 09.06.1845 : contrat de mariage d'Antoine EUZET et de Célina FAURE (notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : 2 E 90/69, acte 267, aux AD 34).
- 08.07.1845 : testament de Jean Baptiste EUZET, c'est-à-dire Baptiste Sulpice (notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : 2 E 90/69, acte 319, aux AD 34).
- 15.07.1845 : contrat de Jacques Honoré EUZET avec Jacques BASCOU pour le remplacement de son fils, Honoré EUZET, au service militaire (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, n° 354, aux AD 34)
- 01.08.1845 : obligation de Françoise BRIANT envers Louis Joseph Jean Bernard BARRE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 407, aux AD 34).
- 01.08.1845 : déclaration de Jean Baptiste EUZET et Antoine EUZET (frères, fils d'Honoré et de Françoise BRIANT) pour la cession de priorité au profit de BARRE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 408, aux AD 34).
- 11.08.1845 : contrat de mariage de Françoise EUZET avec Modeste DURAND (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, n° 447, aux AD 34).
- 09.10.1845 : testament de Jacques EUZET (fils de Louis), en faveur d'Anne GERMAIN (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 501, aux AD 34).
- 13.11.1845 : acceptation par François POUS de la cession faite le 01.08.1845 par Françoise BRIANT à Louis Joseph Jean Bernard BARRE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 558, aux AD 34).
- 22.11.1845 : contrat de vente de terrains par Jean Baptiste DONNADIEU à Jacques Honoré EUZET, fils de Jacques et Elisabeth FARRAND (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 574, aux AD 34).
- 26.11.1845 : contrat de mariage d'Esprit MAFFRE et d'Elisabeth EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/58, acte 584, aux AD 34).
- 07.07.1846 : prêt de 2000 francs par Antoine Marius Salomon VIVAREZ à Jacques Honoré EUZET et Marie DUVAYLAR, son épouse (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/70, n° ?, aux AD 34 - indiqué dans l'acte enregistrant le remboursement, le 10.11.1847)
- 17.08.1846 : prêt de 3000 francs par Jean Baptiste Marie DOUMET à Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/70, n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'obligation du 24.04.1851)
- 18.02.1847 : prêt de 600 francs par Marguerite PASCAL (veuve de François EUZET) à Jean Baptiste EUZET (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/71, n° 95, aux AD 34)
- 18.02.1847 : billet à ordre de Jean Baptiste EUZET (fils de Jean Baptiste et de Madeleine CONDAMINE) à leur fils Baptiste Sulpice, dit Jean Baptiste (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/71, n° 96 - acte en brevet indiqué seulement dans la table annuelle)
- 10.09.1847 : testament de François EUZET par lequel il lègue à son épouse, Rosalie THEULON, 1/4 en toute propriété et 1/4 en usufruit de tous ses biens meubles et immeubles (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2 E 90/71, n° 417, aux AD 34)
- 19.10.1847 : quittance par Rosalie Antoinette EUZET, épouse FABRE, à Jean Joseph OLIVET pour sa part et pour celle de Gracie EUZET (sa soeur) dans une maison vendue le 11.09.1842 (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2 E 90/71, n° 480, aux AD 34)
- 10.11.1847 : obligation pour un prêt de 3000 francs par Clémence Henriette MATHAREL, veuve de Cyprien Joseph DAVIN, fait à Jacques Honoré EUZET (fils d'Honoré) et à Marie DUCAYLAR, son épouse (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/60, n° 408, aux AD 34)
- 10.11.1847 : quittance de 2000 francs par Antoine Marius Salomon VIVAREZ à Jacques Honoré EUZET (fils d'Honoré) et à Marie DUCAYLAR, son épouse (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2 E 90/71, n° 512, aux AD 34)
- 03, 05 et 08.05.1849 : achat d'une maison aux héritiers CAZILHAC par Pierre et François Barthélémy EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/62, n° 142, aux AD 34) ; le 01.06.1849, un des héritiers (absent le jour de l'acte) ratifie la vente (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/62, n° 177, aux AD 34)
- 17.03.1851 : testament de Jacques Honoré EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/64, n° 107, aux AD 34)
- 24.04.1851 : prêt de 5500 francs par Jean Louis BOUSQUET à Emannuel Médard ARNAL et Elisabeth Honorine EUZET, son épouse (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/64, n° 169, aux AD 34)
- 06.01.1852 : contrat de mariage de Marc Auguste HÉRAIL et d'Elisabeth Rose EUZET ("Isabelle") (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/76, n° 6, aux AD 34)
- 19.02.1852 : prorogation du délai de remboursement de la créance DAVIN (du 10.11.1847) par Jacques Honoré EUZET et Marie DUCAYLAR (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/65, n° 65, aux AD 34 ).
- 15.07.1852 : acte de remplacement au service militaire par Jacques Honoré EUZET pour son fils Louis Honoré (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/65, n° à compléter, aux AD 34 ).
- 02.10.1852 : contrat de mariage entre Abel Jean Pierre EUZET et Marianne DOUCET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/65, n° 354, aux AD 34 ).
- 24.12.1852 : quittance par Jacques BASCOU à Jacques Honoré EUZET pour le remplacement au service militaire de son fils, Louis Honoré (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/65, n° 464, aux AD 34)
- 09.01.1854 : obligation de Jacques Honoré EUZET et Marie DUCAYLAR, son épouse, pour un prêt de 3000 francs consenti par Jean François AUDIBERT (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/78, n° 6, aux AD 34)
- 20.01.1854 : quittance de 2000 francs par Louis Simon NAHMENS à Jacques Honoré EUZET et Marie DUCAYLAR, son épouse, en rapport avec le prêt de 3000 francs consenti par Jean François AUDIBERT (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète : 2E 90/78, n° 21, aux AD 34)
- 18.03.1854 : partage des biens de Jean Baptiste EUZET, mari de Marianne AUBERT (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/78, n° 112, aux AD 34)
- 20.05.1854 : transport d'une créance de 1300 francs par Alexandre TAURIAC à Marguerite EUZET, veuve de Jean Claude BARRAL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/78, n° 185, aux AD 34)
- 09.12.1854 : contrat de mariage de Jacques EUZET (fils de Jacques) et de Marie BOUNY (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/78, n° 549, aux AD 34)
- 02.02.1855 : procuration (acte en brevet) de François EUZET et Rosalie THEULON à leur fils Louis EUZET, prêtre (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E90/79, aux AD 34 - annexée à l'obligation du 10.02.1855, notaire Isidore ANDUZE, de Montpellier)
- 10.02.1855 : prêt de Jean NADAL à François EUZET (époux de Rosalie THEULON) d'un montant de 4000 francs (notaire Isidore ANDUZE, de Montpellier : 2 E 55/à compléter, aux AD 34 - indiqué dans le partage du 03.12.1861 et dans la quittance du 09.03.1865 - à vérifier)
- 17.12.1855 : vente d'une terre par Louis PALMIER et Claire EUZET à Modeste EUZET, pour 400 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/79, n° 483, aux AD 34)
- 01.01.1856 : constitution de la société "RECOULY et EUZET frères", par Jean Baptiste EUZET, Antoine EUZET et François RECOULY ; acte sous seings privés (annonce dans le Messager du Midi du 13.01.1856)
- 05.03.1856 : prêt de DUSSOL à François EUZET (époux de Rosalie THEULON) d'un montant de 1000 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/69 à compléter, aux AD 34 - indiqué dans le partage du 03.12.1861)
- 02.07.1856 : achat d'une terre, herme, vigne et barraquette, à Sète, par Modeste DURAND et Françoise EUZET aux héritiers CORRON (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/69 à compléter, aux AD 34 - indiqué dans le prêt du 01.04.1867)
- 15.07.1856 : bail à ferme par Jean Baptiste DONNADIEU à Modeste EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/69, n° 225, aux AD 34)
- 30.09.1856 : vente par Madeleine GRENIER (veuve de François EUZET) à Modeste DURAND (son gendre), d'une pièce de terre vigne, au quartier de la Caraussane (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/69, n° 274, aux AD 34 )
- 21.10.1856 : retrait de François RECOULY de la société "RECOULY et EUZET frères", société qui devient "EUZET frères" ; acte sous seings privés (annonce dans le Messager du Midi du 26.10.1856)
- 31.10.1856 : constitution de la société "EUZET frères et VAILLARD", par Jean Baptiste EUZET, Antoine EUZET et François-Xavier VAILLARD ; acte sous seings privés (annonce dans le Messager du Midi du 05.11.1856)
- 15.05.1857 : prêt de 1000 francs de François Ange EUZET à sa soeur Dorothée Rosalie (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E 90/81 à compléter, aux AD 34 ; indiqué dans la quittance du 04.12.1861)
- 08.09.1857 : procuration en brevet d'Elisabeth EUZET (religieuse) à Rose THEULON, sa mère (notaire Félix CHIVAUD, à Montpellier : 2 E 61/ ?, f° ?, aux AD 34 - à compléter ; indiqué dans la vente du 09.06.1858)
- 10.09.1857 : procuration en brevet de Jeanne EUZET (religieuse) à Rose THEULON, sa mère (notaire Fiacre Paul Virgile MICHEL, de Compiègne : 2 E 25/ ?, f° ?, aux AD 60 - à compléter ; indiqué dans la vente du 09.06.1858)
- 06.01.1858 : prêt de 1780 francs de Martin IMBERT à François Ange EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/71, n° 12, aux AD 34)
- 12.01.1858 : arrêté préfectoral de cessibilité incluant un terrain des "héritiers EUZET" dans la liste des propriétés expropriées en faveur de la Compagnie des chemins de fer du Midi et du canal latéral à la Garonne (indiqué dans l'acte du notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète, du 09.06.1858)
- 01.02.1858 : vente d'une terre vigne avec barraquette par Pierre Pascal LEINGRE à Modeste EUZET, fils de Jacques (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E 90/82, n° 42, aux AD 34)
- 22.04.1858 : le jugement du tribunal civil de Montpellier pour la tutelle de Benjamin EUZET, fils mineur de Rose THEULON, en faveur de celle-ci (indiqué dans une annonce légale du Messager du Midi du 30.10.1858)
- 29.04.1858, contrat de mariage de Joseph MIGNIOT et de Thérèse EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 89/82, n° 155, aux AD 34)
- 09.06.1858 : vente d'un champ à la Compagnie des chemins de fer du Midi et du canal latéral à la Garonne par Rose THEULON et ses enfants (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/71, n° 218, aux AD 34 - indiqué aussi dans une annonce légale du Messager du Midi du 30.10.1858)
- 13.08.1858 : prêt de 1000 francs de Louis CAVALIER à François Ange EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E 90/82, n° 276, aux AD 34)
- 28.05.1859 : contrat de mariage de Simon DEFARGE et Marie EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/72, n° 2052, aux AD 34) - à vérifier.
- 22.04.1859 : bail à ferme pour Rose THEULON, Modeste EUZET et ses frères et soeurs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/72, acte 132, aux AD 34).
- 12.08.1859 : vente d'une terre à Sète par Jacques EUZET (fils de Jean Baptiste) à François VERNET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/73, n° 295, aux AD 34).
- 19.11.1859 : vente d'un domaine à Frontignan, quartier de la Peyrade, par Pierre Paul PIEYRE à Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/73, n° à compléter, aux AD 34) - indiqué dans l'obligation de 1866.
- 21.11.1859 : remboursement par Marie DUCAYLAR à Auguste GOUDARD de 3000 francs pour le prêt accordé par Marie Catherine Adélaïde MEINADIER, veuve de Simon Pierre GOUDARD, en 1841 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/73, n° 404, aux AD 34)
- 13.02.1860 : obligation d'Emmanuel ARNAL et d'Honorine EUZET, pour 5000 francs, en faveur d'Octavie NICOLAS, épouse de Marc BOURBON, propriétaire à Pézenas (notaire Jean Barthélémy FONTVIEILLE, de Montagnac : 2 E 51/196, aux AD 34 - à compléter, indiqué dans une quittance du 07.03.1870).
- 14.02.1860 : constitution de société commerciale entre Modeste EUZET, Honoré EUZET et Emmanuel ARNAL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/84, n° 84, aux AD 34).
- 15.06.1860 : testament de Rosalie THEULON, veuve de François EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/84, n° 251, aux AD 34)
- 05.03.1861 : bail à loyer de Françoise BRIANT à Jean Emile PANC (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/76, n° 90, aux AD 34).
- 20.03.1861 : achat d'un terrain (pour 2825 francs) par François Barthélémy EUZET (fils de François) aux frères AURIOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/76, n° 120, aux AD 34).
- 20.03.1861 : achat d'un terrain (pour 2719 francs) par Pierre EUZET (fils de François) aux frères AURIOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/76, n° 121, aux AD 34).
- 07.05.1861 : achat d'un terrain (pour 517,50 francs) par François Barthélémy EUZET (fils de François) aux frères AURIOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/76, n° 185, aux AD 34).
- 07.05.1861 : achat d'un terrain (pour 152,50 francs) par Pierre EUZET (fils de François) aux frères AURIOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/76, n° 186, aux AD 34).
- 03.12.1861 : licitation et partage des biens issus des successions de François EUZET et de Rosalie THEULON, entre leurs 5 enfants (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/85, n° 510, aux AD 34).
- 03.12.1861 : prêt de Narcisse FOUQUE à Abel Jean Pierre EUZET pour un montant de 4000 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/85, n° 510 (à la suite du partage), aux AD 34
- 04.12.1861 : quittance pour 1000 francs de François Ange EUZET à sa soeur Dorothée Rosalie, suite au prêt du 15.07.1857 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/85, n° 511, aux AD 34).
- 04.12.1861 : quittance pour 1000 francs de Jacques Louis CAVALIER à François Ange EUZET, suite au prêt du 13.08.1858 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/85, n° 512, aux AD 34).
- 06.05.1862 : emprunt par François Barthélémy EUZET à Auguste BONNET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/78, aux AD 34 - à compléter)
- 27.01.1863 : bail à loyer par Françoise BRIANT à son fils, Jean Baptiste EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/80, n° 24, aux AD 34)
- 16.02.1863 : main levée EUZET/DONADIEU (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/ 80, n° 49, aux AD 34) ; c'est dans cet acte que l'on voit que Gabriel EUZET résidait alors à Cherbourg (Manche) ; confirmé dans un acte du 12.05.1866 du même notaire.
- 19.02.1863 : ouverture de crédits pour la société "EUZET frères et ARNAL" (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/80, n° 55 aux AD 34)
- 26.02.1863 : acte de notoriété de Jacques EUZET, mari de Jeanne VERGNES (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/80, n° 75, aux AD 34)
- 18.05.1863 : quittance de Françoise BRIANT à Marie Elisabeth VÉZIAN (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/80, n° 208, aux AD 34)
- 19.06.1863 : ouverture de crédits à Benjamin EUZET (fils de Jacques) par la banque Reynaud, de Sète (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/80, n° 250, aux AD 34)
- 19.08.1863 : contrat de mariage de Jean Joseph NOUGARET et de Madeleine EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/81, n° 328, aux AD 34).
- 06.11.1863 : transport et cession d'une créance de 5000 francs due par François Barthélémy EUZET, par Auguste BONNET à Etienne FABRE (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/81, n° 412, aux AD 34).
- 22.04.1864 : retrait d'Antoine EUZET de la société "EUZET frères et VAILLARD" constituée en 1856, acte sous signatures privées (annonce dans le Messager du Midi du 24.04.1864)
- 09.06.1864 : cession de ses droits de succession par Jacques EUZET à son frère Etienne (notaire Charles CAVALIER, de Montpellier : 2 E 59/à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'acte de vente du 05.01.1865)
- 24.06.1864 : cession de ses droits de succession par Jean EUZET à son frère Etienne (notaire Charles CAVALIER, de Montpellier : 2 E 59/à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'acte de vente du 05.01.1865)
- 07.11.1864 : obligation de Barthélémy MAILLE envers Vincent EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/90, n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans la main levée du 23.01.1873)
- 04.01.1865 : paiement du solde (pour la cession de droits de succession) par Etienne EUZET à son frère Jean (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/84, n° à compléter, aux AD 34- indiqué dans l'acte de vente du 05.01.1865 ).
- 05.01.1865 : vente par les enfants de Jacques EUZET et de Jeanne VERGNES, à Louis André PÉRIDIER, d'un jardin et maison, au quartier de la glacière (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/91, n° à compléter, aux AD 34)
- 26.01.1865 : testament de Françoise BRILLANT, ou BRIANT (notaire François Adrien THOMAS, de Frontignan : 2 E 32/136, n° 33, aux AD 34)
- 09.03.1865 : quittance de Jean NADAL à Abel EUZET qui représente ses parents, pour l'obligation de 4000 francs consentie le 10.02.1855 (notaire Louis François Arthur ANDUZE, de Montpellier : 2 E 55/454, n° 249, f° 183, aux AD 34)
- 20.03.1865 : Antoine EUZET fait assigner son frère Jean Baptiste devant le Tribunal de 1ère instance de Montpellier, pour la succession de Françoise BRIANT (indiqué dans l'acte de partage du 04.08.1866)
- 30.03.1865 : testament de Modeste EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/91, n° 125, aux AD 34)
- 01.06.1865 ; jugement du Tribunal de première instance de Montpellier ordonnant de procéder aux opérations de liquidation et de partage pour la succession de Françoise BRIANT ; le tribunal ordonne la vente sur licitation de tous les immeubles composant la succession : dans ce jugement, son fils Jean Baptiste EUZET agit tant en son nom personnel que comme tuteur légal et administrateur des biens de ses quatre enfants mineurs, Albert, Henri, François et Louise ; l'autre partie à ce jugement est son frère, Antoine EUZET ; description des immeubles de la succession BRIANT : 1/ Une belle maison à deux étages au dessus du rez-de-chaussée, située à Cette, quai inférieur de l'Esplanade, n° 1, faisant coin et retour sur la rue de l'Esplanade, où elle porte le n° 14, faisant partie du n° 4 de la section B du cadastre, confrontant du nord FABRE, du sud la rue de l'Esplanade, de l'est Mme MALLET née BRINGUIER, et de l'ouest le quai inférieur de l'Esplanade (mise à prix : 40.000 francs) ; 2/ Une maison de campagne ou baraquette et hangar, avec pièce de terre vigne et jardin, le tout clos de murs, située à Cette, au quartier de Lazareth, de contenance environ de 49 ares 38 centiares, confrontant d'un côté le chemin de Lazareth, du côté opposé MOLLE, d'un autre côté BRÉMOND, chemin d'Agde entre deux, et Jean MAZORAND, qui a fait partie du même corps, section B du plan cadastral, n° 1335, 1336 et 1339 (mise à prix initiale : 6000 francs, adjugée 6600 francs en faveur de Jean Baptiste EUZET, mise à prix sur surenchère d'Antoine EUZET : 7700 francs) ; 3/ Une pièce de terre vigne, située également au terroir de Cette, au quartier de Saint-Clair, de contenance d'environ 18 ares, confrontant du nord GALAND, du sud le chemin, de l'ouest LIVES, et de l'ouest un herme appartenant aux héritiers LAURENS, à la section B du plan cadastral (mise à prix : 300 francs) ; le cahier des charges est du 14.07.1865, la première mise à prix est du 11.08.1865 ; la seconde mise à prix est du 04.09.1865 (le Messager du Midi des 16.07., 27.07., 30.07., 01.08., 03.08., 04.08., 06.08., 09.08., 20.08.1865).
- 22.07.1865, vente d'une maison, à Sète, par Joseph MIGNIOT et Thérèse EUZET, son épouse (fille de Vincent) à la commune de Sète, pour le Bureau de bienfaisance (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/85, n° 309, aux AD 34 - dans cet acte, le notaire Alphonse COUZIN se substitue au notaire VIVAREZ qui est momentanément absent).
- 11.08.1865 : licitation des immeubles de la succession BRIANT, suite au jugement du 01.06.1865 rendu entre Antoine et Jean Baptiste EUZET (1ère audience - le Messager du Midi du 20.08.1865)
- 04.09.1865 : licitation des immeubles de la succession BRIANT, suite au jugement du 01.06.1865 rendu entre Antoine et Jean Baptiste EUZET (2ème audience - le Messager du Midi du 20.08.1865)
- 21.09.1865 : cession et transport de la créance sur la commune de Sète (acte du 22.07.1865), par Joseph MIGNIOT et son épouse, Thérèse EUZET, à Alexis AURIOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/85, n° 428, aux AD 34)
- 30.12.1865 : achat d'un terrain à Sète, par Jean Baptiste EUZET (fils d'Honoré) à Alexis AURIOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/85, n° 577, aux AD 34).
- 06.02.1866 : contrat de mariage d'Antoine PETERMANN et de Lazarine EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/86, n° 56, aux AD 34).
- 19.03.1866 : prèt de 6000 francs par Françoise BÉNÉZECH à Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/86, n° 126, aux AD 34).
- 02.04.1866 : achat de deux maisons par Françoise EUZET et son mari, Modeste DURAND, à Marguerite BENEZECH (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/86, n° 155, aux AD 34).
- 18.04.1866 : premier procès verbal de renvoi pour la liquidation de la succession de Françoise BRIANT ; comparution de Jean et Antoine EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° à compléter, aux AD 34)
- 12.05.1866 : vente d'une terre par Jeanne VERGNES (veuve de Jacques EUZET) et ses enfants à Jean MERLY (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/86, n° 234, aux AD 34).
- 13.06.1866 ; procès verbal de renvoi au 04.07.1866 pour la liquidation de la succession de Françoise BRIANT ; comparution de Jean et Antoine EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans le PV suivant)
- 04.07.1866 ; procès verbal de renvoi au 16.07.1866 pour la liquidation de la succession de Françoise BRIANT ; comparution de Jean et Antoine EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° 228, aux AD 34)
- 16.07.1866 ; procès verbal de renvoi au 23.07.1866 pour la liquidation de la succession de Françoise BRIANT ; comparution de Jean et Antoine EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° 239, aux AD 34)
- 23.07.1866 ; procès verbal de renvoi au 30.07.1866 pour la liquidation de la succession de Françoise BRIANT ; comparution de Jean et Antoine EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° 260, aux AD 34)
- 30.07.1866 ; procès verbal de renvoi au 04.08.1866 pour la liquidation de la succession de Françoise BRIANT ; comparution de Jean et Antoine EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° 262, aux AD 34)
- 04.08.1866 : procès verbal de liquidation et de partage de la succession de Françoise BRIANT ; A/ Historique des faits : 1/ Testament de la dame BRIANT, le 26.01.1865 (voir à son article dans les renseignements sur les conjoints) ; 2/ + de Françoise BRIANT, le 03.03.1865 ; 3/ Exploit d'huissier, le 20.03.1865, par lequel Antoine EUZET fait assigner son frère Jean devant le tribunal civil de Montpellier (celui-ci pris en son nom personnel et aussi comme tuteur légal et administrateurs des biens de ses enfants mineurs), pour faire ordonner le partage des biens meubles et immeubles de la dame BRIANT, leur mère ; 4/ Jugement du tribunal qui ordonne le partage et la vente sur licitation en 3 lots des immeubles : 1er lot avec la maison sur le quai de l'Esplanade, à Sète (mise à prix : 40.000 francs), 2ème lot avec la maison de campagne, hangar et pièce de terre, vigne et jardin, clos de murs, au quartier de Lazaret, soit 49 ares 38 centiares (mise à prix : 10.000 francs), le 3ème lot avec une pièce de vigne au quartier de Saint Clair, d'environ 18 ares (mise à prix : 300 francs) ; le tribunal renvoie les parties devant le notaire Alphonse COUZIN pour la formation et la consistance mobilière de la succession, le règlement des comptes et autres opérations ; 5/ Licitations des immeubles, le 11.08.1865 : le 1er lot a été adjugé à César Joseph VITOU (quincailler, à Sète) pour 47.500 francs, le 2e lot a été adjugé à Jean EUZET pour 6.600 francs, le 3e lot a été adjugé à Jean EUZET pour 375 francs ; 6/ Le 04.09.1865, après une surenchère sur le 2e lot, celui-ci est définitivement adjugé à Antoine EUZET, pour 7.700 francs ; 7/ Sommation, le 18.04.1866, par Antoine EUZET, à son frère Jean d'avoir à se trouver le 25.04.1866 à l'étude de Me COUZIN pour assister à l'ouverture des opérations de partage ; 8/ Plusieurs renvois successifs, en 1866, pour défaut de pièces (les 13.06, 04.07, 16.07, 23.07, 30.07), un procès verbal étant établi à cette dernière date ; B/ Analyse de la masse active : 1/ Les immeubles (prix des 3 lots et intérêts) : 56.940,65 francs ; 2/ Créances : 8541, 95 francs, y compris les intérêts, venant de : a) 8000 francs, montant d'une obligation souscrite à la défunte par Antoine BOUDON (marchand de briques) et C. GUIGONIS (son épouse), aux termes d'un contrat reçu par Me VIVAREZ, le 11.11.1863 ; b) 500 francs, montant d'une obligation souscrite par Etienne BONNET (cafetier à Soussan), aux termes d'un contrat reçu par Me COUZIN, le 10.01.1865 ; 3/ Les recettes (loyers, intérêts, ...) reçues et déclarées par Jean EUZET : 2900 francs ; 4/ Les dépenses (funérailles, médecin, garde-malade, fournisseurs, ...) payées et déclarées par Jean EUZET : 8920,93 francs ; il est aussi indiqué par le notaire que Jean EUZET "est resté en possession des meubles meublants et du mobilier garnissant les pièces occupées par la veuve EUZET dans l'appartement de son fils qui était un pacte commun à la mère et au fils, ce mobilier étant aujourd'hui confondu avec celui de M. Jean Baptiste EUZET, il serait difficile de le reconnaître exactement. M. EUZET a offert de tenir compte à la succession de la valeur de ce mobilier et de s'en charger au prix à reporter de 6020, 93 francs" ; 5/ Les contestations et la valeur de l'actif : malgré les contestations soulevées par Antoine EUZET, celui-ci et son avoué Me FOULQUIER, ont prié le notaire de poursuivre les opérations, "en portant le mobilier au chiffre qu'il jugera convenable sauf aux parties à se pourvoir ultérieurement devant le tribunal quant à cet objet comme à l'égard de toutes autres difficultés nées ou à naître" ; en conséquence, le notaire fixe la valeur du mobilier à la somme de 2000 francs (pas d'inventaire, elle n'accupait qu'une seule chambre dans l'appartement de son fils, pas de renouvellement depuis longtemps) ; "quant aux sommes trouvées en numéraire dans la succession, aucune preuve n'étant fournie par M. Antoine EUZET à l'appui de ses prétentions" (...) et Jean EUZET ayant produit une liste des effets acquittés dans la quinzaine ayant précédé le décès de Mme EUZET, l'actif est porté à la somme de 67.482,60 francs (de plus, Jean EUZET s'engage à produire des comptes desquels il ressortirait que "dans l'année du décès de Mme EUZET, elle avait fait sur la campagne des dépenses considérables qui en avaient augmenté la valeur puisque cet immeuble acheté dans le mois de novembre 1864 au prix de 2000 francs a été acquis par M. EUZET à 7700 francs") ; au final, le total général de l'actif est porté au montant de 70.382,60 francs ; 6/ Le passif : a) 8000 francs dus à M. LARNANDÉS (capitaine en retraite, à Sète), selon un acte du notaire VIVAREZ (de Sète), le 01.08.1845, d'un acte du notaire ANDUZE (de Montpellier), le 08.01.1856 et d'un acte du notaire VIVAREZ, le 22.05.1860 ; l'intérêt de cette somme a été payé pour 6 mois d'avance ; b) une somme de 8920,93 francs formant le passif du compte ; c) 35,75 francs , somme due au notaire COUZIN pour frais de l'obligation BOUDON, soit un total des dettes de 16.945,68 francs ; 7/ Ce qui reste à partager : le montant de l'actif étant de 70.382,60 francs, il reste à partager 53.436,92 francs ; de cette somme, il faut déduire les frais de purges des hypothèques légales sur les 3 adjudications dont le chiffre n'est pas encore connu, évalué à 240 francs, les frais d'homologation de ce règlement évalués à 350 francs, les frais de la liquidation, honoraires, etc., soit 350 francs, total de 940,61 francs, soit un total approximatif des frais de 1001 francs ; il reste donc à partager 52.435,92 francs ; le tiers est pour Antoine EUZET, soit 17.478, 64 francs, la différence allant à Jean EUZET, tant pour lui que pour ses enfants mineurs ; Antoine EUZET est débiteur en capital et intérêts, pour le prix de son acquisition, de 8096,76 francs ; compensation faite, Antoine EUZET se fera payer la différence, soit 9381,98 francs par M. VITOU sur le prix de son acquisition ; du côté de Jean EUZET, il est créancier de la succession pour 8990,93 francs et pour les 2/3 lui revenant ainsi qu'à ses enfants : 34.957, 28 francs, soit un total de 43.878,21 francs ; cependant, il est débiteur pour le montant de son acquisition en capital et intérêts, de 395,55 francs, plus les recettes faites par lui sur le compte de la succession (des loyers), soit 2900 francs, et 2000 francs pour le mobilier ; après compensation, il n'aura à prendre sur la succession que 38.582,66 francs, dont 17.478,64 francs lui appartiennent en usufruit et en nue propriété à ses enfants mineurs, le surplus lui appartenant en toute propriété ; en paiement de cette somme, il lui sera attribué la créance BOUDON (8000 francs en capital) et la créance BONNET (541,95 francs) ; il lui restera à prendre 30.040,71 francs qui lui seront payés par M. VITOU pour le prix de son acquisition. En conséquence, M. VITOU devra payer : 9381,88 francs à Antoine EUZET, 30.040,71 francs à Jean EUZET, 8000 francs à M. LARNANDÉS, 1001 francs aux personnes à qui sont dus les frais et 25 francs à Me COUZIN pour l'obligation BONNET, soit un total de 48.448,59 francs ; en conséquence, Jean EUZET gardera les meubles ; l'acte est fait en l'étude (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° 268, aux AD 34) ; l'acte est enregistré à Sète, le 08.08.1866.
- 04.08.1866 : procès verbal des points de discorde entre les frères Antoine et Jean Baptiste EUZET, pour la succession de Françoise BRIANT ; l'avoué d'Antoine, Emmanuel Numidia FOULQUIER déclare, au nom de ce dernier, contester le procès verbal de liquidation sur les points suivants : 1/ Pour la valeur du mobilier, il faut inscrire à l'actif de la succession 4000 francs au lieu de 2000 francs, compte tenu "à défaut d'inventaire, de tous les renseignements fournis et de la position de fortune laissée par la de cujus" ; 2/ Le procès verbal de liquidation "ne tient pas compte d'une somme de 2600 francs ainsi que de diverses autres sommes dont la justification sera faite et qui ne figurent pas dans le compte" que son frère a produit, compte tenu que celui-ci "s'est emparé au mépris des droits de son cohéritier du mobilier et de toutes les valeurs mobiliaires" ; 3/ Pour la somme de 6000 francs environ dont Jean serait créancier, du fait de "diverses dettes payées et mandats acquittés pour le compte de sa mère alors qu'il est de notoriété publique à Cette, et qu'il peut être établi par des documents certains, que la dame BRIANT veuve EUZET, et par sa position pécuniaire et par le commerce lucratif qu'elle exerçait depuis longtemps qui lui permettait de réaliser chaque année des économies très importantes la mettait à même d'avoir toujours des avances considérables et que loin d'avoir laissé un passif imaginé par l'adversaire, elle a, au contraire, laissé un excédent qui d'après l'aveu même fait par Jean Baptiste EUZET au décès de la de cujus devait s'élever à 3500 francs" et, sur ce point, il se réserve d'établir devant le tribunal, lors de l'homologation des présentes, les preuves à l'appui de sa demande ; 4/ Sur les paiements faits par son frère depuis le décès de leur mère, "la plupart de ces notes sont exagérées et que pour certaines d'entre elles, il n'y a pas eu de justification" ; enfin, FOULQUIER déclare qu'il se réserve de contester le dit procès verbal "sur tous autres points qu'il jugera convenable" A cette protestation, Jean Baptiste EUZET répond sur les 4 points : 1/ "Lorsqu'il a gardé le mobilier de sa mère qui n'occupait qu'une chambre de la maison, sa profession de marchande la tenant au dehors toute la journée", c'est avec le consentement de son frère qu'il a estimé le mobilier, à sa valeur réelle ; 2/ "La somme de 2600 francs a été touchée par sa mère quinze jours avant son décès ainsi qu'il l'a expliqué devant le notaire soussigné dans les diverses comparutions qui ont eu lieu, que le point de départ de son compte est le décès de sa dite mère et que, par suite, il ne pouvait faire figurer sur les comptes les encaissements antérieurs à ce décès" ; de plus, cette somme et une autre encaissée ont été employées à payer divers mandats, présentés dans la même quinzaine ainsi qu'il l'a justifié par la production de ces mandats ; 3/ Les pièces justificatives du compte ont été soumises à son frère et à Me FOULQUIER ; il confirme qu'à son décès, sa mère n'a laissé que la somme de 1500 francs, qu'il a déclarée ; il ajoute que "si pendant plusieurs années elle a fait un commerce lucratif, c'est au moyen de ses bénéfices qu'elle a acheté le terrain pour construire sa maison , qu'elle a payé les constructions et les sommes qu'elle devait, tant au propriétaire qu'à d'autres personnes" ; il rappelle ensuite son prêt de 8000 francs, l'obligation BOUDON et aussi que "dans les dix huit mois qui ont précédé son décès, elle a acheté la campagne du Lazaret qui n'était qu'une pièce de terre sans clôture, qu'elle a payé 2000 francs et sur laquelle elle a dépensé plus de 10.000 francs", comme le prouvent les quittances des ouvriers qui ont effectué les constructions et les améliorations, "ce qui résulte, d'ailleurs, du prix qu'en a donné M. Antoine EUZET lui-même qui a fait monter cet immeuble jusqu'à la somme de 7700 francs" ; 4/ Il ne peut y avoir d'exagération sur les comptes des fournisseurs payés et acquittés et sur les mandats, le tout étant disponible ; le notaire conclut qu'il n'a pas pu accorder les parties et il les renvoie à se pourvoir devant le tribunal ; l'acte est fait en l'étude et signé par les parties (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° 269, aux AD 34)
- 26.09.1866 : vente aux enchères par licitation volontaire d'une pièce de terre champ, dépendant de la succession de Jacques EUZET, marié à Jeanne VERGNES (annonce dans le Messager du Midi du 17.09.1866)
- 07.11.1866 : procès verbal d'adjudication pour Jules COMOLET, pour un champs au quartier de la plage de la mer, dépendant de la succession de Jacques EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/94, n° ?, aux AD 34 - à compléter)
- 05.12.1866 : procuration (acte en brevet) de Jeanne EUZET (religieuse) à son beau-frère, Médard Emmanuel ARNAL (notaire MICHEL, de Compiègne : aux AD 60 - annexée à l'acte de vente du 07.01.1867)
- 08.12.1866 : procuration (acte en brevet) d'Elisabeth EUZET (religieuse) à son frère, Modeste EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2E61/280, aux AD 34 - annexée à l'acte de vente du 07.01.1867)
- 07.01.1867 : vente de deux terrains à André Auguste RUNEL et Jean BARLET par Modeste EUZET, ses frères et soeurs, pour 16000 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/88, n° 8, aux AD 34)
- 11.01.1867 : quittance de 2000 francs par Jean Baptiste EUZET (fils d'Honoré) à César Joseph VITOU, pour l'adudication de la maison dans la succession de Françoise BRIANT (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/95, n° 22, aux AD 34)
- 15.01.1867 : purge d'hypothèques légales concernant un immeuble de la succession de Jacques EUZET ; notifications à sa veuve, Jeanne VERGNES, et à Marie BOUNY (Le Messager du Midi)
- 07.03.1867 : vente d'un terrain par Madeleine Françoise EUZET (veuve en 1ères noces de Pierre TRINQUIER, épouse en 2èmes noces de Rémi TRINQUIER) et d'autres membres de la famille TRINQUIER, à François ARNAUD (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/88, n° 116, aux AD 34)
- 22.03.1867 : jugement du Tribunal de première instance de Montpellier, homologuant le procès verbal du 04.08.1866 du notaire Alphons COUZIN, sur le partage entre Antoine et Jean Baptiste EUZET, suite au décès de leur mère, Françoise BRIANT ; ce jugement a apporté quelques modifications à ce procès verbal (informations indiquées dans l'affectation hypothécaire du 03.11.1874).
- 01.04.1867 : prét de 7500 francs par Barthélémy EUZET à sa soeur, Françoise EUZET, et à son beau-frère, Modeste DURAND (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/88, n° 157, aux AD 34)
- 03.04.1867 : vente d'un terrain à François Charles CHANOINE par Modeste EUZET (jardinier, fils d'Antoine), ses frères Honoré et Benjamin et ses soeurs, Elisabeth, Honorine, Jeanne et Marie (notaire Alphonse COUZIN , de Sète : 2 E 90/95, n° 134, aux AD 34 ; indiqué aussi dans la purge d'hypothèques légales parue dans le Messager du Midi du 19.07.1867)
- 20.06.1867 : procès verbal rectificatif pour la liquidation définitive de la succession et partage des meubles et immeubles de Françoise BRIANT (notaire Alphonse COUZIN : 2 E 90/95, n° à déterminer, aux AD 34 - indiqué dans l'affectation hypothécaire du 03.11.1874)
- 21.06.1867 : paiement par César Joseph VITOU de la part due aux enfants de Jean Baptiste EUZET, dans la succession de Françoise BRIANT (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/95, n° à déterminer, aux AD 34 - indiqué dans l'affectation hypothécaire du 03.11.1874)
- 07.10.1867 : obligation pour un prêt de 2000 francs d'Abel Jean Pierre EUZET pour Françoise JULLIAN, veuve de François Gabriel Léon CAUSSY (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/96, n° 420, aux AD 34)
- 25.11.1867 : vente de terrains par la commune de Sète à Modeste EUZET, ses frères et soeurs, pour 4688,10 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/96, n° 491, aux AD 34)
- 11.01.1868 : prêt de 14000 francs à Modeste EUZET et Marguerite ASTRUC par Stanislas BERNIER (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/90, n° ?, aux AD 34 - indiqué dans le transfert d'hypothèque du 20.12.1871 - à compléter).
- 20.05.1868 : vente par Jean Baptiste DONNADIEU à Modeste EUZET de "terres vignes" au quartier du Py (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/90, n° ?, aux AD 34 - indiqué dans le transport d'hypothèque du 20.12.1871 : à compléter).
- 18.09.1868 : vente de droits successifs par Elisabeth EUZET, épouse d'Auguste HÉRAIL (fille de Modeste et de Marie LABAYLE) à son frère Jacques (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/98, n° 434, aux AD 34)
- 19.01.1869 : vente d'un immeuble par Modeste EUZET à Eugène MEDARD (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/92, aux AD 34 - à compléter).
- 01.12.1869 : vente d'une maison par Abel Jean Pierre EUZET à Guillaume CHARRAS (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/100, n° 432, aux AD 34)
- 03.01.1870 : prêt de 4000 francs à Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET par les soeurs Marie, Rosine et Jeanne Isabelle DUSSOL (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/94, n° 3, aux AD 34 .
- 22.01.1870 : procuration (acte en brevet) de Jeanne EUZET (épouse MATIGNON) à son frère, Benjamin EUZET (notaire FONTENEAU, à Angers : aux AD 49 - - annexée à l'obligation du 03.02.1870)
- 22.01.1870 : procuration (acte en brevet) d'Elisabeth EUZET (religieuse) à son frère, Modeste EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/287, aux AD 34 - annexée à l'obligation du 03.02.1870)
- 03.02.1870 : prêt de 8000 francs par Thérèse Anaïs Joséphine Elisabeth VAILLARD, veuve d'Alexandre Auguste Napoléon BILLIÈRE, à Modeste EUZET et ses frères et soeurs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/94, n° 57, aux AD 34 .
- 07.03.1870 : reconnaissance d'une obligation de 6000 francs par Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET à Françoise BÉNÉZECH, épouse de Jean Louis Justin DUCAS et reconnaissance d'une obligation de 5000 francs par les mêmes à Octavie NICOLAS, épouse de Marc BOURBON ; paiment de ces 5000 francs par Françoise BÉNÉZECH ; reconnaissance de l'obligation de 11000 francs (6000 + 5000) par Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET en faveur de Françoise BÉNÉZECH, épouse Jean Louis Justin DUCAS (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/94, n° 112, aux AD 34).
- 12.03.1870 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Jean MARTY, pour 1144,50 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/94, n° 125, aux AD 34).
- 23.03.1870 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Pierre FAURÉ, pour 3924 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/94, n° 152, aux AD 34).
- 30.04.1870 : quittance de mitoyenneté entre Louis EUZET (fils de Blaise) et Jean CLUZET, pour un terrain à Sète (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/94, n° 210, aux AD 34)
- 29.07.1871 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Pierre LACHET, pour 1000 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 90/104, n° 174, aux AD 34)
- 06.09.1871 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Charles RECOULY, pour 6000 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/104, n° 223, aux AD 34)
- 20.12.1871 : transport d'hypothèque pour le prêt de 14000 francs (du 11.01.1868) par Modeste EUZET et Marguerite ASTRUC au bénéfice de Stanislas BERNIER, suite à la vente d'un terrain à Charles RECOULY (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2E 89/104, n° 366, aux AD 34)
- 03.01.1872 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à François Jacques GELLY, pour 2745,60 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/105, n° 3, aux AD 34)
- 29.01.1872 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Pierre SOURAIL, pour 1539 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/105, n° 54, aux AD 34)
- 06.02.1872 : cession de la créance de 6000 francs concernant Charles RECOULY, par Modeste EUZET et ses frères et soeurs, à Césarine MOUSTARDIER, veuve d'Antoine REBOUL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/105, n° 62, aux AD 34)
- 14.02.1872 : main levée pour 4000 francs sur la créance de 8000 francs du 03.02.1870, par Thérèse VAILLARD, veuve BILLIÈRE, à Modeste EUZET et ses frères et soeurs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/105, n° 76, aux AD 34)
- 23.02.1872 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Baptiste BASTIDE, pour 6600 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/105, n° 408, aux AD 34)
- 01.03.1872 : vente de terrains à Joseph MIGNIOT par Modeste EUZET, ses frères et soeurs, pour 12.000 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/105, n° 94, aux AD 34. Cet acte est aussi indiqué dans l'avis de purge d'hypothèque légale, paru dans le Petit Méridional du 21.10.1876).
- 01.05.1872 quittance d'Abel Jean Pierre EUZET (limonadier à Sète) à Guillaume CHARRAS (boucher à Sète) ; exposé des motifs : par acte du 01.02.1869 (notaire Alphonse COUZIN), Abel EUZET a vendu à Guillaume CHARRAS "une maison à deux étages au dessus du rez-de-chaussée située à Cette sur le quai de la place n° 3", moyennant le prix de 25.000 francs sur lequel il a délégué l'acquerreur de payer : 1/ aux ayant droit de Narcisse FOUQUE (juge de paix à Mauguio) la somme de 4000 francs due à FOUQUE aux termes d'un acte du 03.12.1861 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète), 2/ à Françoise Florestine JULLIAN, veuve de François Gabriel Léon CAUSSY (de Sète) la somme de 2000 francs due aux termes d'un acte du 07.10.1867 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète), 3/ Les 19.000 francs du surplus ont été stipulés payables après l'accomplissement des formalités de transcription et de purge des hypothèques légales, avec intérêt de 5 % l'an, payable en même temps que le capital. En plus de ces deux inscriptions, il y avait : 1/ la somme de 1000 francs au profit d'Honoré EUZET (menuisier à Sète)" formant le cinquième de la somme de 4000 francs due à M. NADAL, propriétaire à Montpellier", selon un acte de février 1865 (notaire ANDUZE, de Montpellier) et de la somme de 1000 francs "due à M. DUSSOL cadet, bonnetier à Cette", selon un acte du 05.03.1856 (notaire VIVAREZ, de Sète) ; Abel avait été chargé de payer ces sommes, suivant un acte du 03.12.1861 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète), 2/ les mêmes inscriptions avaient été prises pour Ange EUZET (employé à l'octroi, à Sète), Louis Antoine EUZET (prêtre, alors domicilié à Montpellier) et Dorothée EUZET, épouse d'Auguste RIMBAUD (coiffeur à Sète). Or, ces inscriptions ne frappent plus l'immeuble vendu, en vertu des actes et mains levées ci-après : 1/ par deux actes des 12.05.1871 et 07.10.1871 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète), les héritiers FOUQUE/CAUSSY ont reçu de CHARRAS, les 4000 francs et 2000 francs, 2/ Abel EUZET a payé la somme de 4000 francs due à NADAL par acte du 09.03.1865 (notaire ANDUZE, de Montpellier) et, pour la somme de 1000 francs due à DUSSOL, Abel "déclare en avoir effectué le remboursement et s'oblige à rapporter la quittance à la première réquisition ainsi que le certificat de radiation" ; l'acte conclut que les inscriptions n'ont plus de raison d'être ; de plus, Abel "reconnaît avoir reçu avant la présente en monnaie de cours et suivant quittance dudit CHARRAS la somme de 6000 francs à valoir sur celle de 19.000 francs due pour solde" ; l'inscription est alors réduite à 13.000 francs ; l'acte est fait en l'étude où Abel EUZET signe ; Guillaume CHARRAS déclare ne savoir signer (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/105, n° 195, aux AD 34)
- 05.06.1872 : contrat de mariage d'Hilaire EUZET et de Marie BARDY (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/105, n° 266, aux AD 34)
- 19.06.1872 : vente d'un terrain à Pierre Colin DRUILLES, par Modeste EUZET, ses frères et soeurs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E 90/105, n° 280, aux AD 34).
- 27.07.1872 : vente d'une maison à Simon Colin DRUILLES, par Modeste EUZET, ses frères et soeurs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E 90/106, n° 361, aux AD 34).
- 11.09.1872 : acte de notoriété par Louis Antoine EUZET pour Rose QUERMEL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E 90/106, n° 451, aux AD 34).
- 18.09.1872 : main levée pour une vente de terrain par la religieuse, Elisabeth EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/292, f° 745, aux AD 34).
- 26.09.1872 : vente d'un terrain par Modeste EUZET et ses frères et soeurs à Joseph COLL, pour 3600 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/106, n° 468, aux AD 34)
- 04.12.1872 : contrat de mariage de Jean Baptiste EUZET et de Thérèse CATHALA (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2E90/106, n° 566, aux AD 34) ; le mariage lui-même a été indiqué par Mme Corinne COSTESEQUE.
- 03.01.1873 : dépôt de pièces par Louis Antoine EUZET pour la succession de sa tante, Rose QUERMEL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/107, n° 2, aux AD 34)
- 23.01.1873 : main levée de l'hypothèque inscrite au profit de Vincent EUZET contre Barthélémy MAILLE (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/107, n° 23, aux AD 34)
- 22.03.1873 : prêt de 700 francs par François Auguste EUZET à François GELLY et Claire JUGE (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/107, n° 130, aux AD 34)
- 19.06.1873 : vente d'une terre vigne, à Sète, par Alexandre EUZET à Joseph RIEU, pour 200 francs (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/107, n° 257, aux AD 34)
- 20.03.1874 : achat de terrains par Honoré EUZET à Gaston ARNAUD (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/à préciser, aux AD 34).
- 03.11.1874 : affectation hypothécaire par Jean Baptiste EUZET, au profit de ses enfants, Albert, Honoré, François et Louise (suite à la liquidation du partage entre Antoine et Jean Baptiste EUZET) ; résumé des actes depuis 1865 : Françoise BRIANT (veuve d'Honoré EUZET) est décédée le 03.03.1865, laissant deux enfants, Antoine et Jean EUZET ; par son testament du 21.01.1865, elle a légué par préciput, avantage et hors part, aux dits Albert, Honoré, François et Louise EUZET, le tiers de tous ses biens, meubles et immeubles qui se trouveront lui appartenir au jour de son décès pour n'en prendre possession qu'au décès de Jean EUZET, leur père, à qui elle a légué l'usufruit et jouissance sa vie durant du même tiers. A la suite de son décès, une instance en partage a été introduite entre Antoine et Jean EUZET et les enfants mineurs de ce dernier ; les immeubles dépendant de la succession ont été licités par procès verbal du tribunal de première instance de Montpellier, le 11.08.1865. Par procès verbal dressé par Me COUZIN le 04.08.1866, homologué par jugement du même tribunal, le 22.03.1867, qui a apporté quelques modifications et, par un procès verbal rectificatif du 20.06.1867, il a procédé à la liquidation de la succession de Françoise BRIANT. "Il résulte de ces procès verbaux que la part revenant aux dits enfants mineurs dans le prix de la vente des dits immeubles se montent à la somme de 18787 francs 57 centimes frappée de l'usufruit légué à M. Jean Baptiste EUZET leur père, lequel a touché cette somme de M. César Joseph VITOU, quincailler, domicilié à Cette, tant en qualité d'usufruitier qu'en qualité de tuteur et d'administrateur légal de ses dits enfants mineurs, le dit M. VITOU payant en qualité d'acquéreur d'un immeuble dépendant de la dite succession par acte reçu par le dit Me COUZIN à la date du 21.06.1867". Pour sûreté, il affecte et hypothèque cette somme de 18787 francs 57 centimes et des intérêts que cette somme peut produire à dater de son échéance, sur "un établissement commercial composé d'un grand magasin avec comptoir, hangar avec cours ou enclos et dépendances, le tout situé à Cette sur le prolongement du quai de Bosc ayant façade sur le derrière dans le chemin des métairies, confrontant du nord KOESTER, du sud LABRY, de l'est le quai et de l'ouest le chemin des métairies. Cet immeuble a été construit par M. EUZET sur un terrain par lui acquis de M. Jean Jacques Alexis AURIOL, négociant demeurant à Marseille, par acte reçu par Me VIVAREZ, notaire à Cette, à la date du 30.12.1865. Ce terrain fait partie du n° 1894, section B et du n° 324, section F du cadastre de la ville de Cette" ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties, y compris Honoré MICHEL, commissionnaire à Sète, subrogé tuteur des enfants mineurs de Jean EUZET et portant fort au nom de Louise EUZET, fille majeure de Jean EUZET, non présente (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/110, n° 373, aux AD 34).
- 01.06.1876 : prêt par Elisabeth Adrienne VIVAREZ à Emannuel Médard ARNAL et Elisabeth Honorine EUZET, son épouse (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/113, n° ?, aux AD 34 - indiqué dans le prêt du 25.11.1886 - à vérifier).
- 10.01.1877 : quittance de 12000 francs pour Joseph MIGNIOT par Modeste EUZET et ses frères et soeurs, pour la vente du 01.03.1872 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/115, n° ? aux AD 34 - à compléter - indiqué en marge de l'acte de vente de 1872).
- 13.07.1877 : obligation d'Honoré EUZET envers Jules GIRARD (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/116, acte 267, aux AD 34).
- 26.07.1877 : dissolution de société "EUZET frères et VAILLARD" constituée en 1856 et modifiée en 1864, acte sous seings privés (annonce dans le Messager du Midi du 30.07.1877)
- 23.08.1877 : saisie immobilière de deux immeubles, à Sète, de Jean Baptiste EUZET, à la requête des héritiers de Jean Jacques Alexis AURIOL (indiqué dans la quittance de 1887)
- 22.09.1877 : donation de Barthélémy EUZET à Catherine GOUDARD (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/116, aux AD 34 - à compléter ).
- 22.09.1877 : donation de Catherine GOUDARD à Barthélémy EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/116, aux AD 34 - à compléter).
- 23.11.1877 : premier acte respectueux de Pierre BABOT à Marguerite ASTRUC, remariée avec Modeste EUZET ; l'acte est notifié le 26.11.1877 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/116, actes 497 et 501, aux AD 34).
- 10.12.1877 : nouvelle adjudication des immeubles de Jean Baptiste EUZET, avec les adjudicataires qui ont surenchéri, CATRIX et COSTE, PANAYOTTI et Marius PETIT (annonce dans le Messager du Midi du 07.12.1877)
- 27.12.1877 : second acte respectueux de Pierre BABOT à Marguerite ASTRUC, remariée avec Modeste EUZET ; l'acte est notifié le même jour (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/116, acte 542, aux AD 34).
- 02.03.1878 : dépôt des pièces de la donation de Marie Clotilde VERGNES au prêtre Etienne EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/303, f° 145, acte 207, aux AD 34).
- 02.03.1878 : constitution de mandataire par le prêtre Etienne EUZET pour vendre des rentes sur l'Etat (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/303, f° 139, acte 201, aux AD 34).
- 10.01.1879 : paiement du solde de l'acquisition de bâtiments par l'institut catholique de Montpellier, par son directeur, le prêtre Etienne EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/305, acte 26, aux AD 34).
- 28.04.1879 : contrat de mariage de Marie Rose EUZET et d'Hypolitte PASCAL (notaire Alphonse COUZIN (2 E 90/119, n° 122, aux AD 34)
- 30.04.1879 : partage de biens entre Elisabeth Rose EUZET (épouse d'Auguste HÉRAIL) et Jacques EUZET, son frère (notaire Alphonse COUZIN (2 E 90/119, n° à compléter, aux AD 34)
- 24.04.1882 : vente d'une maison à Montpellier, par Gracie-Clémentine BALARD à l'abbé Etienne EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/311, f° 236, acte 345, aux AD 34).
- 17.07.1882 et 22.07.1882 : déclaration de privilège de second ordre, pour l'abbé Etienne EUZET (notaire Jean Marcelin COSTE, de Montpellier : 2 E 61/312, f° 417, acte 603 et f° 585, acte 778, aux AD 34).
- 25.08.1882 : achat d'un terrain par Jean Baptiste EUZET à Sébastien GRANIER (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/125 - à compléter, aux AD 34).
- 07.08.1883 : testament de François Marius EUZET en faveur de son frère, Claude Albert EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/128, n° 339, aux AD 34)
- 24.10.1883 : contrat de mariage d'André Fulcrand Eléonor Lucien RIEUNIER et d'Elisabeth EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/128, n° 470, aux AD 34).
- 06.11.1884 : dépôt du testament olographe (du 01.05.1883) de Marie EUZET (fille d'Antoine, épouse de Simon DÉFARGES), dans les minutes du notaire Alphonse COUZIN (2 E 90/130, n° 449, aux AD 34)
- 15.12.1884 : dépôt du testament olographe (du 14.07.1884) de Marie EUZET (fille de Modeste, épouse CAVALLIER) dans les minutes du notaire Alphonse COUZIN (2 E 90/130, n° 502, aux AD 34)
- 20.01.1885 : acte de notoriété de Marie EUZET (fille d'Antoine et Rose THEULON) (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/131, n° 19, aux AD 34)
- 04.02.1885 : contrat de mariage d'Achille EUZET et de Lucie MAZEL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/131, n° ?, aux AD 34)
- 04 et 07.02.1885 : liquidation de la succession de Colombe Catherine BRAVET (épouse d'Esprit Bernard CAYROL) ; concerne Thérèse Rose CAYROL, épouse de Jacques Honoré EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/131, n° 44 et s., aux AD 34)
- 12.03.1885 : acte de notoriété pour Marie EUZET (fille de Modeste et Jeanne CARRIERE), après son décès (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/131, n° 105, aux AD 34)
- 16.05.1885 : délivrance du legs de Marie EUZET (fille d'Antoine et Rose THEULON), en faveur de son mari, Simon DEFARGES (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/131, n° 214, aux AD 34)
- 20.09.1886 : obligation de Jean Barthélémy PAGES (pour un prêt de 8000 francs) envers François Barthélémy EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/134, n° à compléter, aux AD 34 - indiqué dans l'inventaire après décès de 1887)
- 06.11.1886 : jugement du Tribunal civil de première instance de Montpellier pour procéder aux opérations de compte, liquidation et partage de biens dépendant de la succession de Bernard Esprit CAYROL (beau-père de Jacques Honoré EUZET).
- 25.11.1886 : prêt de 2000 francs par Elisabeth Adrienne VIVAREZ à Emannuel Médard ARNAL et Elisabeth Honorine EUZET, son épouse (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/134, n° 396, aux AD 34).
- 13.12.1886 : répudiation de la succession de Jean Baptiste EUZET par ses trois enfants issus de son mariage avec Claire MICHEL (au greffe du Tribunal civil de Montpellier - indiqué dans l'acte de notoriété du 06.01.1887, aux AD 34)
- 06.01.1887 : quittance concernant Albert EUZET, Honoré EUZET, Louise EUZET, Auguste FALGAIRETTES, Charles LAUGER et Marie Michel Hippolyte CATRIX ; ont comparu : 1/ Claude Albert EUZET, autrefois frère des écoles chrétiennes, actuellement employé de commerce, domicilié à Cette, agissant à raison de ses droits personnels et encore en sa qualité de légataire universel de Marius François EUZET, son frère, commis négociant à Cette, en vertu de son testament (notaire COUZIN, de Sète, le 07.08.1883) ; il est décédé le 12.08.1883 sans avoir fait d'autres dispositions testamentaires entre vifs, en état de célibat, sans descendants, laissant pour seuls héritiers, dans la proportion d'un quart à titre de réserve légale, Jean Baptiste EUZET, veuf de Claire MICHEL, époux en secondes noces de Thérèse CATHALA, son père et seul ascendant survivant, et pour les trois quarts, Claude Albert EUZET, son frère comparant en vertu dudit testament ; 2/ Honoré EUZET, professeur de musique ; 3/ Marguerite Louise EUZET, sans profession, célibataire ; 4/ Auguste FALGUEIRETTES et Charles LAUGER, négociants agissant conjointement ; 5/ Michel Hippolyte CATRIX, ancien banquier, agissant comme liquidateur de la société et maison de banque établie à Cette sous la raison sociale Catrix et Coste (société dissoute) ; il est établi que, par acte du notaire VIVAREZ, CATRIX et Henri COSTE ont vendu, le 31.01.1882, à FALGUEIRETTES et LAUGER, "un grand établissement commercial, composé d'un magasin, avec comptoir, hangar, cour, enclos et dépendances à Cette, clos de murs, d'une superficie d'environ 1200 m2, faisant partie des n° 1894, section B, et 324, section F du cadastre de Cette", pour le prix de 79.000 francs ; une quittance a été établie, d'un montant de 60.212,44 francs ; pour le solde, les vendeurs chagèrent et déléguèrent les acquéreurs à les payer, à raison d'un quart chacun à Albert, Honoré, Louise et François EUZET (ce dernier, aujourd'hui décédé), le tout au jour du décès dudit Jean Baptiste EUZET, leur père, pour le montant en capital de leur créance, à raison de laquelle, ils auront été colloqués au 5ème rang dans l'ordre judiciaire, clôturé le 26.04.1879, au greffe du tribunal civil de Montpellier ; il est également établi que "par son testament public reçu Me THOMAS, notaire à Frontignan, le 26.01.1865, Madame Françoise BRILLANT (ou BRIANT), veuve d'EUZET Honoré, marchande à Cette, avait légué aux quatre enfants EUZET susnommés, par préciput, le tiers de tous ses biens, pour n'en prendre possession qu'au décès de leur père Jean Baptiste EUZET, légataire de l'usufruit de ce tiers." A la suite du décès de Françoise BRILLANT et de l'instance en partage élevée entre ses héritiers, le règlement de sa succession fut opéré par Me COUZIN, aux termes du procès verbal de liquidation dressé par lui, le 04.08.1866, homologué par jugement du tribunal civil de 1ère instance de Montpellier du 22.03.1867 et d'un second procès verbal rectificatif du 20.06.1867 ; il revenait aux quatre enfants EUZET, pour leurs droits en nue-propriété de ladite succession de leur grand-mère, la somme de 18.787,57 francs, soit à chacun d'eux le quart de cette somme. Ce capital fut touché par leur père et, par garantie, il affecta et hypothéqua l'immeuble aujourd'hui devenu la propriété de FALGUEIRETTES et LAUGER, par acte du 03.11.1874 (acte du notaire COUZIN). Le 23.08.1877, par exploit d'huissier, il fut, à la requête des héritiers de Jean Jacques Alexis AURIOL, procédé à la saisie immobilière de cette propriété. L'immeuble mis en vente fut adjugé à la maison de banque Catrix et Coste de Cette, au prix de 50.525 francs (procès verbal d'adjudication du 10.12.1877). Les acquéreurs se sont libérés de leur dette, sauf la créance susnommée des quatre enfants EUZET dont ils ne devaient le capital qu'au décès du père de ces derniers, conformément aux procès verbaux d'ordre amiable des 15.05.1878 et 26.04.1878. Cela exposé, FALGUEIRETTES et LAUGER ont payé à : 1/ Albert EUZET : 8219,56 francs (pour ses droits et ceux de son frère François), 2/ Louise EUZET : 4696,89 francs, 3/ Honoré EUZET : 4696, 89 francs ; une quittance est établie par les trois EUZET qui donnent aussi main levée et consentent à la radiation des inscriptions hypothécaires correspondantes ; le solde à payer (1174,22 francs) ira à Marie Thérèse EUZET (dite Jeanne), leur soeur mineure, car Albert, Louise et Honoré déclarent avoir "répudié la succession de leur père par acte fait au greffe du tribunal de Montpellier, en date du 13.12.1886" ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties
(notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/135, n° 2, aux AD 34)
- 06.01.1887 : acte de notoriété de Jean Baptiste EUZET et de son fils François Marius EUZET : les déclarants sont Salomon, Jules, Célestin GIBERT (coiffeur) et Octave, Charles BONNEL (agent comptable), de Sète ; ils déclarent avoir connu "1/ M. François Marius EUZET, commis négociant, domicilié à Cette, y décédé le 12.08.1883 et 2/ M. Jean Baptiste EUZET, père, jadis négociant et tonnelier, veuf en premières noces de Claire MICHEL, époux en secondes noces de Thérèse CATHALA, domicilié à cette, y décédé le 09.10.1886, et savoir comme étant de notoriété publique et d'eux personnellement connu : a) que M. François Marius EUZET était célibataire, qu'il n'a point laissé de descendant ou d'héritiers à réserve, si ce n'est uniquement le dit Jean Baptiste EUZET son père, son seul ascendant survivant, ayant droit à la réserve du quart de la succession de ce fils prédécédé et qu'il n'avait pas laissé d'autres dispositions de ses biens, droits et actions qu'un testament publié, reçu dans les minutes de Me COUZIN en date du 07.08.1883, enregistré, par lequel il lègue par préciput à M. Claude Albert EUZET, un de ses frères, commis négociant, l'universalité de ses biens, lequel legs doit être réduit aux 3/4 des mêmes biens, à cause de la réserve légale susindiquée de leur père, b) que M. Jean Baptiste EUZET, père, est décédé sans dispositions entre vifs ou testamentaires, qu'il n'a laissé pour seuls habiles à lui succéder : Mlle Marguerite Louise EUZET, sans profession, célibataire, M. Claude Albert EUZET, autrefois frère des Ecoles chrétiennes, aujourd'hui employé de commerce à Cette, M. Jacques Honoré EUZET, professeur de musique, tous trois seuls issus avec ledit François Marius prédécédé de son premier mariage avec la dame Claire MICHEL, Marie Thérèse EUZET dite Jeanne, soeur consanguine des précédents, seule issue de son mariage avec sa seconde épouse Thérèse CATHALA, avec laquelle il s'est marié à Cette le 11.12.1872, après avoir passé aux minutes dudit Me COUZIN un contrat de mariage le 04.12.1872, lesdits quatre enfants ayant droit à un quart à la succession de leur père. Mais par suite de la répudiation de la succession de M. EUZET père faite par ses trois enfants susnommés, issus de son premier mariage, au greffe du tribunal civil de Montpellier, le 13.12.1886, cette succession, les biens qui la composent, et notamment le quart à titre de réserve légale des biens ayant dépendu de la succession de François Marius EUZET, se trouvent en entier dévolus à la seule fille issue du second mariage dudit Jean Baptiste EUZET, savoir à Mlle Marie Thérèse EUZET, mineure, sous la tutelle légale de sa mère veuve susnommée. Ils déclarent en outre qu'il est enfin de notoriété publique qu'après le décès du fils et du père EUZET susnommés, il n'a pas été apposé de scellés sur leurs biens, ni fait d'inventaire ; enfin, que François Marius EUZET, ainsi dénommé dans les actes de l'Etat civil de la commune de Cette, et notamment de l'acte de décès dressé à la date susrelatée est le même que Marius François EUZET (prénoms transposés) dans ledit testament et que François EUZET, par omission du second prénom dans l'inscription hypothécaire qui le concerne, prise au bureau des hypothèques de Montpellier le 07.11.1884 au volume 653 n° 254, et le procès verbal d'ordre judiciaire ; que Marguerite Louise EUZET, ainsi nommée exactement dans son acte de naissance à l'Etat civil de Cette, est la même personne désignée par le seul prénom de Louise dans l'ordre susdit, de l'inscription prise le 07.11.1884 au volume 653 n° 254 ou 255 ; que Claude Albert EUZET, ainsi exactement nommé d'après son acte de naissance dressé par l'officier d'Etat civil de Cette, est le même qui dans l'ordre n'a été désigné que par le prénom d'Albert ; que Jacques Honoré EUZET dont les prénoms sont ainsi inscrits dans son acte de naissance à Cette, est le même à qui n'est donné que le prénom d'Honoré dans le dit procès verbal d'ordre à l'inscription hypothécaire prise le 07.11.1884, volume 653, n° 255." A l'appui de leur déclaration, les comparants ont remis à M. VIVAREZ pour demeurer ci-annexée l'expédition de l'acte de répudiation et la succession de leur père enregistrée (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/135, n° 3 - joint à la quittance qui est au n° 2, à la même date, aux AD 34).
- 26.01.1887 : procès verbal de renvoi (manque de pièces) pour la liquidation de la succession des biens d'Esprit CAYROL, beau-père de Jacques Honoré EUZET (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/135, n° 31, aux AD 34)
- 17.02.1887 : contrat de mariage de Noémie Elisabeth EUZET et de Joseph Paul GOUDAL (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/135, n° 60, aux AD 34)
- 18.05.1887 : procès verbal de liquidation et partage des biens dépendant de la succession de Bernard Esprit CAYROL ; dans ce PV, on voit qu'Honoré EUZET (mari de Rose CAYROL) payait à Esprit CAYROL un loyer de 200 francs l'an, soit une dette totale de 1016, 66 francs - somme contestée par l'intéressé (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/135, aux AD 34)
- 01.06.1887 : procès verbal de comparution des héritiers de Bernard Esprit CAYROL pour assister à la lecture du procès verbal de liquidation des biens dépendant de sa succession ; les héritiers (dont Rosa CAYROL, épouse de Jacques Honoré EUZET) se réservent de faire des observations et/ou réclamations lors de l'homologation (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/135, aux AD 34)
- 04.08.1887 : vente d'une terre par Jean MAUREL à Claude Albert EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/135, n° 373, aux AD 34)
- 17.08.1887 : testament de Cécile EUZET, veuve de Jean MALLIÉ (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/136, n° 312, aux AD 34)
- 27.09.1887 : conseil de famille et désignation d'un subrogé tuteur (Modeste DURAND, oncle par alliance) pour Marie Louise Catherine EUZET, fille d'Hilaire EUZET et de Marie Augustine BARDY, celle-ci étant la tutrice (greffe de la justice de paix de Sète ; pièce jointe à l'inventaire des biens de François Barthélémy EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/136, n° 369, aux AD 34)
- 30.09.1887 : acte de notoriété de François Barthélémy EUZET : sont comparus François André Joseph DESMAZES (négociant) et Marius Laurent Marie VIVARES (employé de commerce), de Sète, lesquels ont déclaré avoir connu François Barthélémy EUZET, ancien tonnelier, époux de Catherine Marie Honorine GOUDARD, de Sète, où il est décédé le 21.08.1887, marié en premières noces, elle survivante ; ils avaient passé un contrat de mariage le 22.11.1840, modifié le 25.11.1840 (les deux actes chez Me VIVAREZ père) ; il n'a pas été apposé de scellés, ni au domicile ni sur ses biens, et il n'a pas été fait d'inventaire du mobilier jusqu'à ce jour ; les époux n'avaient pas fait d'autres dispositions entre vifs ou testamentaires ; une donation contractuelle de ses biens a eu lieu le 22.09.1877 (notaire VIVAREZ père) ; il a fait une donation à sa fille, Madeleine NOUGARET, dans son contrat de mariage, le 19.08.1863, contenant dotation en avance d'hoirie de 3000 francs (notaire VIVAREZ père) ; le 22.09.1877, par acte de donation à cause de mort en faveur de son épouse, il lui a donné le quart en propriété et le quart en usufruit, sans aucune obligation de caution, des biens qui composeront la succession du donateur (notaire VIVAREZ père) ; il laisse pour seuls héritiers naturels, seuls habiles à lui succéder : une fille, Madeleine EUZET, épouse de Jean Joseph NOUGARET (employé aux chemins de fer de l'Etat, domicilié à Paris, 81, rue Nollet) et une unique petite-fille : Marie Louise Catherine EUZET, mineure, née à Sète le 04.02.1875, seule fille et seule représentante du seul fils dudit EUZET époux GOUDARD, issu du mariage de ce fils, Hilaire EUZET (commis négociant, décédé à Mèze, le 02.01.1875) avec Marie Augustine Delphine BARDY, son épouse, survivante et tutrice légale de ladite mineure ; par suite, les composants de la succession appartiennent (sauf l'usufruit en faveur de sa veuve) pour 1/4 en propriété à Mme GOUDARD, sa veuve, et pour 3/4 à sa fille et à sa petite-fille, soit à la veuve GOUDARD pour 20/32e en toute propriété et pour 4/32e en usufruit dont la nue propriété appartient pour moitié à Mme NOUGARET et moitié à la mineure EUZET, et 4/32e à Mme NOUGARET en toute propriété, et 4/32e à la mineure EUZET ; l'acte est fait dans la maison de François Barthélémy EUZET ; tous signent (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/136, n° 368, aux AD 34)
- 30.09. et 01.10.1887 : inventaire après décès des biens de François Barthélémy EUZET : A/ L'inventaire du mobilier : "1/ Une commode en noyer plaqué avec dessus en marbre noir jaspé (40 francs) ; 2/ Un meuble secrétaire à bureau en noyer (50 francs) ; 3/ Un lit en noyer ciré avec son sommier, deux matelas, un traversin, un édredon, une couverture traitée en coton (100 francs) ; 4/ Une table ronde à volets, en noyer, et la toile cirée qui la couvre (12 francs) ; 5/ Un canapé en noyer et deux fauteuils, garnis en damas lavis vert (60 francs) ; 6/ Six chaises en noyer à siège à treillis canné (24 francs) ; 7/ Deux tabourets assortis au canapé (8 francs) ; 8/ Sur la cheminée une pendule, cadran entre colonnes façon ébène, portique en marquetterie (50 francs) ; 9/ Une petite glace à cadre en plâtre doré (25 francs) ; 10/ Deux lampes modérateur avec globes à verre et deux vases en porcelaine décorée (6 francs) ; 11/ Deux grands rideaux et deux petits rideaux en étoffe brodée qui garnissent la fenêtre (15 francs) ; 12/ Deux grandes gravures à la manière noire, édition anglaise, représentant le départ et le retour du marin, l'une et l'autre encadrées, une chromolithographie représentant la cérémonie de l'extrême onction, et un dessin ordre d'architecture au lavis (8 francs) ; 13/ Un service à café de six tasses, avec théière, pot au lait, cafetière et un sucrier assortis, le tout en porcelaine dorée, et le plateau en cuivre qui les supporte (6 francs) ;" puis, dans l'intérieur de la commode de l'article 1 : " 14/ Un veston en drap de toile jaspée noir et blanc, quatre gilets en drap, couleurs diverses, une jacquette et un gilet noirs en drap (25 francs) ;" puis, dans le secrétaire de l'article 2 : " 15/ Une couverture en laine verte, dessus de lit (5 francs) ; Dans ladite pièce, sauf quelques petites photographies, portraits de famille et papiers sans valeur que les parties ont convenu de ne pas inventorier, il s'est trouvé aussi un reliquaire en papier roulé et doré, et un petit tableau en tapisserie, lesquels ont été déclarés et reconnus ne point appartenir au défunt mais bien à Mlle Honorine GOUDARD, sa belle-soeur, demeurant dans la même maison. Nous sommes passés dans une pièce à côté de la précédente, éclairée de même par une porte à vitres ouvertes sur la terrasse ; et dans ladite pièce servant de cuisine il nous a été présenté, inventorié et prisé : 16/ Un buffet forme ancienne à l'usage du pays, en noyer plein, ciré, dessus en noyer, avec deux portes et deux tiroirs (45 francs) ; 17/ Une table en bois blanc à volets rabattus (3 francs) ; 18/ Batterie de cuisine, comprenant neuf chandeliers en cuivre jaune, six casseroles et un chauffe lit en cuivre rouge, une passoire, un arrosoir, deux cuillères plates, neuf couvercles et le ratelier, le tout en cuivre jaune, une tourtière, une cafetière et deux bouillotes, le tout en cuivre rouge (50 francs) ; 19/ Objets en fer blanc et fer battu soit, cinq couvercles, un arrosoir, deux passoires, un lèche frites, une tourtière, une râpe et une boîte à lait (6 francs) ; 20/ Objets en poterie, soit deux douzaines d'assiettes, deux soupières en faïence blanche, une casserole, trois saladiers, un pot à eau, une théière, quatorze tasses, cinq filets, vingt assiettes à dessert, le tout en faïence blanche, et quatre cafetières en faïence blanche, quarante-trois assiettes à potage et à ragoût et dix plats (20 francs) ; 21/ vingt-quatre assiettes et une coupe en porcelaine et douze couverts, un huilier (6 francs) ; Nous avons passé dans une pièce en arrière de la cuisine, chambre obscure, ayant un demi jour pris sur l'escalier et communiquant par une porte pleine avec la cuisine : 22/ Une commode en noyer à dessus de marbre blanc (40 francs) ; 23/ Une armoire en noyer à portes pleines à panneaux (40 francs) ; 24/ Un lit en noyer avec deux matelas, un sommier, draps, traversins et édredon (110 francs) ; 25/ Une petite glace à cadre à fronton doré (15 francs) ; 26/ Un prie Dieu en noyer ciré (3 francs) ; 27/ Une table de nuit en noyer (10 francs) ; 28/ Une table de nuit en noyer (6 francs) ; 29/ Un pot à eau, cuvette, trois bols, une veilleuse, le tout en porcelaine (2 francs) ; 30/ Deux statuettes en plâtre doré, Notre Dame et Saint Joseph (2 francs) ; 31/ Six chaises noyer garnies en paille (12 francs) ; 32/ Une pendule à caisse, article de Morez (12 francs)" Puis, dans l'armoire de l'article 23 : "33/ Un lot de linges de ménage comportant dix neuf draps de lit, vingt neuf essuie mains, seize torchons, deux paires de rideaux blancs, deux paires de rideaux de couleur et trois couvertures en piqué blanches et encore vingt chemises d'homme (85 francs) ; 34/ Une second lot qui contient neuf nappes, quinze serviettes en toile blanche, un pardessus en drap, un veston en drap, cinq pantalons en drap, trois gilets variés et deux couvertures piquées (60 francs) ; 35/ Dans la commode, trois taies d'oreillers blanches, un pardessus, un pantalon, une douzaine de mouchoirs en étoffe de couleur et trois paires de bas (17 francs)" Puis, sur la terrasse : "36/ Une vieille table (1 franc) ; 37/ Deux cuviers (3 francs) ; 38/ Un banc, une échelle et deux vieux barrils (2 francs)" Puis, dans un appentis sur la terrasse : "39/ Un lot de poterie commune et un lot de bouteilles vides (6 francs)" Puis, dans un grenier au second étage : " 40/ Un grand lit en noyer démonté (30 francs) ; 41/ Un petit lit d'enfant (4 francs) ; Madame veuve EUZET mère déclare qu'il existe en dehors de la maison et qu'elle a prêté à une mère : 42/ Un lit de fer, pliant avec un matelas et traversin (12 francs)" Elle déclare encore "qu'elle n'a pas à présenter les objets à son usage personnel, vêtements et linges de corps, dont la propriété lui avait été réservée dans la donation que lui en fit son père, au contrat de mariage sus énoncé, stipulant que l'évaluation de ces objets pour une valeur de 800 francs n'en faisait pas vente" Le total des objets mentionnés s'élève à 1016 francs.
B/ L'inventaire des titres de créances ; il est dû 1/ par MM. DESMAZES et EUZET (négociants à Sète) 2000 francs, versés par Barthélémy EUZET le 10.01.1882, somme productive d'intérêts au taux de 5 %, payable par semestre et d'avance 2/ par M. Jean Barthélémy PAGÈS et son épouse, VILLE, 8000 francs en capital, pour prêt exigible le 20.09.1889, en vertu d'un acte d'obligation pour prêt aux minutes du notaire VIVAREZ, en date du 20.09.1886, intérêts payables les 20 mars et 20 septembre ; l'inventaire clos à 18 heures le 30 septembre se poursuit le 1er octobre à 9 heures : "nous sommes entrés dans le salon au premier étage où nous avions commencé hier ledit inventaire. Il nous a été présenté par Madame GOUDARD, veuve EUZET, les titres et papiers trouvés au cours des opérations dans le meuble secrétaire de ladite pièce." ; parmi ces pièces dont beaucoup sont des reçus, des quittances pour des travaux, on peut relever ici : 1/ l'expédition d'un acte des 3, 5 et 8 mai 1849, consenti par les héritiers CAZILLAC à Barthélémy et Pierre EUZET, acquéreurs conjoints d'une maison, à Sète, 35 rue Saint Clair, au prix de 2000 francs, quittancée ; 2/ l'expédition d'un acte de vente d'un terrain, à Sète, section B, par les frères AURIOL à Barthélémy EUZET, au prix de 517 francs, le 07.05.1861 (notaire Salomon VIVAREZ, de Sète) ; 3/ une vente d'un autre terrain par les frères AURIOL à Barthélémy EUZET, même section, au prix de 2825 francs, le 20.03.1861 (notaire Salomon VIVAREZ, de Sète) ; 4/ la grosse d'une obligation de 5000 francs du 06.05.1862, par Barthélémy EUZET et son épouse, au profit de M. BONNET, avec subrogation du solde, soit 1400 francs, pour Etienne FABRE (notaire Salomon VIVAREZ, de Sète) ; 5/ le transport de cette créance, le 06.11.1863, accepté par les époux EUZET, créance déclarée soldée (notaire Salomon VIVAREZ, de Sète) ; 6/ des quittances à un tailleur de pierres, un serrurier et un commissaire de police pour l'établissement d'un tombeau de famille pour Barthélémy EUZET ; 6/ trois "quittances relatives aux frais de dernière maladie et inhumation" pour Barthélémy EUZET : des cierges (32 francs), à la supérieure des soeurs de Notre Dame (50 francs) et à l'administration des pompes funèbres (341 francs) ; ce qui est encore dû à la communauté : 1/ par Mme NOUGARET : le rapport de sa dot de 3000 francs à elle donnée en avancement d'hoirie par son père, partie en argent, partie en mobilier (Cm le 19.08.1863, notaire Salomon VIVAREZ, de Sète) ; 2/ par Mlle EUZET, mineure, la somme qui fut versée par Barthélémy EUZET, son grand-père, pour l'exonération du service militaire de son fils, Hilaire EUZET, père de ladite mineure, en 1866, dont le récépissé de versement fut déposé à la Préfecture de l'Hérault le 11.06.1866, ainsi qu'il est constaté par un certificat d'exonération dudit EUZET fils du 26.07.1866, du certificat de dépôt dudit récépissé du versement, le 11.06.1866 ; s'ajoutent encore, à percevoir, les montants des loyers dûs par quatre locataires, ainsi que le loyer dû par DESMAZES et EUZET pour le magasin (700 francs par an) ; enfin, Mme GOUDARD indique qu'elle a à reprendre de la communauté : 1/ la valeur des droits immobiliers à elle parvenus de la succession de ses père et mère (notaire Alphonse COUZIN, en 1867) et 2/ la donation que son mari lui a faite, ainsi que les frais du demi-logement et nourriture, conformément à la loi ; (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/136, n° 369, aux AD 34)
- 06.12.1887 : vente d'une terre et maison par Pierre Jules Clément CADILLAC à Barthélémy EUZET, époux d'Augustine Marie Thérèse BOUDET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/136, n° 474, aux AD 34)
- 17.12.1887 : jugement du Tribunal civil de Montpellier ordonnant de procéder aux opérations de comptes, liquidation et partage des biens dépendant de la communauté de biens qui a existé entre les époux EUZET-GOUDARD, que de la succession de François Barthélémy EUZET, que d'une maison acquise par François Barthélémy EUZET et Pierre EUZET, son frère.
- 31.05.1888 : procès verbal d'ouverture de la liquidation concernant les biens de François Barthélémy EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/137, n° 227, aux AD 34)
- 03.08.1888 : obligation de Marianne DOUCET (veuve d'Abel Jean Pierre EUZET) envers Alexandre CAYLA (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/138, n° 303, aux AD 34)
- 14.09.1888 : liquidation et partage des biens de François Barthélémy EUZET : a) de la communauté ayant existé entre F.B. EUZET (ancien tonnelier) et Catherine Marie Honorine GOUDARD, son épouse b) de la succession de FB EUZET c) d'une maison acquise en commun par ce dernier avec Pierre EUZET, son frère, suivant le jugement rendu par le tribunal civil de première instance de Montpellier, le 17.12.1887 ; A/ Les parties en cause : 1/ Catherine GOUDARD, veuve de FB EUZET, à cause de la communauté ayant existé entre elle et son mari, en vertu de leur Cm passé devant Me VIVAREZ père, le 22.11.1840, modifié le 25.11.1840, et comme créancière pour ses reprises et convention matrimoniale et en qualité de donataire d'un quart ou usufruit des biens meubles et immeubles, selon l'acte du 22.09.1877 (notaire VIVAREZ père) ; 2/ Madeleine EUZET, épouse de Jean Joseph NOUGARET (employé aux chemins de fer de l'Etat), domiciliée avec lui à Paris, rue Nollet, n° 81, mariée sous le régime de la communauté réduite aux acquets, aux termes de leur Cm du 19.08.1863 (notaire VIVAREZ père) ; 3/ Marie Louise Catherine EUZET, mineure, sous la tutelle naturelle et légale de Marie Augustine Delphine BARDY, sa mère veuve d'Hilaire EUZET, domiciliée à Sète ; le subrogé-tuteur est Modeste DURAND (propriétaire à Sète), selon le conseil de famille du 27.09.1887 et qui a accepté sous bénéfice d'inventaire de la succession de FB EUZET au nom de la mineure ; celle-ci et sa mère sont seules héritières, chacune pour moitié, de FB EUZET, leur père et aïeul, selon l'acte de notoriété du 30.09.1887 ; 4/ Pierre EUZET (propriétaire à Sète), à cause de l'indivision qui existait entre lui et FB EUZET, son frère, par suite de l'acquisition qu'ils avaient faite en commun d'une maison à Sète, rue Saint Clair, n° 35, par contrat reçu par Me VIVAREZ père, les 3, 5 et 8 mai 1849 ; cette maison a été licitée au profit de Pierre EUZET ;
B/ Observations préliminaires : 1/ Le CM EUZET-GOUDARD : rappel de la modification du nom de LAUZET en EUZET et du contrat passé devant le notaire VIVAREZ : "les futurs adoptèrent le régime de la communauté. Il fut constitué en dot à la future épouse par son père M. Hilaire GOUDARD, en avancement d'hoirie, a) la somme de 1200 francs en la valeur des meubles meublants, effets mobiliers, linge et ustensile de ménage et b) les vêtements, linge et bijoux à son usage personnel estimés à 800 francs ; cette estimation n'en a pas valu vente à la communauté" ; le total est donc de 2000 francs et il résulte que "Mme veuve EUZET a à exercer la reprise en deniers de la somme de 1200 francs et en nature des objets composant son trousseau" ; 2/ Les successions recueillies par Madame EUZET-GOUDARD : "M. Hilaire GOUDARD et Madame Suzanne SAGNIER, son épouse, demeurant à Cette, y sont décédés ; le mari, le 18.10.1865, et la femme, le 16.05.1864 ; ils laissèrent pour héritiers leurs six enfants, au nombre desquels était Madame EUZET-GOUDARD. Il ne fut pas dressé d'inventaire. La liquidation et le partage de ces successions confondues ont eu lieu suivant acte reçu par Me COUZIN, notaire à Cette, commis judiciairement à cet effet, le 13.03.1867. Pour remplir Madame EUZET de ses droits, il lui a été attribué une somme nette de 1399,85 francs en argent provenant du prix des immeubles de ces successions, l'actif du mobilier ayant été absorbé par le paiement des dettes et les prélèvements des cohéritiers non datés ou n'ayant pas à faire de rapports." ; 3/ Succession recueillie par M. EUZET : Pendant le mariage, M. EUZET n'a recueilli aucune succession et il ne lui a été fait ni don ni legs ; 4/ Etablissement de Mme NOUGARET : M. EUZET père a constitué en dot et avancement d'hoirie à Mme NOUGARET, sa fille, par son contrat de mariage, une somme de 3000 francs en argent et en objets mobiliers ; 5/ Exonération du service militaire de M. EUZET fils : Catherine GOUDARD a produit le certificat d'exonération de son fils et a déclaré "que cette somme avait été payée sur les deniers de la communauté et que le rapport en était dû par sa petite fille héritière du sieur Hilaire EUZET" ; le notaire conclut qu'après ses recherches et étant donné qu'Hilaire EUZET "n'avait alors ni les ressources ni les relations suffisantes pour posséder de son propre fonds le prix de l'exonération et sa veuve n'apportant aucune preuve contraire, fixe que M. EUZET fils et pour lui sa fille doit le rapport de 2000 francs, prix de cette exonération." ; 6/ Donation de M. EUZET à son épouse : suivant acte reçu par Me VIVAREZ père, le 22.09.1877, Barthélémy EUZET fit donation à son épouse qui a accepté, d'un quart en propriété et d'un quart en usufruit des biens qui composeraient la succession du donateur ; la donataire a été dispensée de fournir caution et de faire emploi pour jouir de cet usufruit ; 8/ L'inventaire : il a été dressé le 30.09.1887 ; d'après cet inventaire, la prisée du mobilier s'est élevée à 1016 francs ; C/ Dépouillement des papiers : a) grosse d'une obligation de 8000 francs souscrite par les époux PAGÈS-VILLE, au profit du défunt, le 20.09.1886 (notaire VIVAREZ) ; b) reconnaissance de dépôt en compte courant par le défunt à la société DESMAZES et EUZET de 2000 francs ; c) maison acquise en commun par le défunt et son frère, Pierre EUZET, des héritiers CAZILLAC (contrat VIVAREZ les 03,05 et 08.05.1849) ; cette maison a été licitée au profit de Pierre EUZET ; d) un terrain acquis des frères AURIOL par le défunt (deux actes VIVAREZ des 20.03 et 07.05.1861) et emprunt au profit de M. BONNET par les époux EUZET-GOUDARD (notaire VIVAREZ du 06.05.1862) ; la créance résultant de cet emprunt a été remboursée et l'immeuble sur lequel des constructions ont été édifiées par M. EUZET a été licité au profit de Madame NOUGARET ; e) reçus et quittances, lettres et avertissements administratifs, contrat de mariage des époux, etc. D/ Instance en liquidation et partage : Par exploit du 28.11.1887, Mme veuve EUZET née GOUDARD, M. et Mme NOUGARET et M. Pierre EUZET ont formé contre Mme veuve EUZET née BARDY, en sa qualité de tutrice légale de sa fille mineure, la demande de liquidation et partage (avec constitution de Me ABRIC, avoué) ; la défenderesse a constitué Me LAURES ; le 17.12.1887, le tribunal civil de Montpellier a rendu un jugement ordonnant ladite liquidation, le notaire VIVAREZ étant commis à cet effet ; préalablement, il a ordonné la licitation des immeubles à l'audience des criées du dit tribunal ; E/ Licitation des immeubles : le cahier des charges a été déposé le 28.01.1888 au greffe du tribunal civil de Montpellier ; il stipule, notamment, que l'entrée en jouissance aurait lieu à compter du jour de l'adjudication et que les intérêts seraient payables à partir du même jour ; l'audience des criées a eu lieu le 05.03.1888 ; le 1er lot composé d'une maison d'habitation avec magasin et cour, à Sète, 11, rue de la Charité, n° 1898 de la section B du cadastre a été attribué à Mme NOUGARET, au prix de 30.000 francs, sur lequel il faut déduire les frais de partage et de licitation s'élevant à 1174,50 francs ; il reste 28.125,50 francs, plus les intérêts de cette somme depuis le 5 mars dernier jusqu'au 5 décembre prochain, soit 1065, 89 francs, ensemble 29.911,39 francs ; le 2e lot composé d'une maison d'habitation, à Sète, 35 rue Saint Clair, n° 351 de la section B du cadastre a été attribué à M. Pierre EUZET au prix de 2500 francs, plus les intérêts depuis la date de l'adjudication jusqu'au 5 décembre prochain, soit 94,17 francs, ensemble 2594,17 francs ; F/ Le compte d'administration de Mme veuve EUZET-GOUDARD : Depuis le décès de son mari, recettes et dépenses : a) Recettes de la communauté : Loyers et intérêts sur créances, pour un total de 1367 francs ; b) Dépenses de la communauté : frais de l'inventaire, factures de travaux, assurances, pour un total de 284,10 francs ; c) Recettes et dépenses de la succession : a) Aucune recette : b) Dépenses pour les frais funéraires et les frais de mutation à la charge des héritiers, pour un total de 690,25 francs ;
2ème partie : les opérations ; 1ère opération, liquidation des reprises ; 1/ Mme EUZET-GOUDARD : ; en nature : son trousseau ; en deniers : 1200 francs (dot) + 1399,85 francs par elle recueillie dans les successions de ses père et mère et montant de l'attribution qui lui en a été faite par la liquidation dressée par Me COUZIN, le 13.03.1867 ; total : 2599,85 francs ; succession de M. EUZET-GOUDARD : elle n'a recueilli aucune succession et il ne lui a été fait aucun don ni legs ; 2ème opération : liquidation de la communauté ; la masse active est composée de 1016 francs (prisée du mobilier), 2040,54 francs (capital et intérêts de la créance DESMAZES-EUZET), 8284,93 francs (capital et intérêts de la créance PAGÈS), 3911,39 francs (prix de la licitation NOUGARET, avec les intérêts), 1297,08 francs (prix de la licitation Pierre EUZET, avec les intérêts), 3193,56 francs (rapport de dot pour Mme NOUGARET, avec les intérêts), 2235,49 francs (rapport pour la mineure EUZET, avec les intérêts), 1367 francs (recettes du compte d'administration de Mme veuve EUZET), soit un total de masse active de 49.345,99 francs (avec les intérêts) ; la masse passive est composée de 2767,59 francs (reprises de Mme EUZET, avec les intérêts), 520 francs (indemnité de nourriture pendant 3 mois 40 jours), 841,25 francs (part de la communauté dans les frais d'actes et d'homologation), 284,10 francs (payés par Mme EUZET-GOUDARD en l'acquit de la communauté), 4245,20 (en fonds), 167,74 francs (en intérêts), soit au total : 4412,94 francs ; Balance et division, soit actif net : 41.946,30 francs (en fonds) et 2986,75 francs (en intérêts) ; 3ème opération : liquidation de la succession. Masse active : bénéfice de communauté : 22.466 francs, formant la moitié de la succession ; Masse passive : 200 francs (deuil de la veuve), 610,25 francs (reliquat du compte d'administration), 423 francs (frais de liquidation), soit un total de 1233,25 francs ; Balance et division : Masse active : 20.973 francs (en fonds) et 1493,37 francs (en intérêts) ; Masse passive : 1233,25 francs ; actif net : 19.739, 90 francs (en fonds) et 1493,37 francs (en intérêts), dont 1/4 en usufruit et 1/4 en propriété pour Mme EUZET-GOUDARD et l'autre moitié pour Mme NOUGARET et à la mineure EUZET, soit pour chacune : 4934,97 francs (en fonds) et 373,34 francs (en intérêts) ; 4e opération : détermination des droits des parties : a) Droits de Mme EUZET-GOUDARD : 2767,59 francs, montant de ses reprises, 22466,52 francs pour sa moitié dans les bénéfices de communauté, 200 francs pour son deuil, 610,25 francs en indemnité de nourriture, 5308,31 francs pour 1/4 de la succession de son mari, soit 32530,11 francs en pleine propriété et 4934,97 francs en usufruit pour son quart dans le fonds de la succession de son mari dont elle sera comptable à ses enfants ; b) Droits de Mme NOUGARET : 5308,31 francs en pleine propriété et 2467,48 francs en nue propriété pour la moitié des 4934,97 francs, en fonds grevés de l'usufruit de Mme EUZET-GOUDARD ; c) Droits de Mlle EUZET, mineure : 5308,31 francs en pleine propriété et 2467,48 francs en nue propriété pour la moitié des 4934,97 francs, en fonds grevés de l'usufruit de Mme EUZET-GOUDARD ; d) Droits de M. Pierre EUZET : il a droit uniquement en toute propriété à la moitié du prix, en principal et intérêts de l'adjudication faite à son profit, soit 1297,08 francs ; e) Dettes à acquitter : 841,25 francs pour les frais de liquidation et d'homologation et 423 francs pour les mêmes frais du passif de la succession, soit un total de 1264,25 francs ; 5ème opération : Abandonnement et conditions. a) La veuve EUZET-GOUDARD : pour remplir du montant de ses droits, le notaire propose de lui abandonner en pleine propriété : le mobilier (1016 francs), la créance DESMAZES-EUZET (2040,54 francs), à prendre sur la créance PAGÉS (5212,11 francs), à prendre sur le prix de l'adjudication de Mme NOUGARET (21.597,38 francs), la moitié du prix dû par Pierre EUZET (1297,08 francs), dans la masse (1367 francs), soit au total 32.530,49 francs et 4934,97 francs en usufruit à prendre dans le prix dû par Mme NOUGARET ; b) Mme NOUGARET : le notaire propose en pleine propriété, par confusion sur elle-même, le montant de sa dot (3000 francs), les intérêts de cette somme (193,56 francs), à prendre dans le prix qu'elle doit (2114,75 francs), soit un total de 5308,31 francs et, en nue propriété, formant la moitié de celle attribuée en usufruit à la veuve EUZET-GOUDARD, à prendre dans le prix dû par Mme NOUGARET (2467,48 francs) ; c) Mlle EUZET : le notaire propose, en pleine propriété, par confusion sur elle-même, en principal et intérêts (2235,49 francs), à prendre dans la créance PAGÉS (3072,82 francs), soit un total de 5308,31 francs, et en nue propriété formant la moitié de celle attribuée en usufruit à la veuve EUZET-GOUDARD, à prendre dans le prix dû par Mme NOUGARET (2467,48 francs) ; d) Pierre EUZET : le notaire propose de lui abandonner en pleine propriété par confusion sur lui-même, formant la moitié du prix dû par lui-même en principal et intérêts (1297,08 francs) ; e) Acquit du passif : le passif restant à acquitter consiste en 841,25 francs plus 423 francs = 1264,25 francs ; le notaire propose d'affecter pareille somme restant à prendre dans le prix dû par Mme NOUGARET ; Les conditions : les copartageants disposeront des objets et valeurs à eux attribués à partir de l'homologation des présentes et ils auront droit aux fruits cet revenus à partir du 5 décembre prochain, jour fixé pour la jouissance divise (...) ; par la délibération du conseil de famille, la veuve EUZET-BARDY, en sa qualité de tutrice a été autorisée à placer en titres nominatifs au nom de sa fille mineure les sommes lui revenant dans la succession (actions de la Banque de France, obligations des compagnies de chemin de fer français ou des colonies, garanti par l'Etat) ; l'acte se termine avec un tableau général des abandonnements pour le total de 49.345,95 francs (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/138, n° 360, aux AD 34)
- 03.10.1888 : obligation de Claude Albert EUZET envers Jacques GUIRAND (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/138, n° 375, aux AD 34)
- 10.10.1888 : procès verbal de lecture de l'état liquidatif de la succession de François Barthélémy EUZET ; le tableau récapitulatif fait ressortir un total des valeurs s'élevant à 49.199,19 francs qui se répartissent ainsi, compte tenu de plusieurs opérations : 1/ Pour la veuve EUZET : 32.408,38 francs en pleine propriété et 4946,70 francs en usufruit ; 2/ Pour Mme NOUGARET : 5289,98 francs en pleine propriété et 2473,36 en nu-propriété ; 3/ Pour Pierre EUZET : 5289,37 francs en pleine proprié et 2473,36 en nu-propriété (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/138, n° 389, aux AD 34)
- 12.10.1888 : donation de François EUZET à Marie CALVET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/138, n° 393, aux AD 34)
- 12.10.1888 : donation de Marie CALVET à François EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/138, n° 394, aux AD 34)
- 30.11.1888 : jugement rendu par le Tribunal civil de 1ère instance de Montpellier, homologuant le règlement notarial clôturant l'instance en partage entre les parties et concernant François Barthélémy EUZET.
- 05.04.1889 : dépôt de 5 pièces concernant la succession de François Barthélémy EUZET, suivant les procès verbaux des 14.09.1888 et 10.10.1888 (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) : 1/ le jugement rendu par le Tribunal civil de 1ère instance de Montpellier, le 30.11.1888 ; 2/ La notification d'avoué à avoué de ce jugement, le 28.12.1888 ; 3/ La même notification, le 08.01.1889, à la veuve EUZET née BARDY ; 4/ et 5/ Deux certificats d'avoués, du 11.03.1889, constatant les significations présentées et le fait qu'il n'y a ni opposition ni appel au jugement ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties, Jean Joseph NOUGARET représentant son épouse, Madeleine EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/139, n° 124, aux AD 34)
- 05.04.1889 : quittance à Jean Joseph NOUGARET par Catherine GOUDARD, pour la succession de François Barthélémy EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/139, n° 125, aux AD 34)
- 08.04.1889 : quittance à Pierre EUZET par Catherine GOUDARD, pour la succession de François Barthélémy EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/139, n° 130, aux AD 34)
- 08.06.1889 : constatation d'emploi dans la succession de François Barthélémy EUZET, par sa veuve, Catherine GOUDARD, qui achète des obligations de la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée ; rappel de la situation ; 1/ PV du notaire VIVAREZ, les 14.09.1888 et 10.10.1888, homologués par le tribunal civil de première instance de Montpellier du 30.11.1888 contenant le règlement de la communauté des époux EUZET-GOUDARD et de la succession de Barthélémy EUZET ; il a été attribué à Catherine GOUDARD, pour la remplir de ses droits d'usufruit déterminés audit règlement, une somme de 4946,71 francs, sur laquelle elle était obligée de faire emploi de celle de 2473,36 francs au nom de Marie Louise Catherine EUZET, mineure sous la tutelle légale de la dame veuve BARDY nue propriétaire de cette somme ; 2/ acte de quittance, le 05.04.1889, devant le notaire VIVAREZ, Catherine GOUDARD a reçu de Madeleine EUZET, sa fille épouse de Jean Joseph NOUGARET (adjudicataire d'une maison à Sète, rue de la Charité), la somme de 2473,36 francs, soumise à son usufruit et, dans le même acte, Catherine GOUDARD s'est obligée à en faire l'emploi convenu avec la veuve EUZET-BARDY, tutrice légale, en obligations de la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée ; ces obligations, émission 1866 dite Fusion nouvelle, avec échéance des coupons aux 1er avril et 1er octobre, valeur nominale de 500 francs intérêt 3 % ; 3/ à cet effet, il a été acquis à la Bourse de Paris 6 obligations de cette compagnie, inscrites sur les registres de la société avec jouissance du 01.04.1889 ; il a été employé 2482,40 francs pour l'acquisition et les frais (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/139, n° 210, aux AD 34)
- 12.09.1889 : procuration de Ferrando ESTEVAN à Joseph EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/140, n° 344, aux AD 34)
- 11.07.1890 : quittance de Jacques GUIRAND pour Claude Albert EUZET et Claire Françoise GUIZONNIER (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/142, n° 2148, aux AD 34).
- 20.08.1890 : vente d'une terre par Claude Albert EUZET et Claire Françoise GUIZONNIER à Zacharie PUECH (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/142, n° 2188, aux AD 34)
- 14.10.1890 : contrat de mariage de François FABRE et de Suzanne Marguerite EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/142, acte 2258 ; pièce originale dans 131 J 64-6, Fonds DOMERGUE, aux AD 34).
- 04.04.1892 : adjudication pour la vente sur saisie immobilière d'une maison à Sète, ayant appartenu à Marie Jeanne NOURRIGAT, grand-mère de Georges, Antoine, Elise, Etienne et Lazare EUZET, ses héritiers (Le Petit Méridional du 07.03.1892) ; le dossier sur la saisie immobilière, au 07.01.1892, se trouve dans 45Q3/202, aux AD 34.
- 01.04.1893 : contrat de mariage de Sylvain BAUDET et de Marie Thérèse EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Montpellier : 2 E 89/147, acte 3523, aux AD 34).
- 19.06.1893 : quittance de Pierre CADILLAC à Barthélémy EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Montpellier : 2 E 89/147, acte ? , aux AD 34).
- 20.10.1894 : vente d'un terrain, par Elisabeth PONSY (veuve de Jean Baptiste EUZET) et Antoinette Emma GALISSARD (veuve de Pierre EUZET) à Jean Martin SAHUC (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Montpellier : 2 E 89/153, acte 4365, aux AD 34).
- 22.10.1894 : quittance globale des héritiers de Sébastien GRANIER aux héritiers de Jean Baptiste EUZET, pour l'achat d'un terrain par Jean Baptiste EUZET, le 25.08.1882 (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Montpellier : 2 E 89/153, acte 4368, aux AD 34).
- 05.06.1900 : renonciation à l'usufruit de la succession de son mari par Augustine EUZET (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/161, n° 6837, aux AD 34)
- 08.05.1903 : prorogation de délai d'une créance par Marie Alexandrine CAYLA, veuve de Noël François Ange EUZET, et autres (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/167, n° 7993, aux AD 34)
- 31.07.1907 : partage des biens de Marie Jean Pierre CAVALIER et de Marie Jeanne (dite Eugénie) PIOCH, son épouse ; la part de leur petite fille : Modeste(e) Marie Eugénie EUZET, femme d'Henri Joseph BASTIDE (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète : 2 E 89/176, acte 9626, aux AD 34).
- 12.08.1923 : dossier de la légion d'honneur de Joseph Baptiste EUZET (génération 6 GALIBERT), n° 19800035/0264/35307 (base Léonore, en ligne, aux Archives nationales)
- 24.07.1929 : contrat de mariage de Joseph Baptiste EUZET et d'Yvonne SALMON (notaire Paul Antoine DOMERGUE, de Montpellier : 2 E 60/573, f° 364, aux AD 34)
- Registres paroissiaux, Etat civil et recensements de Sète, aux AD 34 et aux Archives de la mairie.
- Tables décennales de Ferrals et de Fabrezan, dans l'Aude, aux AD 11, initialement par M. Christian PIOCH.
- Etat civil et recensements de Frontignan et Saint-Jean-de-Védas, aux AD 34.
- Etat civil de Bollène (84), à consulter.
- Etat civil d'Homps, dans l'Aude, aux AD 11 et à la mairie d'Homps.
- Etat civil de Bordeaux (33), aux Archives municipales et à la mairie de Bordeaux.
- Etat civil et recensements de Gignac, aux AD 34 (initialement, relevés des registres paroissiaux par M. Jean-Louis CRESPIN)
- Mariage de Maurice EUZET et de Pierre PONS : information initiale dans le microfilm Mormons n°1226589. Voir Montpellier (la branche venue d'Aniane - génération 2)
- Mariage de Benjamin EUZET et de Marie Anne Emélie CREMAILH, le 04.06.1834, à Ferrals (11) : information initiale de M. Stéphane GUIZARD.
- Décès de Mathilde EUZET, le 20.05.1944, à Saint-André-de-Buèges, d'après le site DAVIN-QERMANOTTI, dans "Planète Généalogie".
- Le site qui donne les fiches de décès de la guerre 1914-1918 est :
http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr
- Succession déclarée de Madelaine EUZET, épouse de Jean Joseph NOUGARET, les 5-14.04.1896 : n° 329, DQ7 11 694, aux AD 75.
- Carrières maritimes de Jean EUZET et d'Etienne EUZET : "Inscriptions maritimes", (registre 11 P1 14 pour les deux et, pour Etienne, 11 P1 39, 11 P2
31 et 11 P2 33) ; carrière maritime de Jean Baptiste EUZET (11 P2 33) ; carrière maritime de Raymond EUZET (11 P2 25, 11 P2 28, 11 P2 5,
11 P1 34, 11 P1 40) ; carrière maritime de Michel EUZET (11 P 11 8, 11 P2 27) ; carrière maritime de François EUZET (11 P2 27,
11 P2 31, 11 P2 33, 11 P1 39, 11 P11 7, 11 P1 61, 11 P2 11) : Informations et photos de M. Denis BERNARD, à partir de ses recherches aux Archives maritimes de Toulon
- Carrière maritime de Louis EUZET : informations par le site Ancestry (à partir d'une base de données en ligne : Unassisted Immigrant Passenger lists 1826-1922, Provo, UT, USA : The Generations Network, Inc., 2007, les données d'origine étant des données gouvernementales de la Nouvelle-Galles du Sud, en Australie : Inward passenger lists ; Series 13278 ; Reels 399-560, 2001-2122, 2751 ; Reports of vessels arrived ; Series 1291 ; Reels 1263-1285, 2851 ; Kingswood, Nouvelle-Galles du Sud, Australie.
- Société "EUZET et GIELSTRUP", en 1919 : 6 U7/147, aux AD 34
- Société "EUZET et CANTO", en 1920 et 1928 : 6 U7/154, aux AD 34
- Précisions sur les décrets accordant la Légion d'Honneur à Honoré EUZET et à Joseph EUZET : lettre de la
Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur du 19.07.2006 (FP/G2 n° 104 F2 2006, signée par Mme Françoise POTHIN, pour le
chef du bureau de la Légion d'Honneur) qui précise que pour Joseph, son dossier est conservé sous le n°
35307, 1ère partie, consultable au Centre des Archives contemporaines, 2 rue des Archives, 77300, à Fontainebleau. En ce qui concerne
Honoré, les éléments indiqués (les deux décrets) sont les seuls conservés à la Grande Chancellerie et qu'aucun dossier n'a
été retrouvé à son nom. L'adresse de la Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur est : 1, rue de Solférino,
75700 Paris 07 SP.
- Répertoires d'écrous des établissements pénitentiaires : 2 Y 383, maison d'arrêt de Chave et 2 Y 645, maison de correction de Saint Pierre (à Marseille), octobre 1907, aux AD 13, pour Achille EUZET.
- Site Fondation du patrimoine. Languedoc-Roussillon. Théâtre Molière à Sète : "Extérieurement, le théâtre de Molière s'inspire beaucoup du projet de l'Opéra Garnier de Paris et du modèle de l'Opéra Comédie de Montpellier, même s'il reste plus modeste. C'est un des rares bâtiments en pierres taillées de Sète. Conçu dans un style néo-classique, il est construit sur pilotis avec pilastres, colonnes corinthiennes et charpente métallique. Le théâtre Molière présente une façade principale très riche de sculptures monumentales. A l'intérieur, la salle du théâtre de Sète, toute rouge et or, est à l'italienne : elle est en forme de fer à cheval, les balcons sont divisés en loges et baignoires. Le plafond est en coupole, peint en voute céleste et orné d'un lustre monumental. La salle est doublée par la présence de coulisses, de dégagements et de six escaliers, pouvant recevoir les spectateurs avant les représentations et pendant les entractes du spectacle. Le foyer est incliné vers la scène, elle aussi à l'italienne puisqu'elle comporte une partie invisible au public : la cage de scène où est aménagée une machinerie qui permettait de produire des effets spéciaux et changements de décors. Cette machinerie, qui n'est plus utilisée aujourd'hui, est toujours en état de marche. L'inauguration du nouveau théâtre a eu lieu le 9 avril 1904 avec à l'affiche La Favorite de DONIZETTI. Depuis plus d'un siècle, il se dresse majestueusement sur l'avenue Victor Hugo. Aucune dégradation, ni rénovation sauvage, ni incendie ne l'ont dénaturé. Il a pris le nom de MOLIERE en 1983. Recensé parmi les 46 plus intéressants théâtres à l'italienne de France, il est inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, depuis le 26 septembre 2003. Cet édifice est aujourd'hui scène nationale de Sète et du bassin de Thau. Il accueille tout au long de la saison plus de 150 spectacles."
- C'est grâce à une "alerte" de Geneanet (sur le patronyme EUZET) que nous avons pu découvrir, le 08.02.2017, la date et le lieu du mariage de Vincent EUZET et de Sophie CASIER, le 05.05.1838, à Gouvieux (60). L'information initiale a été donnée par Mme Edmie MOREAU qui a fait un relevé des tables décennales de Gouvieux, entre 1794 et 1903. Plusieurs observations s'imposent, d'autant que ce n'est pas la première fois que des maillons manquants ... ne manquent plus grâce à ces alertes (ce fut le cas pour la branche de Diou, par exemple). En effet, ces alertes sont particulièrement utiles quand un membre d'une lignée quitte son village et sa région. Dans le cas de Vincent (originaire de Sète), nous savions qu'il était passé par Sarcelle et Paris mais il manquait toujours la date et le lieu de son mariage. La commune de Gouvieux était impossible à trouver, au milieu des centaines de communes de la région parisienne. Donc, première conclusion : un grand merci aux "releveurs d'actes" et, dans ce cas précis à Mme Edmie MOREAU. Ensuite, il a suffi de se reporter aux archives en ligne du département de l'Oise pour trouver l'acte de mariage. Mais nous voudrions profiter de ce cas d'école pour parler de Geneanet.
Ce site est devenu, au fil des ans, une espèce de grande banque des patronymes qui est mise gratuitement à la portée de tous. C'est, aujourd'hui, un outil incontournable, aussi bien pour ceux qui commencent la généalogie que pour les "anciens" qui cherchent à combler les vides de leurs arbres. Le perfectionnement de ce site est continu et il convient de remercier aussi bien les responsables que ceux qui mettent les résultats de leurs recherches sur Geneanet. Autre point très positif : quand un internaute se permet d'indiquer sur son arbre généalogique les noms et prénoms de personnes vivantes (notamment des mineurs) avec la filiation correspondante, le tout sans la moindre autorisation des intéressés, eh bien Geneanet sait prendre ses responsabilités. Ainsi, dans un cas d'abus de ce type, nous avons demandé courtoisement au "coupable" de retirer les données qui devaient rester confidentielles. Il n'a pas répondu malgé un rappel et les données en question sont restées en place. Nous sommes alors intervenu directement (par écrit) au siège parisien de Geneanet. Le site a immédiatement fait le nécessaire en supprimant les données litigieuses et en nous en informant. Voilà pour les côtés très positifs.
Cependant, comme nous le voyons déjà avec le dernier cas qui vient d'être évoqué, les problèmes tiennent plutôt à l'utilisation du site qu'au site lui-même. Dans notre fichier intitulé "Les erreurs à ne pas commettre", nous mettons progressivement en lumière d'autres problèmes : d'abord, le fait d'indiquer comme certaine une année de naissance pour des personnes ayant vécu au XIVe ou au XVe siècle est absurde, pour ces périodes où l'on ne possède pas les registres paroissiaux. Au mieux, c'est de l'inattention, au pire c'est, disons, de l'obstination, surtout quand nous signalons aux intéressés l'erreur et que rien ne bouge. Plus grave sont les nombreux cas où sont inventées des filiations et que, là encore, rien ne bouge quand nous demandons à connaître les sources de ces données : soit les responsables ne répondent pas, soit ils disent qu'il n'ont pas le temps, soit ils déclarent qu'ils ont repris les données sur un autre site. C'est là-dessus que nous voudrions nous arrêter. Geneanet et, plus globalement, Internet, est un "outil" qui, en soi, est neutre mais, pour mieux le dire, l'utilisation qui en est faite peut être excellente (c'est le cas ici des releveurs d'actes) ou déplorable (c'est le cas des internautes qui ne font que copier sans se soucier de l'exactitudes des données et qui ne veulent pas supprimer ce qui est, manifestement, inventé).
Espérons que ces quelques mots pourront faire réfléchir. Mettons en valeur les outils qui sont mis à notre disposition en essayant de promouvoir une pratique éthique de ces outils. (note écrite le 09.02.2017)
- Il faut ensuite souligner le rôle majeur que joue le Cercle généalogique de Languedoc (CGL) pour celles ou ceux qui commencent une recherche généalogique dont beaucoup d'éléments se trouvent ou sont susceptibles de se trouver dans les départements couverts par cette association. Certes, aujourd'hui, les mises en ligne successives de l'état civil de la plupart de ces départements rendent la recherche beaucoup plus facile mais il est clair que les associations telles que le CGL ont joué et jouent encore un rôle essentiel pour faciliter les recherches . Ainsi, dès le début, nous avons pu consulter les relevé des minutes des notaires de Sète du CGL (auteur : M. Philippe WALCKER ; informatisé et transmis par Mme Christine ROSADO, ou encore les relevés des contrats de mariage d'avant 1789 par Mme Josiane FEBVRET). [§ écrit le 17.06.2014]
Cependant, les méthodes qui ont été employées dans cette recherche ne sont pas forcément les plus rationnelles mais elles
sont dépendantes du fait qu'habiter loin du midi suppose, à chaque déplacement, de calculer le temps au plus juste pour tirer le
maximum de renseignements sur les différentes branches ou lignées. Il est clair, par exemple, que le renseignement essentiel trouvé
dans les minutes du notaire Antoine MERLE, le contrat de mariage entre Jacques EUZET et Claire GALIBERT, aurait pu être recherché plus
tôt, après le premier dépouillement des registres paroissiaux de Sète. Il a pourtant fallu attendre quelques mois pour aboutir aux
premières analyses des registres paroissiaux de Saint-Félix-de-Lodez.
Il y a cependant un intérêt à cette situation : celui de faire le point
sérieusement entre les courts passages aux services des archives et se donner le temps de mettre à jour le
site Internet qui est suivi régulièrement par plusieurs internautes.
C'est, finalement, la condition sine qua non pour que celui-ci soit un véritable site de
recherche. Cette conception d'un site qui se construit en direct à l'écran nous
paraît plus "riche" que celle d'un site où l'on donne les seuls résultats,
après des mois ou des années de "recherches souterraines". Bref, la
transparence permet de mieux formuler les problématiques.
Les quatre étapes d'une recherche
En fait, la démarche paraissait toute tracée par Joseph
EUZET, de Lézignan-Corbières, descendant lui-même des EUZET de Sète.
Ceux-ci seraient venus de la région d'Assas et de Castries, de l'autre côté
de Montpellier, après les guerres de religion.
C'est ce qui est indiqué aussi dans la préface de son livre
posthume sur Lézignan. Sans être aussi précis sur
les lieux d'origine, il nous avait indiqué que les Euzet de
Sète étaient des protestants venus, dès l'origine
de la ville, aider à construire le port.
La recherche a donc commencé par les protestants mais sans succès. Même si cette piste
n'est pas complètement abandonnée, elle demeure
fortement improbable, sauf dans le cas de protestants qui auraient
abjuré avant d'arriver dans cette ville. Il y a pourtant de
nombreuses sources. L'une des plus intéressantes est la
thèse de Jean-Claude GAUSSENT, intitulée : "Les protestants et l'Eglise
réformée de Sète. Milieu XVIIe-milieu XXe
siècles" (un texte plus allégé a été
repris dans un livre paru l'année suivante).
L'auteur écrit à la page 57 : "Les débuts du
protestantisme dans la ville dédiée à Saint Louis
sont difficiles. Privés de pasteur, de soutien spirituel et
social, il n'existe pas d'église organisée, les
protestants n'ont d'autre choix que le départ ou
l'abjuration". Il indique aussi, aux pages 46 et 47,
que "ces nouveaux convertis ou nouveaux catholiques sont pour la
plupart immigrés récents, les plus anciens sont là
depuis 14 ou 15 ans (...) On ne retrouve le patronyme d'aucun d'entre eux
dans le registre de l'église réformée de
Sète de la deuxième moitié du XVIIIe
siècle".
A la page 80, il précise : "Dans le nouveau port languedocien, la
communauté protestante ne résiste pas aux multiples
pressions exercées sur ses membres : à la
révocation ou peu avant, ils abjurent et sont pris dans la nasse
catholique. Il faut attendre les années 1730-1750 pour que les
réformés de Sète, très minoritaires,
prennent conscience de leurs solidarités".
Et à la page 107 : "La population réformée
sétoise passe d'une centaine environ vers 1750 à 200
en 1774 et à 400-500 à la veille de la révolution.
C'est un accroissement très rapide, un doublement tous les 20
ans qui s'explique par un solde naturel positif mais surtout par un
très important solde migratoire (...) vers 1760, la plupart de
ces protestants sont arrivés à Sète depuis peu".
A souligner aussi ce que dit André ENCREVE
dans la préface du livre de Jean-Claude GAUSSENT, paru en 1993 :
"Les débuts sont modestes : on compte environ 30 familles
protestantes à Sète en 1670 ; et encore sont-elles
contraintes à une abjuration de façade dans les
années 1680-1685. Longtemps, la communauté protestante
de la ville reste faible : en 1750, on peut estimer qu'elle ne
rassemble qu'une vingtaine de familles, guère plus d'une
centaine de personnes sur 3250 habitants".
Dans sa thèse, l'auteur ne cite jamais le nom d'un EUZET, AUZET
ou autre variante, parmi les premiers protestants du temps de la révocation de l'Edit de
Nantes mais on sait que les GALIBERT sont alliés aux EUZET. Or, il les cite.
En effet, les GALIBERT sont à Sète depuis 1671.
Catherine GALIBERT, veuve de Moysse FERRET, a abjuré le
16.10.1685 ; elle est originaire de Saint Hypolyte et épouse de
Moïse GUY. Antoine GALIBERT, originaire de Nîmes, abjure,
à Sète, le 27.03.1684. Il est à Sète
depuis 14 ans. Les indications sont donc précises mais il n'y
a rien concernant les EUZET.
Le registre paroissial de la paroisse Saint Joseph, pour la
période 1659-1684 ne conserve aucune trace d'EUZET parmi les
abjurations (ni d'ailleurs dans les baptêmes, décès,
mariages, parrains ou témoins). Cette première paroisse
de la ville est donc muette sur la présence d'EUZET dans
les premiers temps. De même, le premier registre protestant
conservé, qui commence en 1754, ne comporte aucun EUZET, quelle que soit la graphie.
Certes, Jean-Claude GAUSSENT ne donne pas tous les
noms des protestants trouvés dans les sources qu'il cite. Pour
être parfaitement certain, il faudrait donc se reporter
à ces sources qui sont essentiellement dans la série C
des Archives départementales de l'Herault (AD 34).
Un indice qui pouvait aller dans le sens d'une origine réformée est
le mariage de Jacques EUZET et de Claire GALIBERT, le 20 mai 1734,
compte tenu des antécédents protestants des
GALIBERT mais avec des abjurations lointaines qui remontent à 1684 et 1685.
De même, les PORTALES ou POURTALES se retrouvent
nombreux parmi les réformés du temple de Montpellier
mais, dans l'état actuel des recherches, les affirmations
de Joseph EUZET sont apparues non fondées. Comme toujours, les témoignages ne sont
pas à négliger mais ils doivent être soigneusement vérifiés.
A l'inverse, les preuves se sont accumulées du côté des
catholiques. Il faut d'abord noter que les premières familles alliées aux
EUZET se retrouvent chez les catholiques de Montpellier. Nous y voyons aussi bien des
BARRAL que des PORTALES ou des GALIBERT.
Par les BMS de Sète, nous savions aussi que Jacques EUZET-PORTALES était le fils de Guillaume EUZET et de Suzanne BARRAL (mais il n'y avait
aucune indication sur l'ascendance de Jacques EUZET-GALIBERT). Or, rien - a priori - ne pouvait faire penser qu'il s'agissait de la même personne.
Par contre, il était évident que les deux Jacques [si deux, il y avait] étaient parents, car il y avait des liens précis,
grâce à la présence de parrains et marraines signalés dans les actes de baptême.
Toujours à la recherche des origines du couple Guillaume EUZET-Suzanne BARRAL, un mariage en 1704, AUSSET-BARRAL, trouvé dans les
tables du chercheur Pierre BURLATS-BRUN, à la paroisse Saint Pierre de Montpellier, aurait pu faire penser que c'était le bon.
Malheureusement, il s'agissait d'un Pierre AUSSET marié à une Marie BARRAL, le 20 octobre 1704. Ce n'était donc pas le couple
recherché. Cependant, l'analyse du registre paroissial de la paroisse Saint Pierre pour le début du XVIIIe siècle n'avait pas
été sans intérêt. En effet, ces registres montrent des coïncidences surprenantes avec ce que nous connaissons des
premiers EUZET de Sète. C'est ainsi qu'à débuté la deuxième étape de la recherche.
Il était clair que tous ces jardiniers étaient liés entre eux et que c'était la piste la plus sérieuse pour retrouver
l'origine des EUZET de Sète. Certes, la trace de Guillaume EUZET-Suzanne BARRAL n'avait pas été repérée mais ce
n'était qu'une question de temps. En particulier, on pouvait penser que leur mariage s'était déroulé dans la commune d'origine
de ces BARRAL. Là aussi, l'étude des registres paroissiaux est précieuse car elle nous montre des origines en dehors de Montpellier
(par exemple, pour le baptême de Jeanne PORTALES de Montpellier, en 1713, le parrain et la marraine sont de Castelnau).
Dans cette "piste jardinière", il y avait peut-être un sillon prometteur, celui de Gignac. Cinq signes clairs démontraient les liens
entre les Euzet de Sète et Gignac :
- Jacques EUZET, jardinier, se marie avec Cécile PORTALES et les registres de l'église Saint Louis de Sète, signalent au 18
février 1748, qu'il y a eu trois bans "en cette paroisse et en celle de Gignac." Par ailleurs, alors que
pour le premier mariage avec Claire GALIBERT, il était simplement indiqué : "La bénédiction nuptiale a
été donnée à Jacques AUZET et Claire GUALIBERT, nos paroissiens", rien de tel n'est précisé pour ce
second mariage. Pourtant, la mention "nos paroissiens" ou "de notre paroisse" ne manque pas
d'être signalée pour tous les mariages de cette époque.
Par contre, pour le couple Jacques EUZET-PORTALES, il est simplement dit qu'il est le fils de Guilhaume EUZET et de Suzanne BARRAL, cependant qu'elle est
fille de Jean et de Cécile BOISSE. Les BMS de Gignac ne sont pas avares en BARRAL, GALIBERT ou autres PORTALES. La moisson est même riche.
Il y a notamment un couple qui se marie le 11.06.1724 : Jean PORTALES et Cécile BEYS. Entre BEYS et BOIS, la différence est minime ; ce sont
probablement les parents de Cécile PORTALES, mariée à Jacques EUZET en 1748. Quant aux BARRAL, ils sont nombreux à
Gignac, dès 1675. L'un d'entre eux est originaire de Final, diocèse de Modène en Italie (mariage à Gignac, en
1715). On trouve aussi un GALIBERT dès 1673.
- Jacques EUZET, jardinier (fils de Jacques et de Claire GALIBERT,
c'est-à-dire le
premier couple EUZET signalé dans les registres de l'église Saint Louis de
Sète, en 1734). se marie le 19.06.1759, à Gignac, avec Gracie SERANE (dont la
parenté se retrouve à Gignac et à Aniane).
- Jean Baptiste EUZET (fils de Jacques et de Cécile PORTALES) se marie le 29.07.1780, à Gignac,
avec Magdelaine CONDAMINE.
- Jacques EUZET, jardinier (fils de Jacques et de Gracie SERANE) se marie le
27.04.1784, à Gignac, avec Elisabeth FARRAND.
- Marie Françoise (fa de Jean Baptiste et de Magdelaine CONDAMINE) naît à Gignac, vers 1795
Ainsi, de 1748 (au moins) à 1795 (au moins), c'est-à-dire pendant un demi-siècle, il y a eu des liens serrés
entre les EUZET de Sète et des familles de Gignac. On peut difficilement dire que c'était fortuit.
De plus, les BMS de Saint-Félix-de-Lodez montrent qu'il y avait un "EUZET de Gignac", marié à une
certaine Elisabeth (le patronyme est peu lisible), en 1744, sans qu'il soit possible, pour le moment, de mieux le situer (voir
les Euzet de Saint-Félix-de-Lodez).
Dans ces conditions, ne pouvait-on conclure que les EUZET de Sète
étaient originaires de Gignac ? Et pourtant, le dépouillement des BMS de Gignac
reste muet sur ces EUZET, en dehors de ce qui est cité plus haut. Alors, ne sont-ils
pas issus d'une commune proche de Gignac ? Il y avait un mas d'Euzet à Bélarga,
au Moyen Age. Peut-être que la piste était par là. Bélarga est à
41 km de Sète et Gignac à 57 km. A noter aussi que le site de Family Search des
Mormons indique des AUZET à Cabrials vers la mi-XIXe siècle. Or, Cabrials est
à un peu plus de 30 km de Sète et il y a un mas BARRAL près de ce village.
Une vérification s'imposait donc dans ce secteur (nous avions d'ailleurs pu commencer grâce
à l'aide de la chercheure Andrée MILAN pour la commune de Saint-André-de-Sangonis).
A priori, les nombreux EUZET de Sète qui suivent devaient tous être les descendants de ce
Guillaume EUZET. Enfin, contrairement à ce que nous pensions, Guillaume EUZET n'était
pas jardinier mais cordonnier. Comme pour les branches de Saint-Bauzille-de-Putois, de
Puéchabon, d'Aniane ou de Montpellier, nous retrouvons ce métier "passe-partout" dans la
création de nouveaux rameaux qui deviennent aussi vigoureux que le tronc d'origine.
Lignée inconnue ou branche d'une lignée déjà connue ? les BMS de Saint-Félix-de-Lodez
donnent la réponse, par les liens avec Gignac et Viols-le-Fort, c'est-à-dire avec
le Triadou (ou Cazevieille, puisque des EUZET de Sueilles étaient aussi installés à Viols) ... et donc aussi avec Assas. Comme quoi,
il faut rester attentif à toutes les
informations, même celles qui semblent ressortir uniquement des mémoires familiales.
En ce sens, les indications de Joseph EUZET, de Lézignan-Corbières, en sont un bel
exemple :
- Les EUZET de Sète, à l'origine, étaient-ils protestants ? A priori non puisque cela semble bien être la lignée
catholique du Triadou ou de Cazevieille.
- Ces mêmes EUZET étaient-ils originaires d'Assas et de sa région ? A priori non,
dans la mesure où où le lien le plus logique est Aniane et, avant, le mas de Prat et Viols-le-Fort.
- Pourtant, les registres paroissiaux d'Assas font ressortir que les EUZET d'Aniane ont fait des
aller-retour à Assas. L'un d'eux, Jean, s'y est même installé et y a fait
souche avec une EUZET d'une branche initialement protestante et présente à Assas dès le XVIe
siècle, Anne EUZET. Ainsi, la boucle paraissait bouclée : l'origine
principale est bien le Triadou ou Sueilles (catholique) mais l'origine indirecte est Assas (catholique et
protestante). Comme quoi, les "légendes familiales" comportent toujours une part de vrai
(voir les Euzet du Triadou (12) : les branches d'Assas et
les Euzet d'Assas )
Une étude plus rationnelle des minutes notariales de Sète a vite démoli cette construction. En particulier, une minute du 24 janvier
1780 (notaire Pierre GOUDARD 2 E 90 32 f° 147) consacre le partage des biens, après le décès de Jacques EUZET, entre ses huit
enfants (Jacques, Jean Jacques, Jean Louis, Elisabeth, Jacquette, Mathieu, Jean Baptiste et Marie Roze) et "ladite Marie MONTAIGU, sa
troisième femme". Un peu plus haut dans le texte, on précisait le nom et la situation de cette femme : "Marie
MONTAIGU dite ROCOUR, veuve de Jacques EUZET père, demeurant à Sète". Un renvoi était fait au dernier testament de
Jacques EUZET, en 1777, et à leur pacte de mariage, en 1762. D'autres actes montrent aussi les relations difficiles entre les huit
enfants et cette dame ROCOURD. Grâce à toutes ces pièces, il est désormais possible de dresser un état de la fortune de
Jacques EUZET mais, surtout, les prénoms des huit enfants et, pour certains, les noms de leurs conjoints, sont sans ambiguïtés : la
première épouse de ce Jacques EUZET était Claire GALIBERT. Il s'est marié trois fois et il est le seul fondateur de la branche des EUZET de Sète.
Aujourd'hui (24.10.2017), quand je relis le texte ci-dessus qui relate les premiers pas de mon enquête (en 2000-2001 environ), j'ai l'impression qu'il s'agit d'un monde ancien, d'une époque entièrement révolue, pour plusieurs raisons. D'abord, évidemment, parce que je n'avais qu'une faible connaissance de ce que l'on pouvait chercher dans les dépôts d'archives, en particulier dans les Archives départementales. Je n'avais aussi qu'une faible connaissace de ce que l'on pouvait apprendre par les revues spécialisées. J'étais obnubilé par ce qui est ensuite apparu comme des légendes familiales sans fondements (ici, l'origine protestante des premiers arrivants à Sète). Surtout, la technologie disponible était sans commune mesure avec ce qu'elle est maintenant. Les appareils de photos numériques n'existaient pas. Prendre des photos avec un appareil argentique coûtait cher et sans garantie sur la qualité des clichés. Avec le numérique, on peut désormais prendre des centaines de photos dans la même journée, sans coût supplémentaire, et que l'on peut contrôler à mesure des prises si on le désire. Revenu chez soi, on peut enregistrer ces photos sur un ordinateur, ce qui permet une possibilité d'étude très confortable, étalée dans le temps, avec l'aide de logiciels photos pour aboutir à des clichés d'une bonne qualité et bien (re)cadrés. Quant aux ordinateurs et aux logiciels, inutile de dire que les performances sont sans comparaison avec ce que l'on pouvait disposer en 2000. La numérisation de l'Etat civil, réalisée dans la plupart des départements, permet aussi un travail à distance. On voit bien toute la différence avec les départements qui sont encore à la traîne dans ce développement technologique (le Gard, hélas, en est un triste exemple !). Les grandes salles de lecture sont désormais surdimentionnées car les déplacement dans ces lieux ne se justifient que pour étudier ce qui n'est pas encore en ligne sur Internet. Or, les mises en ligne se multiplient partout : minutes notariales, dossiers militaires, Enregistrement, Hypothèques, inventaires divers, etc. Les lecteurs de microfilms disparaissent peu à peu, alors que c'était un moyen privilégié pour progresser dans les locaux des Mormons. En fait, les innovations sont constantes et multiples. Les revues spécialisées se multiplient, les grands sites nationaux et internationaux mettent à disposition (pas toujours gratuitement) des informations que l'on aurait bien du mal à trouver seul. C'est à qui mettra en ligne la presse ancienne (Conseils régionaux, départementaux, Archives municipales, Archives départementales), sans oublier le rôle énorme joué par la Bibliothèque nationale de France. Ainsi, le paysage d'aujourd'hui n'a rien à voir avec ce que l'on connaissait il y a une quinzaine d'années. A l'époque, les associations de généalogie étaient quasiment indispensables si l'on voulait accélérer ses recherches. les forums spécialisés qui se sont développés à partir de cette époque ont ensuite permis une accélération des réponses aux questions que l'on pouvait se poser. Bien sûr, tous ces "anciens outils" existent encore et jouent un rôle non négligeable, en particulier pour le côté convivialité qui tend à disparaître avec les "nouveaux outils". Devant de tels changements, on peut se demander ce que l'avenir nous réserve encore. Quelles technologies seront disponibles en 2027 ? Peut-être que les mises en ligne actuelles feront l'effet que donnent les films en noir et blanc par rapport aux films en couleur ... |
Informations sur les conjointes et les conjoints de Euzet.
Voir aussi Les patronymes des conjoint(e)s
A. B. C.
D. E. F.
G. H. I.
J. K. L.
M. N. O.
P. Q. R.
S. T. V.
W.
A Cécile ANTHÉRIEU
le 21.09.1919, suite à un jugement rendu par le tribunal civil de Montpellier, une vente sur licitation du domaine d'Etienne ANTHÉRIEU est organisée (audience des criées, le 13.10.1919) ; la demanderesse est Berthe PÉRIER, veuve d'Etienne ANTHÉRIEU ; les défendeurs sont : 1/ Joseph ANTHÉRIEU (négociant à Frontignan), 2/ Alexandre ANTHÉRIEU (négociant à Frontignan), 3/ Elisabeth ANTHÉRIEU, épouse de Maurice PAULET, 4/ Maurice PAULET, (lieutenant-colonel d'infanterie coloniale, "agissant tant pour l'autorité maritale qu'en toutes autres et meilleures qualités"), 5/ Mathilde ANTHÉRIEU (veuve de Georges CAMPAGNE, à Paris), 6/ "Charles EUZET (employé de commerce, domicilié à Cette, veuf de cécile ANTHÉRIEU, agissant tant en son nom personnel que comme tuteur légal de ses six enfants mineurs)" ; l'insertion parue dans Le Petit Méridional donne une description précise des immeubles à vendre, répartis en 24 lots dont "un vaste et important domaine dénommé Domaine Saint-Jacques situé dans la ville de Frontignan, d'une superficie totale de 11 hectares 34 ares 53 centiares environ dont un parc d'un hectare environ, avec noria pour l'arrosage, comprenant maison de maître, logements pour les domestiques et le jardinier, hangars, caves", etc. et 10 hectares 1/2 de vignes avec 44.700 souches dont 11.000 muscat. ; il y a aussi cinq autres maisons (dont une à usage de chaix et de commerce de vin) et encore une propriété dénommée Villa Saint-Etienne, toutes à Frontignan ; s'ajoutent des pièces de vigne,des hermes, des marais et des cuves en bois ; l'ensemble qui est répertorié avec précision (noms des vignes, n° des pièces et sections du cadastre, animaux, instruments et matériel, etc.) comprend toute la page 6 du Petit Méridional du 21.09.1919. Génération7-Galibert Publicité ANTHÉRIEU-PÉRIER
ARNAL Emmanuel Médard fs Pierre (voiturier en 1820, propriétaire en 1841-1844, à Montagnac) et Jeanne FOURNIER (sans profession, + 08.03.1841, à Montagnac), domiciliés à Montagnac (34) ; ° 08.06.1820, à Montagnac ; le 17.02.1844, vente par Jean Jacques Amédée de CAVAIGNAC d'un terrain à bâtir, à Sète, pour un montant de 7340 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète - à compléter) ; domicilié à Sète quand il se marie ; boulanger ; x Elisabeth Honorine EUZET, le 09.09.1844, à Sète ; il signe Emmanuel ARNAL ; Cm, le 10.09.1844 avec Elisabeth Honorine EUZET (fa Antoine et Marie Rose THEULON) : le régime est dotal ; son père lui donne en dot 1500 francs en espèces d'argent (que le futur reconnaît avoir reçus peu avant l'acte), plus 1500 francs en la valeur de meubles meublants, batterie de cuisine, ustensiles et linges de ménage (que le futur déclare avoir en sa possession) et 200 francs en la valeur de dorures, bagues et bijoux (que le futur déclare avoir reçus) ; les linges de corps et effets d'habillement sont propres à la future et ne font pas partie de la constitution de dot ; le futur reconnaît les sommes données sur tous ses biens présents et à venir et s'oblige à les lui rembourser ou à qui de droit, le cas de restitution arrivant ; Antoine EUZET se réserve le droit de retour pour le cas de prédécès d'Honorine avant lui, sans qu'elle laisse de postérité ; l'acte est fait en l'étude où tous signent (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) - à noter que le Cm est passé le lendemain du mariage civil ; le 17.08.1846, le couple contracte un prêt de 3000 francs auprès de Jean Baptiste Marie DOUMET (notaire Alexandre Junior CAZALIS - à compléter) ; le 24.04.1851, avec son épouse, il emprunte 5500 francs à Jean Louis BOUSQUET (ancien magistrat, demeurant à Sète) ; la somme est payée en espèces d'argent et en trois billets de banque dont deux de 1000 francs chacun et un de 500 francs ; la somme est retirée immédiatement ; le couple s'engage à rembourser solidairement dans le délai de 5 ans, avec un intérêt de 5 % l'an, par avance à partir de ce jour ; BOUSQUET reçoit 275 francs pour la première année des intérêts et il en fait quittance ; pour sûreté, "une maison est hypothéquée, rue des casernes, confrontant du nord CAZALIS et de BOSC, du sud LEINGRE, de l'est la dite rue et de l'ouest le champ de mars ou MICHEL" ; cet immeuble a été construit par M. ARNAL sur un emplacement acquis de Jean Jacques Amédée de CAVAIGNAC (receveur particulier des finances de l'arrondissement de Montmorillon, y demeurant, agissant comme tuteur légal de ses trois filles mineures, nées du mariage avec Marie Louise de BOSC, décédée, demeurant avec lui à Montmorillon) ; conditions de l'acte : 1/ les paiements se feront en l'étude ; 2/ les emprunteurs ne pourront se libérer par fraction avant le terme sans le consentement écrit de BOUSQUET ; 3/ en cas de décès, les héritiers seront tenus solidairement de la dette ; 4/ la déchéance sera de plein droit et BOUSQUET aura la faculté de réclamer le remboursement du capital avant les 5 ans, à défaut du paiement des intérêts échus dans le mois du commandement demeuré infructueux ; 5/ les emprunteurs s'obligent à faire assurer la maison et de déléguer dans la police d'assurance le paiement des indemnités en cas de sinistre, entre les mains de M. BOUSQUET jusqu'à concurrence de sa créance et ce préférablement à tout créancier ; 6/ les emprunteurs seront tenus de justifier du paiement de la prime annuelle de l'assurance, à chaque échéance des intérêts, à défaut de quoi M. BOUSQUET sera en droit de payer lui-même cette prime et d'en réclamer le remboursement aux emprunteurs qui seront tenus de l'opérer dans le mois à peine de déchéance du terme ; 7/ ce prêt a lieu pour fournir aux emprunteurs le moyen de payer a) à Jeanne Marie Marguerite CAVAIGNAC la somme de 2446 francs 67 centimes pour le tiers lui revenant sur la somme de 7340 francs, prix du dit emplacement, 22 francs 42 centimes pour l'intérêt de ce tiers, du 17 février jusqu'à ce jour, 8 francs 25 centimes pour les frais de la grosse de l'acte de vente du 17.02.1844. Total à payer à Mlle de CAVAIGNAC : 2477 francs 34 centimes et, b) aux héritiers de Jean Baptiste Marie DOUMET (ancien officier de cavalerie), la somme de 3000 francs, à eux due, en vertu d'un acte d'obligation du 17.08.1846, passé devant le notaire CAZALIS, de Sète. Le total à payer est donc de 5477 francs 34 centimes ; 8/ Les emprunteurs s'obligent solidairement à employer la somme prêtée à ces deux payements et à déclarer l'origine des deniers, de manière à ce que M. BOUSQUET soit subrogé à tous les droits, actions, privilèges et hypothèques de Mlle de CAVAIGNAC et des héritiers DOUMET, contre les emprunteurs et, spécialement, aux inscriptions d'office faites au bureau des hypothèques de Montpellier (...) 9/ Les héritiers de M. DOUMET devront en consentant la subrogation se porter caution des emprunteurs pour le payement du capital qui leur sera remboursé, ainsi que des intérêts, et garantir la solvabilité actuelle et future des emprunteurs (...) ; interviennent alors : 1/ Antoine Augustin Désiré COUSTAL (aspirant au notariat, à Sète), mandataire de Jeanne Marie Marguerite de CAVAIGNAC, 2/ Louis Emile Auguste DOUMET (maire de Sète, chef d'escadron en retraite), en son nom et mandataire de Paul Anacharsis DOUMET (son frère, propriétaire, membre du Conseil général de la Nièvre, demeurant au château de Baleine, commune de Villeneuve), les deux seuls enfants et héritiers de Jean Baptiste DOUMET, leur père ; ils reçoivent des mariés ARNAL-EUZET : M. COUSTAL, en trois billets de banque, deux de 1000 francs et un de 500 francs, sur lesquels il a remboursé en monnaie 22 francs 66 centimes, et M. DOUMET, en espèces d'argent, 3000 francs, soit, en tout : 5477 francs 34 centimes (...) par suite, M. BOUSQUET se trouve subrogé aux droits, actions, privilèges et hypothèques et à l'utilité des inscriptions hypothécaires correspondantes ; l'acte est fait dans les maisons respectives des parties qui signent, sauf M. BOUSQUET qui a dit ne pouvoir signer à cause de l'affaiblissement de sa vue, causé par la maladie et par l'âge (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète - à compléter) ; le 19.11.1859, Pierre Paul PIEYRE et son épouse, Marie Cécile HILLE, lui vendent un domaine à Frontignan pour 1200 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; par le même acte, la créance fut convertie en une rente annuelle et viagère de 150 francs, payable par moitié de 6 en 6 mois, par avance, les 13 mars et 13 septembre de chaque année, rente qui doit être éteinte le 12.03.1875 ; cette vente a été déléguée à Jeanne MARMIÈS ("garde de couche", veuve de Barthélémy LEMAREIQUIER, qui avait vendu ce domaine aux mêmes conditions à P.P. PIEYRE, le 13.05.1855)
B Marie-Marthe BROCHE des COMBES (de)
BUTGES Suzanne fa Pierre (tonnelier ; il ne sait pas signer ; + 22.02.1867, à Sète) et Claire OLIVIER (sans profession ; elle ne sait pas signer ; elle habite à Sète ; ° 08.02.1839, à Sète ; le déclarant est son père qui indique que la naissance a eu lieu dans son habitation, "descente du Perron" ; épicière ; x1 Joseph DERIS (tonnelier, + 29.07.1868, à Sète) ; x2 Michel EUZET (fs François Alexandre et Marie Rose CANNAC, veuf de Marie CASTAN), le 07.02.1874, à Sète ; pas de Cm ; seuls signent les 4 témoins : 2 tonneliers, 1 limonadier et 1 journalier ; signalée au recensement de Sète de 1876 comme épicière, avec le prénom de Philomène et le nom de BUGE et 6 enfants : Jean Baptiste EUZET (en fait, Baptiste), Louise EUZET, Rosalie EUZET, Jean Baptiste DERIS, Anaïs DERIS et Cécile DERIS (les 3 derniers sont indiqués "famille EUZET" (c'est-à-dire issus du premier lit de Suzanne BUTGES et vivant au foyer de leur beau-père, Michel EUZET), "rue des Cercleurs" ; les 3 premiers sont les enfants du premier lit de Michel EUZET (avec Marie CASTAN) ; signalée au recensement de Sète de 1881 comme cafetière, avec le nom de BUZE et le prénom de Suzanne et 6 enfants : Anaïs EUZET (en fait, Anaïs DERIS), Louis EUZET (18 ans, soutireur (il reste à déterminer), Cécile DERIS (nom écrit THÉRIS ; 17 ans ; couturière), Rosalie EUZET, Jean Baptiste DERIS (nom écrit THÉRIS ; 21 ans ; plâtrier ; absent) et Jean Baptiste EUZET (en fait, Baptiste ; marin ; absent), "rue des Cercleurs" ; veuve, le 31.07.1882 ; signalée au recensement de Sète de 1886 comme limonadier, chef de ménage, avec le nom de BUGE et le prénom de Suzanne, et 2 enfants : Baptiste DERIS (26 ans, plâtrier) et Anaïs DERIS (24 ans, sans profession), maison Castanier, "rue de la Révolution". Génération5-Portalès
C Les signatures de François CALAS et de Claire EUZET, le 19.12.1793
CALVET Marie fa François (plieur de cercles, + 23.02.1867, à Sète) et Aline Thérèse LAYDE (sans profession, + 26.08.1845, à Sète) ; ° 31.07.1838, à Sète ; sans profession ; x1 Jean LAURENS (+ 31.01.1874, à Sète) ; x2 François EUZET (fs Jacques et Anne DUFFAUD), le 03.12.1874, à Sète ; pas de Cm ; elle ne sait pas signer ; il n'y a pas non plus de signature de sa mère, seule survivante des quatre parents, le jour du second mariage ; le 12.10.1888, elle fait donation de ses biens "qu'elle pourra laisser à son décès" à son mari, François EUZET ; "elle le dispense de caution, à raison de l'usufruit qui pourrait se trouver compris dans ce legs, au cas d'existence des enfants qu'elle a de son premier mariage" ; François EUZET accepte la donation ; l'acte est fait à Sète "Grande rue Haute, n° 62, dans une pièce au rez-de-chaussée, au fond d'une cour" (qui est la demeure du couple) où le notaire a été requis de se rendre ; les témoins instrumentaires (qui, seuls, signent) sont Etienne GELY (receveur d'octroi) et Jean Baptiste BIRON (commis négociant), de Sète ; un acte identique de donation a été fait par François EUZET à Marie CALVET, immédiatement avant (notaire Jean Jacques HILAIRE, de Sète) Génération4-Portalès
La signature de Rosa CAYROL
COMBES Jean fs Hilaire (tonnelier) et Rose PORTES (sans profession) ; ° 25.03.1838,
à Sète ; propriétaire ; x1 Anne Amélie POUS (sans profession, + 06.10.1885, à Sète) ; x2
Françoise EUZET (fa Antoine et Céline FAURE), le 24.08.1887, à Sète ; pas de Cm ; il signe mais pas sa
mère ; au recensement de Sète de 1931, son épouse est signalée comme chef (de ménage) avec leur fille Céline et leur fils Honoré, ce dernier étant gérant de la maison Joseph EUZET, au "18, quai Noël GUIGNON" ; + 14.02.1930 (indication sur le mausolée familial, au cimetière marin de Sète) ; ce mausolée qui est aussi celui des frères Honoré et Joseph EUZET, menacé de destruction en janvier 2001, est bien en place en mai 2011. Génération6-Galibert L'indication de la date du décès de Jean COMBES
CONDAMINE Madelaine fa Jean (brassier) et Jeanne DUBOIS, de Gignac ; ° 31.01.1760, à Gignac ; b 04.02.1760, paroisse Saint Pierre, de Gignac (p : CASTAN, son grand-oncle d'Agde qui signe, m : Madeleine DUBOIS, sa tante qui ne sait pas signer) ; x Jean Baptiste EUZET (fs Jacques et Cécile PORTALES), le 29.07.1780, à Gignac ; sont présents au mariage, Mathieu FAUQUIER, Antoine BONNIOL (cordonnier de Gignac), Laurens FARRIÈRE (maître cordonnier), Jacques PORTALES (tisserand) et Mathieu FAUQUIER (bourrelier) ; elle ne sait pas signer ; enfants à Gignac de 1780 à 1795 ; + 26 frimaire an V (16.12.1796), à Gignac, "dans la maison de son mari" ; dans l'acte de décès, le patronyme est écrit CONDAMINES mais, en marge, c'est CONDAMINE ; dans l'acte de naissance, la forme est proche de CONDAMINES. Génération 2-Portalès
D
E
F La page du mariage FABRE/EUZET
FABRE Jean Baptiste Marius Antoine fs Antoine (garçon voilier, + à Montpellier, le ?) et Claire BAILLE (sans profession) ; ° 27.02.1806, à Agde (34) ; x Rosalie, Antoinette EUZET (fa Antoine et Claire PARAILLAC), le 20.05.1831, à Sète ; marin ; domicilié à Sète ; il ne sait pas signer ni sa mère ; le 25.08.1842, le Tribunal de première instance de Montpellier autorise son épouse, Rosalie EUZET, à contracter et, en effet, avec les autres cohéritières, elle vend, le 11.09.1842, une maison située à Sète, à Jean Joseph OLIVET (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète) ; le 19.10.1847, elle reçoit 510 francs de la part de l'acheteur, correspondant à sa part dans cette vente et aussi à celle de sa soeur Gracie ((notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète) ; c'est dans cet acte que l'on voit les références du jugement et de la vente de la maison et le notaire indique que FABRE est "présumé mort ou absent" ; dans le recensement de Sète de 1851, Rosalie, "sa veuve" habite "rue Hôtel de ville". Génération4-Galibert
G
La signature de Catherine GOUDARD
GOUDARD Emile Joseph Cyprien fs Alexandre (négociant + 04.07.1890, à Sète) et Marie Marguerite NICAUD (sans profession + 08.01.1872, à Sète) ; négociant ; x Marie Louise Catherine EUZET (fa Hilaire et Marie Delphine Augustine BARDY), le 01.07.1895, à Sète ; pas de Cm ; il signe ; il est présent aux obsèques de Marie BARDY, veuve d'Hilaire EUZET, le 28.08.1924, ainsi que leur fils, André GOUDARD. Génération6-Portalès
H
J
L
M
N
Liste des patronymes des mères de conjoint(e)s :
ACCADIES, ARAGON, ARGELLIER, ARMANGAU, ASTRUC,
AUDOUIN, AUGERAU
,
BABIOL, BADELOUX
, BAILLE 1,
BAILLE 2, BARRAU,
BATTELIER, BAUDON,
BEDOS, BERCK, BERNARD,
BESSIERE, BEZONQUET
, BIART,
BOEUF,
BOISSE,
BOISSEUIL, BONNARIC
, BONNEL, BOUILLON 1, BOUILLON 2, BOUNY,
BOURRILLON, BRAU,
BRAVET, BREZET,
CALVET, CARRIES
, CATHALA,
CAUQUIL, CENDRAS,
CHALIER 1, CHALIER 2,
CLAS, COMBES,
CONSOLIN, CORNEVIN
, COSTALLAT,
COSTE, COUSTOU,
CUILLERET,
DAROLLES, DAUMAS, DAUSSE
, DAVID 1, DAVID 2
, DEFARGES,
DELBOIS, DELPECH
, DEON,
DIANE, DOMBRE, DOUARCHE, DOYEN, DUBOIS
EYMAT,
FABRE 1, FABRE 2
, FABRE 3, FABRE 4, FABREGUES, FADAS, FIAT 1, FIAT 2, FOUQUE, FOURNIER
, FRANC, FUZY,
GABAUDAN, GAILLARD
,
GAUDIMARD, GAUSSEL,
GAUTIER 1, GAUTIER 2, GAUZI, GAUZY,
GINIEYZ, GIRAUD, GLEIZES, GOUDARD, GRAND, GRANIER 1, GRANIER 2, GRISON,
GUIRAND, GUIRAUD,
HUJOL, HULLOT,
JAFFRE, JALIBERT
, JAMBON, JONQUET
, JUGE,
LABEILLE 1,
LABEILLE 2 LACAZE, LACROIX, LATTES, LAYDE, LEBLANC, LEONARDI,
MAFFRE, MANIVET
, MARMIES, MAURIN, MENARD, MERLY,
MONCHESKY,
NICAUD, NIQUET, NOUGARET,
PATRAULT,
PERIER, PIOCH, PINGOT, PLANQUES, PONTIE, PORTES 1, PORTES 2, PRADIER,
RAGOUNE, RAMEZE, RAYNAUD, REBOIS, RECOULY 1, RECOULY 2, RIBOT, RICHARD, RIGAL, RIVET,
ROCHE, ROQUES, ROUMAGNAC
ROUSTAND
SABATIER, SALLES, SAUREL, SAUVAIRE,
SERANNE,
SOULAGE,
TIPLE, TRIAIRE 1, TRIAIRE 2, TROUILHET,
VALAT, VEBLE,
VIALA,
VIDAL 1, VIDAL 2
, VIDAL 3, VIGNAL, VINCENT.
ABADIE Jean Marie fs Louis (maçon) et Jeanne COSTALLAT (sans profession) domiciliés à Sète ; ° 20.11.1842, à Lourdes (Hautes-Pyrénées) ; maçon ; domicilié à Sète ; x Françoise EUZET (fa Jacques et Gabrielle DEVILLE), le 31.10.1878, à Sète ; pas de Cm ; il signe mais ses père et mère ne savent pas signer ; signalé au recensement de Sète de 1891 comme maçon, avec son épouse et un fils (Denis Paul ABADIE, 11 ans 1/2), "rue Caraussanne 1" Génération4-Portalès
ANTHÉRIEU Cécile Marie fa Etienne Philippe (négociant, 36 ans en 1888, il signe ; + 31.12.1916, à Frontignan) et Berthe Marie Philomène PÉRIER (sans profession, 35 ans en 1888), domiciliés à Frontignan ; ° 14.09.1888, à Frontignan ; x Joseph François Charles [fs Jacques Honoré (dit Henri) et Rosalie Eugénie JULLIAN], en 1908 ?, à Frontignan ? (la naissance de Marthe ayant eu lieu en 1909, il est probable que le mariage a eu lieu à Frontignan en 1908) ; signalée au recensement de Frontignan de 1911, avec son mari, deux enfants (Marthe et Pierre) et une domestique, "rue des Ordillons" ; son mari est alors employé de commerce chez ses parents ; le couple a dû s'installer ensuite à Sète, commune où naissent trois autres enfants, de 1915 à 1918 ; les familles ANTHÉRIEU et PÉRIER paraissent être parmi les plus importantes de Frontignan ; on voit, par exemple, que c'est un PÉRIER qui est maire de la ville en 1908-1909 ; le domaine Saint-Jacques du couple ANTHÉRIEU-PÉRIER est certainement un des plus connus à cette époque ; l'Annuaire de l'Hérault (1908 et 1909) comprend une publicité sur une page des grands vins du domaine Saint-Jacques ; une ANTHÉRIEU est directrice de l'école maternelle pendant ces années ; plus tard, par exemple en 1931, Victor ANTHÉRIEU est maire de la ville et conseiller général du canton de Frontignan ; + 19.10.1918, à ? ; (+) 22.10.1918, à Frontignan (avis de décès dans L'Eclair du 22.10.1918) ;
(Archives de Mme Marie-Bénédicte EUZET)
(Annuaire de l'Hérault de 1908)
le 14.02.1860, il s'associe à ses beaux-frères Modeste et Honoré EUZET, dans une "Société en nom collectif pour faire le commerce dans la ville de Cette. Le opérations de ce commerce comprendront les achats et ventes de vins. La durée de cette société sera de quatre années qui commenceront aujourd'hui même et finiront à pareil jour de l'année 1864. La raison de commerce sera EUZET frères et ARNAL. Chacun des associés aura la signature sociale et cette signature n'engagera que quand elle aura pour objet des affaires concernant le commerce des associés. Le fonds capital de cette société se compose de toutes les sommes et valeurs qui seront versées par les associés. Les apports seront constatés par les livres et portés au crédit de celui des associés qui les aura fournis. La répartition des bénéfices sera faite chaque anée par portions égales entre les associés à l'époque qu'ils fixeront. Les pertes seront supportées dans le mêmes proportions. L'intérêt des sommes fournies par chacun des associés sera prélevé avant le partage, à raison de 5 % l'an. Le siège de la société sera à Cette. A la dissolution de la société, le fonds capital sera retiré par chacun des associés dans la proportion de sa mise de fonds. En cas de décès de l'un des associés, la société sera dissoute de plein droit. Dont acte. L'acte est fait en l'étude où signent les parties (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; le 19.02.1863, le notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète enregistre une ouverture de crédits de 20.000 francs par le banquier REYNAUD (de Sète) pour cette société ; en sûreté de ce crédit, des immeubles sont hypothéqués. Pour ARNAL, il s'agit d'une maison qu'il possède rue des casernes (lot n° 12 de la section B du cadastre) ; elle confronte au nord CAZALIS, au sud FALGUERETTES, à l'est la rue et à l'ouest le champ de mars ; cet immeuble suit l'acquisition qu'il fit du sol, par acte du notaire VIVAREZ du 17.02.1844 ; il est précisé qu'il a fait à ses frais les constructions existantes sur ce terrain dont il déclare avoir payé le prix ; l'acte rappelle son contrat de mariage, sous le régime dotal mais la dot se réduit à 3000 francs ; en marge, son épouse, Honorine EUZET se porte caution solidaire de son mari (à hauteur des 3000 francs, les autres biens étant paraphernaux) ; les frères EUZET hypothèquent aussi un terrain (voir à leur article, à la génération 5) ; le 19.03.1866, toujours chez le notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ de Sète, Emmanuel ARNAL et Honorine EUZET reconnaissent devoir solidairement 6000 francs à Françoise BÉNÉZECH (épouse de Jean Louis Justin DUCAS, vérificateur des douanes, d'Agde) ; le remboursement doit se faire dans un délai de 5 ans avec un intérêt de 5 % l'an ; pour sûreté de cette créance, le couple hypothèque ses immeubles, à savoir "une maison située à Sète, rue des casernes, n°12, de la section B du cadastre, confrontant du nord CAZALIS, du sud FALGUEIRETTES, de l'est la rue et de l'ouest CAFFAREL, plus un petit domaine à Frontignan, au quartier de la Peyrade (deux vignes, une baraquette et leurs immeubles par destination) et le septième indivis d'un jardin potager avec maisonnage et puits à roue, section B du cadastre de Sète, n° 1888 bis, 1889 et 1890 (pour une partie pour ces deux derniers numéros) ; ce jardin confronte de l'est le glacis communal, de l'ouest AURIOL, du nord un chemin dit de la glacière et du sud PERIDIER" (l'origine de ce jardin vient de la succession d'Antoine EUZET, père d'Honorine), lequel est décédé le 21.03.1854 (et non 1853 comme c'est écrit dans l'acte), sans testament (pour plus de détails, voir l'article d'Honorine EUZET) ; le 03.01.1870, avec son épouse, il emprunte 4000 francs à trois soeurs DUSSOL (Marie, religieuse dominicaine, à Sète ; Rosine, religieuse des filles de la Charité de St-Vincent-de-Paul, à Montereau ; Jeanne Isabelle, seule présente et représentant ses soeurs) ; les emprunteurs s'engagent à rembourser dans le délai de 10 ans, avec un intérêt de 5 % l'an, par moitié de 6 en 6 mois et d'avance à partir de ce jour ; le 1er semestre est payé et une décharge est délivrée ; pour sûreté, il hypothèque la maison à Sète et le domaine de Frontignan (voir la description de ces immeubles dans le prêt VIVAREZ de 1886) ; les conditions sont les suivantes : possibilité de se libérer par anticipation (acomptes d'au moins 1000 francs), simple commandement de payer suffisant pour récupérer le capital (en cas de non paiement des intérêts), obligation solidaire des héritiers (en cas de décès), transport par Honorine EUZET aux soeurs DUSSOL de ses droits à exercer sur son mari (et elle les subroge à due concurrence) ; il est rappelé que ces immeubles sont grevés de l'hypothèque dotale d'Honorine EUZET (3200 francs), de l'hypothèque au profit de Madame BOURBON, née NICOLAS (5000 francs) et de l'hypothèque au profit de Madame DUCAS, née BÉNÉZECH (6000 francs) ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ;
le 07.03.1870, avec son épouse, il reconnaît devoir 6000 francs à Françoise BÉNÉZECH, épouse de Jean Louis Justin DUCAS, depuis un acte du 19.03.1866 et aussi 5000 francs à Octavie NICOLAS, épouse de Marc BOURBON, depuis un acte du 13.02.1860 ; cette somme de 5000 francs est alors payée par Françoise BÉNÉZECH à Henri BOURBON (unique fils et héritier de ses père et mère) ; une quittance est délivrée et Françoise BÉNÉZECH se trouve subrogée de la part du dit BOURBON dans tous ses droits ; en conséquence, une nouvelle convention est actée entre Françoise BÉNÉZECH et les époux ARNAL qui reconnaissent lui devoir, désormais, 11000 francs ; ils ne pourront se libérer avant le 19.03.1875, sauf consentement écrit de Françoise BÉNÉZECH ; l'intérêt est de 5 % l'an, par moitié de 6 en 6 mois et d'avance ; en cas de défaut de paiement, après un simple commandement, le capital deviendra exigible ; la créance est indivisible, y compris pour les héritiers ; les parties signent (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ;
le 01.06.1876, le couple ARNAL/EUZET emprunte une somme à Elisabeth Adrienne VIVAREZ (propriétaire à Sète ; en sûreté de cette obligation, les immeubles du couple, situés à sète et à Frontignan sont hypothéqués (notaire Alphonse COUZIN de Sète - cet acte est indiqué dans un autre prêt du 25.11.1886 auprès de la même demoiselle VIVAREZ et chez le même notaire (Alphonse COUZIN, de Sète - à vérifier, en particulier pour le montant) ; signalé au recensement de Sète de 1881, comme propriétaire, chef de famille, avec son épouse, Honorine EUZET, "rue des casernes" (maison 39) ; le 25.11.1886, le couple ARNAL/EUZET emprunte une nouvelle somme à Elisabeth Adrienne VIVAREZ (propriétaire à Sète) : 2000 francs, prêt qu'elle leur fait en billets de banque ; ils s'obligent à la rembourser dans le délai de trois ans ; l'intérêt est de 5 % l'an, payable par moitié de six en six mois et d'avance à partir du 01.06.1887 ; une quittance est délivrée pour le premier semestre d'intérêts payé par Honorine EUZET et Emmanuel ARNAL ; en sûreté de cette créance, le couple hypothèque ses immeubles : 1/ "une maison, à Sète, rue des Casernes, dépendant du n° 12 de la section B du cadastre, 2/ "un petit domaine sur le territoire de Frontignan, au quartier de la Peyrade", comprenant : a) la moitié d'une pièce de terre portée au n° 275, section F du cadastre, contenant 30 ares 15 centiares, confrontant CABANES et CABANEL, b) une petite construction appelée barraquette élevée sur ces immeubles, c) la moitié d'une pièce de terre vigne, à Frontignan, n° 276 de la section F, d'une contenance de 18 ares 75 centiares, confrontant CABANES, CABANEL et le n° 275, d) les immeubles par destination, cabaux et autres instruments de culture renfermés dans ces biens" ; les conditions sont les suivantes : 1/ impossibilité de se libérer par anticipation sans le consentement exprès de la prêteuse, 2/ en cas de décès des débiteurs ou de l'un d'entre eux avant leur complète libération, les héritiers seront tenus solidairement et indivisiblement de la dette, 3/ à défaut de paiement des intérêts et un mois après un simple commandement de payer resté infructueux, le capital deviendra de plein droit exigible, sans formalités judiciaires ; de plus, Honorine EUZET cède et transporte à titre de garantie avec préférence et antériorité sur elle-même et sur tous cessionnaires ultérieurs à Mlle VIVAREZ, qui accepte, une somme égale au montant de cette obligation en principal, intérêts et accessoires, à prendre dans le montant des reprises, créances et avantages matrimoniaux qu'elle a ou pourrait avoir à exercer contre son mari en vertu de son contrat de mariage, de tous titres et de la loi ; elle subroge Mlle VIVAREZ en tous ses droits (...) ; enfin, le couple cède à Mlle VIVAREZ qui accepte, toutes indemnités qui pourraient leur être dues en cas de sinistre, par la compagnie d'assurances contre l'incendie, Le Monde, à laquelle ils s'obligent à tenir assurés les dits immeubles jusqu'à parfait payement de la dette ; l'acte est fait en l'étude, en présence des marchands Mathieu AXÈS et Pierre Lucien Amédée MAURY, de Sète, qui signent avec les parties (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; veuf, le 19.12.1892 ; + 21.12.1895, à Sète, "quai de la République", veuf d'Elisabeth Honorine EUZET.
Génération5-Galibert
ARNAL Georges : voir ARNAUD Georges
ARNAUD Georges fs Jacques (propriétaire, scieur de long ; fils lui-même de Jacques ARNAUD, scieur de long, et de Claire LACROIX ; + 22.08.1865, à Sète) et Marie BOUNY (sans profession ; elle ne sait pas signer ; encore en vie quand meurt son fils, en 1899), domiciliés à Sète ; ° 10.10.1847, à Sète ; propriétaire ; x Augustine EUZET (fa Pierre et Colombe GAVALDA), le 15.06.1876, à Sète ; pas de Cm ; il signe Georges ARNAUD quand il se marie ; le 16.12.1885, Le Petit Méridional informe ses lecteurs que, pour cause d'utilité publique, la mairie de Sète a acquis des terrains, afin de procéder à l'élargissement du chemin vicinal de petite communication n° 1 du Tour de la Montagne ; ces terrains appartiennent à la veuve de Jacques ARNAL (la dame BOUNY), Georges ARNAL (époux d'Augustine EUZET) et Joseph ARNAL (célibataire majeur) - on voit que pour tous, le patronyme est écrit ARNAL ; ces terrains sont indiqués au cadastre, à la section B, n° 1699, 1700 et 1701 ; + 13.12.1899, propriétaire en son domicile, Boulevard des casernes, à Sète, époux d'Augustine EUZET ; dans son acte de décès, son patronyme est écrit ARNAL et il est dit fils de feu Jacques ARNAL et de survivante Marie BOUNY ; dans les actes précédents (son mariage en 1876, le décès de son père en 1865), le patronyme est pourtant ARNAUD ; le 05.06.1900, dans un acte de renonciation à l'usufruit de sa succession, Augustine EUZET signe cet acte "Veuve ARNAL", cependant que le notaire écrit qu'elle est "veuve de Georges ARNAL" (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) ; dans ce même acte, il est dit qu'il est décédé ab intestat ; sur la forme du patronyme, on peut provisoirement conclure que, dans les actes les plus anciens, la forme retenue est ARNAUD, alors que la forme usuelle qui apparaît dans les actes les plus récents, est ARNAL. Génération5-Portalès
ASTRUC Marguerite fa Alexis (propriétaire, domicilié à Loupian) et Marguerite CENDRAS (sans profession, domiciliée à Loupian puis + 13.05.1864 à Loupian) ; ° 14.01.1827, à Loupian (34) ; x1 Joseph BABOT (journalier, domicilié puis + à Mustapha, Algérie, le 28.12.1857) ; x2 Modeste EUZET (fs Antoine et Marie Rose THEULON, veuf de Jeanne CARRIERE), le 19.09.1866, à Sète ; pas de Cm ; sans profession ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1872 avec son second mari, 2 enfants de son premier mariage avec Joseph BABOT (Pierre, né le 17.04.1850 à Loupian et Marie, àgée de 14 ans ; pour les deux, le patronyme est écrit BABAU), 6 enfants du premier mariage de Modeste EUZET (Charles qui est employé au chemin de fer, Honoré qui est jardinier comme son père, Marie, Joséphine, Rose et Simon) et 1 enfant du mariage ASTRUC/EUZET : Amélie, âgée de 3 ans, qui doit être Pauline Elisabeth, née en 1869, en "banlieue, chemin des métairies" ; signalée au recensement de Sète de 1876 avec son mari et 7 enfants EUZET : Amélie (8 ans), Charles (commis, 27 ans), Honoré (journalier, 24 ans), Joséphine (sans profession, 20 ans), Rose (sans profession, 18 ans), Simon (sans profession 15 ans) et Eugénie (2 ans), dans la "banlieue, quartier de la plaine" (dans le recensement, immédiatement avant le quartier Saint Joseph) ; le 23.11.1877, son fils Pierre BABOT (garçon de café, à Sète) la supplie dans un acte respectueux de consentir à son mariage avec Augustine Louise BONNIFASSE (repasseuse, fille naturelle de Louise BONIFASSE, cuisinière, les deux demeurant à Sète) ; la demande est notifiée à Marguerite ASTRUC, par le notaire, accompagné de témoins, le 26.11.1877, "à sa campagne aux métairies Saint Joseph", à Sète ; elle est absente et c'est Modeste EUZET qui est présent ; le procès verbal est rédigé en sa présence mais il refuse de le signer ; second acte respectueux le 27.12.1877 et seconde notification sur place, dans les mêmes conditions, Marguerite ASTRUC étant absente et Modeste EUZET refusant de signer ; dans les deux cas, Modeste EUZET indique que son épouse ne consent pas à ce mariage ; les actes précisent aussi qu'elle est "jardinière" (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1881 avec son mari, 4 enfants EUZET : Charles (32 ans), Joséphine (25 ans), Simon (20 ans), Amélie (12 ans) et un domestique (Jacques GUIBAUDON), dans la "banlieue, maison EUZET" ; veuve le 11.11.1883 ; signalée au recensement de Sète de 1886 avec son gendre, Jean baptiste DAUDÉ, sa fille Félicité BABOT (40 ans) et ses petits-enfants, Marguerite et Louis DAUDÉ, "Grand rue, n° 63" ; signalée au recensement de Sète de 1891 avec son gendre, Baptiste DAUDÉ (50 ans, épicier), sa fille Félicité BABOT (46 ans, épicière, indiquée par erreur avec le patronyme EUZET) et ses petits-enfants, Marguerite et Louis DAUDÉ, "rue des Casernes, n° 5" ; + ? (rien dans les tables décennales de Sète jusqu'en 1902). Génération5-Galibert
AUBERT Marianne fa Pierre (cultivateur, + avant le mariage de sa fille) et Marie VALAT ou VALLAT (elle ne sait pas signer, + avant le mariage de sa fille), mariés, domiciliés au Coulet, commune de Saint Maurice (de Navacelles), 34 (dans l'acte de décès de Marie Anne, ils sont indiqués comme vivant au Cros (34) quand ils vivaient) ; ° 12.03.1784, au Coulet, commune de Saint Maurice (de Navacelles), au mas del Gui (dans son acte de décès, elle est indiquée comme étant née au Cros, ce qui est une erreur) ; b 13.03.1784 à Saint-Fulcrand-du-Coulet (la marraine est Marie Anne ROUVIERE) ; Cm, le 25 pluviôse an XI (14.02.1803) avec Jean Baptiste EUZET (fs Jean Baptiste et Madeleine CONDAMINE) : elle se constitue une dot "en une croix d'or et son coeur et un crochet argent qu'elle a gaigné au service des maitres laquelle croix et crochet a été évalué à la somme de cent francs" ; Jean reconnaît cette somme et l'assure en faveur de sa future épouse "pour la rendre et restituer ou a qui de droit le cas arrivant" ; pour observer ces clauses, les parties font les obligations et soumissions de droit ; l'acte est fait en l'étude, en présence d'André GAUZI (tailleur d'habits) et Etienne SINGLA (serrurier), de Gignac, qui signent avec Jean ; Marianne ne sait pas signer (notaire Pierre Thomas François RUSQUIER, de Gignac) ; x Jean Baptiste EUZET, le 25 fructidor an 11 (12.09.1803), à Saint Maurice (de Navacelles) ; publications à Gignac et à Saint Maurice les 10 et 17 du même mois ; signalée au recensement de Sète de 1836 : 53 ans, avec son mari et deux enfants : Etienne (19 ans) et Marie Madelaine (10 ans) ; signalée au recensement de Sète de 1841, avec son mari, cultivateur (mais qui a le prénom d'Etienne, c'est donc probablement le fils) et 1 enfant (Françoise), "Grand rue haute" ; signalée au recensement de Sète de 1846, "Grande rue haute", sans profession, 63 ans, avec son mari et leur fils Etienne (cultivateur, 28 ans) ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, 68 ans, avec son mari et 3 enfants : Etienne (cultivateur, 34 ans), Jean (marin, 14 ans), Alexandre (9 ans), habitant "Grand rue haute" ; dans l'acte de partage des biens de son mari au bénéfice de ses enfants et petits-enfants, le 18.03.1854, il est indiqué que "voulant subvenir aux besoins de la dame Marianne AUBERT leur mère et grand-mère (...) ils se sont obligés à payer (...) une rente de 240 francs par an à titre de pension alimentaire, ladite rente payable chaque mois par douzième soit 20 francs par mois payables, savoir 4 francs par Jean Baptiste EUZET (Baptiste Sulpice), 4 francs par les mineurs EUZET (Barthélémy et Michel, fils d'Alexandre EUZET et de Marie CANNAC, Alexandre, appelé François, fils d'Alexandre EUZET et de Jeanne CAMBON), 4 francs par François EUZET (fils de François EUZET et et de Marguerite PASCAL), 4 francs par Etienne EUZET, 4 francs par Magdelaine EUZET" (Magdelaine Françoise, épouse TRINQUIER), notaire Alphonse COUZIN, de Sète ; + 09.03.1863, à Sète, "dans sa maison d'habitation, Grand'Rue Haute, n° 86" Génération3-Portalès
AUBRESPY Jean Pierre Antonin fs Pierre (plâtrier) et Hélène Henriette GINIEYZ (sans profession), domiciliés à
Sète ; ° 26.11.1855, à St Pargoire (34) ; commis des contributions directes ; x Marie EUZET (fa Blaise et Suzanne NAVAS), le 30.04.1892, à Sète ; pas de Cm ; il signe ; + avant le 06.02.1930 quand est vendue sur licitation la maison du 30, rue Louis-Blanc, à Sète ; Marie EUZET est alors indiquée comme "veuve du sieur Antonin AUBRESPY" (ce qui veut dire que son prénom usuel était Antonin) Génération6-Portalès
AUGÉ Eléonore Marie Louise fa Raymond et Virginie TROUILHET, cultivateurs à Curvale (81) ;
° 01.05.1870, à Curvale (81) ; domiciliée et demeurant à Marseille, au "Vallon de l'Oriol" ; le consentement au mariage a été
donné par ses parents le 02.03.1892, notaire CARRIERE, à Alban (81) ; domestique ; x Lazare EUZET ((fs Jean Baptiste et Marie Catherine REVEST), le 30.04.1892, à Marseille ; pas de Cm ; elle signe L. AUGÉ. Génération5-Portalès
AUGÉ Jean Jacques fs Jean Jacques (journalier + 20.04.1884, à Sète) et Marie Victoire PLANQUES (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 14.06.1858, à Sète ; employé de commerce ; x Elisabeth Louise EUZET (fa Blaise et
Suzanne NAVAS), le 22.04.1887, à Sète ; pas de Cm ; il signe mais sa mère ne sait pas signer ; le 06.02.1930, il est domicilié à Oran (Algérie) avec son épouse, quand est vendue sur licitation la maison du 30, rue Louis-Blanc, à Sète.
Génération6-Portalès
AUSSENAC Marcel fs Simon (cordonnier, 43 ans au mariage de son fils) et Françoise RIGAL (sans profession, 31 ans au mariage de son fils), domiciliés à Sète, à la maisonnette du phare de la jetée de Frontignan (port pétrolier de Sète) ; ° 12.06.1872, à Sète ; x Marie Anna Charlotte EUZET (fa Noël François Ange et Marie Alexandrine CAYLA), le 10.02.1925, à Sète ; il n'a pas été fait de Cm ; mécanicien ; il habite " 5, place Delille", à Sète, quand il se marie ; sont témoins : Adolphe PROMPT (comptable, 42 ans, domicilié 4, rue Garenne, à Sète) et Joseph AUSSENAC (frère de Marcel, mécanicien, 59 ans, domicilié 1, rue Daniel, à Sète) ; + 17.03.1946, à Lézignan-Corbières, dans l'Aude (mention marginale dans l'acte de naissance).
BAILLE Barthélémy fs Noël Barthélémy (patron de canal) et Marguerite CLAS (sans profession), domiciliés
à Sète ; ° 05.11.1842, à Trebes (11) ; x Marie Claire EUZET (fa Raymond et Marie Caucanas), le 28.02.1867, à
Sète ; pas de Cm ; il signe. Génération5-Portalès
BARDY Marie Delphine Augustine fs Jacques Annibal (gérant de commerce) et de Louise (les actes de naissance et de mariage indiquent simplement "Louise" et, c'est "dame Louise" dans le contrat de mariage, ce qui veut dire qu'elle n'avait pas de patronyme) ; ° 26.11.1851, à Sète ; Cm le 05.06.1872 avec Hilaire EUZET (fs François Barthélémy et Catherine Marie Honorine GOUDARD) : le régime est dotal ; son père lui donne en avancement d'hoirie et constitution de dot une somme de 8000 francs, payable au décès du donataire mais productive d'intérêts à raison de 5 % l'an qu'il s'oblige de payer de 6 mois en 6 mois et d'avance jusqu'à son décès ; cependant, il se réserve la faculté de payer cette somme quand il le jugera convenable, sous la condition d'emploi en immeubles de bonne éviction ou en placements hypothécaires ou en rentes sur l'Etat de France, ou en actions de la Banque de France ou en actions ou obligations du Crédit Foncier de France ou en obligations des chemins de fer français ; ces diverses valeurs seront nominatives et porteront le nom de la future épouse, sa fille ; ces emplois seront faits avec le consentement de la future épouse et de M. BARDY père si le paiement des 8000 francs se fait par anticipation ; M. BARDY père se réserve le droit de retour sur la somme qu'il vient de constituer en dot pour le cas où, cette somme étant payée par anticipation, Marie BARDY viendrait à décéder avant lui, sans postérité ; elle se réserve comme propriété personnelle son trousseau et ses bijoux qu'elle ou ses héritiers auront le droit de retirer en nature dans tous les cas prévus par la loi ; tous les autres biens de la future épouse seront libres et paraphernaux ; l'acte est fait dans la maison d'habitation de M. BARDY, à Sète ; tous signent à l'exception de M. EUZET père, qui ne sait pas signer ; elle-même signe Marie BARDY (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; x Hilaire EUZET, le 15.06.1872, à Sète ; elle est sans profession quand elle se marie ; + 26.08.1924, à Sète, "munie de tous les Sacrements de notre Sainte Mère l'Eglise", veuve Hilaire EUZET ; la maison mortuaire est "quai de Bosc, 12" ; sont indiqués dans l'avis paru dans L'Eclair du 28.08.1924 : Mme Emile GOUDARD, née EUZET et Emile GOUDARD et leur fils André ; Mme Claude MOHR, née BARDY, et M. Claude MOHR, inspecteur des douanes, et leurs filles ; M. et Mme Henri BARDY et leurs enfants, à Campa, près Muret ; M. Léon BARDY ; les familles EUZET, CANTO, Mme Vve Joseph BOUILLON et ses enfants ; les obsèques ont lieu le 28.08.1924.
Génération5-Portalès
BARRAL Jean Claude fs Etienne (cordonnier) et Jeanne DAUSSE (+ 11.02.1824, à Sète) ; ° 10.09.1803 (23 fructidor an
11), à Sète ; tonnelier ; x Marguerite EUZET (fa Antoine et Claire PARAILLAC), le 11.03.1824, à Sète ; il ne
sait pas signer ; + après le recensement de 1836 et avant le mariage de sa fille Rosalie, le 27.05.1854. Génération4-Galibert
BARRES Marie Madeleine fa Charles (matelot) et Françoise SERANNE (+ avant le mariage de sa fille), de Sète ; ° ca 1754 (selon l'âge indiqué à son décès) ; Cm, le 06.01.1778 avec Jean Louis EUZET (fs de Jacques et de Cécile PORTALES) ; il est alors garçon tonnelier ; elle se constitue en dot 500 livres pour la valeur des meubles, effets, linge, batterie de cuisine et autres choses nécessaires à meubler une maison ; elle a gagné cette somme par son travail en faisant des lessives et autres choses ; le père de la fiancée, Charles BARRES, déclare qu'il a consenti à ces épargnes et renonce à tous droits sur celles-ci ; Louis déclare que ces effets sont bien de la valeur de 500 livres, qu'il les tient à sa disposition et qu'il renonce à toute exception contraire, il les reconnaît sur tous et chacun ses biens, présents et avenir au profit de sa fiancée pour lui être rendus, le cas arrivant ; l'estimation ne comprend pas les hardes et nipes de la fiancée, ni les joyaux qu'elle se réserve par préciput pour augment de dot et gain de survie ; Louis donne à sa fiancée la somme de 50 livres et elle lui donne celle de 25 livres, l'une desquelles payable par les héritiers du prémourant au survivant ; pour l'observation de ces clauses, chacune des parties a obligé ses biens, présents et avenir, soumis à toute rigueur de justice ; l'acte est fait et récité dans la chambre occupée par la fiancée, en présence d'Hilaire VIVARES (ménager) et Jean BOUSQUET (praticien), de Sète, qui signent ; les parties et le père de la fiancée ne savent pas signer ; signent aussi Jacques EUZET aîné et Jacques EUZET, qui doit être le fils de ce dernier (notaire Antoine LARDAT, de Sète) ; x1 Marie Madeleine BARRES, le 10.01.1778, à Sète ; les mariés sont mineurs ; sont témoins : le sacristain, Jean BOUSQUET (indiqué comme commis au bureau des postes, alors qu'il est indiqué comme praticien dans le Cm), Jacques EUZET (jardinier ; il signe, c'est le frère aîné de Louis) et Jacques EUZET, aussi jardinier comme son père (il s'agit du fils de Jacques EUZET aîné) ; les témoins signent ; les parties ne savent pas signer ; le 22.07.1779, Elisabeth EUZET (fa Jacques et Claire GALIBERT) dépose plainte contre elle, auprès de la juridiction ordinaire de Sète, pour injures, menaces et voies de fait" (voir les détails dans la chronologie des actes) ; + 21.09.1784, à Sète, âgée de 30 ans ; (+) le 22.09.1784, dans le cimetière (son fils Noël, né le 14.09.1784, est enterré le 26.09.1784 - il est probable que le décès de Madeleine est dû à l'accouchement). Génération2-Portalès
BASTIDE Henri Joseph fs Toussaint Emmanuel (ancien négociant quand son fils se marie) et Agnès Cécile RECOULY, domiciliés à Sète ; ° 05.01.1864, à Sète ; domicilié à Paris (5ème arrondissement) quand il se marie ; x Modestee Marie Eugénie EUZET (fa Charles Marie et Marie Jeanne CAVALLIER), le 26.12.1894, à Sète ; pas de Cm ; les bans ont été passés devant les portes des maisons communes de Sète et de Paris (5ème arrondissement) ; les présents cités sont, pour trois, parents de la mariée et, pour un, non parent ni allié ; tous signent ; il est employé à la Sorbonne quand il se marie ; le 31.07.1907 a lieu le partage des biens des grands-parents maternels de son épouse, Marie Jean Pierre CAVALIER et Marie Jeanne PIOCH, dite Eugénie ; dans cet acte, le notaire écrit le patronyme de sa mère et de son grand-père sous les deux formes, CAVALIER ou CAVALLIER ; elle a droit à un tiers de la somme à distribuer, soit 5933,33 francs ; il est employé à la Sorbonne, officier de l'Instruction publique, domicilié à Paris quand il mendate son épouse pour ce partage (acte en brevet passé auprès du notaire Albert Eugène LAVERNE, de Paris, le 18.04.1907, acte joint à la minute du partage) ; la somme de 5933,33 francs leur est versée et une quittance est délivrée ; l'acte est passé à Sète où signent les parties ; son épouse signe E. EUZET et lui-même signe H. BASTIDE (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) ; Génération7-Galibert
BAUDET Silvain François Edouard fs Thomas (retraité en 1893, décoré de la médaille militaire) et Louise CALVET (sans profession + 12.09.1884 à Estoher - 66) ; ° 20.02.1863 à Estoher - 66 ; adjudant au 3e régiment d'artillerie, en garnison à Castres (81) ; domicilié à Estoher quand il se marie ; x Marie Thérèse EUZET (fa Jean Baptiste et Thérèse CATHALA), le 05.04.1893, à Sète ; publications du mariage à Sète et à Castres ; il signe ; présent au mariage : Joseph EUZET, employé de commerce, 32 ans, cousin de la contractante ; Cm 01.04.1893, notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète ; régime dotal avec société réduite aux acquets ; elle apporte de son chef et se constitue en dot 5000 francs, grâce à une créance du même montant, due par Joseph VILAR, propriétaire à Perpignan, autrefois à Sète, en vertu d'un acte d'obligation pour prêt de cette somme (acte du 19.12.1892 avec hypothèque, notaire FOURNOLS, de Perpignan) ; les autres biens de l'épouse restent libres et paraphernaux, notamment son trousseau, des vêtements, linges, bijoux et effets personnels. Génération6-Galibert
BELLET Eugène Marius fs Alexandre (chauffeur) et Marie Louise BERNARD (sans profession) domiciliés à Sète, "quai Louis PASTEUR 15" ; ° 05.03.1883, à Sète ; mécanicien ; il signe ; pas de Cm ; x Jeanne EUZET (fa Simon et Jenny MICHEL), le 24.07.1917, à Sète ; signalé avec son épouse, comme artisan mécano, au recensement de Sète de 1931, "rue Jean Jaures" Génération7-Galibert
BÉRAIL Elisabeth Jean Hercule fs Pierre (ancien négociant quand il se marie) et Françoise DAVID, domiciliés à Sète quand il se marie ; ° 09.08.1793, à Villeneuve les Maguelone ; orfèvre ; x Rose EUZET (fa Louis et Catherine PASCAL), le 26.08.1825, à Sète ; il signe Hercule BÉRAIL ; avant le mariage, il a adressé un acte respectueux à ses parents, le 21.07.1825, par Jacques LAURENS (avocat et notaire royal, à Sète) ; sont témoins au mariage : Jacques DURAND (cordonnier), François LEVÈRE (tonnelier), Jean DUSSOL (tonnelier) et Joseph RECOULY (tonnelier), tous de Sète, ni parents ni alliés des mariés ; signalé au recensement de 1841 comme orfèvre avec sa femme et 7 enfants, "Grand rue" ; + 31.08.1878, à Sète, veuf de Rose EUZET, âgé de 85 ans, "Grande rue, n° 61" ; l'acte de décès indique "graveur" comme profession.
Génération3-Portalès
BIELLE Anne fa Michel (mécanicien, + 31.05.1890, à Sète) et Marie ARAGON (présente au mariage de sa fille ; elle ne sait pas signer) ; ° 28.03.1880, à Perpignan (66) ; elle est domiciliée à Sète quand elle se marie ; sans profession ; x Albert Etienne EUZET (fs Jean Baptiste et Félicie Alexandrine TAURIAC), le 01.08.1903, à Sète ; pas de Cm ; son fils Jean Marie EUZET naît le 26.04.1905, à Sète, "maison CASSAGNE, Grande rue Haute n° 30 ; sa fille Elisabeth Emilie EUZET naît le 08.09.1909, à Sète, "maison GOUDARD, avenue du château d'eau n° 3" ; signalée au recensement de Limoges de 1911, avec son mari, leurs deux enfants, son beau-père et sa soeur Marguerite BIELLE, au "n° 5 de l'avenue Saint-Surin" ; signalée aux recensements de Limoges de 1921 et 1926, avec son mari, leurs deux enfants et son beau-père, au "n° 5 de l'avenue Saint-Surin" ; signalée au recensement de Limoges de 1931, avec son mari et leur fille, au "22, rue Saint-Paul" ; veuve le 15.04.1959. Génération6-Portalès
BLAQUIÈRE Henri Jules Marius fs légitimé d'Henri (cultivateur, + 16.04.1885, à Montclar, arrondissement de Saint-Affrique, dans l'Aveyron) et de Marie FABRE (sans profession, domiciliée à Martrin, dans l'Aveyron quand son fils se marie) ; ° 27.03.1884, à Montclar (12) ; domicilié à Montpellier quand il se marie ; x Marie Joséphine EUZET (fa naturelle reconnue de Joséphine Barbe et d'un père inconnu), le 13.04.1910, à Montpellier ; pas de Cm ; infirmier ; il signe ; + avant le recensement de 1926 de Montpellier Génération7-Galibert
BLANC Marie Louise Blanche fa Pierre (tonnelier, + 08.08.1870, à Sète) et Madeleine DELPECH (sans profession) ; ° 25.02.1869, à Sète ; sans profession ; x Louis, Marius, Joseph EUZET (fs Abel, Jean, Pierre et Marianne DOUCET), le 15.01.1891, à Sète ; pas de Cm ; elle signe mais pas sa mère ; signalée au recensement de Sète de 1921 comme veuve EUZET, avec son fils Marcel EUZET (employé, né en 1904 à Sète, ce qui est erroné car il est né à Lézignan-Corbières) et François EUZET (né en 1862 à Sète, qui est indiqué comme peintre alors qu'il est prêtre), au "4, rue de l'Hospice" ; + en 1958. Génération6-Galibert
BONNET Victorine fa Alcide (1873-1956) et Eulalie FRANC (1881-1968) ; ° en 1900 ; x Joseph, Abel, Louis EUZET (fs Louis, Marius, Joseph et Marie Louise Blanche BLANC), le ?, à ? ; + en 1998. Génération7-Galibert
BONNIEU Anne fa Pierre (cultivateur) et Marie DOMBRE ? (sans profession + 28.02.1845, à Sète), domiciliés à
Sète ; ° 14.12.1823, à Cournonterral (34) ; domiciliée à Sète ; x Etienne EUZET (fs Jean Baptiste et Marianne AUBERT), le
03.03.1848, à Sète ; sans profession ; elle ne sait pas signer mais son père signe ; signalée au recensement de
1851, sans profession, 27 ans, avec son mari et un enfant : Jean Baptiste EUZET (un an), habitant "Grand chemin" (section
île de la Tuilerie) ; + avant 1900.
Génération4-Portalès
BOUDET Jean fs Jean (pêcheur) et Marie GRISON (sans profession) de Sète ; ° 04.02.1816,
à Sète ; x Marie Elisabeth EUZET (fa Antoine et Gabrielle, Elisabeth LAUTIER), le 20.02.1841, à Sète ; calfat ; il
signe mais son père et sa mère ne savent pas signer ; signalé au recensement de 1841, avec sa femme, sans enfant, calfat,
"île n° 5" ; signalé au recensement de 1851, calfat, 34 ans, avec sa femme et un enfant, habitant
"quai Bordigue". Génération5-Galibert
BOUDET Marie Thérèse Augustine fa Louis Antoine (marchand) et Joséphine Marguerite VIDAL (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 03.10.1857, à Sète ; sans profession ; x Barthélémy EUZET (fs Pierre et Colombe GAVALDA), le 18.04.1879, à Sète ; pas de Cm ; elle signe ; signalée au recensement de Sète de 1881 (prénom Marguerite), avec son mari, une fille (Augustine BOUDET) et une domestique, Marguerite DELPY, "avenue du château d'eau" (maison 7) - il y a eu inversion de prénom entre la mère et la fille ; signalée, sans profession, au recensement de Sète de 1931 avec son mari, sa fille Marguerite et son gendre Louis CANTO, "Quai de Bosc" Génération5-Portalès
BOUISSON Marie fa Joseph (cultivateur, + à Saint Maximin, 83, le 24.01.1827) et Marie GIRAUD (+ à Saint Maximin, 83, le 08.10.1827) ; ° 04.03.1818, à Saint Maximin ; x Louis EUZET (fs Blaise et Gracie GABINAUD), le 20.02.1841 à Marseille ; domiciliée à Marseille, "rue Dragon n° 6", quand elle se marie ; elle ne sait pas signer ; + 22.04.1844, à Marseille, en son domicile "rue Dragon n° 10". Génération 4-Portalès
BOUNTOUX Paul fs Jean (tonnelier, né le 09.02.1828 à Sète, il ne sait pas signer, fils lui-même de Jacques Jean, tonnelier qui ne sait pas signer et de Marianne SARROU ; + 01.06.1892, à Sète) et Françoise FADAS (28 ans à la naissance de son fils, sans profession ; présente au 2ème mariage de son fils ; elle ne sait pas signer) ; domiciliés à Sète ; ° 30.03.1856, à Sète ; x1 Marie Madeleine DALMON (+ 01.05.1886, à Sète) ; x2 Madeleine Louise EUZET (fa Michel et Marie CASTAN), le 04.02.1903, à Sète ; pas de Cm ; il signe BOUNTOUX ; parmi les témoins non parents ni alliés, il y a trois plâtriers ; signalé au recensement de Sète de 1906 comme plâtrier, avec son épouse, "rue des Hôtes, n° 8" Génération6-Portalès
BOUNY Marie fa Jacques (propriétaire) et Elisabeth FIAT (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 09.05.1833, à Sète ;sans profession ; Cm, le 09.12.1854 avec Jacques EUZET (fs Jacques et Jeanne VERGNES ; le régime est dotal ; M. BOUNY accorde à sa fille une dot, en avancement d'hoirie, de 2000 francs, soit 1/ une somme de 500 francs qu'il a délivrée au futur époux avant cet acte et que celui-ci reconnaît et 2/ "une somme de 1500 francs qui est la valeur des meubles meublants, effets mobiliers et linge de ménage garnissant l'appartement que les futurs doivent occuper" ; Jacques les reconnaît et les assure en sa faveur sur ses biens présents et à venir ; il les considère comme reçus, le mariage s'accomplissant ; les clauses de retour en cas de prédécès de l'épouse sans postérité sont également inscrites ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Jean LAVABRE (boucher) et de Côme VILAR (marchand de bas), de Sète, qui signent avec Jacques et Marie, les autres ne sachant pas signer (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; x Jacques EUZET (écrit BERGNE en 1854), le 11.12.1854, à Sète ; elle signe mais ni son père ni sa mère ne savent signer ; signalée par le recensement de Sète de 1861 avec son mari et leurs enfants, Elisabeth et Mathilde, "Ile Goudard, Grand rue haute, n° 51" ; un avis de purge d'hypothèques légales paraît dans le Messager du Midi du 15.01.1867 : "Il résulte d'un procès verbal d'adjudication tenu par Me COUZIN, notaire à Cette à la date du 7 novembre 1866, et d'un acte de déclaration de command, reçu aux minutes dudit notaire à la même date, que le sieur Jules COMOLET, négociant, domicilié à Cette, s'est rendu adjudicataire d'un seizième d'un immeuble dépendant de la succession du sieur Jacques EUZET, quand vivait jardinier, domicilié à Cette, dont la vente était poursuivie à la requête des héritiers dudit Jacques EUZET. L'entier immeuble dont partie a été adjugé au sieur COMOLET, se compose d'une pièce de terre champ, située dans la commune de Cette, au quartier dit la Plage de la Mer, porté à la matrice cadastrale de ladite commune sous le numéro 174 de la section A, pour une contenance de 33 ares 40 centiares, confrontant du sud le chemin de fer, du nord EUZET dit Foulrainc, de l'est un chemin de charrette, et de l'ouest LAPEYSSONIE. L'adjudication de l'entier immeuble vendu fut faite en faveur du sieur Victor COMOLET, négociant à Cette, au prix de 10.000 francs, mais sous la réserve par ce dernier de faire l'élection de command en faveur de divers dans les délais de droit." [une copie du dépôt de l'acte au greffe du tribunal civil de Montpellier avait été adressé à Jeanne VERGNES (veuve dde Jacques EUZET) et à Marie BOUNY (épouse séparée de corps de Jacques EUZET), le 24.12.1866] ; dans le même journal et dans le même numéro, il est encore indiqué que "la maison de commerce J.L. DUSSOL et Compagnie, négociant, domiciliée à Cette, s'est rendue acquéreur de huit seizième" du même immeuble. Ces avis ont pour objectif de purger l'immeuble vendu des hypothèques légales qui pourraient le grever, indépendamment de toute inscription. Marie BOUNY est signalée par le recensement de Sète de 1872 avec leurs trois enfants, comme "femme EUZET" mais son mari n'est pas indiqué, "Grande rue haute, n° 16" ; même situation dans le recensement de Sète de 1876, à la même adresse, mais une observation donne l'explication : "Séparée de son mari. Jugement du Tribunal de Montpellier du 29.12.1875" (cependant, les indications données par l'avis de purge d'hypothèque de 1867 montrent que la séparation est plus ancienne) ; elle est indiquée comme "marchande lingère" en 1885 dans le Cm de son fils Achille EUZET avec Lucie MAZEL et dans lequel elle signe "veuve EUZET née BOUNY" ; pour ce Cm, elle lui donne, à titre de dot et d'avancement d'hoirie, 4000 francs représentant en valeur les "meubles meublants, objets mobiliers, linge de corps et linge de ménage, garnissant l'appartement que les futurs époux doivent occuper", sous réserve du droit de retour de ces 4000 francs en cas de prédécès d'Achille et de sa postérité (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; la graphie retenue pour son patronyme est BOUNY et non BOUNI comme on le voit écrit dans son acte de baptême et dans son acte de mariage ; elle signe Marie BOUNY et ses deux oncles présents à son mariage signent Joseph BOUNY et G(eorges) BOUNY (voir ces signatures dans la photo qui se trouve dans Bordeaux) ; l'étude des tables décennales de Sète montre que la graphie BOUNY s'est peu à peu imposée et est même la seule pour la période 1893-1902 : c'est donc celle que nous avons retenue ici. Génération5-Galibert
BOURRILLON Julie Sophie fa Marie Julie BOURRILLON (sans profession, + avant le mariage de sa fille) et d'un
père inconnu ; ° 15.01.1868, à marseille ; sans profession ; domiciliée et demeurant à Marseille quand elle se marie,
"rue Château Payan 69" ; x Etienne EUZET (fs Jean Baptiste et Marie Catherine REVEST), le à 19.08.1899,
à Marseille ; pas de Cm ; elle signe ; ses témoins sont un plâtrier et un employé ; sans profession ; domiciliée à Marseille, "chemin Saint Joseph" (en 1900) ; + avant le 11.01.1940 (date du décès d'Etienne EUZET, veuf) Génération 5-Portalès
BRAUX Prudence Jeanne fa ? ; ° ? ; x Paul Louis EUZET (fs Antoine Joseph et Cécile LAPARA), le 25.02.1911, à Marengo, en Algérie (arrondissement d'Alger). Génération7-Galibert et Blida
BREMOND Louise Joséphine fa André Joseph et Marie CONSOLIN, jardiniers ;
° 21.02.1875, à Marseille ; x Antoine EUZET (fs Jean Baptiste et Marie Catherine REVEST), le 22.10.1892, à Marseille ;
fleuriste ; domiciliée à Marseille, chez ses père et mère, "rue Loubon 130" quand elle se marie (et, au moins, en
1898) ; pas de Cm ; elle signe L. BREMOND ; l'acte précise que tous ont signé mais on ne voit pas la signature de sa mère ; sont
présents notamment, un emballeur et un employé. Génération5-Portalès
BRIANT Françoise (parfois, les notaires écrivent : "BRIANT ou BRILLANT") ; fa Jean Baptiste (tonnelier ; il ne sait pas signer) et Elisabeth MAURIN (fille d'Esprit MAURIN ; déjà + avant le mariage de Françoise) ; ° 15 frimaire an VI (05.12.1797), à Sète (est témoin son grand-père maternel, Esprit MAURIN, qui signe) ; x Honoré EUZET (fs Honoré et Marie PELUF), le 30.10.1813, à Sète ; elle ne sait pas signer ; veuve le 19.12.1835 ; un peu plus tard, le 01.04.1836, Jean Pierre DAURE (contrôleur aux entrepôts de la douane) lui baille "une pièce de terre champ faisant partie d'un plus grand corps, à Sète, au quartier de la plage de l'étang" ; cette terre "confronte au nord l'étang, au sud le quai du canal des étangs, de l'est ESPITALIE et de l'ouest la portion du même corps appartenant au bailleur" ; le bail est fait pour 5 ans et devra se terminer le 21.07.1841, le prix étant de 40 francs par an ; dans cet acte, Françoise BRIANT est indiquée comme "jardinière" et veuve d'Honoré EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; signalée au recensement de 1841 comme veuve EUZET, revendeuse, avec deux enfants (Louis et Jacques, tonneliers), "Grand rue haute" ; le 11.03.1845 elle baille à titre de loyer à Nicolas GRAVE, tonnelier à Sète : "tous les appartements du rez-de-chaussée de la maison (qu'elle possède) ayant 2 façades dont l'une donne sur la rue de l'esplanade et l'autre sur le prolongement de la rue des casernes ; les appartements baillés sont tant ceux qui sont sur la 1ère rue que ceux qui donnent sur la seconde. Dans ce bail sont compris 2 pièces servant de grenier au 3ème étage sur le derrière et 1 chambre également au 3ème étage sur le derrière. Ne sont pas comprises les caves qui sont au dessous du rez-de-chaussée." ; le bail est fait pour 5 ans "qui commenceront le jour où tous les travaux restant à faire aux locaux loués seront entièrement terminés et où les clés seront remises au sieur GRAVE." ; le bail est conclu moyennant une rente de 1100 francs par an, payable de 6 mois en 6 mois ; il est précisé que GRAVE prend ces appartements à loyer "pour y exercer la profession d'aubergiste" et que la maison est complètement neuve ; il promet de maintenir la tranquilité dans son établissement "et surtout de ne mettre en chambres et greniers du 3ème étage que des gens paisibles et honnêtes" ; autres dispositions, pour les communs : "le sieur GRAVE ne pourra passer dans le corridor et dans l'escalier de la maison de la veuve EUZET que pour lui-même, sa famille et ses domestiques et seulement pour aller au puits dont l'usage lui sera commun avec les autres locataires de la veuve EUZET et pour aller aux chambres et greniers du 3ème étage ainsi qu'aux latrines également communes. Quant aux autres personnes à qui le sieur GRAVE donnera à loger ou à manger, ils ne pourront sous aucun prétexte passer dans lesdits corridors et escalier, sauf toutefois ceux qui occuperont les chambres ou greniers du 3ème étage qui pourront le faire mais seulement pour se rendres auxdites chambres ou greniers. Le sieur GRAVE n'aura pas droit à avoir un passe-partout de la porte d'entrée pouvant entrer chez lui par d'autres issues" ; s'ajoutent encore d'autres clauses comme quoi GRAVE pourra sous-louer ou vider son bail et aussi que la veuve EUZET "sera tenue de blanchir les murs et plafonds tous les 3 ans suivant l'usage des lieux" ; un état des lieux sera fait ; aucune des deux parties ne sait signer ; elle est indiquée comme Françoise BRILLANT, veuve d'Uonoré EUZET, marchande et domiciliée à Sète (notaire Alexandre junior CAZALIS, de Sète).
Le 01.08.1845, elle emprunte 7000 francs à Louis Joseph Jean Bernard BARRE père, propriétaire demeurant à Montpellier, représenté par Antoine Augustin Désiré COUSTOL ; elle s'oblige à le rembourser dans 5 ans avec un intérêt de 5 % l'an et elle paie immédiatement 350 francs pour la première année des intérêts ; pour sûreté de la créance, elle hypothèque tous ses immeubles qu'elle posséde à Sète : 1/ "une maison sise au coin de l'esplanade et de la rue de l'esplanade", confrontant au nord FABRE, du sud ladite rue, de l'est la veuve DAVID et de l'ouest l'esplanade 2/ "une portion de terrain propre à bâtir sur l'esplanade" confrontant du nord et de l'est MARÈS, du sud POUS et de l'ouest l'esplanade, le tout vendu avec un plus grand corps par M. Pierre Antoine MARÈS, propriétaire ancien négociant demeurant à Sète, suivant un acte de maître CAZALIS, notaire à Sète, du 29.05.1844 3/ "une pièce de terre vigne avec barraquette sise au quartier du mas de Rousson" ; par surcroît de garantie, elle cède à BARRE la somme de 5000 francs à elle due par FABRE et celle de 2000 francs à prendre sur celle de 2800 francs due par François POUS, menuisier de Sète (pour prix de deux portions de terrain par elle acquis de MARÈS suivant l'acte précité) ; les deux créances sont établies par deux actes reçus par le notaire CAZALIS, les 8 et 21 août 1844 ; sont présents à l'acte de 1845, ses deux fils tonneliers, Jean Baptiste et Antoine EUZET, qui signent ; elle-même est désignée comme "marchande" (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 13.11.1845, François POUS accepte la cession de 2000 francs faite par Françoise BRIANT au profit de Louis Joseph Jean Bernard BARRE ; "Toutefois, comme cette somme de 2800 francs peut être réclamée par M. MARÈS, vendeur primitif du terrain de M. POUS, tant à raison du privilège du vendeur que de la délégation confirmée de la vente de Mme veuve EUZET à M. POUS, M. BARRE ne pourra exercer ses droits sur la somme cédée en sa faveur par Mme veuve EUZET que tout autant qu'elle n'aurait point été payée à M. MARÈS" ; dans cet acte, elle est désignée comme marchande, son nom étant "BRIANT ou BRILLANT" (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 10.06.1852, elle reçoit 1500 francs de Laurent FABRE (tonnelier à Sète), solde des 5000 francs qu'il lui devait pour la vente d'un terrain propre à bâtir, qu'elle lui consentit le 08.08.1844 ; les 3000 francs du surplus ont été payés suivant trois actes à la date des 01.06.1846, 29.12.1848 et 26.06.1850 ; elle délivre une quittance pour solde et donne main levée à la radiation définitive de l'inscription hypothécaire prise à son profit au bureau des hypothèques de Montpellier (tous ces actes auprès du notaire Alexandre junior CAZALIS, de Sète) ; le 14.05.1858, elle emprunte 7000 francs à Pierre Toussaint Marcel de SERRES (professeur à la faculté de Sciences de Montpellier), représenté par Laurent CROUZET (agréé près le tribunal de commerce de Sète) ; elle met en garantie la maison qu'elle possède sur le quai inférieur de l'Esplanade (confrontant de l'ouest ce quai, du sud la rue de l'Esplanade, de l'est la veuve MALLET née BRINGUIER et du nord FABRE), maison qu'elle a acquis le 29.05.1844 de Pierre Antoine MARÈS (notaire CAZALIS, de Sète) ; le solde qui reste à payer pour la maison, en capital étant de 7000 francs, elle verse le montant prêté ce jour à Antoine MARTIN, banquier de Sète, qui agit au nom de la famille MARÈS (il est aussi rappelé un paiement de 2000 francs que Françoise BRIANT a fait à Antoine MARTIN, le 30.11.1857) ; enfin, le banquier lui rembourse 188,60 francs pour intérêts perçus par anticipation sur les 7000 francs ; l'acte est fait en l'étude où signent CROUZET et MARTIN (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 06.11.1858, une quittance est établie par le même CROUZET, pour le montant de 6000 francs, somme préalablement payée par Françoise BRIANT (au moment de la succession de Pierre Antoine MARÈS) et main levée est ordonnée pour l'hypothèque correspondante au nom des héritiers (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète)
au recensement de Sète de 1861, elle est signalée, seule, comme marchande, "quai inférieur de l'esplanade, n° 12" ; le 05.03.1861, elle baille à loyer à Jean Emile PANC le premier étage, la cave et le grenier d'une "maison située à l'angle de la rue et du quai inférieur de l'Esplanade" ; le locataire aura le droit d'y exercer son état de maître d'hôtel restaurateur tenant pension et de loger les voyageurs ou habitants sédentaires ; les parties déclarent que les appartements et autres lieux compris dans ce bail sont en bon état, restaurés à neuf, avec les vitres saines et entières, les éviers allant et coulant, les clefs sur toutes les serrures ; elles ne jugent pas nécessaire de faire un état des lieux ; le bail est pour 4 ans, du 01.03.1861 au 28.02.1865 ; le prix est de 800 francs l'an, payable par moitié de 6 en 6 mois et d'avance ; elle reçoit le montant du premier semestre et en fait quittance ; M. PANC aura droit à 4 cruches d'eau de citerne chaque semaine, tant qu'il y aura de l'eau dans la citerne ; il aura droit de puiser de l'eau du puits à discrétion ; il aura le droit d'établir le gaz dans les appartements loués, attendu que ce droit est déjà exercé par le locataire du café du rez de chaussée ; il rendra les lieux soit sans conduites de gaz et en bon état, soit avec les tuyaux conducteurs, le tout au choix de Mme EUZET qui, dans ce dernier cas devra payer la valeur de ces tuyaux à dire d'experts ; il ne pourra sous-louer ni céder son bail en tout ou partie qu'avec le consentement écrit de Mme EUZET ; il ne pourra faire aucune lessive dans les appartements loués ; il signe (notaire Antoine marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 27.01.1863, elle loue à son fils Jean Baptiste EUZET (négociant à Sète) "un appartement au 2ème étage d'une maison (...) sur la rue des casernes ou quai inférieur de l'esplanade. Cet appartement se compose d'une cuisine avec petite pièce à côté, un salon et deux chambres au 2ème étage, avec lieux d'aisance et un grenier au 3ème étage. M. EUZET fils aura la faculté de puiser pour les besoins de son ménage de l'eau du puits et de la citerne qui se trouvent dans la maison" ; le bail est fait pour 7 ans, à compter du 01.02.1863, au prix de 300 francs par an, payable d'année en année ; une première quittance de 300 francs est faite ; le bail précise que "les contributions des portes et fenêtres et les contributions foncières seront à la charge de Mme veuve EUZET" et que "les blanchissages des plafonds et cuisine seront renouvelés tous les trois ans aux frais de Mme veuve EUZET" (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 18.05.1863, elle paye 7000 francs à Marie Louis Bruno PAULINIER de FONTENILLE, mandataire de la veuve de Pierre Toussaint Marcel de SERRES de MESPLÈS, somme qu'elle avait empruntée à ce dernier, le 04.05.1858 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) pour payer le solde dû à Pierre Antoine MARÈS, suite à l'achat d'un terrain à Sète, le 29.05.1844 pour un montant de 15000 francs (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 11.11.1863, elle accorde un prêt de 8000 francs à Antoine BOUDON, marchand de briques de Sète et à Corinne GUIGONIS, son épouse ; ils s'obligent à la rembourser dans le délai de 5 ans, l'intérêt étant de 5 %, de 6 mois en 6 mois ; une première quittance est faite pour 200 francs ; des hypothèques sont prises sur des immeubles à Sète, au quartier de la glacière, n° 1884, section B du cadastre (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 10.01.1865, elle prête 500 francs à Etienne BONNET (cafetier à Poussan) ; il s'engage à la rembourser dans le délai d'un an à compter de ce jour ; sans intérêt jusqu'au terme et avec 5 % d'intérêt au-delà ; elle est absente pour cet acte et est représentée pas son fils Jean Baptiste EUZET, qui signe ; en cas de décès du débiteur, l'acte précise que ses héritiers seront solidairement tenus au paiement (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; le 26.01.1865, elle dicte son testament au notaire François Adrien THOMAS (de Frontignan), en présence de quatre témoins domiciliés à Frontignan : "je donne et lègue par préciput, avantage et hors part : 1/ à Albert, Honoré, François et Louise EUZET frères et soeur, mes quatre petits enfants mineurs, issus du mariage de mon fils Jean Baptiste EUZET à Cette avec la dame Clarisse (Claire) MICHEL sa défunte épouse, et avec droit d'accroissement entre eux, le tiers de tous les biens meubles et immeubles qui se trouveront m'appartenir au jour de mon décès. 2/ Et au dit Jean Baptiste EUZET mon fils, l'usufruit et jouissance, sa vie durant, du tiers dont je viens de léguer la nue propriété à ses enfants, lesquels par suite ne prendront possession du dit legs qu'après le décès de leur père ; mais en seront propriétaires au moment de mon décès. Je casse et annule tous testaments antérieurs, (...)" ; elle ne sait pas signer ; + 03.03.1865, "dans sa maison d'habitation sise quai inférieur de l'esplanade n° 1", à Sète (un des deux déclarants est Honoré EUZET, son neveu). Génération4-Galibert
BROCHE des COMBES (de) Marie-Marthe Virginie fa Henri Pierre Edouard (1841-1905) et Henriette Marie Joséphine ARGELLIER (1850-1934) ; ° 04.05.1882, à Mondragon (84) ; x Joseph François Charles EUZET (fs Jacques Honoré dit Henri et Rosalie Eugénie JULLIAN, à Saint Blaise de Bauzon (Bollène, dans le Vaucluse), le 28.07.1925 ; le père de Marie-Marthe était négociant en soiries à Lyon (maison BOYER et des COMBES) mais il a passé l'essentiel de sa vie à Pont-Saint-Esprit (30) puis à Bollène (84) après le décès de son propre père ; tous les grands évènements familiaux se sont déroulés dans la paroisse de Saint Blaise de Bauzon (réunie à Bollène, aujourd'hui), à l'extrémité nord du domaine familial de la Roquette ; + 18.05.1947, à Roquemaure (30) ; (informations par Mme Aline EUZET, le 11.09.2005 et par Mme Ghislaine ROURE de BROCHE, le 12.11.2009, plus le site Internet de celle-ci, consulté la dernière fois en juillet 2016) Génération7-Galibert
(Archives de Mme Ghislaine ROURE de BROCHE)
CALAS François fs Jean (patron sur le canal ; il signe ; + avant le mariage de son fils) et Marie RAGOUNE ; ° 06.01.1773, à Sète ; tonnelier ; x Claire EUZET (fa Jean et Catherine THOMAS), le 29 frimaire an II (19.12.1793), à Sète ; au mariage, assiste son frère Jean Joseph CALAS, "lieutenant de companie" et Marie BAILE (qui signe "BAILLE veuve CALAS" et qui est la grand-mère maternelle de François ; le 06.09.1835, le couple fait une donation partage à leurs 6 enfants qui habitent tous à Sète ; le partage se fait en 6 portions égales ; il y a 3 maisons à Sète ; il signe, ainsi que Claire EUZET (notaire Lucien CAZALIS, de Sète) ; le 07.09.1835, bail à loyer d'une de ces maisons par ces héritiers (notaire Lucien CAZALIS, de Sète) ; + 08.08.1837, à Sète ; note : le patronyme de la mère est écrit RAGOUNE ou RAGONE ... ou de façon plus fantaisiste : on peut se reporter aux actes de baptême, de mariage et de décès de François ou encore aux actes de baptême de sa soeur Elisabeth (le 31.12.1770) ou de son frère Pierre Noël (le 02.12.1769), pour ceux-ci dans les registres GG 9 et GG 10 des AD 34 Génération3-Portalès
(à comparer avec leurs signatures du 06.09.1835 - Sète. génération 3 PORTALES)
CAMBON Jeanne Louise fa Pierre (cultivateur) et Louise ACCADIES (+ 25.10.1831, à Mèze - 34), domiciliés à Mèze ; ° 08.06.1825, à Mèze ; domestique ; x1 François Alexandre EUZET (veuf de Marie Rose CANNAC, fs Jean Baptiste et Marianne AUBERT), le 02.05.1845, à Mèze ; elle ne sait pas signer ; x2 Pierre MARQUÈS (tonnelier), aprè le décès de François Alexandre EUZET , le 29.02.1848 et avant l'acte de partage du 18.03.1854 ; dans cet acte de partage des biens de Jean Baptiste EUZET (père de son premier mari), il est dit qu'elle est la tutrice légale "de son fils mineur François EUZET, seul enfant issu du mariage dudit François Alexandre EUZET avec ladite dame CAMBON" (en réalité, le prénom de son fils est Alexandre mais on devait l'appeler François pour le distinguer de son père) ; dans ce partage qui ne concerne qu'une pièce de terre à Frontignan (la maison reste indivise), elle représente son fils qui est mineur (notaire Alphonse COUZIN, de Sète). Génération4-Portalès
CANNAC Marie Rose fa Michel (cultivateur, 47 ans en 1833) et Marguerite COSTE (sans profession, 44 ans en 1833), domiciliés à Sète, en 1833 ; ° 12.07.1815, à Frontignan (34) ; domiciliée à Sète ; x François Alexandre EUZET (fs Jean Baptiste et Marianne AUBERT), le 07.06.1833, à Sète ; sans profession ; elle ne sait pas signer, ni ses parents ; signalée au recensement de 1841 (avec le prénom de Rose), avec son mari et 3 enfants (Michel, Mélanie, Barthélémy), "Grand rue haute" ; + 14.10.1843, à Sète. Génération4-Portalès
CANTO Léon Marie François fs Jean (Joan) Frédéric Ramon (commis négociant, espagnol, âgé de 28 ans à la naissance de son fils ; il signe) et Emilie Marie Louise BERCK (sans profession, âgée de 24 ans à la naissance de son fils ; + 08.05.1900, à Sète) ; ° 25.12.1878, à Sète, "dans la maison MAURIN, Grande rue, n° 38" ; x Joséphine Marguerite EUZET (fa Barthélémy et Marie Thérèse Augustine BOUDET), le 18.11.1905, à Sète ; pas de Cm ; il signe L. CANTO ; au mariage, assiste Léon BERCK (son oncle, rentier, 61 ans) et François DESMAZES (négociant, 52 ans, non parent ni allié) ; acte de constitution de société en nom collectif ayant pour objet le commerce des vins et spiritueux "EUZET et CANTO", le 23.06.1920, pour 25 ans (acte reçu par Me BELGODERE, notaire à Sète ; le 23.06.1928, la durée de la société a été prorogée de 25 ans et transformée en société à responsabilité limitée, à compter du 01.07.1928, le siège social étant "quai de Bosc, n° 40" et l'autre partenaire étant Louis EUZET, son beau-frère (6 U7/154, aux AD 34 - dossier à consulter) ; signalé comme gérant de commerce au recensement de Sète de 1931 avec son épouse et ses beaux-parents, "Quai de Bosc" (son prénom indiqué est Louis) ; signalé comme négociant en vin au recensement de Sète de 1936 avec son épouse, "Quai de Bosc" ; + 07.01.1959, à Sète. Génération6-Portalès
CAPELLE Sébastien François fs Sébastien et Catherine DAROLLES, domiciliés à Sète ; ° 20.03.1796 (30 ventose an 4), à Sète ; x Claire EUZET (fa Honoré et Marie PELUF), le 19.02.1824, à Sète ; tonnelier ; il ne sait pas signer ; signalé au recensement de Sète de 1841 comme tonnelier, avec son épouse et deux enfants ; signalée au recensement de Sète de 1861 comme tonnelier, avec son épouse "(aliénée)" et un fils, "rue de l'Hospice". Génération4-Galibert
CARRIÈRE Jeanne fa Pierre (marchand tailleur ; il signe) et Barbe MERLY (sans profession ; elle ne sait pas signer), domiciliés à Sète ; ° 13.02.1822, à Sète ; x Modeste EUZET (fs Antoine et Marie Rose THEULON), le 29.04.1844, à Sète ; Cm 29.04.1844, notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète ; sans profession ; régime dotal ; son père lui donne pour dot 1900 francs "en la valeur de meubles meublants, linge de ménage, batterie de cuisine, dorures et bijoux", pour lesquels Modeste hypothèque tous ses biens pour leur remboursement en argent, cependant que Pierre CARRIÈRE se réserve le retour de la somme dans le cas de prédécès de Jeanne avant lui et si elle ne laisse pas de postérité ; Jeanne "se réserve comme propres ses linges et effets d'habillement" ; elle signe Jane CARRIERE ; signalée au recensement de 1851, sans profession, 29 ans, avec son mari et deux enfants : Antoine EUZET (6 ans)
et Charles EUZET (2ans), habitant "rue Caraussanne" ; + 14.08.1865, à Sète, dans sa maison d'habitation, sise "rue Hôtel-de-Ville, n° 36". Génération5-Galibert
CASIER Sophie Amélie (le patronyme est, parfois, écrit CAZIER ou CAZZIER) fa Marie Thérèse CASIER et de "père inconnu" (selon son acte de décès) ; ° en 1812, à Menin, en Belgique, province de la Flandre occidentale, commune qui est indiquée dans son acte de mariage (àgée de 67 ans le 03.11.1879, selon son son acte de décès, et 26 ans 4 mois selon son acte de mariage, le 05.05.1838) ; le prénom est Sophie Emilie lors du baptême de son fils Vincent Antoine, en 1840, à l'église Saint Eustache, de Paris, alors qu'il est simplement Sophie en 1839 (Sophie est probablement son prénom usuel), pour le baptême de sa fille Thérèse et qu'il est même Emilie Joséphine, en 1843, pour le baptême de son fils Vincent. La "fantaisie" du curé s'est aussi exercée sur son nom : ESQUIE ou ESQUIER en 1839, CASIER, en 1840, ESQUIER ou SQUIRE, en 1843 ; à noter qu'en 1839, la marraine est Julienne Sophie CAZIE ou CAZIER ; par contre, la marraine en 1843 est Virginie ESQUIER ou SQUIRE, selon comment on interprète la graphie. La destruction de l'État Civil de Paris ne permet pas de faire la comparaison avec les registres de catholicité ; par contre, en 1858, l'acte de mariage de sa fille, Thérèse, est intéressant à un double titre : ses nom et prénom sont, dans l'acte, CAZZIER Sophie, et elle signe Sophie CASIER. Par contre, quand son fils Vincent meurt en 1851, l'acte de décès reprend les éléments de son acte de baptême : la mère est dite Sophie SQUIRE. Malgré ces variations de nom, on voit bien qu'il s'agit de la même personne, qui se marie avec Vincent EUZET (fs Jacques et Elisabeth FARRAND), le 05.05.1838 à Gouvieux (60) ; le mariage a lieu dans cette commune car elle y est domiciliée ; l'acte de mariage indique précisément qu'elle est : " demeurante de fait à Saint Brice, Seine-et-Oise, et de droit en cette commune" (c'est-à-dire Gouvieux) ; elle est domestique ; l'acte indique aussi qu'elle est " fille naturelle et majeure de Marie Thérèse CASIER, sans profession, domiciliée en cette commune" ; sa mère est présente au mariage et déclare qu'elle ne sait pas signer ; de même, Sophie déclare qu'elle ne sait pas signer (alors que les actes ultérieurs montrent qu'elle apprendra à signer) ; Vincent EUZET habite déjà à Paris et il est donc probable qu'elle a dû le suivre dans la capitale après le mariage, son domicile étant au 36 de la rue de la Cossonnerie, dans le 4e arrondissement (les bans ont été passés à la mairie de cet arrondissement ainsi qu'à la mairie de Gouvieux) ; les quatre témoins sont des amis de Paris ou de Gouvieux ; quand Vincent EUZET meurt, en 1875, il est dit "époux d'Amélie Sophie CAZZIER, sans profession" (au passage, on note encore une variation dans l'ordre des prénoms) ; à Paris, elle habite "rue de la cossonnerie 36" (1er arrondissement aujourd'hui mais qui devait
être dans le 4ème avant la percée du boulevard Sébastopol) ; à Sète, elle habite "quai de Bosc, n° 18" (en 1851) et "rue Hôtel de ville, n° 7" (en 1875) ; signalée au recensement de Sète de 1851 (avec le nom de Sophie CARIER), sans profession, 38 ans, avec son mari et un enfant : Vincent EUZET (8 ans), habitant "quai de Bosc" ; + le 03.11.1879, à Sète, "rue Hôtel de Ville, n° 7" ; l'acte indique qu'elle a 67 ans, le lieu de sa naissance est laissé en blanc, domiciliée à Sète, elle est veuve de Vincent EUZET et "fille naturelle de feue Marie Thérèse CASIER et de père inconnu" ; comme pour le nom de sa mère, son patronyme est écrit avec un S : CASIER et le prénom indiqué est Sophie Amélie ; à noter que le nom de CASIER se trouve surtout dans la partie nord de la France, en particulier dans le Pas-de-Calais, ainsi que dans la Flandre occidentale ; on peut enfin se demander si le nom ESQUIER ou SQUIRE n'a pas un rapport avec son père, peut-être inconnu à Sète en 1879 mais peut-être pas à Paris dans les années 1840. Génération4-Galibert
CASTAN Marie fa Joseph Georges (tonnelier ; il ne sait pas signer) et Madelaine Antoinette SABATIER (sans profession + 09.12.1847, à Sète), domiciliés à Sète ; ° 04.09.1839, à Sète ; couturière ; x Michel EUZET (fs François Alexandre et Marie Rose CANNAC), le 22.02.1860, à Sète ; pas de Cm ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1866 avec son mari (marin) et 3 enfants : Jean Michel (en fait, Baptiste), Louise et Marie Jeanne, "Ile de la Loge, rue Saint Louis" ; signalée au recensement de Sète de 1872 avec son mari (tonnelier) et 4 enfants : Michel (en fait, Baptiste), Louise, Rosalie et Louis (1 an), "rue Saint Louis" ; elle ne sait ni lire ni écrire ; + 18.06.1873, à Sète. Génération5-Portalès
CATHALA Thérèse fa Joseph (+ à Periac ?, le 27.09.1838) et Anne ARMANGAU (+ à Estoher, le 20.11.1860) ; ° 21.02.1836, à Sahorre (66) ; domestique quand elle se marie ; publications de mariage à Estoher (66) et à Sète ; Cm avec Jean Baptiste EUZET, le 04.12.1872 : le régime est dotal ; elle se constitue en dot de son chef comme provenant de ses économies une somme de 4000 francs en numéraire qu'elle déclare lui avoir remise avant cet acte, ce qu'il confirme ; il en fait reconnaissance au profit de sa future épouse sur tous ses biens présents et à venir ; la constitution ne comprend pas les linges et hardes du trousseau qui demeurera sa propriété personnelle et qu'elle retirera en nature dans tous les cas de droit ; le trousseau est évalué à la somme de 1000 francs ; lui déclare que ses biens actuels se composent : "1/ De la moitié indivise d'un magasin avec cour et dépendances situé à Cette sur le prolongement du quai de Bosc, évalué à la somme de 20.000 francs , 2/ Une pièce de terre vigne située au quartier de Saint Clair, évaluée 500 francs" ; les autres biens de la future épouse seront libres et paraphernaux ; l'acte est fait en l'étude ; il signe mais elle ne sait pas signer ; dans cet acte, le notaire écrit le patronyme de la future épouse sous la forme CATALA (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; x Jean Baptiste EUZET (fs Honoré et Françoise BRIANT), à Estoher, le 11.12.1872 ; le même jour, le couple déclare "qu'il existe de leur union naturelle un enfant inscrit sur les registres de l'état civil de Cette à la date du 9 septembre 1871 et sous le nom de CATHALA Marie Thérèse, lequel ils reconnaissent pour leur fille, voulant que la présente déclaration légitime sa naissance et lui donne les mêmes droits que pourraient avoir les enfants qui viendraient à naître de leur union légitime" ; elle ne sait pas signer ; veuve, le 09.10.1886 ; + 18.10.1911, à Nantes (44) où elle est domiciliée, veuve de Jean Baptiste EUZET ; elle est domestique quand elle décède à l'Hospice Saint Jacques (n° 458) et elle est enterrée dans le cimetière Saint Jacques (Etat civil et registre des inhumations, dans les archives de la mairie de Nantes). Génération5-Galibert
CAUCANAS Marie fa Jean (journalier + 10.03.1850, à Sète) et Rosalie JONQUET (sans profession + 22.07.1834, à Sète), domiciliés à Sète ; ° 28.02.1820, à Sète ; sans profession ; x Raymond EUZET (fs Jacques et Catherine RICHARD), le 14.09.1853, à Sète ; pas de Cm ; dans la publication de mariage, elle est indiquée ainsi : "Marie dite CAUCANAS", "fille de Jean dit CAUCANAS" ; signalée au recensement de Sète de 1856 avec son mari et leurs deux filles, Claire et Antoinette, "rue Saint Sacrement, n° 187" ; veuve le 15.10.1858 ; signalée au recensement de Sète de 1861 comme "veuve EUZET née Marie NASSOU", avec ses deux filles, Clarisse (en fait, Marie Claire) et Antoinette (en fait, Marie Antoinette), "rue Saint Clair, n° 189" ; signalée au recensement de Sète de 1866 comme veuve EUZET, sachant lire (mais pas écrire), avec ses filles, Claire (journalière) et Marie, "rue Villefranche, n° 173" ; signalée au recensement de Sète de 1881 comme veuve EUZET, journalière, avec sa fille Marie Antoinette, "rue Saint Sacrement" ; signalée au recensement de Sète de 1896, veuve et sans profession, avec sa fille Antoinette (elle-même journalière), "rue Villefranche, n° 31" ; + 21.12.1899, à Sète, sans profession, "rue Villefranche, n° 31" (dans cet acte, elle est indiquée comme veuve de Raymond EAUZET). Génération4-Portalès
CAUSSEL Jeanne Rose Georgette fa Jean François Auguste (pharmacien, + 08.10.1865, à Sète) et Philippine PONTIE (sans profession) ; ° 04.11.1859, à Sète ; x Baptiste Honoré EUZET (fs Antoine et Célina Aline FAURE), le 16.08.1876, à Sète ; pas de Cm ; elle signe, sa mère aussi ; signalée au recensement de Sète de 1876, avec son mari Honoré EUZET et une domestique, Rose FAURE (60 ans) ; signalée au recensement de Sète de 1881, avec son mari Honoré EUZET et une domestique, Marie FERRA, "rue des casernes" (maison 27) ; signalée au recensement de Sète de 1886 avec son mari (marquée par erreur en tant qu'enfant et avec le patronyme EUZET), "rue des casernes 28" ; elle n'est pas signalée au recensement de Sète de 1891 avec son mari, "rue des casernes 24" (Honoré EUZET y habite, dans un logement séparé mais au même numéro que sa soeur Françoise et son beau-frère, Jean COMBES) ; divorce le 22.10.1897, à Sète, jugement du tribunal civil de première instance de Montpellier ; liquidation des droits devant le notaire COUZIN, de Sète ; transcrit sur le registre de Sète, le 06.09.1898 ; c'est peut-être elle qui est signalée au recensement de Sète de 1906, au "11, rue des Hôtes", année de naissance : 1860, cousine de la veuve Françoise LIMOUSIS (née en 1852). Génération6-Galibert
CAVALLIER ou CAVALIER Louis Marius fs Marie Jean Pierre (coiffeur) et Jeanne PIOCH (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 23.03.1845, à Sète ; x Marie Jeanne EUZET (fa Modeste et Jeanne CARRIERE), le 14.10.1876, à Sète ; pas de Cm ; coiffeur, parfumeur ; il signe et ses parents aussi ; signalé au recensement de Sète de 1876 comme coiffeur, avec son épouse, ""Grand'rue, n° 12" ; signalé au recensement de Sète de 1881 comme coiffeur, avec son épouse, ""Grand'rue, n° 12" ; signalé en 1884 au décès de sa tante Marie EUZET, selon l'acte de notoriété du 20.01.1885 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; testament olographe, le 14.07.1884, de son épouse, reçu par le notaire COUZIN, le 15.12.1884, au terme duquel, elle lui lègue l'universalité de ses biens ; il est envoyé en possession de son legs, "par suite de non existence d'héritiers à réserve" (notaire COUZIN, de Sète, le 16.03.1885), suivant l'ordonnance du président du tribunal de première instance de Montpellier, le 08.04.1885 et suite à l'acte de notoriété du 12.03.1885. Génération6-Galibert
CAVALLIER ou CAVALIER Marie Jeanne fa Marie Jean Pierre (coiffeur) et Jeanne PIOCH (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 17.11.1847, à Sète ; domiciliée à Sète ; x Charles Marc EUZET (fs Modeste et Jeanne CARRIERE), le 28.05.1874, à Sète ; pas de Cm ; au mariage, assiste Paul ROUSSY (oncle de la mariée, tapissier, 55 ans, de Sète) ; sans profession ; elle signe Marie CAVALIER (avec un seul L, alors que dans les actes la concernant il y a deux L) ; son père signe J. CAVALIER ; sa mère signe Eugénie PIOCH, alors que son prénom est Jeanne (de même, dans les recensements de Sète de 1876 et 1881, elle est indiquée avec son mari au 12, Grand Rue, avec le prénom Eugénie) ; + 15.05.1875, à Sète, "Grand'rue, n° 12" ; l'étude des tables décennales de 1863 à 1882 montre que le patronyme CAVALLIER pouvait être écrit d'un grand nombre de manières : CAVALLIE, CAVAILLER, CAVAILLES, CAVAILLÉS, CAVALIER, CAVALLIER, CAVALLÉ, CAVAILLEZ, CAVALIE, CAVAILHÉ et même CABALLÉ ! Génération6-Galibert
CAYLA Marie Alexandrine fa Alexandre (débitant) et Félicité CORNEVIN (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 27.01.1855, à Sète ; x Noël François Ange EUZET (fs Abel Jean Pierre et Marianne DOUCET), le 21.10.1879, à Sète ; pas de Cm ; sans profession ; elle signe, ses père et mère aussi ; veuve, le 25.07.1893 ; signalée au recensement de Sète de 1911 avec sa fille Anna, au "4, rue Garenne" ; le 08.05.1903, avec sa mère, elle prolonge le délai d'une créance de 8500 francs due par la veuve FIGUIER et ses deux filles (la créance datant du 05.05.1873, acte passé auprès du notaire COUZIN, de Sète, prêt fait par Alexandre CAYLA, avec un intérêt de 5 %) ; le délai de remboursement est prorogé de 5 ans, avec un taux d'intérêt minoré à 4 % ; les parties signent avec les témoins sauf la dame FIGUIER qui ne peut pas, à cause de l'affaiblissement de sa vue (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1926 avec sa fille Félicité, son gendre Adolphe PROMPT, leur fils Marcel (né en 1920) et leur fille Denise (née en 1908), au "4, rue Garenne" ; signalée au recensement de Sète de 1931 avec son gendre (Adolphe PROMPT), sa fille, Félicité EUZET, et son petit-fils, Marcel PROMPT, au "39 Quai Général Durand"
Génération6-Galibert
CAYROL Thérèse Rose (dite Rosa) fa Bernard Esprit (menuisier, + 05.05.1886, à Sète) et Catherine Colombe BRAVET (sans profession, testament 19.11.1878 notaire COUZIN, de Sète ; + 11.12.1878, à Sète), domiciliés à Sète et Cm le 26.11.1830, notaire LAURENS, de Sète ; ° 30.04.1835, à Sète ; sans profession ; x Jacques Honoré EUZET (fs Antoine et Gabrielle LAUTIER), le 18.03.1857, à Sète ; pas de Cm ; elle signe Rose CAYROL ; présent au mariage : Joseph BRAVET (39 ans, oncle de la contractante) ; signalée au recensement de Sète de 1881 (prénoms Rose Thérèse), avec son mari et trois enfants (Henri, Thérèse et Pierre), "rue du Prado" (maison 7) ; la liquidation de la succession de sa mère, suite à un jugement du tribunal civil de Montpellier du 23.08.1884, se trouve dans les minutes du notaire Alphonse COUZIN, de Sète, au 04.02.1885 : aux termes de la liquidation, il lui revient "pour sa part héréditaire, en toute propriété, la somme de 2840 francs 25 centimes et pour sa part en nue propriété pour y joindre au décès de M. CAYROL, la même somme de 2840 francs 25 centimes, formant le quart dont M. CAYROL a l'usufruit" ; aucun inventaire après la mort de ses parents ; le minutier du notaire Alphonse COUZIN, de Sète, enregistre la liquidation de la succession après le décès de Bernard Esprit CAYROL ; la liquidation s'est faite entre les héritiers, Thérèse Rose CAYROL, épouse EUZET, étant bénéficiaire d'un quart ; les autres héritiers étaient : Esprit Bernard CAYROL fils (commis négociant) pour 1/4, Charlotte CAYROL, épouse de Guillaume Vincent FERRIER (capitaine) pour 1/4 et, solidairement pour 1/4, Eugène Maurice MICHEL, Henri Sébastien MICHEL et les enfants mineurs de ce dernier, Claire et Jules Marc MICHEL, représentés par Jeanne CAYROL, épouse MICHEL ; après un procès verbal de renvoi, le 26.01.1887, la liquidation a été définitive le 18.05.1887 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1891 (prénom Rosa), avec son mari, "Grand rue 35" Génération5-Galibert
(le 26.01.1887)
(photo J.C.E., le 09.05.2011, au cimetière marin)
CREMAILH Marie Anne Emélie fa Alexis (cultivateur) et Françoise COMBES, de Ferrals
(les Corbières), dans l'Aude ; ° 13.04.1814, à Ferrals ; x Benjamin EUZET (fs Jacques et Elisabeth FARRAND), le 04.06.1834,
à Ferrals (11) ; elle ne sait pas signer ; assistent au mariage Joseph Noël LIGNIERE (négociant, son cousin germain) et Joseph MARTIN
(propriétaire à Ferrals, son beau-frère) ; ses parent sont dits signataires mais on voit seulement une signature "CREMAILH cadet" ; un
des témoins (ESPARDEILHE ou ESPARDEILHAN) est de Fabrezan, dans l'Aude (commune où l'on trouve des CREMAILH et qui est donc, probablement, la
commune d'origine de la famille ; les deux communes sont très proches) ; une recherche mené dans les tables décennales de l'état civil de Ferrals et de
Fabrezan n'a rien donné : aucun décès et aucune naissance de EUZET entre 1834 et 1883 à Ferrals ; du
côté des CREMAILH, on trouve seulement le décès de Célestine CREMAIL, le 21.06.1859, celui d'une CREMAILHAC, sans
prenom dans la table, le 08.05.1871 et celui d'un CREMAILH, sans prénom dans la table, le 08.05.1871 ; les recherches sur Fabrezan
n'ont rien donné dans les tables 1833-1842 et 1843-1852 ; le couple s'est installé à Homps, dans le même département, probablement immédiatement après le mariage. Génération4-Galibert
DAUPHIN Thérèse fa Pierre (propriétaire ; testament, le 14.08.1882 devant le notaire Alphonse COUZIN, qui donne 1/4 en usufruit des biens de sa succession à son épouse ; + 26.04.1883, à Sète ; pas d'inventaire après son décès) et Marguerite RECOULY (sans profession), domiciliés à Sète (encore en vie, le 11.06.1886) ; ° 29.03.1845, à Sète ; x Honoré Antoine EUZET (fs Antoine et Marie Rose THEULON), le 11.10.1877, à Sète ; pas de Cm ; sans profession ; elle signe, son père aussi mais non sa mère qui ne sait pas (cependant, le 11.06.1886, elle signe Madame DAUPHIN) ; elle est héritière des biens de son père, avec sa soeur Marie (mariée à Joseph MATHIEU), son frère Baptiste et son frère Joseph Pierre (marié avec Marie Fortunée BOUFFIER, domiciliés à Alger) ; le 11.06.1886, ils reconnaissent devoir, solidairement, à Cyrille BONY (chapelier, à Sète) 9000 francs (5000 francs pour prêt, le 15.09.1884, selon un billet à ordre, et 4000 francs pour prêt de ce jour ; dans cet acte passé devant le notaire Alphonse COUZIN, de Sète, Honoré EUZET autorise et assiste son épouse et est aussi le mandant de Joseph Pierre DAUPHIN (représentant de commerce, à Alger, selon une procuration qui est jointe ; en sûreté de l'opération, les DAUPHIN affectent deux maisons venant de la succession de leur père, l'une sur la grande rue et l'autre sur le quai de la Darse ; M. EUZET déclare, au nom de madame DAUPHIN sa mandante, céder, déléguer et transporter à M. BONY, qui accepte, pareille somme de 9000 francs et ses intérêts (...) ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties ; "après lecture faite à très haute voix pour Madame veuve DAUPHIN (Marguerite RECOULY), et à côté d'elle, et à cause de sa surdité d'oreille, et après quoi, M. Jean Baptiste DAUPHIN a pris lui-même lecture du présent acte à cause de son extrême dûreté d'oreille" (notaire Alphonse COUZIN, de Sète). Génération5-Galibert
DECROIX Jean fs Henri (journalier) et Françoise BAUDON ; ° 06.03.1890, à Venesmes (18) ; x Virginie Eugénie EUZET (fa Lazare et Eléonore Marie Louise AUGÉ), le 30.01.1913, à Marseille ; quand il se marie, il est en garnison à Marseille, soldat au 9ème régiment d'artillerie coloniale ; c'est le 03.12.1912 qu'il obtient l'autorisation de se marier, accordée par le Conseil d'administration du 9ème régiment d'artillerie coloniale, à Toulon ; ses parents ont exprimé leur consentement par acte du 21.12.1912 reçu en mairie de Bourges (18) où ils sont domiciliés ; il signe avec les témoins et parents EUZET ; il n'a pas été passé de Cm. Génération 6-Portales
DÉFARGES Simon fs Prosper (menuisier) et Marie PORTES (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 31.08.1832, à Sète ; "en sa qualité de jeune soldat remplacé de la classe 1852 du canton de Cette, nous a remis et déposé pour être annexé au présent, une permission de pouvoir contracter mariage à lui accordée le 21 mai 1859, par Monsieur le Général commandant de la dixième Division Militaire" ; x Marie EUZET (fa Antoine et Marie Rose THEULON), le 30.05.1859, à Sète ; Cm 28.05.1859, notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète ; régime dotal ; son père lui donne "en dot et avancement d'hoirie 3000 francs en la valeur des outils, marchandises, clientèle et dépendances du magasin d'ébénisterie et de menuiserie de M. DEFARGES père" mais s'en réserve le retour en cas de décès du futur époux sans postérité avant le donateur ; ébéniste ; il signe, son père aussi mais pas sa mère ; le 28.05.1859, son père, Prosper DEFARGES fait un testament dans lequel il lègue à son épouse le quart en propriété et le quart en usufruit des biens qu'il délaissera à son décès ; la date du décès de Prosper DEFARGES est noté en haut du testament : 06.05.1875 ; il est signalé au recensement de Sète de 1861, avec son épouse, "n° 84, rue de la placette" ; son épouse, Marie EUZET, fait son testament le 01.05.1883, en sa faveur : "Je soussigné Marie EUZET épouse DÉFARGES ai fait mon testament comme suit. Je lègue à Simon DÉFARGES mon mari l'usufruit sa vie durant de tous les biens qui composeront ma succession, je le dispense à faire inventaire, de fournir caution et à faire emploi des capitaux à raison de cet usufruit" (notaire COUZIN, de Sète) ; veuf le 28.10.1884 ; confirmation du décès de son épouse par l'acte de notoriété du 20.01.1885 (notaire COUZIN, de Sète) ; la délivrance du legs se fait en deux temps par les héritiers EUZET, auprès du notaire COUZIN, de Sète : d'une part, le 21.02.1885 (pour le frère et les soeurs de Marie EUZET) et, d'autre part, le 16.03.1885 (pour les enfants de Modeste EUZET) ; le legs de Marie EUZET à son mari comprend : 3000 francs (portés à son Cm), 400 francs (valeur de ses dorures, indiquée à son Cm), 15.675 francs ("montant revenant à Mme DÉFARGES dans le prix de diverses ventes de terrains consenties par les héritiers EUZET à divers par actes reçus par Mes VIVAREZ et COUZIN"), 600 francs provenant de la succession d'Elisabeth EUZET mais déduction faite de 1830,40 francs, part de la contribution de Mme DÉFARGES au payement des dettes de la succession paternelle ; + après 1902. Génération5-Galibert
DEVILLE Gabrielle fa Jean Baptiste (charretier) et Hélène BREZET (travailleuse), domiciliés à Sète ; ° 22.02.1806, à Sète ; travailleuse ; "lessiveuse" (en 1830) ; elle a un enfant naturel, de père inconnu, Gabrielle Vincente DEVILLE, qui naît à Montpellier, le 30.01.1827 (et qui se marie avec Jean TALON, à Sète, le 07.08.1848) ; à la naissance de Gabrielle Vincente, assiste François Lange (sic) EUZET, cafetier de Sète, âgé de 60 ans, qui, comme les autres témoins, est indiqué comme non parent ni allié (il s'agit de François EUZET, cafetier, né en 1789) ; x Jacques EUZET (fs Jean Baptiste et Magdelaine CONDAMINES), le 19.02.1830, à Sète ; elle ne sait pas signer ; pas de Cm ; signalée au recensement de 1836 comme lessiveuse, avec son mari et trois enfants : Gabrielle Vincente EUZET (10 ans), François EUZET (2 ans) et Louis Jean EUZET (9 mois) ; signalée au recensement de 1841 avec son mari et 4 enfants (Jean Baptiste, François, Gabrielle, Jean Baptiste), "Grand rue haute" ; signalée au recensement de 1851, sans profession, 47 ans, avec son mari et trois enfants : Jacques (cultivateur, 20 ans), Louis (13 ans) et Jean (7 ans), habitant "Grand rue haute" ; + 07.01.1856, à Sète "en l'absence de dispositions entre vifs ou testamentaires, laissant pour enfants et héritiers testamentaires, Jean Baptiste EUZET, tonnelier, époux d'Elisabeth PONSY, Jeanne EUZET, lessiveuse, épouse de Dominique NEGRE, marin, Françoise EUZET, née à Sète, le 02.04.1844 et pour seule fille naturelle , Gabrielle Vincente, épouse de Jean TALON, tonnelier, tous domiciliés à Sète", d'après l'acte de notoriété du 26.05.1859 des héritiers d'Hélène BREZET, veuve de Jean Baptiste DEVILLE, (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; dans ce même acte, sont indiqués les frères et soeurs de Gabrielle DEVILLE : Véronique (épouse de Pierre MICHEL), Marceline (épouse de Pierre VAILLARD), Rose (épouse de Charles BULLIAN) et Charles (décédé en 1854, époux de Louise CHAUVET, ayant pour enfants Elisabeth et Marguerite) Génération3-Portalès
DOUCET Antoine fs Barthélémy (propriétaire) et Catherine LABEILLE (sans profession), domiciliés à Sète ;
° 28.02.1843, à Sète ; x Madeleine EUZET (fa Honoré et Catherine FABRE), le 28.04.1881, à Sète ; pas de
Cm ; commis négociant ; il signe mais ses père et mère ne savent pas signer. Génération6-Galibert
DOUCET Marie Anne (ou Marianne) fa Barthélémy (plâtrier) et Catherine LABEILLE (revendeuse), domiciliés à Sète ; ° 05.05.1831, à Sète ; sans profession ; Cm, le 02.10.1852 avecAbel Jean Pierre EUZET (fs de François et de Rosalie THEULON) : le régime est dotal, à l'exclusion de toute communauté de biens ; son père lui donne en dot et avancement d'hoirie, 1000 francs "en la valeur de meubles meublants, linges de corps et de ménage, dorures et bijoux que le futur époux déclre avoir en sa possession ; en conséquence, celui-ci affecte et hypothèque tous ses biens présents et à venir pour assurer la conservation et le remboursement de la dot à la future ou à qui de droit ; le père de Marianne se réserve le retour pour le cas de prédécès de celle-ci et des descendants d'elle sans postérité" ; l'acte est passé en l'étude, en présence de François Joseph POUS (menuisier) et de François Mathias GIBERT (coiffeur), témoins domiciliés à Sète (notaire Antoine Marius Salomon VIVARES, de Sète) ; x Abel Jean Pierre EUZET, le 04.10.1852, à Sète ; elle ne sait pas signer, ni ses père et mère ; signalée au recensement de Sète de 1861 avec son mari, quatre enfants, sa belle-mère et un domestique, "Ile portail de Vergne, quai supérieur de la place" ; signalée avec son mari (cafetier) et 4 enfants, François Noël (commis), Louis Marius, Rosalie et François Abel, au recensement de Sète de 1876, "Grande rue" (maison 25) ;
signalée au recensement de Sète de 1881, avec son mari (employé) et 3 enfants : Rosalie Marguerite, Louis Marius Joseph et Abel François (séminariste, absent), "rue de l'Esplanade" (maison 33) ; signalée avec son mari et ses enfants, François Abel, Louis Marius et Marguerite Rosalie, au recensement de Sète de 1886, "rue Louis Blanc n° 45" ; le 03.08.1888, veuve d'Abel EUZET, elle emprunte 1000 francs à Alexandre CAYLA (rentier, à Sète, époux CORNEVIN) ; elle s'engage à le rembourser dans le délai de 5 ans et jusqu'au payement de lui servir un intérêt de 5 % l'an, par semestre, par moitié et d'avance, à compter de ce jour, en la demeure du créancier ; celui-ci reçoit aussitôt le 1er semestre et en fait quittance ; à défaut d'un seul payement des intérêts, le capital deviendra exigible, s'il plaît au créancier, un mois après un simple commandement resté sans effet ; elle gage ce prêt sur deux maisons à Sète qu'elle hypothèque, l'une rue Pascal (ancienne rue du Saint Sacrement) et l'autre, rue des députés ; ces maisons dépendent de la communauté ayant existé entre ses parents ; sa mère est décédée ab intestat, laissant son mari pour commun en biens et pour seuls héritiers, ses trois enfants dont Marianne DOUCET ; ces immeubles lui appartiennent pour un tiers de la moitié , indivis avec son père et ses deux frères ; plusieurs clauses sont ensuite définies (interdiction de licitation, de partage, subrogation au prêteur, etc.) qui garantissent Alexandre CAYLA ; celui-ci signe, elle ne sait pas signer (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) Génération5-Galibert
DUCAYLAR (ou DUCAILAR) Marie fa Louis (tonnelier, + 11.11.1823, à Sète) et Suzanne FABRE (+ 23.06.1829), domiciliés à Sète ; ° 18.09.1788, à Sète ; x Jacques Honoré EUZET (fs Honoré et Marie PELUF), le 06.07.1809, à Sète ; signalée au recensement de 1836, avec son mari et 7 enfants ; elle signe "Marie CAYLAR" mais est nommée "Marie CAYLA", au recensement de 1836 ; signalée au recensement de 1841 avec son mari, 5 enfants (Suzanne, Elisabeth, Angélique, Thérèse, Louis Honoré) et Marie BONNAL (cousine germaine des précédents), "quai de Bosc" ; le 01.04.1841, elle achète (avec l'autorisation de son mari) à ses nièces (Antoinette BONAL, épouse de Jean FERRIOL et Marie BONAL, fille majeure), la moitié de la maison venant de la succession de son père Louis DUCAILAR (dans cet acte, le patronyme est toujours écrit avec un I, cependant que le patronyme BONAL est, le plus souvent, écrit avec un seul N, et Marie BONAL signe son nom avec un seul N) ; cette maison est ainsi décrite : "une maison à un étage au-dessus du rez de chaussée, située à Cette, au coin de la rue des casernes et de la rue des hotes, confrontant du nord les héritiers BOUILLON, du sud la rue des hotes, de l'est Modeste EUZET et de l'ouest la rue des casernes" ; Marie DUCAILAR est déjà propriétaire de la moitié de la maison, suite à la succession de son père, ses nièces étant chacune propriétaires pour un quart ; le prix est de 2400 francs, soit 1200 francs pour chacune d'elles ; Mlle Marie BONAL déclare avoir déjà reçu de Mme EUZET, sa tante, "la somme de 600 francs avant cet acte, en objets d'entretien, d'habillement et autres valeurs" ; elle lui délivre une quittance ; pour le solde de 600 francs, Marie DUCAILAR s'engage à le payer dans un délai de 2 ans, sans intérêt jusque là et avec 5 % d'intérêt au-delà ; en ce qui concerne Mme FERRIOL, Marie DUCAILAR s'engage à payer les 1200 francs dans un délai de 5 ans, avec un intérêt de 5 % ; en sûreté, Marie DUCAILAR affecte et hypothèque la maison licitée ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties, sauf Mme FERRIOL qui ne sait pas signer (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 23.06.1841, le couple emprunte, solidairement, 3000 francs à Marie Catherine Adélaïde MEINADIER, veuve de Simon Pierre GOUDARD (propriétaire foncier) ; absente, elle est représentée par un aspirant au notariat, Louis CROUZET qui délivre la somme pour elle ; ils s'engagent à rembourser dans les trois ans, avec un intérêt de 5 % ; CROUZET encaisse immédiatement 150 francs d'intérêts pour la première année ; une quittance est délivrée ; les conditions du prêt sont les suivantes : 1/ Le remboursement doit se faire "en espèces d'or et d'argent, au titre poids et valeur de ce jour et non en billets papier monnaie et autres valeurs fictives dont le cours même forcé pourrait être introduit dans le commerce en vertu des lois futures au bénéfice desquelles les mariés EUZET renoncent dès à présent", 2/ A défaut d'exactitude dans le paiement des intérêts, par simple commandement non suivi de paiement dans la quinzaine, le paiement du capital pourra être exigé, 3/ Les emprunteurs ne pourront se libérer avant l'époque fixée, 4/ En cas de décès des emprunteurs ou de l'un d'eux avant complète libération, leurs héritiers ou ayant cause seront tenus solidairement au paiement, l'obligation étant indivisible ; en sûreté, Jacques Honoré affecte et hypothèque les immeubles qu'il possède à Sète : champs, jardin, maisonnages et dépendances ; de même, Marie DUCAYLAR affecte et hypothèque la maison qu'elle possède à Sète (au coin de la rue des casernes et de la rue des hôtes) ; de plus, elle cède tous les droits, créances, reprises et avantages qu'elle a et pourrait avoir contre son mari ; ils "s'obligent à employer les deniers empruntés aux réparations qu'ils se proposent de faire incessamment à la maison ci-dessus hypothéquée appartenant à madame EUZET, afin d'augmenter ainsi le gage de la créance" ; il est convenu que les emprunteurs ne pourront obtenir aucun terme ou prolongation de délai pour quelque cause que ce soit ; l'acte est fait en l'étude ; tous signent (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 14.12.1841, le couple emprunte 1100 francs à François ARGELA (préposé aux douanes du poste de Villeroy, à Sète) ; le prêteur est absent et représenté par CROUZET, aspirant au notariat ; les emprunteurs s'obligent à rembourser dans un délai de 3 ans à compter de ce jour ; jusqu'à complète libération, l'intérêt annuel est de 5 %, par avance ; le premier semestre d'intérêts (55 francs) est retenu par CROUZET qui délivre une quittance ; les conditions prévoient qu'il n'y aura pas de prorogation du délai , que le remboursement se fera uniquement en espèces d'or et argent, qu'en cas de défaillance dans le paiement des intérêts, un simple commandement non suivi d'exécution pourra entraîner le paiement du capital et des intérêts ; en sûreté, Jacques Honoré hypothèque ses immeubles à Sète et Marie DUCAYLAR, de même pour la maison qu'elle possède (à l'angle de la rue des casernes et de la rue des Hôtes, antérieurement d'un étage et, actuellement, à trois étages au dessus du rez de chaussée) ; les emprunteurs déclarent que leurs immeubles ne sont grevés d'autres hypothèques que celle de 3000 francs au profit de Mme veuve GOUDARD, de 1200 francs pour Mme FERRIOL et de 600 francs pour Mme BONAL, plus une créance de 800 francs, montant d'une créance faite à Marie DUCAYLAR, postérieurement à leur mariage, laquelle ne pourra être exigée qu'après le paiement de celle à ARGELA ( (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; cette somme est remboursée par son épouse, le 26.12.1844 ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète)
le 14.01.1845, elle rembourse 1200 francs à Antoinette BONAL, femme de Jean FERRIOL, prix des droits de Mme FERRIOL à la succession de Louis DUCAILAR (père), grand-père de Mme FERRIOL, lesquels droits successifs ont été vendus par cette dernière à Mme EUZET suivant acte du 01.04.1841 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; une quittance est délivrée ; la radiation de l'hypothèque correspondante est effectuée ; l'acte est passé en l'étude (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 15.07.1845, son mari passe un contrat avec Jacques BASCOU pour le remplacement de leur fils Louis Honoré au service militaire : voir les détails de ce contrat à l'article de Louis Honoré ; pour sûreté de la créance de ce contrat, il affecte et hypothèque ses immeubles de Sète : "une maison sise au coin de la rue des Hôtes et de la rue de la caserne, confrontant de l'ouest la rue de la caserne, du sud la rue des Hôtes, du nord la veuve BOUILLON et de l'est Modeste EUZET, et une pièce de terre, vignes, champs, jardins et dépendances" mais ce terrain n'est pas situé dans l'acte (notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète) ; au recensement de Sète de 1846, elle est signalée (avec le nom de CAYLAR), "rue des Hôtes", avec son mari et 5 enfants : Suzanne, Madelaine, Angélique, Thérèse et Louis Honoré ; le 07.07.1846, avec son mari, elle emprunte 2000 francs à Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète) ; le 10.11.1847, le couple rembourse par anticipation cette somme à VIVAREZ ; en fait, ce dernier avait déjà reçu 65 francs 83 centimes par avance, pour les intérêts allant de ce jour au 7 juillet prochain ; cette somme de 2000 francs n'était exigible que dans trois ans mais les emprunteurs consentent à se libérer par anticipation ; la somme qui est versée est donc de 1934 francs 17 centimes ; VIVAREZ délivre une quittance pour les 2000 francs, consent à la radiation définitive de l'inscription hypothécaire faite à son profit au bureau des hypothèques de Montpellier ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Jean BRUNEL aîné (tonnelier) et de Marie Louis Stanislas Xavier Laurent CROUZET (homme de loi), de Sète, qui signent (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète) ; le 10.11.1847, son mari emprunte, solidairement avec elle, 3000 francs à Clémence Henriette MATHAREL (veuve de Cyprien Joseph DAVIN), une somme de 3000 francs avec un intérêt annuel de 5 %, remboursable en 5 ans ; il garantit par une hypothèque cette obligation avec les immeubles qu'ils possèdent à Sète : champs, jardins, maisonnages et une maison à trois étages (notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 19.02.1852, prévoyant qu'ils ne pourront se libérer de leur dette contractée auprès de la veuve DAVIN, son mari demande à celle-ci de proroger le délai de remboursement ; la créancière accepte et accorde un nouveau délai de 5 ans, jusqu'au 10.11.1857 ; l'acte précise qu'il n'y a pas novation de la dette ; Jacques Honoré et Marie DUCAYLAR se reconnaissent, à nouveau, comme solidairement débiteurs ; "ils affectent de plus fort les immeubles hypothéqués qui consistent en champs, jardins, maisonnages et dépendances et en une maison appartenant à Madame EUZET née DUCAYLAR, à trois étages au dessus du rez de chaussée, sise à Cette à la rue des Casernes et à la rue des Hôtes, à elle parvenue de la succession de Louis DUCAYLAR, son père, quand vivait tonnelier à Cette, ainsi qu'il résulte d'un acte de licitation passé devant VIVAREZ, le 01.04.1841" ; l'acte est passé en l'étude sauf pour la veuve DAVIN, en sa maison d'habitation ; les parties signent ; elle-même signe Marie DUCAILAR (notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1851 (avec le nom de CAYLAR), sans profession, 62 ans, avec son mari et trois enfants : Suzanne EUZET (39 ans), Marie Claire EUZET (33 ans) et Louis Honoré EUZET (voiturier, 27 ans), habitant "rue des Hôtes" ; signalée au recensement de Sète de 1856 (avec le nom de CAYLA), avec son mari et 3 enfants, Susanne (44 ans), Madeleine (41 ans) et Louis Honoré (32 ans, jardinier), "rue des casernes, n° 85" ; veuve le 01.09.1856 ; le 21.11.1859, elle rembourse 3000 francs à Pierre Guillaume Auguste GOUDARD, fils et seul héritier de Marie Catherine Adélaïde MEINADIER (décédée le 12.03.1858, à Sète) ; il lui remet une quittance et consent à la radiation de l'inscription hypothécaire ; il signe ; elle ne sait pas signer (notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète) ; au recensement de Sète de 1861 (avec le nom de DUCAYLA), elle est signalée avec deux enfants, Susanne (50 ans) et Louis (30 ans, jardinier), "rue des Hôtes, n° 21" ; + 04.07.1866, à Sète, dans sa maison d'habitation, "rue des casernes, n° 2"..
Génération4-Galibert
DUFFAUD Anne fa Jean (journalier) et Jeanne BABIOL, domiciliés à Pézénas (34) ; ° 07.05.1809, à Pézenas ; domiciliée à Pézénas mais habitant à Sète quand elle se marie ; x1 Jacques EUZET (fs Louis et Marie Madelaine BARRES), le 04.02.1837, à Sète (publication de la promesse de mariage à Sète et à Pézénas) ; domestique (en 1837) ; elle est signalée au recensement de Sète de 1856, comme veuve EUZET et journalière, avec ses trois enfants EUZET : Hilaire (20 ans, journalier), François (18 ans, marin) et Pierre (15 ans, marin -du moins peut-on le supposer dans la mesure où le recensement écrit "idem", à la suite de son frère François), "rue Baraque de Borne", section D, île du couvent (son patronyme est écrit DUFAUD) ; x2 Jacques François IZOIRD (pêcheur, né à Sète le 29.10.1792, veuf en premières noces de Marie BENSA et en secondes noces de Catherine ARNAUD), le 15.09.1858, à Sète ; Cm 03.09.1858, notaire Alphonse COUZIN, de Sète ; journalière quand elle se remarie ; elle ne sait pas signer, ni ses père et mère ; signalée au recensement de 1861 de Pézenas, avec son second mari, et ses fils Hilaire et Pierre (information du site "Notrefamille.com" - à vérifier) ; signalée au recensement de 1866, de Sète, elle habite avec François ISOIRD, au "268, rue de l'Hospice", avec trois de ses enfants qu'elle a eus de Jacques EUZET : Hilaire, François et Pierre ; elle a alors 56 ans et son deuxième mari, 75 ans. ; elle est signalée dans l'acte de vente d'une maison à Modeste DURAND, le 02.04.1866 car la maison achetée se situe "Grande rue haute, n° 584, section B du cadastre" et confronte à l'ouest "la dame IZOIR veuve en premières noces d'EUZET" (voir à l'article de Modeste DURAND) ; voir ce qui est écrit à propos d'Anne GERMAIN et d'Anne DUFFAUD dans "la question 4" dite "Une énigme en partie résolue"
DUGAS Jean fs Antoine (maître de chai à Sète) et Marie GAUSSEL (déjà + au moment du x) ; ° ca 1791 ("âgé de 28 ans révolus" au moment du mariage) ; tonnelier ; Cm, le 21.05.1819 avec Claire EUZET (fa Honoré et Marie PELUF) : son père lui a donné, en avancement d'hoirie, 1600 francs, "valeur en meubles, effets, linge de maison et autres objets garnissant déjà l'appartement que les futurs doivent occuper" ; Jean DUGAS déclare les "avoir en son pouvoir et tenir pour reçus" ; il reconnaît au profit de Claire cette somme à titre de dot "pour lui rendre et restituer ou à qui de droit, le cas arrivant" ; elle se réserve (hors de la reconnaissance), "les robes, nipes, bagues et dorures qu'elle se réserve pour en disposer comme bon lui semblera" ; Jean Antoine DUGAS (père de Jean) donne à celui-ci 1200 francs en espèces et numéraire, à imputer sur ses droits paternels qui le concerneront ; l'acte est fait en l'étude ; les témoins requis signent avec le futur (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète) ; x Claire EUZET, le 21.05.1819, à Sète ; signalé au recensement de 1841 comme tonnelier avec sa femme et 3 enfants, "rue Saint Sacrement". Génération4-Galibert
DUGRIP Anne Charles Louis fs Philippe Achille (négociant,
+ à Sète, le 06.06.1897) et Marie ROQUES ; ° 07.09.1884, à Sète, "maison DUGRIP, rue des Postes et Télégraphe, n° 12" ; négociant ; x Marie Berthe Camille Gabrielle EUZET (fa Jacques Honoré dit Henri, et Rosalie Eugénie JULLIAN), le 28.06.1911, à Sète ; pas de Cm ; au mariage, assistent Jean DUGRIP (son frère, négociant, 28 ans) et Charles DUGRIP (négociant, 39 ans), domiciliés à Sète ; il signe Louis DUGRIP ; + 03.09.1936, à Montarnaud (34) ; il habite au mas des Sables, à Fourques (30) quand il décède (Enregistrement, Successions et absences, bureau d'Aniane)
DUGRIP Jean Victor fs Philippe Achille (négociant, + à Sète, le 06.06.1897) et Marie ROQUES ; ° 12.08.1882, + à Sète,
"maison DUGRIP, rue de l'Hospice, n° 12" ; x Marie Juliette Cécile
EUZET (fa Jacques Honoré dit Henri et Rosalie Eugénie JULLIAN), le 05.04.1910, à Sète ; pas de Cm ; il signe Jean DUGRIP ; voir le compte rendu du mariage à l'article de Cécile EUZET ; il est signalée au recensement de Sète de 1936, avec son épouse, 3 enfants : Paul (né en 1916), Héloïse (née en 1919), Bernaderre (née en 1930) et sa belle-mère, Eugénie JULLIAN, "quai commandant Sanary" (maison 4) ; il est signalé comme viticulteur et patron au recensement de Montarnaud de 1931, avec son épouse, leur fille Bernadette (née en 1930), sa belle-mère, Eugénie JULLIAN, et sa nièce, Marcienne DUGRIP (née en 1919), "route de Montpellier" (maison n° 9) ; il est signalé au recensement de Sète de 1936, avec son épouse, 3 enfants : Paul (né en 1916), Héloïse (née en 1919), Bernadette (née en 1930) et sa belle-mère, Eugénie JULLIAN, "quai commandant Sanary" (maison 4) ; dans la même année,
il est signalé comme viticulteur au recensement de Montarnaud de 1936, avec son épouse, leur fille Bernadette et sa belle-mère, Eugénie JULLIAN, "route de Montpellier" (maison n° 9) ; + 27.12.1962, à Sète ; les informations du décès sont tirées du site de la généalogie CHENET ("Planète Généalogie") et restent à confirmer.
DURAND François fs Pierre (+ à Sète avant le mariage de son fils) et Rose CAUQUIL (+ à Sète avant le mariage de son fils) ; ° vers 1795 à Sète (23 ans 11 mois à son mariage) ; Cm, le 08.11.1818 avec Marie Françoise EUZET (fa Jean Baptiste et Magdelaine CONDAMINE) ; le régime est dotal ; "elle se constitue de son chef une somme de 500 francs, valeur de certains meubles et effets garnis dans l'appartement que les futurs désirent occuper" ; François les a vus et les tient pout reçus ; il les reconnaît en faveur de sa future épouse pour les lui rendre et restituer, ou à qui de droit, le cas arrivaznt ; l'acte est passé en l'étude, en présence d'André RIEUNIER (tailleur d'habits) et de Jacques Istaloue (perruquier) de Sète, qui signent ; les parties ne savent pas signer (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète) ; x Marie Françoise EUZET, le 19.11.1818, à Sète ; travailleur de terre ; assisté d'Etienne DURAND, son frère, travailleur de terre ; signalé au recensement de 1841 comme cultivateur avec sa femme et 4 enfants, "Grand rue haute" ; signalé au recensement de Sète de 1861 avec son épouse, "Grand rue haute, n° 65" (Ile du concert). Génération3-Portalès
DURAND Modeste Antoine fs Simon (cultivateur) et Marie Alexandrine CARRIES (sans profession), domiciliés à Marseillan (34) ; ° 15.06.1823, à Marseillan ; boulanger ; x Françoise EUZET (fa François et Madelaine GRENIER, appelée dans plusieurs actes Françoise Henriette), le 11.08.1845, à Sète ; Cm 11.08.1845, notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète ; il signe Modeste DURAND, son père signe Simon DURAND mais sa mère ne sait pas signer ; marié sous le régime dotal ; la dot est de 1000 francs "en la valeur de meubles meublants, linges de ménage et batterie de cuisine, tous lesquels objets garnissent les appartements destinés aux futurs époux et que M. DURAND fils déclare avoir eus et tenir pour reçus" ; de plus, il donne pour "gain de survie" à sa future épouse la somme de 600 francs qu'elle accepte ; la dot ne comprend pas les linges de corps, hardes et bijoux de la future épouse, qui lui demeurent propres ; le 30.09.1856, sa belle-mère, Madeleine GRENIER, lui vend "une petite pièce de terre vigne située à Cette au quartier de la Caraussane, ayant environ 200 souches" ; elle déclare que cette vigne lui est parvenue de la succession de Claire SALLES, sa mère, décédée à Sète, "depuis environ trente ans et dont elle est la seule héritière" ; le prix est de 60 francs payés par DURAND avant l'acte notarié, en bonne espèces de cours ; elle lui en fait quittance ; Modeste DURAND reconnaît être déjà en possession et jouissance de la vigne et il s'oblige à en payer les impositions ; l'acte est fait en l'étude où il signe ; elle déclare ne savoir signer (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 13.01.1863, le couple reconnaît devoir solidairement 3500 francs prétés par Pierre et Barthélémy EUZET, beaux-frères de Modeste DURAND, en bonne espèces d'or, avant un acte dit d'obligation passé devant Antoine Marius Salomon VIVAREZ, notaire de Sète ; ils s'obligent à rembourser dans le délai de 6 ans, suivant un intérêt de 5 % l'an payable de 6 en 6 mois et d'avance à compter du jour de l'acte ; ils ont immédiatement payé 87,50 francs d'intérêts, en or et en argent, pour le premier semestre, dont il est fait quittance ; pour assurer le remboursement, le couple hypothèque ses immeubles, à savoir : une maison à Sète, "rue Garenne" au n° 319 de la section B du cadastre (acquise le 17.06.1858 pour 9000 francs dont il reste dû 3000 francs - même notaire) et une pièce de terre, herme, vigne et baraquette à Sète (acquise le 02.07.1856 pour 900 francs - même notaire) et des immeubles des parents de Modeste DURAND à Marseillan : maisons, champs, vignes en vertu d'un partage entre héritiers, majeurs et mineurs ; l'acte rappelle que la solidatité de Françoise EUZET est à hauteur des 1000 francs de la dot et qu'il y a un gain de survie de 600 francs ; le 02.04.1866, il achète deux maisons à Marguerite BENEZECH, veuve de Jean IZOIR (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; la première maison "dite maisonnette" est dans la "Grand rue du quartier haut, près la paroisse Saint Louis" et se situe au n° 589 de la section B du cadastre ; la deuxième maison, "dite barraquette de Borme" se situe "Grande rue haute" et elle confronte à l'ouest "la dame IZOIR veuve en premières noces d'EUZET" (voir à l'article d'Anne DUFFAUD) et se situe au n° 584 de la section B du cadastre ; il signe l'acte M. DURAND ; le 01.04.1867, solidairement avec son épouse, il reconnaît devoir à son beau-frère, Barthélémy EUZET, la somme de 7500 francs que ce dernier leur prête, en or et en billets de banque ; la somme est retirée ; le remboursement est sur 6 ans avec un intérêt de 5 %, de 6 en 6 mois par moitié, par avance, à partir de ce jour ; Barthélémy reconnaît avoir reçu le premier semestre des intérêts, soit 187,50 francs dont il fait décharge ; pour sûreté, les emprunteurs hypothèquent solidairement tous les immeubles qu'ils possèdent sur le territoire de Sète et, plus spécialement : 1/ Une maison, rue Garenne, portée au n° 319 de la section B du cadastre de Sète, acquise des héritiers GASQUET, 2/ Une pièce de terre herme, vigne et barraquette, à Sète, acquise des héritiers CORRON, le 02.07.1856 (notaire VIVAREZ, de Sète), 3/ Une pièce de terre vigne située au quartier de la Caraussane, vendue par Madeleine GRENIER, le 30.09.1856, 4/ Une maison à Sète, près de la paroisse Saint-Louis, faisant partie du n° 589 de la section B du cadastre, confrontant la Grande rue haute, 5/ Une autre maison, à Sète, à la Grande rue haute, confrontant de l'ouest la dame IZOIRD, veuve en premières noces d'EUZET ; ces immeubles sont connus du prêteur et les parties dispensent le notaire de faire l'établissement de propriété ; les conditions du prêt : 1/ Pas d'anticipation du remboursement sans l'autorisation du prêteur, 2/ A défaut de paiement d'un semestre d'intérêts, le capital devient exigible, 3/ En cas de décès de l'un ou des deux débiteurs, le remboursement est exigible, y compris par les héritiers ; pour plus de sûreté, Françoise cède à son frére une somme égale au montant dû, à prendre sur le montant des reprises, créances et avantages matrimoniaux, en vertu de son Cm, ce qui est accepté par Modeste DURAND ; ces immeubles sont grevés de 1/ 1000 francs de dot, 2/ 7500 francs au profit de MARTIN, banquier à Sète, 3/ 3700 francs au profit de Barthélémy et Pierre EUZET, ses frères, 4/ 8000 francs représentant une rente annuelle et viagère de 400 francs, au profit de Mme BÉNÉZECH, veuve ISOUARD ; l'acte est fait en l'étude où signe DURAND et à la maison DURAND pour Françoise EUZET (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; + 22.05.1902, "12, rue Garenne", à Sète ; sa succession aboutit à une vente sur licitation de ses immeubles, selon un jugement du Tribunal civil de Montpellier du 21.03.1910 ; ces propriétés sont : 1/ Une maison d'habitation n° 319, section B du cadastre, rue Garenne au n° 12 ; 2/ Une petite propriété sise sur la montagne St-Clair, n° 1803, section B du cadastre, dénommée Villa Modeste avec deux corps de bâtiments (...) "actuellement louée au sieur Hilaire HEUZET", employé de commerce domicilié à Sète (il faut comprendre Hilaire EUZET), à raison de 100 francs par an, suivant un bail partant du mois de janvier 1911 ; les adjudications aux enchères publiques ont lieu le 10.07.1911 puis, le 12.02.1912 sur nouvelles mises à prix (L'Eclair du 21.01.1912) Génération4-Portalès
DUSSOL Jean fs Pierre ( dit Pierre aîné, sellier, + à 73 ans avant le mariage de son fils) et Marie BATTELIER (sans profession, patronyme écrit BATELLIER dans le contrat de mariage de son fils) ; ° 18.08.1795 (1er fructidor an 3), à Sète ; bourrelier ; x Elisabeth EUZET (fa Jacques et Elisabeth FARRAND), le 14.08.1832, à Sète ; Cm 14.08.1832, notaire Jacques LAURENS, de Sète ; il signe "DUSSOL cadet" ; sa mère ne sait pas signer ; dans le corps de l'acte, le patronyme est écrit DUSJOL ; régime dotal ; la dot est de 2910, 82 francs sur une créance de succession (acte du même notaire du 18.05.1832) et de 400 francs en meubles, effets et dorures et il est précisé que "l'époux ne sera tenu de rendre lesdits objets qu'en nature à la dissolution du mariage" ; le contrat est "fait et lu aux parties au jardin dudit EUZET aîné sis à Sète", en présence de Louis BOUSQUET, ancien juge de paix, et Guy NICOLAS, docteur en médecine ; signalé au recensement de Sète de 1836, avec sa femme, deux enfants et Rose EUZET, soeur d'Elisabeth ; signalé au recensement de Sète de 1841, avec sa femme, deux enfants et Rose EUZET, soeur d'Elisabeth, indiqué DUSSOL Jean cadet, tonnelier, "Grand chemin" ; signalé au recensement de Sète de 1851, bourrelier, propriétaire, 55 ans, avec sa femme et trois enfants, habitant "Grand chemin" (section A, île Valette) ; signalé au recensement de Sète de 1856 comme bourrelier avec son épouse, trois enfants (Marie, Rose et Elisabeth) et Rose EUZET (célibataire, soeur de son épouse), "rue Grand chemin n° 253" Génération4-Galibert
ESTAQUIER Jacques fs Jean (patron pêcheur) et Catherine SAUVAIRE (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 17.03.1823, à Sète ; x Claire EUZET (fa Antoine et Marie Elisabeth LAUTIER), le 31.10.1849, à Sète ; présents au mariage : Barthélémy MOLLE, tonnelier (oncle du contractant), Lucien BOYER, tonnelier (oncle du contractant), Jean BOUDET, calfat (beau-frère de la contractante) et Sébastien CAPELLE, tonnelier (cousin germain de la contractante) ; marin ; il ne sait pas signer, ni son père, ni sa mère ; signalé au recensement de 1851, marin, 26 ans, avec sa femme, sans enfants, habitant "rue eaux blanches" (probablement près du quai Bordigue qui est traité, dans le recensement, avant et après) ; + 01.11.1871, "rue de la croix n° 3", à Sète (époux de Claire EUZET). Génération5-Galibert
EVESQUE Henri Albin Joseph fs Jean Alexandre (receveur des contributions indirectes, domicilié à Orange - 84) et Marie Thérèze MÉNARD (+ le 11.05.1882 à Ganges - 34) ; ° 08.04.1876, à Nîmes (30) ; employé des contributions indirectes ; domicilié à Orange quand il se marie ; x Louise Marguerite EUZET (fa Jean François et Catherine Antoinette Joséphine NOUGARET), le 27.04.1901, à Montagnac ; pas de Cm ; présents au mariage : Antoine ROUX (chef de poste des contributions indirectes, 35 ans), Louis GOUTY (maître d'hôtel, 52 ans), tous les deux amis des époux , domiciliés à Montagnac, Jean DELFIEU (cousin de l'épouse, domicilié à Montagnac) ; tous signent ; il signe Henri EVESQUE et son père : EVESQUE. Génération6-Portalès et Montagnac
FABRE Claire Catherine Marguerite (indiquée seulement avec le prénom de Catherine dans l'acte de mariage et les recensements jusqu'à celui de 1856 mais avec seulement le prénom de Marguerite dans les recensements suivants) ; fa Simon (tonnelier, + 07.09.1821, à Sète) et Madelaine BADELOUX (sans profession) ; ° 10.02.1811, à Sète ; couturière ; x Honoré EUZET (fs François et Rosalie THEULON), le 29.01.1836, à Sète ; Cm 29.01.1836, notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète ; comme dot, elle se constitue de son chef 1200 francs "valeur des meubles meublants, dorures, bijoux, linge de corps et de ménage qui garnissent l'appartement destiné aux futurs époux" ; cette somme de 1200 francs provient de 500 francs donnés par son père et 700 francs "de son bénéfice dans son état de couturière" ; il est prévu que les immeubles acquis ne seront pas dotaux et pourront être aliénés ; Honoré EUZET reçoit de son père 1300 francs par préciput et hors part ; elle ne sait pas signer ni sa mère ; signalée au recensement de Sète de 1841 (prénom Catherine), avec son mari et 2 enfants (Philomène et Marie Ange), "rue de la caserne" ; signalée au recensement de Sète de 1846 (prénom Catherine), avec son mari 3 enfants (Philomène Marguerite, Rosalie et Abel Ange) et 2 ouvriers menuisiers, "rue des casernes" ; signalée au recensement de Sète de 1851 (prénom Catherine), sans profession, 39 ans, avec son mari et 3 enfants : (Philomène, Rosalie et Abel Ange), plus 2 menuisiers, "rue des casernes" ; signalée au recensement de Sète de 1856 (prénom Catherine), avec son mari et 3 enfants (Philomène, Marie et Suzanne), "rue des casernes" ; signalée au recensement de Sète de 1866 (prénom Marguerite), avec son mari et 3 enfants (Madeleine, Marie et Suzanne Joséphine), "Ile du Grand Galion, rue des casernes" ; signalée au recensement de Sète de 1872 (prénom Marguerite), avec son mari et 3 enfants (Madeleine, Marie et Joséphine), "rue des casernes" (maison 22) ; signalée au recensement de Sète de 1881 (prénom Marguerite), sans profession, avec sa fille Joséphine (en fait, Suzanne Marguerite ; marchande), "rue des casernes" (maison 22) ; signalée au recensement de Sète de 1886 (prénom Marguerite), chef de famille, avec sa fille Joséphine (marquée Joséphine EUZET, 30 ans, parente), "rue des casernes" (maison 22). Génération5-Galibert
FABRE François fs Antoine (tonnelier, + à Sète, le 01.05.1854) et Anne MARMIES (sans profession, + à Sète, le 17.07.1888) ; ° 31.05.1845, à Sète ; fabricant de futailles ; x1 Joséphine TAUSSAC (fa Etienne, boulanger, et de Jeanne FABRE ; sans profession ; + 02.10.1880, "rue de la charité, maison FABRE", à Sète) ; x2 Mélanie TAUSSAC (fa Etienne, boulanger, et de Jeanne FABRE ; sans profession ; + 01.10.1889, à Sète, "rue ROUGET de l'ISLE, n° 15") ; x3 Suzanne Marguerite EUZET, "nommée aussi Joséphine" [fa Honoré et Catherine FABRE (sans profession, + 10.02.1890, à Sète)], le 15.10.1890 ; Cm le 14.10.1890, notaire Jean Jacques Hilaire VIVARES, de Sète ; régime dotal "sans aucune société" et tous les biens de l'épouse demeurent libres et paraphernaux et elle en a l'administration et la jouissance ; il est prévu, au cas où elle lui survivrait, une rente viagère annuelle de 1000 francs, payable par moitié par semestre ainsi qu'un logement de trois pièces dans la maison d'habitation ou sinon une rente de 150 francs, représentative du droit d'habitation, exigible comme la rente ; il signe FABRE François ; + 15.04.1897, "rue ROUGET de l'ISLE, n° 15" ; dans le recensement de Sète de 1901, au "15, rue ROUGET de L'ISLE", le chef de ménage est Joséphine EUZET, veuve, avec une fille, Anna FABRE (18 ans) et un fils, François FABRE (15 ans) qui doivent être les enfants de Mélanie TAUSSAC, sa deuxième épouse ; un dossier familial se trouve dans les archives du notaire DOMERGUE, de Montpellier (131 J 64 - 6, aux AD 34) dans lequel se trouvent plusieurs actes ou copies d'actes dont le Cm FABRE/EUZET ainsi que la page de garde et la page du mariage FABRE/EUZET du livret de famille (photo de cette dernière reprise ci-dessous) Génération6-Galibert
(dans leur livret de famille)
FARRAND Elisabeth fa Antoine (+ avant le mariage de sa fille) et Anne GAUZI (+ avant le mariage de sa fille), de Gignac (paroisse Saint Pierre) ; ° ca 1763, à Gignac ("66 ans révolus à son décès) ; x Jacques EUZET, jardinier de Sète (fs Jacques et Gracie SERANE), le 27.04.1784, à Gignac (paroisse Saint Pierre) ; elle ne sait pas signer ; assistent au mariage : le père de l'époux (qui signe EUZET père), Joseph LEQUE (tonnelier de Sète ; il signe), Antoine FARRAND (frère d'Elisabeth ; il signe) et Antoine GOUTES (de Gignac ; il signe) ; les bans ont été passés à Gignac et à Sète ; sans profession ; + 09.08.1830, à Sète. Génération3-Galibert
FAUQUIER Mathieu fs Joseph (maître gipier, c'est-à-dire "qui travaille le gypse" + avant le mariage de son fils) et Catherine BESSIERE, de Gignac ; maître cordonnier ; Cm, le 17.09.1772 avec Marie Rose EUZET (fa Jacques et Claire GALIBERT) : le père de Marie constitue une dot à sa fille de 400 livres ; il paye tout de suite 200 livres qui sont retirées et emboursées par FAUQUIER, lequel tient quitte son beau-père pour ces 200 livres ; le reste de la somme sera payé en deux fois : 100 livres dans une année à compter de ce jour et 100 livres une année après, le tout sans intérêt ; FAUQUIER reconnaît les 200 livres pour sa future épouse et s'engage à reconnaître les deux sommes à venir quand il les recevra ; son père constitue encore pour la dot un cabinet en bois de noyer d'une valeur de 80 livres ; FAUQUIER déclare l'avoir vu avant la passation du contrat, il le reconnaît et l'assure sur tous ses biens, présents et futurs ; Marie se constitue encore et "constitue son futur époux avec tous et chacun ses biens et droits maternels pour la levée desquels ladite EUZET future épouse a nommé et nomme ledit FAUQUIER son futur époux, du consentement dudit EUZET son père, son procureur irrévocable a la charge pour lui lorsqu'il le recevra de les reconnaître et assurer sur tous et chacun ses biens présents et avenir" ; l'acte précise que la totalité des biens et droits constitués pour Marie sont de valeur de 995 livres (si l'on défalque les 480 livres constituées par son père, on voit donc que la constitution maternelle représente 515 livres) ; les parties déclarent "ne vouloir se rien donner pour droit d'augment" ; sont présents au Cm, de son côté : sa mère qui consent au mariage, Jeanne VILLAMEJANNE (sa cousine germaine, épouse de Laurent FABRE, maître fripier), Elisabeth CAMPAGNE (sa cousine germaine), tous de Gignac ; l'acte est fait dans la maison de Jean AVELLAN, négociant (notaire Jacques MARIN, de Gignac) ; x Marie Rose EUZET, le 06.10.1772, à Gignac ; bans à Sète et Gignac ; présents au mariage: Jacques GALIBERT, Guillaume GAUMEL (qui signe GAMEL), Raymond BEY (qui signe BEIS), François FABRE et Jacques EUZET ; il représente sa femme au partage des biens de Jacques EUZET, le 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; le 04.02.1780, avec son épouse, il contracte une obligation de 420 livres auprès de Jacques LAPEYRE; négociant, à Gignac (notaire Antoine PONS, de Gignac - à compléter) ; le 04.08.1780, les frères de Marie Rose, Jacques et Jean Jacques, lui payent le reste de la huitième part qui lui est due sur la succession de leur père ; cependant, suite à la cession de 420 livres faite par le couple FAUQUIER à Jacques LAPEYRE, le paiement se fait ainsi : 420 livres à LAPEYRE par Jean EUZET, 95 livres 18 sols 3 deniers au couple FAUQUIER par Jean EUZET et, 190 livres 7 sols au couple FAUQUIER par Jacques EUZET ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Julien DUSSOL et Charles CASTANIER, de Sète, qui signent avec Jacques EUZET et Jacques LAPEYRE (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; le 09.05.1788, leur fille Catherine, âgée d'environ 14 ans, est enterrée à Gignac (paroisse Saint Pierre) ; veuf, le 29.09.1790, sa femme étant enterrée "dans le caveau des frères du tiers ordre des recollets". Génération 2-Galibert
FAURE Célina Aline fa Joseph (tonnelier, + 22.03.1843, à Sète) et Catherine TRIAIRE (sans profession ; elle ne sait pas signer) ; ° 21.10.1822, à Sète ; x Antoine EUZET (fs Honoré et Françoise BRIANT), le 09.06.1845, à Sète ; Cm le 09.06.1845, notaire Alexandre CAZALIS, de Sète ; régime dotal ; sa dot se monte à 1500 francs "en la valeur de meubles et effets propres à garnir l'appartement que les futurs époux se proposent d'occuper" ; dans la constitution dotale ne sont pas compris "ses bijoux ni son trousseau qu'elle se réserve par expres et qu'elle ou ses héritiers auront le droit de reprendre à la dissolution du mariage" ; sa mère se réserve le droit de retour sur la somme de 1500 francs qu'elle a donnée à sa fille en cas de prédécès de cette dernière sans postérité ; sans profession ; elle ne sait pas signer ; signalée deux fois au recensement de Sète de 1851, "rue des casernes", une fois avec le prénom Aline, 26 ans, sans profession, avec son mari Antoine EUZET (tonnelier, 33 ans) et dans la même rue, avec le prénom de Céline, avec son mari Jacques EUZET (tonnelier, 32 ans) ; dans les deux cas, il y a un enfant : Honoré EUZET (5 ans) mais avec un numéro de ménage différent (683 et 675) : manifestement, l'inscription avec "Jacques" EUZET est une erreur ; le 16.10.1869, Catherine TRIAIRE (veuve de Joseph FAURE) et ses enfants : Pierre (marié avec Marianne MAUX), Françoise (mariée avec Baptiste CHAUVAIN) et Célina (mariée avec Antoine EUZET) vendent une pièce de terre vigne avec barraquette, située au quartier St-Clair, pour un montant de 1000 francs, à Marianne VIVANT, veuve de François POUGET ; cet immeuble fait partie de la succession de Joseph FAURE ; l'acte est fait en l'étude où signent Pierre FAURE, Antoine EUZET et François CHAUVAIN ; les autres parties ne savent pas signer (notaire Alphonse COUZIN, de Sète : 2 E 90/100, n° 360, aux AD 34) ; signalée au recensement de Sète de 1876 (veuve EUZET), avec sa fille Françoise (épicière) et son fils Joseph, "rue de l'Esplanade" (maison 12) ; signalée au recensement de Sète de 1881 (veuve EUZET), avec sa fille Françoise (marchande) et son fils Joseph (employé de commerce), "rue de l'Esplanade" (maison 12) ; + 12.03.1896, à Sète, "rue Strasbourg". Génération5-Galibert
FAURE Michel fs de Simon (déjà + au moment du x) et Marie MAFFRE, à Sète ;
° vers 1793 ( "âgé de 26 ans 8 mois" au moment du x) ; tonnelier ; x Gracille EUZET (fa Antoine et Claire
PARAILLAC), le 09.09.1819, à Sète ; il ne sait pas signer ; + avant le recensement de 1851, sa veuve habitant
"rue Saint Clair". Génération4-Galibert
GABINAUD Marie Gracie fa Jean Pierre (+ à Sète) et Marguerite FUZY ; ° vers 1784, à Sète (elle a 25 ans à
son mariage) ; x Blaise EUZET [écrit LAUZET] (fs Louis et Catherine PASCAL), le 23.11.1809, à Sète ; elle ne sait pas signer ;
sans profession ; + 25.03.1830, à Sète. Génération3-Portalès
GAGNEUX Achille fs ? ; ° ? ; x Elisabeth Emilie EUZET (fa Albert Etienne et Anne BIELLE), à Limoges (Le Populaire du Centre du 06.12.1936, publication des mariages de la semaine) ; elle est sans profession et habite 22, rue Saint-Paul quand elle se marie ; il est prothésiste et habite 27, rue Saint-Paul quand il se marie ; veuf, le 03.07.1937 ; dans l'avis de décès de son épouse (Le Populaire du Centre du 04.07.1937), est indiquée : Mme veuve GAGNEUX, de Blois.
GALIBERT Claire fa Philippe [maçon, (+) 04.01.1761, âgé de 80 ans, "dans le caveau de la chapelle St Roch", à Sète] et Florimonde GRANIER, de Sète ; ° 02.01.1713 ; b 08.01.1713, à Sète, paroisse Saint Louis ; p : Pierre GALIBERT ; m : Claire GRANIER ; le prêtre s'appelle PORTALÉS ; Cm avec Jacques EUZET (fs Guillaume et Suzanne BARRAL, de Saint-Félix-de-Lodez), le 19.05.1734 : Guillaume EUZET fait don à son fils de 100 livres à lui payer "a la fin de ses jours" ; elle se constitue 60 livres, somme qu'il assure sur ses biens présents et à venir à son profit et qu'il lui restituera (ou à ses ayants droit), si le cas arrivait ; en augment dotal, il lui donne 50 livres, "ensemble les nipes robes et joyaux qu'il luy aura fait pendant leur mariage" et elle lui donne 25 livres, sommes à payer par les héritiers du premier décédé ; ils obligent leurs biens présents et à venir et les soumettent à justice ; l'acte est passé dans la maison Galibert, en présence, notamment, du père et de la mère de Claire, de Michel COURTES, de Jean Baptiste DURAND, de Barthélémy MERLE, tous de Sète ; les parties ne savent pas signer (notaire Antoine MERLE, de Sète) ; x Jacques EUZET, le 20.05.1734, à Sète ; il y a une signature GALIBER et deux signatures EUZET ; + 01.09.1748, à Sète, "femme a LAUSET" ; (+) 02.09.1748, "dans la chapelle des penitens" ; le 02.03.1770, Jacques EUZET et ses enfants Jacques, Mathieu et Elisabeth EUZET (ceux-ci représentant Claire GALIBERT, leur mère) reçoivent d'Antoine MAYROIS (représenté par Marie GALIBERT, sa femme), la somme de 32 livres 16 sols 6 deniers pour leur 5ème des 6 années de loyer qui finiront le 3 juin prochain d'une maison que les MAYROIS occupent, dépendant de la succession de Philippe GALIBERT, ayeul de ces enfants EUZET ; de cette somme, Jacques EUZET père retire 8 livres 4 sols pour la portion quatrième de Marie EUZET, sa fille cadète ; le reste est divisé en trois pour chacun de ses enfants présents ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Denis BENEZECH (chirurgien) et de Benoît VATTIER, de Sète, qui signent avec Jacques EUZET, le fils aîné (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; le 05.06.1774, les héritiers de Philippe GALIBERT vendent "une pièce de terre, autrefois champ, a présent herme et inculte depuis environ 30 ans, située a la plage de Frontignan, contenant environ une settérée et demy mesure de Sète" ; ces héritiers sont : Françoise GALIBERT (épouse de Jean PAGES, boulanger), Marie GALIBERT (épouse d'Antoine MAYROIS), Catherine GALIBERT (épouse de Jean MOLLE, patron de pêche), Philippe GALIBERT (maçon) et les enfants de Claire GALIBERT (épouse de Jacques EUZET), à savoir Jacques EUZET (époux de Gracie SERANE), Mathieu EUZET, Elisabeth EUZET (épouse de Michel MAYROIS) et Marie EUZET (épouse de Mathieu FAUQUIER, cordonnier à Gignac), celle-ci ayant donné procuration à son frère Jacques, par acte chez le notaire Jacques Antoine PONS, de Gignac, le 20.05.1774 ; ces héritiers sont les enfants de Philippe GALIBERT et la pièce de terre fait partie de sa succession ; la vente est faite à Jean REYNARD (travailleur, à Sète) pour un montant de 108 livres, qu'il paye en espèces de cours ; la possession est du même jour ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Fulcrand FARRET (maître traiteur) et de Guillaume JULIAN (marchand) de Sète, qui signent avec Jacques EUZET ; les autres ne savent pas signer (notaire Pierre GOUDARD, de Sète). Génération1
GALISSARD Antoinette Emma fa Pierre (menuisier) et Françoise SAUREL (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 18.08.1864, à Gignac ; sans profession ; x Pierre EUZET (fs Jean Baptiste et Elisabeth PONSY), le 08.01.1891, à Sète ; pas de Cm ; elle signe, sa mère aussi ; elle est employée de commerce et veuve de Pierre EUZET quand, le 20.10.1894, elle vend, avec Elisabeth PONSY, un terrain à Jean Martin SAHUC (facteur des postes, époux de Marie ROUQUETTE, à Sète) ; il s'agit d'une pièce de terre, "autrefois vigne avec petite construction", d'environ 10 ares, 30 centiares, plus un chemin d'1 m,20 de largeur sur toute la longueur (ce chemin a une superficie d'environ 70 m2) ; l'immeuble vendu fait partie des n° 1053 et 1054 de la section B du cadastre de Sète ; le prix est de 1000 francs, payés en or, en la présence du notaire et des témoins ; l'origine vient de la succession de Jean Baptiste EUZET qui l'avait acquis de Sébastien GRANIER, le 25.08.1885 ; l'acte est passé en l'étude ; présents : Jean Prosper DAVID, chapelier, et Eugène CHABANA, horloger (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) Génération5-Portalès
GAVALDA Colombe fa Pierre (plâtrier) et Félicité TRIAIRE (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 03.09.1826, à Sète ; couturière ; x Pierre EUZET (fa François et Madelaine GRENIER), le 01.07.1852, à Sète ; pas de Cm ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1861 (le patronyme est écrit GABALDA) avec son mari et leurs trois enfants, Barthélémy, Madelaine (probablement Catherine, âgée de 3 ans ) et Augustine, "n° 203, rue Garenne" ; Génération4-Portalès
GAYSSET Germaine Rose fa Marc (cultivateur) et Rose Jeanne HUJOL (sans profession), domiciliés à Cessenon (sur Orb) 34 ; ° 06.11.1868, à Narbonne (11) ; domiciliée à Sète quand elle se marie ; elle a quatre enfants naturels, nés à Sète et reconnus par Hilaire EUZET ; il s'agit de Germaine Rose (° 29.12.1899), Louis (° 15.11.1901 ; + 04.08.1903), Georges (° 27.07.1904) et Gabrielle (° 22.02.1908 ; + 01.08.1909) ;
sans profession mais au recensement de Sète de 1901, elle est signalée comme repasseuse, "rue Montmorency", avec Hilaire EUZET et une fille, Germaine (la mention de l'âge est fausse) ; x Hilaire EUZET (fs Pierre et Colombe GAVALDA), le 08.03.1909, à Sète ; pas de Cm ; à cette occasion, ils légitiment leurs trois enfants vivants (Germaine Rose, Georges et Gabrielle) ; elle signe Germaine GAYSSET ; signalée au recencement de Sète de 1921 comme chef de ménage, veuve EUZET, née à Narbonne en 1868, avec ses enfants, Rose, employée, et Georges, ainsi que sa belle soeur, Catherine EUZET (née en 1858, sans profession), au "10, rue de la Charité" ; jusqu'à la naissance de sa fille Gabrielle (le 22.02.1908), son adresse est "maison CRESPY, rue de Montmorency n° 6" puis, à partir du décès de celle-ci (le 01.08.1909) "rue de la charité n° 10" ; il est probable que le changement d'adresse s'est fait au moment du mariage ; on retrouve la famille GAYSSET à Cessenon-sur-Orb, au recensement de cette commune, en 1911 (avec les parents de Germaine et quatre enfants) ; ils résident "quartier du Barri d'orb", numéro de maison : 66 ; ce recensement indique aussi que les parents de Germaine sont nés à Narbonne. Génération5-Portalès
GELY Madelaine fa François (cultivateur) et Claire JUGE (sans profession) domiciliés à Sète ; ° 28.09.1838, à Sète ; x1 Jean PASCAL (marin + 11.05.1865,à Sète) ; x2 Pierre EUZET (fs Jacques et Anne DUFFAUD), le 16.03.1870, à Sète ; pas de Cm (pour x2) ; couturière ; ne sait pas signer, ni ses père et mère ; signalée au recensement de Sète de 1911 avec son gendre, Raymond POUX, sa fille Irma et leurs deux fille, "Grand rue". Génération4-Portalès
GEOFFROY Juliette Marie Catherine Valérie fa Etienne Léon Jules (secrétaire adjoint de l'Inspection académique, en 1929) et Marie Marguerite Alexandrine PATRAULT (sans profession) ; ° 29.04.1902, à Limoges ; x Jean-Marie EUZET (fs Albert Etienne et Anne BIELLE), le 09.02.1929, à Limoges ; elle est domiciliée avec ses parents "impasse des Trois Maisons", à Limoges, quand elle se marie ; au mariage, assiste notamment : Raymond GEOFFROY (électricien rue des Anglais, à Limoges) ; tous signent ; elle est indiquée sans profession quand elle se marie mais le BENEZIT, dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, la signale comme peintre, céramiste et émailleur, "ancienne élève des Arts décoratifs de Limoges, elle a contribué avec son mari à renouveler "l'Art du Feu". Elle travaille selon les conceptions musicalistes". Génération7-Portalès
GIBERT Charles fs Georges (° 26.03.1836 à Sète ; négociant en vins ; + 20.04.1909, à Lézignan-Corbières, dans l'Aude) et Marie FABRE (° 02.12.1839, à Sète ; + 09.03.1939, à Sète) ; ° 13.02.1880, à Lézignan-Corbières (11) ; courtier quand il se marie ; x Marie Madelaine Claire EUZET (fa Jacques Honoré dit Henri et Rosalie Eugénie JULLIAN), le 24.01.1910, à Sète ; Cm, le 22.01.1910 (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) ; signalé comme courtier au recensement de 1931 de Montpellier avec son épouse et leurs 4 enfants (nés à Sète en 1912 et 1915, à Montpellier en 1918 et 1924), "rue de l'Aiguillerie 31", à Montpellier ; + ??.03.1968, à Grenoble (38) ; en plus des informations trouvées dans l'état civil de Sète, les autres informations sur la famille GIBERT sont tirées du site GeneaNet CPA84 de M. Bernard GIBERT et particulièrement du journal familial qui décrit ainsi Charles : "Avec Charles, le dernier des fils de Georges 1er, nous revenons à la structure longiligne et filiforme, presque ascétique de Louis et de Martial. Comme eux il était grand, maigre, extrêmement distingué. Il avait une allure vraiment royale et des inconnus s'écartaient devant lui et le saluaient avec respect. Comme son père, il avait un menton bref et carré, que l'on retrouve chez Georges II, chez mon père et tante Berthe, et même chez moi lorsque je traverse une période "maigre". Ces qualités ne l'ont pas empéché de végéter plus ou moins. C'est le seul de cette génération qui n’a pas continué une réussite financière et sociale brillante.
Il avait épousé Claire EUZET originaire d'une famille sétoise comme la nôtre. Son père, organiste renommé, donnait des concerts fort courus dans l'église St Louis. Jolie fille fort distinguée elle s'est mariée contre son gré. Elle n'avait aucun sentiment pour ce fiancé pourtant bien sous tous rapports. Une heure avant le mariage elle sanglotait contre l'épaule de sa mère. Mais elle était l'aînée, sans doute sans fortune, et il n'était pas question de refuser un parti convenable, c'est-à-dire convenant à sa famille. Le mariage eut lieu et ne fut pas plus malheureux que bien d'autres mieux partis.
Son étonnante personnalité a abondamment alimenté le florilège familial. Il était courtier en vins et, comme mon grand-père avait le palais extrêmement fin. Il avait la fierté de son métier considéré comme le plus noble de tous. Son portefeuille comportait une part notable de crus d'Espagne et d'Italie avec lesquels on coupait les vins du Languedoc pour leur redonner de la vigueur. L'interdiction du coupage l'amena au bord de la ruine. Des amis bien intentionnés lui proposèrent une carte de représentant d'eau minérale. Charles en fut indigné. Il réagit avec vigueur : "J'ai toujours vendu du vin, ne comptez pas que j'aille me prostituer à vendre de l'eau". Ainsi fit-il et accepta-t-il de tirer le diable par la queue sans déchoir ni déroger. C'était un homme qui ne transigeait jamais avec ce qu'il considérait comme son devoir dut-il lui en coûter beaucoup, et il avait de l'honneur un sens très développé.
Il en a donné une preuve éclatante pendant la guerre. A une époque où le marché noir florissait partout il a, sous le regard stupéfait de son interlocuteur, déchiré une liasse de billets de mille francs que celui-ci lui avait discrètement et innocemment glissé en plus de sa commission normale
Je ne sais pourquoi il a quitté Sète pour Grenoble ce qui l'a éloigné du centre de gravité de la famille. Il a dû en souffrir car il possédait un sens aigu de la famille, beaucoup plus développé que chez mon père et mon grand-père. Ceci devait nous rapprocher. Je regrette beaucoup de ne pas l'avoir mieux connu.
A Grenoble il était le représentant de son neveu Paul. Celui-ci m'a écrit que la visite de la clientèle était épique. A son âge il n'entendait nullement faire la queue dans les salles d'attente comme le premier quidam venu. Il lançait à Paul un "Suis-moi" impératif puis, la canne pointée en avant comme une épée, il fonçait damant le pion à ses collègues et concurrents sans que, subjugués, nul d'entre eux n'ait jamais songé à élever la moindre protestation. Un de ces clients habitait Avenue du Maréchal Randon. Paul et Charles avaient une fois libellé l'adresse en abrégé : "Avenue du Mal Randon", ce qui leur a valu une réplique qui a dû réjouir Charles : "Nous avons assez de maux comme cela sans en rajouter"
Homme de tradition et de panache, digne émule de Cyrano, il était royaliste à tous crins et d'Action Française. Il n'appelait la République, quand il daignait en parler que "la Gueuse". La Famille royale était l'objet d'une véritable vénération Il n'en parlait qu'avec infiniment de respect : "Quand Madame le Duchesse de Guise paraît, chapeau bas, Messieurs, chapeau bas !". C'est peut-être de lui que, par de mystérieux cheminements me viennent mon goût pour l'histoire familiale et mon penchant pour la royauté. Il a eu deux fils et deux filles"
Génération7-Galibert
GOUDAL Joseph Paul fs Jean Baptiste (tonnelier) et Catherine BEZONQUET (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 28.01.1860, à Sète ; employé de commerce ; x Noémie Elisabeth EUZET (fa Jacques Honoré et Thérèse Rose CAYROL), le 19.02.1887, à Sète ; Cm le 17.02.1887, notaire Alphonse COUZIN, de Sète : régime dotal (2000 francs en meubles et mobilier pour leur appartement, le trousseau restant la propriété de son épouse) ; il signe. Génération6-Galibert
GOUDARD Catherine Marie Honorine fa Hilaire (tonnelier) et Suzanne SAGNIER (sans profession), de Sète ; ° 15.08.1818, à Sète ; Cm, les 22 et 25.11.1840, avec François Barthélémy EUZET, écrit LAUZET (fs François et Magdelaine GRENIER) ; A/ Le 22 : 1 - Le régime est celui de la communauté, sauf les modifications apportées par les articles suivants ; 2 - Hilaire GOUDARD (père de Catherine) donne à sa fille en constitution de dot et avancement d'hoirie, 2000 francs " dont 1000 francs en la valeur des meubles meublans, effets mobiliers, linge de ménage et ustensile de cuisine, qui se trouvent placés dans les appartements que doivent occuper les futurs époux" et 1000 francs " employés à l'achat d'un trousseau composé de linge, vêtements, dorures et bijoux à l'usage de la future épouse" ; Hilaire GOUDARD sera libéré et déchargé par le seul fait de la célébration civile et, dès lors, Barthélémy EUZET en devra la valeur à sa future épouse sans que celle-ci ait besoin de quittance particulière ; 3 - Le donateur se réserve le droit de retour des 2000 francs en cas de prédécès de la future épouse sans enfants ; 4 - La somme de 2000 francs de la donation sera exclue de la communauté et restera propre à la future épouse ; ce premier acte est fait en l'étude, en présence de Simon DURAND (tonnelier) et de Paul Hilaire LEMASSON (peintre), de Sète, qui signent avec Catherine et son père ; les autres ne savent pas signer (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; B/ Le 25 : 1 - La donation de 2000 francs est réduite à 1200 francs ; Barthélémy reconnaît cette somme sur tous ses biens en faveur de Catherine pour lui être rendue et restituée ou à qui de droit, le cas de restitution arrivant ; 2 - Hilaire GOUDARD donne, en outre, à sa fille, "des vêtements et linge de corps à son usage personnel, le tout d'une valeur de 800 francs, lesquels objets resteront la propriété de la future épouse" ; 3 - La somme de 1200 francs et le trousseau donnés n'entrent pas dans la communauté et resteront propres à la future épouse qui aura droit de reprendre la somme de 1200 francs en argent et le trousseau en nature dans l'état où il se trouvera à la dissolution du mariage ; 4 - Hilaire GOUDARD se réserve le droit de retour des objets compris dans les deux donations, étant entendu que cette 2ème convention forme le complément de la première dont les clauses qui n'ont pas été changées subsistent ; l'acte est passé dans les mêmes conditions, témoins, signatures et notaire ; x François Barthélémy EUZET, le 26.11.1840, à Sète ; au mariage, assiste Honoré DONNADIEU (pilote lamaneur, 63 ans, son oncle maternel) ; sa mère ne sait pas signer mais son père signe "Hre GOUDARD père" et elle-même signe "Catherine GOUDARD" ; signalée au recensement de 1841 (avec le prénom Anne), avec son mari (mais qui a le prénom Pierre), sans enfants, "rue Saint Clair" ; signalée au recensement de 1851, sans profession, 31 ans, avec son mari et deux enfants : Madelaine (9 ans) et Hilaire (7 ans), habitant "rue Saint Clair" ; achat d'un terrain à Sète par le couple aux frères AURIOL, le 20.03.1861 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) et emprunt d'une somme de 5000 francs à Auguste BONNET, le 06.05.1862 pour son paiement (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; cette somme de 5000 francs à 5 % d'intérêt annuel est ensuite transportée et cédée à Etienne FABRE, le 06.11.1863 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; pour ce dernier acte, elle signe Catherine EUZET et le couple hypothèque ses immeubles de Sète pour sûreté de la somme : "maison d'habitation, magasin, cour, barraquette et dépendance" ; toujours pour le même acte, il est précisé que la dot de son Cm est limitée à 2000 francs ; jugement le 18.04.1863 de la première chambre du tribunal civil de l'arrondissement de Montpellier, à Montpellier, qui a changé le nom de LAUZET en EUZET ; le 22.09.1877, elle fait une donation à son mari : "le quart en toute propriété et le quart en usufruit de tous les biens qui composeront la succession de la donatrice à son décès. Elle dispense son mari de fournir caution, à raison de cet usufruit" ; l'acte est passé dans l'étude du notaire, en présence de Jean ABAUZIT (douanier en retraite) et Antoine EMPRIN (journalier) qui signent avec elle ; avant cet acte, il fait une donation dans des termes identiques à son épouse, en présence des mêmes témoins mais il ne sait pas signer (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; veuve, le 21.08.1887 ; signalée comme "Veuve EUZET Catherine", au recensement de 1901. Génération4-Portalès
(le 05.04.1889)
GRAS Désiré Jean fs Mathieu (menuisier, "absent sans domicile connu ainsi que l'atteste l'acte de notoriété ci annexé (en 1890)") et Françoise MANIVET (sans profession) ; ° 19.07.1862, à Arles - 13 ; journalier ; domicilié à Sète ; x Rosalie EUZET (fa Michel et Marie CASTAN), le 01.05.1890, à Sète ; pas de Cm ; il signe mais sa mère ne sait pas signer ; signalé au recensement de Sète de 1901 avec son épouse mais sans enfants, au "3, rue de l'Hospice" ; signalé au recensement de Sète de 1931 comme cocher, avec son épouse, au "1, rue Tissier Pons, maison Jean Gras" ; dans ce dernier recensement, son lieu de naissance indiqué est Marseille (au lieu d'Arles) et l'année de naissance est 1859 (au lieu de 1862) ; c'est lui qui fait la déclaration de décès de son épouse, le 12.09.1937 (il est alors indiqué comme cocher, âgé de 75 ans, domicilié à Sète) ; son épouse décède "cité Doumet, maison Gras" Génération6-Portalès
GRENIER Madeleine fa Ramond (+ à Sète) et Claire SALLES (domiciliés à Sète) ; ° vers 1784, à Sète (29 ans à son mariage, 52 ans au recensement de Sète de 1836) ; x François EUZET (fs Jean Baptiste et Magdelaine CONDAMINE), le 06.11.1813, à Sète ; veuve le 13.10.1821 ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1836, avec son mari (!) et trois enfants (Barthélémy (tonnelier, 21 ans), Françoise Henriette (18 ans) et François (16 ans) - en réalité le seconde est Françoise et le troisième est Pierre ; le 01.11.1837, avec ses trois enfants, elle vend les trois pièces de terre achetées par son mari à Frontignan, au quartier de la plage le 27.08.1815 (notaire GILLIET, de Sète) ; ces terres sont cadastrées n° 137, 138 et 139 de la section D sous le nom de François EUZET ; la vente se fait au titre de l'article 58 de la loi du 07.08.1833 sur l'expropriation pour utilité publique ; il s'agit, en l'occurence de la vente à la compagnie de chemin de fer de Montpellier à Sète, pour un montant de 297,82 francs, la surface étant de 1926,70 mètres carrés ; dans cette vente, elle se porte fort pour son fils Pierre, car il est encore mineur (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1841 comme veuve EUZET (avec le patronyme GRANIER), marchand de vin, avec 2 enfants (Pierre et Françoise), "rue Saint Clair" ; signalée au recensement de Sète de 1851, comme Madelaine GRANIER, 68 ans, deb. de vin, veuve EUZET, avec 1 fils (Pierre, tonnelier, 31 ans), habitant "rue Saint Clair" ; le 30.09.1856, elle vend à son gendre, Modeste DURAND, "une petite pièce de terre vigne située à Cette au quartier de la Caraussane, ayant environ 200 souches" ; elle déclare que cette vigne lui est parvenue de la succession de Claire SALLES, sa mère, décédée à Sète, "depuis environ trente ans et dont elle est la seule héritière" ; le prix est de 60 francs payés par DURAND avant l'acte notarié, en bonne espèces de cours ; elle lui en fait quittance ; Modeste DURAND reconnaît être déjà en possession et jouissance de la vigne et il s'oblige à en payer les impositions ; l'acte est fait en l'étude où signe Modeste DURAND ; elle déclare ne savoir signer (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) Génération3-Portalès
GROS (Jean) Pierre fs Etienne (Lieutenant aux douanes, + 07.01.1825, à Montpellier) et Marie VIALA (+ 11.08.1807 à
Sète) ; ° 23.07.1807, à Sète ; tailleur d'habits (en 1829) ; domicilié à Sète (en 1829) ; x Françoise
Claire EUZET (fa Louis et Catherine PASCAL), le 04.06.1829, à Sète ; il signe ; domicilié à Marseille à son +, le
19.10.1840 ; à son +, il est Sous Brigadier des douanes (les informations pour 1840 se trouvent dans le deuxième acte de mariage
de Françoise EUZET avec Jean Pierre SEGUR, le 03.05.1845, à Sète) .
Génération3-Portalès
GUILHEM Anne fa Jacques (camionneur) et Jeanne BARRAU (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 12.07.1860, à Castelnaudary (11) ; domiciliée à Castelnaudary ; x Honoré EUZET (fs Modeste et Jeanne CARRIERE), le 21.04.1879, à Sète ; pas de Cm ; sans profession ; elle signe mais ses père et mère ne savent pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1886 avec le prénom d'Anna, sans profession, "rue Esplanade, n° 6", avec son mari (grainetier), deux enfants (Jeanne et Charlotte EUZET), une veuve (Marie GUILHEM) et ses deux enfants (François et Jacques GRANIER) : elle obtient une médaille d'argent 1ère classe à l'exposition d'horticulture de 1892 qui a lieu au Château d'Eau, à Sète et son mari obtient une médaille d'or (Le Journal de Cette du 28.05.1892) ; signalée au recensement de Sète de 1911 avec le prénom d'Anna, comme marchande aux Halles, "rue de l'Esplanade, n° 21", avec son mari (grainetier) et une servante, Rose CIGALDI ; signalée au recensement de Sète de 1926 avec le prénom d'Anna, comme ménagère, "rue de l'Esplanade, n° 21", avec son mari (horticulteur) et un "orphelin recueilli", Henri GRAS ; signalée au recensement de Sète de 1931 comme fruitière, "rue de l'Esplanade", avec son mari (grainetier) et un "fils adoptif", Charles GRAS, qui est journalier. Génération6-Galibert
GUIZONNIER Claire Françoise fa Simon (commis négociant, + 11.08.1862, à Sète) et Françoise GUIRAND, domiciliés à Sète ; ° 25.10.1857, à Sète ; x Claude Albert EUZET (fs Jean Baptiste et Claire MICHEL), le 12.06.1884, à Sète ; pas de Cm ; sans profession ; elle signe et sa mère aussi ; le 11.07.1890, Jacques GUIRAND, commis négociant, reconnaît avoir reçu de Claude Albert EUZET la somme de 1200 francs, montant en capital de l'obligation souscrite le 03.10.1888 et il en donne quittance (notaire Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) ; dans cet acte, Claire Françoise GUIZONNIER accepte le paiement et, alors qu'ils sont dits domiciliés à Sète, elle est dite "domiciliée aujourd'hui à Saint Gilles (Gard)" et elle signe Claire EUZET ; le couple a son dernier enfant le 29.04.1895, à Sète ; signalée comme employée de commerce avec son mari, ses enfants (Marie et Henri) et sa belle-soeur Louise au recensement de Sète de 1911, au "5, quai du Sud" ; signalée avec son mari au recensement de Sète de 1921, au "5, quai Aspirant Herber" ; + ? Génération6-Galibert
HÉRAIL Marc Auguste fs Louis (boulanger) et Clélie BAILLE (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 27.04.1829, à Sète ; Cm, le 06.01.1852 avec Elisabeth Rose EUZET, qui signe Isabelle EUZET (fa Modeste et Marie LABAYLE) : le régime est dotal ; Modeste donne à sa fille en dot, 4000 francs "qui est la valeur des bijoux et dorures de la future épouse, des meubles meublants, linge de ménage et objets mobiliers garnissant l'appartement que les futurs époux doivent occuper et que M. HÉRAIL fils déclare avoir vus et vérifiés et tenir pour reçus dans le cas d'accomplissement du mariage projeté ; en conséquence, il reconnaît et assure sur tous ses biens présents et à venir la somme de 4000 francs au profit de sa future épouse pour la lui rendre ou à qui de droit à la dissolution du mariage. Elle se réserve la propriété de ses hardes et trousseau dont la valeur n'est point comprise dans le montant de la constitution ci-dessus et qu'elle ou ses héritiers auront le droit de reprendre dans tous les cas de droit. M. EUZET se réserve le droit de retour sur la somme de 4000 francs qu'il vient de donner à sa fille en cas de décès de cette dernière sans postérité." L'acte est passé en l'étude, en présence de Jean Sébastien SÉZARY (marchand drapier) et Blaise BOUDET (commissionnaire), domiciliés à Sète, qui signent avec les parties (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète) ; x Elisabeth Rose EUZET, le 07.01.1852, à Sète ; commis négociant ; il signe A HÉRAIL ; son père et sa mère signent aussi. Génération5-Galibert
JALABERT Adrien François fs Jean Charles (employé) et Jeanne GOUDARD (sans profession) ; ° 24.08.1859, à Sète ; x Mathilde EUZET (fa Jacques et Marie BOUNI), le 04.09.1884, à Sète ; Cm 02.09.1884, notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète ; commis négociant ; il signe mais son père ne sait pas signer ; + 14.04.1924, à Sète (la date de ce décès sur le site DAVIN-QERMANOTTI, dans "Planète-Généalogie" ; la même source indique que Jean Charles JALABERT était garçon d'hôtel et que Jeanne GOUDARD était lisseuse de linge) Génération6-Galibert
JULLIAN Rosalie Eugénie fa Charles (commissionnaire) et Madeleine CUILLERET (sans profession, + à 76 ans, selon L'Eclair du 27.04.1905), domiciliés à Sète ; ° 23.11.1857, à Sète ; sans profession ; x Jacques Honoré (dit Henri) EUZET (fs Jean Baptiste et Claire MICHEL), le 10.08.1881, à Sète ; pas de Cm ; elle signe et ses parents aussi ; dans les actes, le patronyme est parfois écrit JUILLAN et la signature maternelle est CULLIERET (et non CUILLERET) ; signalée au recensement de Sète de 1896, au "15 rue Caraussanne, maison RIEUNIER", avec son mari (elle-même indiquée Rosalie JUILLAN) et quatre enfants : Claire, Charles, Cécile et Gabrielle, plus une domestique, Jeanne DENJEAN, âgée de 17 ans ; signalée au recensement de Sète de 1906, au "15, rue Caraussane" (maison de Mlle RIEUNIER) avec son mari et cinq enfants, Claire, Charles (employé), Cécile, Marcelle et Gabrielle ; signalée au recensement de Sète de 1911, au "15, rue Caraussane" avec son mari et deux enfants, Marie Berthe et Marie Marguerite ; signalée au recensement de Sète de 1921, au "6, quai Noël Guignon" avec son mari et leur fille Marcelle ; elle est veuve, le 26.05.1926 ; signalée au recensement de Montarnaud (34) de 1931, avec sa fille Cécile, son beau-fils Jean DUGRIP (viticulteur, patron), sa petite-fille Bernadette DUGRIP (née en 1930) et la nièce de son beau-fils, Marcienne DUGRIP (née en 1919), "route de Montpellier" (maison n° 9) ; signalée au recensement de Montarnaud de 1936, avec sa fille Cécile, son beau-fils Jean DUGRIP (viticulteur, patron) et sa petite-fille Bernadette DUGRIP, "route de Montpellier" (maison n° 9) ; + 22.01.1943, à Montarnaud, d'après l'Enregistrement ("Successions et absences, bureau d'Aniane) Génération6-Galibert
LABAYLE Marie fa Pierre (entrepreneur) et Anne RAYNAUD (revendeuse), de Sète ; ° 02.09.1811, à Sète ; Cm, le 26.11.1830, avec Modeste EUZET (fs Jacques et Elisabeth FARRAND) : le régime est dotal ; son père lui donne en dot 1600 francs, "savoir 500 francs avec lequel le futur époux a fait construire un four pour l'usage de son état de boulanger et que, pour cet effet, il a reçu avant le présent contrat 1100 francs perçus en meubles et linge propres à l'usage des futurs époux", toutes choses que le futur déclare avoir vues et reçues ; il en fait la reconnaissance sur tous ses biens qu'il pourra posséder, pour les restituer à la future épouse ou à qui de droit, le cas de restitution arrivant ; le père du futur fait donation à son fils de la somme de 1400 francs, savoir 300 francs que le futur a reçu avant cet acte et 1100 francs qui ont été mis sur table, vérifiés et reçus ; les donateurs se réservent chacun pour soi le droit de retour des objets donnés pour les cas prévus par le Code Civil ; les futurs époux pourront cantonner par leur seule volonté leur hypothèque légale pour que le cantonnement ne se fasse que sur les immeubles capables de répondre ; l'acte est fait dans la maison de LABAYLE père, en présence d'Etienne PIOCH (tailleur de pierres) et de Joseph BERNISON (négociant) qui signent avec les parties, sauf la mère du futur qui ne sait pas signer (notaire Jacques LAURENS, de Sète) ; x Modeste EUZET, le 26.11.1830, à Sète ; signalée au recensement de 1841 avec son mari, 4 enfants (Jacques, Elisabeth, Etienne, Rose) et 1 garçon boulanger, "quai de Bosc" ; signalée au recensement de 1846, avec son mari (boulanger), 3 enfants (Elisabeth, Jacques, Etienne) et un ouvrier boulanger de 24 ans ; signalée au recensement de 1856 avec son mari (boulanger) et 2 enfants, Jacques (21 ans, boulanger) et Etienne (17 ans, marin), "rue des casernes, n° 86" ; signalée au recensement de 1861, avec son mari (propriétaire) et deux enfants, Etienne (22 ans) et Jacques (25 ans), "rue des Hôtes, n° 22" ; par son testament du 30.03.1878, Modeste EUZET lui lègue un quart en usufruit de tous ses biens meubles et immeubles qui composeront sa succession, la dispensant de faire inventaire, de fournir caution et de faire aucun emploi de capitaux à raison de cet usufruit (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; veuve, le 10.05.1868 ; + 30.11.1878, "rue des Hôtes, n° 16", à Sète, sans avoir fait de dispositions testamentaires ni de donations entre vifs ; après son décès, il n'a pas été fait d'inventaire et elle a laissé pour seuls héritiers ses deux enfants (vivants) : Elisabeth EUZET (épouse d'Auguste HÉRAIL) et Jacques EUZET, lesquels ont fait cesser l'indivision entre eux par un acte du 30.04.1879 (qui donne ces renseignements - notaire Alphonse COUZIN, de Sète). Génération4-Galibert
LABORDE Clotilde Marie Louise fa Pierre (employé au chemin de fer) et Léonarde Léonore MONCHESKY (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 31.12.1853, à Avignon (84) ; sans profession ; x Pierre EUZET (fs Jacques et Anne GERMAIN), le 23.11.1871, à Sète ; pas de Cm ; elle signe. Génération4-Portalès
LAMAILLOUX Joseph fs Joseph (cultivateur + 03.11.1847, à Sète) et Marie FIAT (sans profession) ; ° 01.05.1832, à Sète ; tonnelier ; x Catherine Françoise EUZET (fa Blaise et Jeanne NOURRIGAT), le 31.10.1855, à Sète ; pas de Cm ; il ne sait pas signer, ni sa mère ; signalé au recensement de Sète de 1856 avec son épouse, "Grande rue Haute, n° 56" ; + avant décembre 1889. Génération4-Portalès
LAPARA Cécile fa Pierre (cultivateur, âgé de 25 ans à la naissance de Cécile ; il ne sait pas signer) et Marie Anne ASTRUC (journalière en 1848, âgée de 18 ans à la naissance de Cécile ; elle ne sait pas signer) - ils sont de Loupian (34) et se sont mariés à Loupian, le 20.11.1847 ; ° 01.04.1848, à Loupian, "rue de la place" ; témoins à l'acte de naissance : Guillaume et André LOURDOU, cordonniers de Loupian, qui signent ; sans profession ; signalée au recensement de Loupian de 1861 avec ses parents, au n° 2 de "Caylis" ; signalée au recensement de Loupian de 1866 avec ses parents, au n° 308 de "Epars" (en fait, ce libellé doit concerner la population dite éparse sur le territoire de la commune) ; à noter que dans ces deux recensements, le prénom du père est Jean (au lieu de Pierre) et que cette famille n'apparaît pas au recensement de Loupian de 1856 ; x Antoine Joseph EUZET (fs Modeste et Jeanne CARRIERE), le 26.12.1867, à Loupian ; pas de Cm ; elle ne sait pas signer, ni ses parents ; assistent au mariage, pour la future : Michel LAPARA et Pierre BENEZET, ses cousins domiciliés à Loupian ; signalée dans le recensement de Loupian de 1872 avec son mari au n° 301 de "L'esplanade" ; l'acte de naissance de leur fille Jeanne Eugénie, en 1875, indique que le couple habite à Loupian ; signalée dans le recensement de Loupian de 1876 avec son mari et leur fille Jeanne, au n° 256 de la "rue Imbert" ; domiciliée à Blida, "rue Mahmoud" (en Algérie, arrondissement d'Alger), en 1879 et à "El Affroun", en 1885 (en Algérie, arrondissement d'Alger) ; veuve, le 15.01.1885 ; + 20.01.1922, à Marengo : "Vendredi dernier ont été célébrées au milieu d'une très grande affluence les obsèques d'une brave et digne femme, une vieille algérienne, Mme Veuve EUZET, mère et belle-mère de Mme et M. Marius ASCIONE représentant de la Maison S. Mangon à Marengo, vice-président de l'USAM, et de M. Joseph EUZET, employé à l'Usine Electrique. En cette douloureuse occasion nous adressons à Mme et à notre cher camarade ASCIONE, ainsi qu'à notre ami J. EUZET nos condoléances sincèrement attristées." (L'Echo d'Alger) ; elle a dû s'installer à Marengo avec ses enfants après le décès de son mari. Génération6-Galibert
LAUTIER Gabrielle (inscrite avec le prénom de Marie Elisabeth au recensement de 1841 et avec le prénom de Marie dans le Cm) fa Pierre (+ 10.09.1810, à Gignac) et Elisabeth EYMAT, de Gignac ; ° 29 messidor an 8 (18.07.1800), à Gignac ; x Antoine EUZET (fs Honoré et Marie PELUF), le 27.12.1820, à Gignac (bans passés
à Sète et Gignac) ; Cm 12.11.1820, notaire PONS, de Gignac ; elle ne sait pas signer mais
parmi les signatures, il y a Elisabeth EYMAT ; les témoins sont des propriétaires de Gignac ; signalée au recensement de 1841,
avec son mari et deux enfants (Claire et Honoré), "île n° 5" ; signalée au recensement de 1851,
débitante de café, 51 ans, veuve, avec deux enfants : J. Honoré EUZET (20 ans) et Pierre EUZET (8 ans), habitant
"rue de la Croix" Génération4-Galibert
LEGENDRE Jeanne Marie Thérèse fa Jean Philippe (négociant) et Amélie BOISSEUIL (sans profession) ; ° 06.02.1861, à Bordeaux ; sans profession ; elle demeure avec ses parents quand elle se marie, "rue Lagrange 133", à Bordeaux ; x Paul EUZET (fs Benjamin et Emilie CREMAILH), le 21.12.1887, à Bordeaux ; Cm le 20.12.1887, notaire BLONDEAU, à Bordeaux ; assistent au mariage : Edouard VARLET (51 ans, sous-chef de division à la mairie de Bordeaux), René GUYARD (38 ans, rentier, à Bordeaux), Albert TOUZIN (35 ans, architecte à Bordeaux) et Louis EUZET (négociant, habitant 28, quai Sainte Croix, à Bordeaux), frère de l'époux ; elle signe Thérèse LEGENDRE. Génération5-Galibert
MAFFRE Antoine Esprit fs Toussaint (commissionnaire ; il signe) et Claudine BEDOS (sans profession, domiciliée puis + à Marseillan, le 02.12.1837) ; ° 10.06.1821, à Marseillan (34) ; "domicilié de droit à Cette, habitant à Philippeville, possessions françaises d'afrique" ; négociant ; publications du mariage, à Philippeville et à Sète ; x Elisabeth EUZET (fa Jacques Honoré et Marie DUCAYLAR), le 26.11.1845, à Sète ; Cm 26.11.1845, notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète ; il signe ; régime dotal ; EUZET père donne en dot 2000 francs dont 1000 immédiatement et 2000 à payer dans les trois ans, intérêt à 5 % l'an ; Esprit MAFFRE reconnaît la somme de 2000 francs sur tous ses biens et promet de la restituer, le cas de restitution arrivant ; dans la dot, ne sont pas compris les dorures, bijoux et effets d'habillement qu'Elisabeth se réserve, de même qu'EUZET père se réserve le retour de la somme en cas de prédécès de sa fille et de sa postérité avant lui, donateur ; le Cm est enregistré le même jour et déposé à Philippeville (Algérie) le 23.12.1845, au greffe du Tribunal civil, à la mairie et à l'étude des notaires PROVÉ et DUNEUGERMAIN, de Philippeville ; signalé au recensement de Sète de 1846 comme commis, "rue des Hôtes", avec sa femme, sans enfants et à celui de 1851 comme commis, "rue des casernes", avec sa femme et deux enfants ; signalé au recensement de Sète de 1856 comme négociant, avec sa femme et cinq enfants, "rue des casernes, n° 79" ; signalé au recensement de Sète de 1861 comme négociant, avec sa femme (négociant) et six enfants, "rue des casernes, n° 15" ; + 01.03.1890, à Sète, veuf d'Elisabeth EUZET, ancien négociant, "quai supérieur de la place, n° 1" Génération5-Galibert
MALLIÉ Jean Pierre fs Jean (tonnelier) et Antoinette GUIRAUD (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 12.09.1817, à Sète ; tonnelier ; x Cécile EUZET (fa Blaise et Marie Grace GABINAUD), le 02.02.1844, à Sète ; assistent au mariage : Pierre MALLIÉ (tonnelier, 36 ans) et Jean, Hilaire MALLIÉ (imprimeur, 38 ans), frères du marié ; il signe avec les témoins et son père mais pas sa mère ; signalé au recensement de 1851 (avec le prénom Jean, tonnelier, 34 ans, avec sa femme et un enfant de 6 ans, habitant "quai inférieur de l'esplanade" ; + avant le 17.08.1887 (date du testament de sa veuve, Cécile EUZET) : dans ce testament, son métier est "fontainier, chef du service des eaux de la ville de Cette" (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète)
Génération4-Portalès
MASSEL Marie fa ? ; ° ? ; x Barthélémy EUZET (fs Jacques et Cécile PORTALES), le ?, à ? ; elle est domiciliée à Sète, veuve, quand décède leur fille, Catherine, le 30 nivôse an XIII (20.01.1805), "rue Lardat" ; celle-ci est âgée de 3 ans et 6 mois à son décès (donc une naissance en 1801), ce qui peut laisser supposer un mariage du couple en 1800. Génération2-Portalès
MATIGNON Ambroise fs Ambroise (journalier ; + 09.03.1857, à Beaupréau - 49) et Justine LEBLANC (+ 08.06.1838, à Le Fief-Sauvin - 49) ° 07.06.1835, à Le Fief-Sauvin (49) et non pas à Cholet comme l'indique par erreur le recensement de Sète de 1876 ; x Jeanne EUZET (fa Antoine et Marie Rose THEULON), le 31.01.1867 à Angers (49) ; quand il se marie, il est sans profession et habite à Angers, "impasse Saint Julien" (3ème arrondissement) puis quand naît leur fils, Adolphe Albert MATIGNON, le 28.05.1869, à Angers, le couple habite "rue de l'Aiguillerie, 4" (2ème arrondissement) et il est marchand de vin ; signalé comme débitant de tabac dans le recensement de Sète de 1872 avec sa femme, leur fils Albert et une domestique (Jeanne CASTELNAU), au "quai de Bosc, n° 13" et il est précisé qu'ils sont catholiques ; signalé comme débitant de tabac dans le recensement de Sète de 1876 avec sa femme, leur fils Albert et une domestique (Jeanne CASTELNAU), au "quai de Bosc, n° 13", les lieux de naissance étant précisés ; signalé comme buraliste dans le recensement de Sète de 1881, avec sa femme et une employée (Jeanne CASTELNAU), au "quai de Bosc, n° 13" ; + avant le 28.10.1884 (date du décès de Marie EUZET, sa belle-soeur, selon l'acte de notoriété du 20.01.1885, notaire Alphonse COUZIN, de Sète)
Génération5-Galibert
MAUREL André François fs François (cultivateur) et Anne DOUARCHE
(+ 08.06.1836, à Sète) ; ° 27.07.1808, à Sète ; cultivateur ; x Elisabeth Gracie EUZET (fa Honoré et Marie
PELUF), le 02.02.1837, à Sète ; il ne sait pas signer ni son père ; signalé au recensement de 1841, avec sa femme
et un enfant, charretier, "Grand chemin". Génération4-Galibert
MAYROIS Michel (ou MARIOY ou MARIOIS ou MEYRIOYS) fs François (+ avant le mariage de son fils) et Marie ROUSTAND ; ° ? ; "matelot de profession" quand il se marie ; "patron" ; Cm, le 01.06.1759 avec Elisabeth EUZET (patronyme écrit LAUZET) ; son patonyme est écrit MEYRIOYS par le notaire ; Jacques EUZET (dont le nom est aussi écrit LAUZET) donne à sa fille 350 livres, à savoir : 200 livres "à laquelle ont été amiablement évalués entre parties les meubles et effets mobiliers vus et agréés par ledit futur époux pour meubler une chambre et 150 livres pour la valeur des robes, nipes, linge propre à l'usage personnel de la dite future" ; le futur les tient pour reçus et renonce à toute exception contraire et, en conséquence, reconnaît et assure la somme de 350 livres sur tous ses biens présents et futurs, au profit de sa future épouse pour lui être rendus ou à qui il appartiendra, le cas arrivant ; en plus, Jacques EUZET donne à sa fille, gratuitement, "le loyer d'une chambre de la maison qu'il a, près de celle du sieur VIVARES, pour 4 années, à compter du jour que la bénédiction nuptiale leur sera départie" ; en augment dotal et gain de survie, Michel MEYRIOYS donne 50 livres à Elisabeth EUZET, avec les nipes, bagues et joyaux qu'il lui aura fait pour son mariage" ; Elisabeth EUZET donne 25 livres à Michel MEYRIOYS ; "ces sommes seront payables par les héritiers du prémourant au survivant dans l'an du décès" ; l'acte est fait "dans la maison dépendant du jardin de M. le conseiller BOSC, tenu à loyer par ledit LAUZET" ; sont présents, Jean MASSEL (maçon) et Gaspar MERLE (étudiant), qui signent avec le notaire et les "assistants qui ont su le faire" ; les parties ne savent pas signer (notaire Antoine MERLE, de Sète) ; x Elisabeth EUZET (fa Jacques et Claire GALIBERT), le 02.06.1759, à Sète ; au mariage assistent : Esprit MARIOY (boulanger), Philippe GALIBERT (carrier) et les clercs tonsurés, Michel MALET et François CALAS ; dans l'acte de mariage, ainsi que dans les deux actes qui suivent, le patronyme est écrit MARIOY ; le 07.08.1759, il est parrain de baptême d'Elisabeth MARIOY (fille de Jean, pêcheur, et de Jeanne BOUVIER) ; le 25.11.1762, le couple fait baptiser leur fils Antoine, le parrain étant Antoine MARIOY (oncle du baptisé) et la marraine, Marie ROCOURD (épouse de Jacques EUZET) ; on retrouve cette forme MARIOY dans l'acte de décès d'Anne MARIOY (fille de Jean et d'Anne OLIVE), le 4 fructidor an 4, ou encore dans l'acte de mariage d'Antoine MARIOY (fils de Jean et d'Anne OLIVE) et de Marie Gabrielle CAYLA (il signe MARIOY), le 21 frimaire an 10 ; ensuite, la forme du patronyme passe à MARIOIS ; on le voit bien, par exemple, avec deux actes de naissance : celui de François (le 05.02.1808) qui est dit fils d'Antoine MARIOY et de Jeanne MAFFRE et celui de Marianne (le 23.04.1811) qui est dit fille d'Antoine MARIOIS et de Jeanne MAFFRE ; la première forme semble alors disparaître comme on le voit dans plusieurs actes de 1810 à 1814 ; la fille du couple, Gracie, hérite de 50 livres de son grand-père Jacques EUZET (par son testament du 29.08.1777) ; le 15.08.1779, ces 50 livres sont payées par Jacques EUZET aîné (tant en son nom que pour ses frères et soeurs) à Michel MAYROIS (patronyme écrit ainsi par le notaire) qui est l'administrateur légitime de la personne et des biens de sa fille, pupille ; Michel MAYROIS s'engage à les représenter à sa fille le jour de son mariage ou plus tôt s'il y a lieu ; l'acte est passé en l'étude, en présence de Julien DUSSOL et Joseph ALLEGRE, de Sète, qui signent avec Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; il ne sait pas signer. Génération2-Galibert
MAZEL Lucie Joséphine fa Pierre (négociant) et Joséphine GRANIER (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 07.11.1856, à Millau (Aveyron) ; sans profession ; domiciliée à Sète ; x Achille Jacques Pierre EUZET (fs Jacques et Marie BOUNI), le 05.02.1885, à Sète ; Cm le 04.02.1885, notaire Alphonse COUZIN, de Sète : régime dotal mais avec "entre les futurs époux une société d'acquets composée des bénéfices et économies qu'ils pourront faire pendant le mariage, tant en meubles qu'en immeubles", cependant que son trousseau et ses bijoux évalués à 500 francs, demeurent sa propriété personnelle ; elle signe Lucie MAZEL ; signalée au recensement de Sète de 1891 avec son mari, "quai de Bosc 13". Génération6-Galibert
MERLET Jeanne fa Antoine (matelot, + avant le mariage de sa fille) et Anne JAMBON, domiciliés à Sète ; ° 04.01.1784, à Sète ; x Charles EUZET (fils de Louis et de Magdeleine BARRES), le 17 pluviôse an XII (07.02.1804), à Sète ; elle ne sait pas signer ; seuls signent les quatre témoins (un tonnelier, un boulanger, un "canaliste" et un chauffournier) ; Génération3-Portalès
MICHEL Claire fa Maurice (tonnelier) et Marie AUDOUIN (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 22.11.1819, à Sète ; x Jean Baptiste EUZET (fs Honoré et Françoise BRIANT), le 26.04.1842, à Sète ; Cm 26.04.1842, notaire Alexandre CAZALIS, de Sète : régime dotal avec une dot de 1500 francs par ses parents, "en la valeur de meubles et effets propres à la garniture de l'appartement que les futurs époux se proposent d'occuper" ; en plus, le Cm indique qu'elle constitue de son chef propre une somme de 300 francs "en valeur de ses bagues, bijoux et dorures" ; sans profession ; elle ne sait pas signer mais son père et sa mère signent ; signalée au recensement de Sète de 1851, avec son mari et un enfant : Catherine EUZET (3 ans), habitant "rue des casernes"; signalée au recensement de Sète de 1861 avec son mari et cinq enfants : Héloïse (13 ans), Albert (9 ans), Honoré (7 ans), Henri (3 ans), François (2 mois) et une domestique, Anne BENEZECH, "rue Esplanade, n° 4" ; + 03.05.1862, à Sète, dans sa maison d'habitation, "rue de l'Esplanade, n° 5" (un des deux déclarants est son cousin, Honoré EUZET, menuisier de 52 ans, qui signe) Génération5-Galibert
MICHEL Jenny fa Achille Jean (tonnelier) et Marie VEBLE (sans profession) ; ° 09.05.1869, à Sète ; sans profession ; x Simon EUZET (fs Modeste et Jeanne CARRIERE), le 06.02.1888, à Sète ; elle signe ; signalée au recensement de Sète de 1921 comme chef de ménage, veuve, et modiste, avec sa soeur Marie MICHEL (née en 1866), "rue Hôtel-de-Ville 11". Génération6-Galibert
MICHEL Louis Séverin fs Jacques (fondrier, + 07.10.1898, à Sète) et Catherine PINGOT (sans profession) ;
° 27.11.1874, à Sète ; fondrier ; x Charlotte Maria EUZET (fa Honoré et Anne GUILHEM), le 01.07.1902, à
Sète ; pas de Cm ; il signe. Génération7-Galibert
MIGNIOT Joseph fs Joseph (propriétaire, vivait puis + à Sète le 15.12.1851) et Marguerite FOUQUE (propriétaire, domiciliée à Sète, encore vivante en 1865) ; ° 22.01.1824, à Sète ; Cm, le 29.04.1858 avec Thérèse EUZET (fa Vincent et Sophie Amélie CAZZIER) : régime dotal mais il n'a été constitué "aucune dot" ; par contre, Vincent lui constitue "une rente annuelle et viagère de 500 francs, payable sans retenue par moitié de six en six mois et d'avance à dater de ce jour. Cette rente sera réversible, en cas de décès de la future épouse, sur la tête de ses enfants et descendants. Elle sera éteinte par le décès de M. EUZET père" ; elle se réserve comme biens libres et paraphernaux les effets d'habillement, dorures, bijoux et autres objets à son usage personnel. Tous les biens présents et à venir de la future épouse demeurent également libres et paraphernaux ; l'acte est fait en l'étude où signent les parties (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; x Joseph MIGNIOT, le 03.05.1858, à Sète ; (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; x Thérèse EUZET, le 03.05.1858, à Sète ; marchand de nouveautés ; il signe et sa mère aussi ; le 22.07.1865, solidairement avec son épouse, il vend à la commune de Sète "une maison située à Cette, faisant angle et retour sur la rue de l'Hôtel-de-Ville et la rue Villefranche, portée au n° 71 de la section B du cadastre" ; la mairie est représentée par Jean Baptiste DONNAT (adjoint au maire, négociant, président du Tribunal de commerce) ; la contenance est de 152 m2 ; l'immeuble confronte au nord la rue de l'Hôtel-de-Ville, au sud-est et à l'est l'établissement affecté au Bureau de bienfaisance, à l'ouest la rue Villefranche ; l'immeuble est parvenu à Joseph MIGNIOT de la succession de son père, autre Joseph MIGNIOT, propriétaire à Sète ; Marguerite FOUQUE, mère de Joseph MIGNIOT (époux de Thérèse EUZET) a été remplie de son usufruit au moyen d'une pension viagère de 500 francs par an par chacun de ses trois enfants et a donné main levée de toute hypothèque concernant l'immeuble ; le prix est de 15000 francs que la commune s'engage à payer en trois annuités : 5000 francs le 31.01.1866, 5000 francs le 31.01.1867 et 5000 francs le 31.01.1868 ; l'intérêt est de 5 % l'an, payable par semestre et à terme échu à partir du 01.01.1866 ; cependant les premiers intérêts seront payés le 31.01.1866 ; Thérèse déclare renoncer à tous droits d'hypothèques légales sur la maison vendue ; la commune prendra possession et jouissance de l'immeuble à partir du 01.01.1866 et en paiera, dès lors, les contributions ; la présente acquisition a été autorisée comme complément de l'établissement affecté au Bureau de bienfaisance de la ville, par délibération du conseil municipal du 19.06.1865 ; l'acte est fait, pour DONNAT, à la mairie, dans le cabinet du maire, et, pour les mariés MIGNIOT, en leur demeure ; sont témoins, présents à l'acte : Louis JULIEN (marchand épicier) et François BOISSIÈRE (marchand tailleur) qui signent avec les parties ; l'arrêté préfectoral du 30.08.1865 est joint à l'acte ; il l'approuve ; dans les considérants de l'arrêté, il est dit que la maison est actuellement occupée par le Bureau de bienfaisance et aussi que c'est avantageux pour la ville (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 21.09.1865, avec son épouse, il cède et transporte la créance de 15000 francs ci-dessus sur Jean Jacques Alexis AURIOL (ingénieur en chef des Ponts et chaussées, à Marseille), présent et acceptant ; AURIOL leur paye 15000 francs en billets de banque ; une quittance est délivrée ; AURIOL retient l'intérêt à couvrir de ce jour au 1er janvier prochain (210,50 francs) ; les mariés MIGNIOT subrogent AURIOL en tous leurs droits, actions, privilèges, hypothèques contre la commune de Sète ainsi que pour l'inscription d'office ; l'acte est fait en l'étude où signe Alexis AURIOL, cependant que les mariés MIGNIOT ont reçu lecture en leur maison d'habitation où ils signent (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; Génération5-Galibert
MILHAU Jean François fs Jean (cultivateur + 15.03.1839, aux Allemans, arrondissement de Pamiers, Ariège) et Sophie Julie CATHALA (sans profession), domiciliés aux Allemans ; ° 02.12.1833, aux Allemans ; tailleur d'habits ; x Elisabeth EUZET (fa Louis et
Elisabeth NORMAND), le 15.09.1859, à Sète ; il ne sait pas signer ; signalé au recensement de Sète de 1861 (patronyme écrit MILLAUD) comme tailleur, avec son épouse, "Ile Donnat, 166 Grand rue" ; signalé au recensement de Sète de 1881 (patronyme écrit MILHAUD) comme tailleur, avec son épouse, leur fils Henri et un tailleur de pierres, Jean LIARD, "rue Jeu de Mail" (maison 15). Génération5-Portalès
MOLLE Antoine fs Ambroise et Marie NOUGARET (domiciliés à Sète) ; ° 02 pluviose an 3, à Sète
(21.01.1795) ; calfat ; x Cécile EUZET (fa Louis et Catherine PASCAL), le 11.04.1823, à Sète ; il ne sait pas signer ;
habite à Sète au moins jusqu'en 1834 (° de
leurs trois premier enfants) puis à Pérols au moins à partir de 1837 (° de leur quatrième enfant) puis à Mauguio
(au moins en 1839 (° de deux jumeaux) ; le couple habite certainement ensuite à Palavas-les-Flots (+ dans cette ville, le 24.01.1855 et
mariages de deux des enfants en 1862 et 1865) : les informations sur ces déplacements d'après le site http://bourdalle.fr.
Génération3-Portalès
MONTAIGU dite ROCOUR(D) Marie fa Charles (jardinier ; quand a lieu le Cm de sa fille il est "extrèmement malade" et "n'ayant pas à présent l'usage de la parole" ; il est indiqué comme MONTAIGU de ROCOUR) et Magdelaine MOLY (encore vivante en 1762, elle ne sait pas signer, son patronyme est féminisé en MOILLE et MOLLIE) ; ° ? ; x Jacques EUZET (fs Guillaume et Suzanne BARRAL), le 27.08.1761, à Sète ; dans cet acte, le patronyme du père est ROCOUR(D) ; Cm, le 07.04.1762 : Jacques EUZET (patronyme écrit LAUZET) convient de faire des travaux sur un terrain qu'il donne à Marie MONTAIGU mais dont il se réserve la jouissance sa vie durant ; ces travaux consistent en un plancher, une porte en pierre de taille du pays et une fenêtre, le tout jouxtant la pièce au rez-de-chaussée de la maison de MONTAIGU, les travaux se montant à 460 livres ; cet acte montre que les MONTAIGU vivaient à côté des EUZET ; l'acte est passé dans l'appartement du jardin de M. BOSC occupé par Jacques EUZET en qualité de fermier du jardin ; les parties ne savent pas signer ; seuls signent les témoins : François GEVAUDAN (hôte) et Jean MERLY (bourgeois), de Sète (notaire Barthélémy MERLE, de Sète) ; dans son premier testament du 14.09.1774, Jacques EUZET lui lègue 1000 livres, "et ce tant en représentation des meubles que ladite ROCOURT son épouse lui apporta lors de son mariage que pour la récompense des peines et soins qu'elle a pris et prend à ses affaires domestiques et, outre ce, veut qu'il soit délivré à ladite ROCOURT son cabinet avec tout ce qui s'y trouvera à sa mort sans que son héritier y puisse toucher ni rien enlever dudit cabinet, le testateur lui en faisant don ledit legs par exprès" (notaire Antoine LARDAT, de Sète) ; dans son deuxième testament du 03.11.1775, Jacques EUZET lui lègue "les meubles et effets, linge, batterie de cuisine et généralement tous ceux qu'il laissera à sa mort, pour une valeur de 500 livres" ; il lui donne, en outre, "100 livres de rente à prendre et se faire payer sur tous et chacuns ses dits biens de 6 en 6 mois, à compter du jour de son décès" (notaire Antoine LARDAT, de Sète) ; dans son troisième testament du 17.07.1777, Jacques EUZET lui lègue "la jouissance d'une somme de 500 livres, intérêt au denier 20, exempt de toute retenue, à la fin de chaque année, avec liberté de pouvoir disposer à sa mort dudit capital de celui ou ceux des enfants du testateur que sa dite épouse trouvera à propos" (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ;
dans son quatrième et dernier testament du 29.08.1777 (qui annule tous les autres), Jacques EUZET lui lègue "les meubles et effets, linge, batterie de cuisine et généralement tous ceux qu'il laissera à sa mort" ; il lui donne, en outre, "100 livres de rente à prendre et se faire payer sur tous et chacuns ses dits biens de 6 en 6 mois, à compter du jour de son décès" (notaire Antoine LARDAT, de Sète) ; elle devient veuve le 29.10.1777 ; le 03.11.1777, elle fait une donation entre vifs à Jean EUZET (fils de son feu mari) d'une maison et d'une vigne, "en considération des bons et agréables services qu'il a receû (son mari, feu Jacques EUZET) et espère de recevoir" (pour elle-même) ; la maison est à Sète rue de la manufacture, confrontant du levant Ambroise ORUS, du couchant BOUSSAGUES (boulanger), du nord la rue de la manufacture, du ponant au ciel ouvert ; la vigne est située au pied de la montagne, contenant 18 sétérées, à fossoyer ; la possession et jouissance est de ce jour ; les conditions sont les suivantes ; "nourrir et entretenir la dite MONTAIGÛ donnatrice tant seine que malade à son même pot feu, la loger éclairer chauffer blanchir et générallement tout ce qui lui sera nécessaire pour la nourriture entretien et habillement suivant son état et en outre lui donner toutes les années et par avance la somme de 40 livres pour ses menus plaisirs, à la charge encore pour ledit EUZET de payer après la mort de ladite MONTAIGÛ 300 livres à Louis EUZET et 300 livres à Jean Baptiste EUZET, tous les deux frères de Jean EUZET et encore que dans le cas, a Dieu ne plaise, que ladite MONTAIGÛ ne puisse vivre d'accord avec ledit Jean EUZET celui-ci s'oblige de lui faire sa vie durand une pension viagère toutes les années de 300 livres, payable de six en six mois et par année et cela en représentation de la nourriture et entretien et logement qu'il est obligé de lui faire ci-dessus" ; les conditions sont acceptées par les parties qui déclarent que les biens donnés peuvent être de valeur de 4700 livres ; ils obligent leurs biens qu'ils soumettent à la rigueur de la justice ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Pierre PAGÉS (courtier de navire), Pierre JAUMEL, Barthélémy CARBONNEL, Jean Baptiste FARRAND (tonneliers), de Sète, qui signent ; les parties ne savent pas signer (notaire Antoine LARDAT, de Sète) ;
le 29.04.1779, Jacques EUZET aîné (fils de son feu mari) lui paye 141 livres 6 deniers ; cette somme représente 3 semestres de la pension qui lui est due suite au dernier testament de son père ; c'est, en fait 150 livres sur lesquelles 21 livres ont été défalquées pour l'insinuation du testament ; la somme inclut 12 livres 6 deniers pour les appointements des officiers ordinaires de Sète du 13.04.1779 ; il effectue ce règlement au nom de ses frères et soeurs ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Jean BOUSQUET (praticien) et de Jean TORQUEBIAU (cordonnier), de Sète, qui signent avec lui ; elle ne sait pas signer (notaire Antoine LARDAT, de Sète) ; le 24.01.1780, a lieu le partage des biens de Jacques EUZET entre ses enfants et Marie MONTAIGU ; les frères et soeurs EUZET, fils et filles de Jacques EUZET, leur père, ont refusé de continuer à payer la pension. Ils "entendoient même se pourvoir en restitution des quatre semestres payés pour la raison qu'indépendamment du mobilier légué dont une juste estimation auroit excédé 800 livres, ledit Jacques EUZET premier s'étoit obligé à bâtir et augmenter une maison de ladite MONTAIGU par le pacte de leur mariage passé devant maître MERLE, notaire, le sept avril 1762, qu'il avoit effectué son obligation et avoit dépensé plus de 600 livres au profit de sa dite troisième femme, que par conséquent ledit legs de la rente viagère devait être annulé par la voie du retranchement en vertu de la loi qui défend aux pères de donner à ses secondes femmes plus que celui de ses enfants le moins avantagé". Les parties ont alors transigé. Elle a abandonné la pension viagère de 100 livres et a gardé le reste qui lui avait été légué, ainsi que les 200 livres reçues pour les deux années de pension (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; les actes de naissance et de décès de Marie n'ont pas été retrouvés mais le registre de la paroisse Saint Louis fait ressortir l'existence d'une famille MONTAIGU, avec les naissances de Pierre (en 1716), de Catherine (en 1719), de Michel (en 1721) et de Pierre (en 1723) ; dans ces quatre actes de baptême, les parents sont Charles MONTAIGU et Magdelaine MOLY ; il s'agit donc clairement du même Charles qui n'est appelé ROCOURD que dans l'acte de mariage de Marie avec Jacques EUZET ; dans le pacte de mariage de 1762, elle est appelée "Marie MONTAÏGU fille légitime et naturelle de Charles MONTAIGU de ROCOUR et de Magdelaine MOLLIE" ; c'est dans l'acte de 1780 que le notaire écrit d'abord MONTAIGU dite ROCOUR puis seulement MONTAIGU, ce qui confirme encore que le véritable patronyme est bien MONTAIGU ; le même registre paroissial de Saint Louis indique la présence à Sète d'une famille MOLY dont le patronyme est parfois écrit MOLI ou MOLIE ; cette famille semble bien distincte des MOLE dont le patronyme est parfois écrit MOLLE (c'est une des premières familles citées, dès le XVIIe siècle) ; elle semble aussi distincte de la famille MERLY que l'on découvre au XVIIIe siècle (Jean MERLY, bourgeois habitant à Sète, est un des deux témoins signataires de l'acte de 1762). Génération1
NAVAS Suzanne fa Jean (cultivateur) et Anne DAVID (sans profession + 27.10.1849, à Sète ), domiciliés à
Sète ; ° 11.10.1838, à Sète ; sans profession ; x Blaise EUZET (fs Louis et Elisabeth NORMAND), le 27.11.1862, à
Sète ; pas de Cm ; elle signe. Génération5-Portalès
NEGRE Dominique fs Dominique (cultivateur) et Véronique GAILLARD (sans profession) domiciliés à Sète ; ° 06.09.1833, à Sète ; marin, renseignement sur sa carrière aux Archives maritimes de Toulon (informations de M. Denis BERNARD) : fiche n° 136 : cheveux noirs, front rond, sourcils noirs, yeux châtains, nez petit, bouche petite, menton rond, visage ovale, inscrit le 20.11.1850 provenant des mousses f° 198, n° 1752, services antérieurs, en 1850, à partir du 9 novembre, fait de la navigation intérieure, en 1851, il continue le 18 mars, sur le bateau à vapeur l'Artésien, débarqué le 30.01.1852, rayé le même jour ayant déclaré renoncer aux professions maritimes à Sète ; Il s'est présenté à nouveau le 10.02.1852 et a déclaré vouloir reprendre l'exercice des professions maritimes. Porté aux matelots f° 348, n° 348. Le tableau récapitulatif des services indique qu'il a exercé "au commerce" 2 mois 16 jours, "à la petite pêche" 8 mois 29 jours, "à la navigation intérieure" 23 mois 14 jours. ; x Jeanne EUZET (fa Jacques et Gabrielle DEVILLE), le 09.05.1857, à Sète ; pas de Cm ; il ne sait pas signer, ni ses père et mère ; signalé au recensement de 1861 comme marin, avec son épouse sans enfants, "chemin de la Carossane, n° 207" ; signalé au recensement de Sète de 1891 comme pêcheur, avec son épouse et deux enfants (Gabriel et Elise), "rue Caraussanne 3" ; signalé au recensement de 1896 comme marin avec son épouse et une fille (Elise), au "n° 3, maison SÈBE, rue Caraussanne" ; L'Eclair du 05.08.1909 indique son décès, le 4 août : "marin, 76 ans, né à Cette, époux EUZET" ; leur fils, Gabriel NEGRE se marie avec Anne MAZET le 20.06.1891, à Sète ; leurs photos sont ci-dessous ; par ailleurs, M. Pierre GANE a transmis le tableau d'ascendance de la famille MAZET, ainsi que la photo de famille de Cesarine Françoise Marthe MAZET (cousine d'Anne) mariée avec Louis Marius IGOUNET et leurs deux enfants Paul et André (ces deux clichés sont également repris ci-dessous). Génération4-Portalès
O
P
R
S
La signature d'Yvonne SALMON (le 24.07.1929)
T
V
NEGRE Thérèse fa Pierre (travailleur de terre ; + à Sète) et Marie JAFFRE ; ° 1er Thermidor an III (19.07.1795), à Sète ; x Jacques EUZET (fs Jean Baptiste et Magdelaine CONDAMINE), le 17.03.1820, à Sète ; pas de Cm ; elle ne sait pas signer ; la date du décès pose problème ; en effet, dans l'acte de vente du 12.08.1859, il est écrit qu'elle est décédée à Sète, sans postérité, en l'année 1828 ; or, cet acte ne se retrouve pas dans les registres de l'Etat civil ; Jacques EUZET s'est ensuite marié avec Gabrielle DEVILLE et dans l'acte de mariage du 19.02.1830, il est écrit que son premier mariage s'est fait avec Thérèse ANDRIEU, elle-même décédée à Sète, le 06.04.1829, date à laquelle il y a, effectivement, ce décès dans le registre de l'Etat divil ; il est donc logique de penser que le nom d'Andrieu a été porté par erreur, à la place de celui de NEGRE ; la date de décés de Thérèse NEGRE serait donc le 06.04.1829, à l'hospice de Sète, "native et domiciliée à Cette, âgée de 35 ans, épouse de Jacques EUZET, cultivateur en cette ville.". Génération3-Portalès
NICOLINI Cesarina Francisca Amelia fa Cesar Auguste (journalier à Marseille) et Augusta Ursula VINCENT (+ avant le mariage de sa fille) ; ° 13.05.1898, à Valencia (Espagne) ; x Achille Jacques Pierre EUZET (fs Jacques et Marie BOUNY, veuf de Lucie MAZEL), le 25.01.1919, à Marseille ; il n'a pas été fait de contrat de mariage ; son père est présent ; assistent : Louise CHABRIER (rentière), Lucien BELLOL (aviateur), Francine BADOUT (lingère) et Jean Baptiste AUCOUTURIER (employé) qui signent avec les époux ; le même jour, le couple légitime leur fille, Marie Louise Joséphine Augusta (née à Marseille, le 10.08.1917) mais elle avait été reconnue d'abord par Achille EUZET, le 10.08.1917, puis par Cesarina NICOLINI, le 09.01.1919 ; un article du journal Le Petit Marseillais du 23.05.1942 est titré "Un drame dans une roulotte" : "Avenue Benjamin-Delessert est installée une roulotte dans laquelle vivent Joannès-Laurent LIGIER, 49 ans, né à Lyon, et Césarine NICOLINI, veuve EUZET, 46 ans. Amputé du bras gauche et de la jambe droite, LIGIER avait été recemment hospitalisé. A son retour, il eut de fréquentes disputes avec sa compagne qui, après sept ans de vie commune, manifestait l'intention de le quitter. Hier, une nouvelle discussion mit le couple aux prises. Perdant le contrôle de ses actes, LIGIER s'empara de son révolver et fit feu à deux reprises sur Césarine NICOLINI qui fut atteinte au foie. La malheureuse a été transportée à la Conception ; son état est grave. Joannès LIGIER a été gardé à la disposition de la justice." Génération 7-Galibert
NORMAND Elisabeth fa Blaise (cultivateur, 61 ans en 1832) et Françoise FABRE (sans profession, 58 ans en 1832), domiciliés à Camarès (12) ; ° vers 1804-1805, à Camarès (elle a "28 ans
révolus" à son mariage et 46 ans au recensement de 1851) ; domiciliée à Sète ; x Louis EUZET (fs Charles et Jeanne MERLET), le 25.04.1832, à Sète ; publications à Sète et à Camarès ; domestique ; elle ne sait pas signer ni sa mère mais le père signe ; signalée au recensement de Sète de 1841, avec son mari, 3 enfants (Louis, Elisabeth, Rose) et Blaise NORMAND (son père, veuf), "Grand rue" ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, 46 ans, avec son mari et 3 enfants : Louis Blaise (tonnelier, 18 ans), Elisabeth (couturière, 16 ans) et Marie (8 ans), habitant "Grand rue" ; signalée au recensement de Sète de 1866 avec son mari et une fille (Marie, couturière, 22 ans), "rue Saint Clair, n° 179" ; + 27.04.1878, à Sète, veuve, "rue Saint Clair". Génération4-Portalès
NOUGARET Catherine Antoinette Joséphine fa Marie Emmanuel Maximilien (propriétaire) et Joséphine LACAZE (sans profession), domiciliés à Montagnac (34) ; ° 07.10.1852, à Montagnac ; x Jean François EUZET (fs Louis et Marguerite TURCAN), le 17.06.1869, à Montagnac ; pas de Cm ; elle signe mais sa mère ne sait pas ; sans profession ; elle est domicilié à Mèze (34) quand naît leur seconde fille au domicile de son père à Montagnac, le 22.06.1875 ; elle est domiciliée à Sète, au moins à partir de 1881 où elle est signalée au recensement de Sète de 1881, avec son mari et leur fille Marguerite, âgée de 6 ans, "impasse Suc" ; signalée au recensement de Sète de 1886 avec son mari, leur fille Marguerite et sa belle-mére, Marguerite TURCAN , "chemin Caraussanne, n° 29" ; le 30.06.1887, elle signe (Joséphine EUZET) le contrat de vente d'une pièce de terre à Sète, les deux vendeurs étant son mari et sa belle-mère, Marguerite TURCAN (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; le 18.06.1889, un avis de purge d'hypothèques légales est inséré dans "Le Petit Méridional expliquant que "la dame NOUGARET, veuve du sieur Jean François EUZET, domiciliée à Cette, s'est rendue adjudicataire au prix de 5600 francs du premier lot des immeubles indivis entre la dame veuve EUZET née TURCAN et la demoiselle Joséphine EUZET mineure, ledit lot consistant en : un terrain clos de murs, d'une contenance de 594 m2 78 cm2 environ situé à Cette, rue Montmorency, section B, n° 857 et 859 du plan cadastral sur lequel est construite une maison à un étage avec citerne d'une assez grande capacité (...)" ; l'avis décrit la maison avec ses différentes pièces, plus les bâtiments servant de "poulailler, de lapinière et de volière" ; une copie de l'acte translatif de propriété a été déposée au greffe du tribunal civil de Montpellier et l'acte de dépôt a été adressé à la dame EUZET née NOUGARET (en tant que tutrice légale de sa fille, mineure), au sieur Jean RIGAL, menuisier à Sète (en tant que subrogé tuteur de ladite mineure) et au procureur de la République, ces formalités ayant pour objet de purger l'immeuble de toutes les hypothèques pouvant le grever ; le décès de Joséphine NOUGARET ne se trouve pas dans l'état civil de Sète jusqu'en 1902. Génération5-Portalès
NOUGARET Jean Joseph fs Pierre (tonnelier + 22.12.1853, à Sète, domicilié à Sète) et Jeanne Elisabeth Caroline GABAUDAN (sans profession, domiciliée à Paris, elle ne sait pas signer) ; ° 06.05.1833, à Montpellier ; employé au chemin de fer ; x Madeleine EUZET (fa François Barthélémy et Catherine, Marie, Honorine GOUDARD), le 19.08.1863, à Sète ; Cm 19.08.1863 : communauté réduite aux acquets ; "les apports de M. NOUGARET consistent en ses vêtements et bijoux", cependant qu'elle reçoit en avancement d'hoirie 3000 francs (notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète) ; publications à Sète et "devant la porte de la maison commune de Clichy (Paris)" ; il signe NOUGARET Js. ; signalé au recensement de Sète de 1901 avec sa fille, Jeanne (25 ans) et sa belle-mère, Catherine EUZET née GOUDARD (83 ans), "11, rue de la charité (maison achetée le 05.03.1888, acquise à titre de licitation suivant jugement du Tribunal de Sète, pour un montant de 30 000 francs) ; le dossier de succession de son épouse, à Paris, fait ressortir qu'ils ont trois enfants Marie Catherine, femme CHANZAL, Edmond Marius Hilaire et Jeanne Marie Berthe ; cette dernière naît à Saintes, le 21.01.1876), au domicile de ses parents, "rue Saint-Pallais, 119" ; il est employé des chemins de fer à Saintes et les deux témoins de l'acte de naissance sont aussi des employés au chemin de fer ; veuf le 16.10.1895 ; en 1896, il est inspecteur des chemins de fer de l'Etat et il demeure à Paris, "rue de l'abbé Grégoire, 31" (dossier de succession de son épouse) ; + ? Génération5-Portalès
NOURRIGAT (ou NOURIGAT) Marie Jeanne Elisabeth fa Bernard (cultivateur) et Jeanne BONNARIC (sans profession), domiciliés à Montagnac ; ° 30.05.1809, à Montagnac (34) x1 Blaise EUZET (fs Louis et Catherine PASCAL), le 17.07.1830, à Sète ; publications à Montagnac et à Sète ; sans profession ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1836, avec son mari, les enfants du premier lit de Blaise EUZET et ses enfants, Baptiste et Marguerite ; signalée au recensement de Sète de 1841 avec son mari et 3 enfants (Cécile, Eugène Jean Baptiste et Marguerite), "rue Saint Clair" ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, 41 ans, avec deux enfants : Jean Baptiste EUZET (tonnelier, 16 ans) et Marguerite EUZET (couturière, 15 ans), habitant "Grand rue haute" (il y a aussi, à la même adresse, Michel DURAND, tonnelier, 32 ans) ; x2 Michel Jean Pierre DURAND ; signalée au recensement de Sète de 1856 avec son deuxième mari, Michel DURAND, et Jean Baptiste EUZET (tonnelier, célibataire de 24 ans, enfant du premier lit), "Grande rue Haute, n° 56" et, à la même adresse, il y a le couple Joseph LAMAILLOUX et Marguerite EUZET (celle-ci, fille de Jeanne NOURRIGAT mais dont le prénom est, en réalité, Catherine Françoise) ; + 25.11.1877, à Sète, "rue de l'Hospice, n° 81" (son nom est écrit NOURIGAT), épouse en secondes noces de Michel Jean Pierre DURAND ( tonnelier) ; le 07.03.1892, un avis est inséré dans Le Petit Méridional, indiquant la saisie et expropriation par Marie Geneviève Félicie BASTIDE (épouse autorisée de Jean PEYRONNARD) de sa maison, " 75, rue de l'Hospice, section B, n° 1853 du plan cadastral, lieu dit de la Glacière", contenant environ 1 are 53 centiares, confrontant du nord le mur de l'Hospice, de l'est LAPENNE et de l'Ouest ROUQUEYROL ; elle est imposée pour un revenu de 450 francs et le sol pour un revenu de 0,30 francs ; l'adjudication est au 04.04.1892 avec une mise à prix de 1500 francs ; cette saisie et expropriation concerne les héritiers de Jeanne NOURRIGAT, à savoir A/ son second mari et B/ les descendants de son premier mari : 1/ Michel LAMAILLOU (fontanier à Sète), 2/ Louise LAMAILLOU (épouse de Mathieu Camille CATHALA, journalier), 3/ Mathieu Camille CATHALA (pour l'autorisation maritale), ceux-ci en tant qu'héritiers de leur mère, Catherine Françoise EUZET, 4/ Georges EUZET, 5/ Antoine EUZET, 6/ Elisa EUZET (épouse VALENTI), 7/ ledit VALENTI, 8/ Etienne EUZET, 9/ Lazare EUZET, tous domiciliés à Marseille, héritiers de leur père, Eugène EUZET (aubergiste à Sète, fils de Blaise, premier mari de Jeanne NOURRIGAT).
Génération3-Portalès
ORUS Pierre Augustin (appelé Auguste aux recensements de 1851 et 1881, et au Cm mais Pierre au recensement de 1836) fs Jean Ambroise (traiteur, + 03.07.1835, à Sète) et Marie VIGNAL (+ 01.07.1835, à Sète) ; ° 19.10.1810, à Sète (alors que le recensement de 1836 lui donne 30 ans d'âge, ce qui le ferait naître en 1806) ; tonnelier ; acte de licitation (notaire Lucien CAZALIS, de Sète), le 18.07.1835, entre Auguste et Narcisse ORUS, frères, de biens dépendant de la succession de leur père et mère dont une maison à Sète ; x Marie EUZET (fa Jacques
Honoré et Marie DUCAYLAR), le 09.11.1835, à Sète ; Cm 09.11.1835, notaire Lucien CAZALIS, de Sète ; régime dotal ; la dot se monte à 900 francs (750 en avancement d'hoirie et 150 francs du chef propre de l'épouse), somme qu'il assure sur tous ses biens présents et à venir et il s'engage à les restituer en cas de dissolution du mariage, à elle-même ou à ses ayant droit ; il signe Auguste ORUS ; signalé au recensement de Sète de 1836, avec sa femme et sa tante Jeanne ORUS, âgée de 66 ans ; signalé au recensement de Sète de 1841 comme tonnelier, avec sa femme et 2 enfants, "quai de Bosc" ; signalé au recensement de Sète de 1851, deb. de café, 41 ans, avec sa femme et un enfant de 13 ans, habitant "rue des hôtes" ; signalé au recensement de Sète de 1881 comme chef de ménage, avec son épouse Maria EUZET, "rue des hôtes". Génération5-Galibert
PAILHOLE Cyrille Emile fs François Urbain (postillon) et Catherine BIART (sans profession), domiciliés à Vic-dessos
(probablement Vicdessos en Ariège) ; consentement au mariage des parents, par acte devant le notaire Henri BAHRE, de Vicdessos, le 18.11.1895 ;
° 26.08.1865, à Tarascon (09) ; domicilié à Sète (en 1895) ; x Pauline Elisabeth EUZET (fa Modeste et Marguerite
ASTRUC), le 26.11.1895, à Sète ; pas de Cm ; il signe. Génération6-Galibert
PALMIER Louis fs Etienne (traceur, + 13.03.1815, à Sète, à 38 ans) et Marguerite FABREGUES (sans profession, 49 ans au moment du mariage) ; ° 15.10.1805 (23 vendémiaire an 14), à
Sète ; préposé aux douanes ; x Claire EUZET (fa Antoine et Claire PARAILLAC), le 09.05.1833, à Sète ; il signe
mais pas sa mère ; signalé au recensement de 1841 comme cultivateur, avec sa femme et 3 enfants, "rue Saint
Charles" ; signalé au recensement de 1851 comme cultivateur propriétaire, 44 ans, avec sa femme et 4 enfants, habitant "rue Caraussanne" ; + avant 1894. Génération4-Galibert
PARAILLAC Claire (ou PARAILHAC) fa Cosme et Marguerite RIBOT, de Sète ; ° ca 1771 (selon l'âge au décès) ; Cm avec Antoine Etienne EUZET (fs Jacques et Gracie SERANE), le 16.06.1790 ; le notaire écrit PARAILHADE pour le nom de l'épouse et de ses parents ; elle se constitue, de son chef propre et du consentement de ses parents, 600 livres "pour la valeur de ses bagues et dorures et des effets meubles propres à garnir une chambre ainsi estimés" ; le fiancé les tient pour reçus "dès que le mariage sera béni" ; il est précisé que "la fiancée a gagné (cette somme) par son travail honnête" ; il reconnaît cette somme et l'assure sur ses biens présents et futurs, au profit de son épouse pour être rendue et restituée à qui il appartiendra, "sans que la somme puisse lui être tenu en compte sur ses droits paternel et maternel attendu que ses père et mère n'ont point contribué à la dite constitution" ; l'acte est fait dans la maison de la fiancée, en présence de Julien MONCEAU (maître vitrier) et de Raymond ALEMAN (commissionnaire) de Sète, qui signent ainsi que Jacques EUZET (son frère), Jean Baptiste EUZET (son demi-frère) et Claire EUZET (sa demi-soeur) (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; x Antoine Etienne EUZET, le 17.06.1790 ; elle ne sait pas signer ; parmi les présents qui signent, il y a un RIBOT, tonnelier ; le patronyme de sa mère est écrit RIBOTTE ; signalée au recensement de 1841 comme veuve EUZET et revendeuse, avec un enfant (Rosalie, elle-même mère d'un enfant naturel, Honoré), "rue Ribot" ; + 15.04.1842, à Sète, "dans sa maison rue Ribot n° 6", veuve d'Antoine EUZET, "âgée de septante un ans". Génération3-Galibert
PASCAL Catherine fa Blaise (pêcheur) et Marie GAUTIER, de Sète ; ° 03.12.1763, à Sète ; Cm avec Louis EUZET (fs Jacques et Cécile PORTALES), le 19.03.1785 ; son patronyme est écrit PASCHAL dans l'acte ; elle se constitue en dot "tous et chacuns ses biens presens et avenir pour etre recouvrés par ledit EUZET sur ses simples quittances contenant reconnaissance" et elle le constitue pour cela son procureur général et irrévocable ; il lui donne 200 livres "a titre d'augment et gain de survie payable par les héritiers dudit EUZET dans l'année de son décès" ; les parties font toutes les soumissions de droit ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Jacques FERRIERE (vigneron) et de Jacques REYNARD (tonnelier), de Sète, qui signent avec le notaire et Jacques EUZET ; les parties ne savent pas signer (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; x Louis EUZET , le 16.04.1785, à Sète ; + 21.07.1823, à Sète. Génération2-Portalès
PASCAL Hippolyte fs Pierre Michel (pâtissier) et Marie Antoinette DÉFARGES (sans profession), domiciliés à Montpellier ; ° 08.11.1855, à Sète ; ouvrier menuisier ; domicilié à Montpellier, demeurant à Sète (en 1879) ; Cm avec Marie Rose EUZET (fa Modeste et Jeanne CARRIERE), le 28.04.1879 : 1/ Le régime est dotal ; 2/ Modeste EUZET donne à sa fille en dot, en avancement d'hoirie, "3000 francs qui est la valeur de meubles meublants, objets mobiliers et linge de ménage garnissant l'appartement que les futurs époux doivent occuper, lesquels objets le futur époux déclare avoir vus, examinés et tient pour reçus le présent mariage s'accomplissant" ; en conséquence, il reconnaît et assure au profit de sa future épouse la somme de 3000 francs sur tous ses biens présents et futurs ; 3/ Michel PASCAL donne à son fils, en avancement d'hoirie, "3000 francs qu'il s'oblige de lui payer à sa première demande, soit en monnaie de cours, soit au moyen de la cession qu'il lui fera du fonds de commerce de boulangerie et des accessoires de ce commerce que M. PASCAL possède et exploite à Cette, rue du Palais, ainsi qu'il le déclare" ; 4/ Dans la constitution dotale, ne sont pas compris le trousseau et les bijoux de la future épouse, qui demeureront sa propriété personnelle ; ces objets sont évalués, pour la perception de l'enregistrement seulement, à la somme de 1500 francs ; 5/ Modeste EUZET et Michel PASCAL se réservent le droit de retour en cas de prédécès ; dans le cas où les 3000 francs donnés par M. PASCAL le seraient au moyen de la cession de son fonds de commerce, le droit de retour ne pourrait être que de 3000 francs, indépendamment de la valeur du fonds ; 6/ Il y aura une société d'acquets composée des bénéfices et des économies qu'ils pourraient faire pendant le mariage, tant en meubles qu'en immeubles ; en conséquence, les futurs époux se réservent en propre tous leurs biens actuels et ceux qui pourront leur advenir ; l'acte est passé en l'étude où signent les parties (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; x Marie Rose EUZET , le 28.04.1879, à Sète ; publications à Montpellier et à Sète ; il signe et ses parents aussi ; confiseur au décès de sa tante Marie EUZET, le 28.10.1884, selon l'acte de notoriété du 20.01.1885 (notaire Alphonse COUZIN, de Sète)
PASCAL Marguerite fa Toussaint (tonnelier, + 15.06.1826, à Sète) et Marianne GAUDIMARD (sans profession - à vérifier si ce patronyme n'est pas GAUDINARD), domiciliés à Sète ; ° 15 fructidor an 9 (02.09.1801), à Sète ; x1 Jean Baptiste BIJOUX (menuisier) ; x2 François EUZET (fs Jean et Marianne AUBERT), le 11.06.1830, à Sète ; elle ne sait pas signer, ni sa mère ; signalée au recensement de Sète de 1836, avec son mari et un enfant : Pierre EUZET (6 ans) qui, en fait, doit être François Auguste (né à Montpellier le 15.02.1831, "dans l'Hospice de la maternité" - le père, absent lors de la déclaration de naissance, est dit domicilié à Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1841 avec son mari et un enfant (François), "rue Saint Charles" ; signalée au recensement de 1846, 31 ans, avec son mari et leur fils (François, 16 ans), "Grand rue Haute" ; veuve, le 15.01.1847 ; revendeuse, elle prête 600 francs à son beau-père, Jean Baptiste EUZET, le 18.02.1847 ; celui-ci s'oblige de la rembourser "ou mieux oblige ses héritiers de payer ladite somme à la prêteuse, à l'époque de son décès de lui Jean Baptiste EUZET (il mourra le 02.10.1853). Jusqu'à cette époque, celui-ci s'engage à servir les intérêts à la veuve EUZET à raison de 5 % l'an, d'année en année, à terme échu à compter de ce jour." ; pour sûreté de l'opération, il affecte et hypothèque spécialement au profit de Marguerite PASCAL les immeubles qu'il possède, consistant en une maison située dans la ville de Sète et des pièces de terre, champs et vignes situés sur le territoire de la ville de Frontignan ; l'acte est fait en l'étude ; les parties ne savent pas signer (notaire Alexandre Junior CAZALIS) ; signalée au recensement de Sète de 1851 avec le prénom de Marie, veuve EUZET, 48 ans, revendeuse, avec un fils de 19 ans, Jean EUZET (cultivateur), habitant "Grande rue Haute" ; signalée au recensement de Sète de 1861, avec son fils François (cultivateur), comme veuve EUZET et journalière), "Grande rue Haute 192" ; + 31.10.1864, à Sète, dans "l'Hospice Saint Charles" Génération4-Portalès
PELUF Marie fa Jacques PELUFFI (maître tailleur, originaire de Spotorno en Italie, diocèse de Noli, Etats de Gênes ; il ne sait pas signer, fs lui-même d'André PELUFFI, de Spotorno), et Catherine GAUTIER (fa elle-même de Joseph, mort à Nice, capitaine de barque, et de Marie ROUSTAND, encore vivante en 1767) mariés à Sète, le 20.01.1767 ; ° 28.10.1767, à Sète, son p. est Jean ROUSTAN et sa m. est son aïeule, Marie ROUSTAN : personne ne sait signer ; x Honoré EUZET (fs Jacques et Gracie SERANE), le 06.02.1787, à Sète ; au mariage, assiste François GAUTIER, marin, son oncle ; elle a 17 ou 18 enfants, entre 1787 et 1813 ou 1815 (il reste une hésitation sur la dernière fille - à préciser) ; veuve le 25.05.1831 ; signalée au recensement de Sète de 1836 comme veuve EUZET, revendeuse (le prénom étant Marianne), avec un seul enfant, Elisabeth (20 ans) ; + 19.04.1848, à Sète, dans sa maison d'habitation sise "Grand chemin, n° 22" ; l'acte de mariage de ses parents montre qu'ils se sont installés à Sète, venant d'Italie : un certificat du vicaire général de l'évêque de Noli (écrit Nauli) indiquant au 23.09.1766 "qu'il n'a jamais été marié, qu'il est libre de tout lien de mariage et obligation d'épousailles" ; il est donc clair que Jacques PELUFFI s'est installé à Sète en 1766 ou peu de temps avant ; dès la naissance de Marie, leur premier enfant, le patronyme devient PELUF ; dans l'acte de décès de Marie, en 1848, le patronyme est écrit PÉLUF, ce qui devait correspondre à la prononciation ; le couple a eu une autre fille appelée aussi Marie PELUF, née en 1772, mariée ensuite à Antoine CAYROL et décédée le 10.01.1842 à Sète, dans son habitation, rue Saint Clair ; le couple a eu encore deux autres filles, Elisabeth PELUF née en 1769 et Thérèse, née en 1772 ; Spotorno est, actuellement, une commune italienne de la province de Savone dans la région Ligurie et Noli est une commune limitrophe. Génération3-Galibert
PESCHOT Mélanie Lucie Anne fa Jacques Julien (épicier) et Anne Thérèse REBOIS (sans profession) ; ° 06.06.1886, à Frontignan ; sont témoins, un tonnelier et un coiffeur de Frontignan qui signent avec le père ; x Jean EUZET (fs Alexandre et Marguerite REBOIS), le 24.10.1911, à Frontignan (acte qui reste à étudier) ; ses parents s'étaient mariés à Frontignan, le 03.05.1884 ; Jacques Julien PESCHOT était né le 12.10.1856, à Frontignan de feu François Lucien PESCHOT (mort à Frontignan, le 08.03.1863) et de Marie Victoire SEGUIN (épicière), de Frontignan ; Anne Thérèse REBOIS, née le 17.11.1857 à Frontignan, était la fille de Jean Baptiste Marc REBOIS (cultivateur) et d'Agathe (?) Marie Anne SABATIER, de Frontignan ; ont assisté au mariage PESCHOT-REBOIS (conclu sans Cm) : Jacques SEGUIN (négociant, cousin germain de Jacques Julien PESCHOT), Lucien PESCHOT (épicier, frère de Jacques Julien PESCHOT), Philippe REBOIS (cultivateur, cousin germain d'Anne Thérèse REBOIS) et TRINION (patronyme à vérifier) Joseph (beau-frère d'Anne Thérèse REBOIS), tous de Frontignan ; dans ce mariage, tous ont signé, sauf les parents de Jacques Julien PESCHOT ; le recensement de Frontignan de 1931 signale que Jacques PESCHOT vivait "Boulevard Gambetta" (maison 391) avec Mélanie EUZET-PESCHOT et Genevieve EUZET, petite-fille de Jacques PESCHOT. Génération6-Portalès
PETERMANN Antoine (le patronyme est parfois écrit avec un seul N mais la signature est sans équivoque avec 2 N) fs Michel (maçon, + le 28.07.1854, à Morhange - 57) et Marie Anne DOYEN (sans profession, + le 15.08.1854, à Morhange), domiciliés à Morhange ; ° le 05.05.1839, à Morhange ; menuisier ; x Augustine Lazarine EUZET (fa Louis et F. Marie BOUISSOU), le 07.02.1866, à Sète ; l'acte de mariage cite aussi Michel PETERMANN, grand-père paternel du marié, (maçon), + le 03.01.1824, à Morhange, et sa grand-mère paternelle, Madelaine DINCHER (sans profession) + le 22 germinal an 11, à Morhange, et son grand-père maternel, Nicolas DOYEN (vigneron), de Kerprich-les-Bieuze (Meurthe) où il meurt le 01.04.1836 (il s'agit probablement de Kerprich-lès-Dieuze (ancienne commune, en Moselle), et sa grand-mère maternelle, Marguerite MOREL (sans profession), domiciliée aussi à Kerprich-les-Bieuze, où elle meurt le 27.04.1827 ; il signe ; Cm le 06.02.1866 : le régime est dotal ; Lazarine reçoit en dot 1500 francs (meubles, linge, bijoux, etc.) ; les témoins sont : Paul FAVIER (peintre vitrier) et Charles ARVIEUX (tonnelier), de Sète, qui signent avec les parties ; veuf, le 26.02.1871 ; + 05.03.1884, à Sète, dans sa maison, "rue Rouget de l'Isle 13", veuf EUZET ; après son décès, le conseil de famille nomme un tuteur pour leur fille Marie Lazarine PETERMANN ; ce tuteur est Nicolas Henri STAMPERT, lui-même marié à Marguerite PETERMANN, le couple étant domicilié à Créteil, "Grande rue 131" ; c'est là où elle demeure et c'est à Créteil qu'elle se marie avec Henri STAMPERT (fils de Nicolas Henri et de Marguerite PETERMANN), le 17.06.1886.. Marseille et Génération5-Portalès
PEYRONNET François fs Pierre (menuisier, + avant le mariage de son fils) et Louise SOULAGE ; ° ? ; tonnelier ; x Jacquette EUZET (fa Jacques et Cécile PORTALES), le 11.02.1777, à Sète ; les témoins sont Blaise DUGAST (tonnelier), Etienne TAURIAC (maçon), Charles BLAQUIERE (maître écrivain) et Philippe PAGES (boulanger) qui signent ; les époux ne savent pas signer ; Cm avec Jacquette EUZET, le 30.07.1777 ; Jacques EUZET a donné à sa fille 200 livres qui correspondent à l'estimation des effets, meubles et linge que François PEYRONNET reconnaît avoir reçus ; il assure cette somme sur ses biens présents et futurs au profit de son épouse pour lui être rendue si le cas arrivait ; Jacques EUZET donne aussi à Jacquette le huitième des biens qui seront délivrés à sa mort et dont il donnera la description ; ce huitième pourra être d'une valeur de 800 livres ; les parties contractent toutes les obligations de droit ; fait et lu en l'étude, en présence de Guillaume JULIAN et Julien DUSSOL, habitants de Sète qui signent avec le notaire (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; il représente sa femme au partage des biens EUZET, le 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; maître des biens dotaux de son épouse, il cède à Jean GINESTET (jardinier, à Sète), le 28.03.1780, la créance qu'il a (à ce titre) sur son beau-frère, Jacques EUZET (ce qui est indiqué dans la quittance du montant correspondant, soit 1065 livres 15 sols, par GINESTET à Jacques EUZET, le 05.10.1783, notaire Pierre GOUDARD, de Sète). Génération2-Portalès
PONSY Elisabeth fa Joseph (boucher + 31.10.1855, à Gignac) et Elisabeth BONNEL (sans profession), domiciliés à Gignac ; ° 03.10.1829, à Gignac ; cuisinière ; domiciliée à Sète ; x Jean Baptiste EUZET (fs Jacques et Gabrielle DEVILLE), le 15.10.1856, à Sète ; pas de Cm ; elle ne sait pas signer ; elle est épicière et veuve de Jean Baptiste EUZET quand, le 20.10.1894, elle vend, avec Antoinette Emma GALISSARD, un terrain à Jean Martin SAHUC (facteur des postes, époux de Marie ROUQUETTE, à Sète) ; il s'agit d'une pièce de terre, "autrefois vigne avec petite construction", d'environ 10 ares, 30 centiares, plus un chemin d'1 m,20 de largeur sur toute la longueur (ce chemin a une superficie d'environ 70 m2) ; l'immeuble vendu fait partie des n° 1053 et 1054 de la section B du cadastre de Sète ; le prix est de 1000 francs, payés en or, en la présence du notaire et des témoins ; l'origine vient de la succession de Jean Baptiste EUZET qui l'avait acquis de Sébastien GRANIER, le 25.08.1885 ; l'acte est passé en l'étude ; présents : Jean Prosper DAVID, chapelier, et Eugène CHABANA, horloger (notaire Jean Jacques Hilaire VIVAREZ, de Sète) Génération4-Portalès
PORTALES Cécile fa Jean et Cécile BOIS(SE), de Gignac ; ° ca 1726 (selon l'âge indiqué au décès), à Gignac ? ; x Jacques EUZET (fs Guillaume et Suzanne BARRAL, de Saint-Félix-de-Lodez), le 18.02.1748, à Sète ; bans à Sète (f° 507 registre GG7 où il est indiqué que le père, Jean PORTALES, signe) et à Gignac ; (+) 17 (?).06.1761, à Sète, "dans le caveau de la chapelle des penitens", âgée de 35 ans. Génération1
POUX Raymond François fs Jean François (commis négociant, + 24.04.1886, à Sète) et Marie Louise TIPLE (présente au mariage de son fils, sans profession) ; ° 07.02.1883, à Sète ; tapissier ; x Irma EUZET (fa Pierre et Madelaine GELY), le 27.04.1904, à Sète ; assistent au mariage, Raymond GOUDARD (son oncle, employé de commerce, 48 ans) et Casimir LEBOEUF (son grand-oncle, tonnelier, 69 ans) ; avec l'acte de mariage, il y a la légitimation de ses deux enfants naturels reconnus (Joséphine, née le 12.01.1903, à Sète, et Raymonde Mauricette Jane Mary, née le 24.02.1904, à Sète) ; il signe Raymond POUX ; signalé au recensement de Sète de 1911 comme tapissier, avec sa femme Irma EUZET, leurs deux filles et sa belle-mère, Magdeleine EUZET, "Grand rue". Génération5-Portalès
PROMPT Adolphe Joseph fs François (marin, + 09.07.1902, à Sète) et Marie RAMEZE (elle assiste au mariage de son fils) domiciliés à Sète : ° 14.07.1877, à Sète ; x Félicité Joséphine EUZET (fa Noël François Ange et Marie Alexandrine CAYLA), le 25.09.1906, à Sète ; pas de Cm ; employé de commerce quand il se marie ; il signe A. PROMPT ; au mariage, assiste Louis CASSIGAL (représentant, 40 ans, son cousin) ; signalé comme employé au recensement de Sète de 1926 avec son épouse, leur fils Marcel (né en 1920) et leur fille Denise (née en 1908) et sa belle-mère, au "4, rue Garenne" ; signalé au recensement de Sète de 1931 comme loueur, avec son épouse, un fils et sa belle-mère, Marie CAYLA (veuve), au "39 Quai Général Durand". Génération7-Galibert
PUJOL Eugène Louis fs Pierre Casimir André (menuisier) et Marie Irma LATTES (sans profession), domiciliés à Sète ;
° 10.08.1842, à Castres (81) ; teinturier ; x Marie EUZET (fa Louis et Elisabeth NORMAND), le 14.02.1867, à Sète ; pas
de Cm ; il signe, ses père et mère aussi. Génération5-Portalès
RAVOUX Marguerite Marie fa Marie Joseph (pharmacien, 29 ans à la naissance de Marguerite Marie) et Marie Amélie Mathilde GILLES (23 ans à la naissance de Marguerite Marie), à Buis-les-Baronnies ; ° 14.08.1896, à Buis-les-Baronnies (26) ; sont présents à l'acte de naissance (du 16.08.1896) : Henri Léon RAVOUX (34 ans, rentier, frère de Marie Joseph) et Frédéric BROCHE (37 ans, notaire), de Buis-les-Baronnies ; dans l'acte de naissance, elle naît en sa maison d'habitation, "Place de l'église" mais dans les recensements de Buis-les-Baronnies pour les années 1901, 1906 et 1911, la famille est indiquée "Boulevard des Aires" ; au recensement de 1901, elle est donc indiquée (prénom Marguerite) avec son père (Joseph RAVOUX, pharmacien, 34 ans), sa mère (Mathilde GILLES (28 ans), sa soeur Gabrielle (6 ans), sa soeur Yvonne (5 ans), la belle-mère de Joseph RAVOUX (Blanche VIVIEN, 55 ans) et un domestique ; au recensement de 1906, elle est indiquée (prénom Marie) avec ses parents (Joseph et Mathilde), sa soeur Gabrielle, une domestique et un garçon de pharmacie ; au recensement de 1911, elle est indiquée (prénom Marguerite) avec ses parents (la naissance de sa mère est en 1872, à St-Andéol, celle de son père, en 1866 à Buis), sa soeur Gabrielle et une bonne ; les recensements suivants de Buis-les-Baronnies ne sont pas en ligne (consulté le 16.09.2016) ; x Joseph François Charles EUZET (fs Jacques Honoré dit Henri et Rosalie Eugénie JULLIAN), le 09.01.1923, à Avignon ; une publication de mariage avait été passée à Sète, le 16.12.1922 ; à noter que ses prénoms indiqués dans la publication sont Cécile Madeleine Marie ; + en avril 1923, à ? - le décès n'est pas à Sète ; un avis de décès paraît dans L'Eclair du 29.04.1923 : "Cette-Cudos. M. Charles EUZET et ses enfants, M. et Mme Joseph RAVOUX et leur famille ; M. Henri EUZET, professeur de musique ; Mme Henri EUZET et leur famille, ont la douleur de vous faire part à leurs amis et connaissances du décès de Mme Charles EUZET née Marguerite Marie RAVOUX, âgée de 26 ans. Munie de tous les sacrements de l'église. Les obsèques auront lieu au Talos, commune de Cudos (Gironde" ; l'analyse des tables décennales de Cudos n'indique aucun acte concernant les RAVOUX entre 1883 et 1902 ; l'état civil n'est pas en ligne au-delà de 1902 et les recensements ne sont pas non plus en ligne (note écrite le 20.07.2016) ; en ce qui concerne Avignon, la mise en ligne s'arrête en 1892 (note écrite le 28.09.2016) ; des renseignements sur cette famille sont donnés par un avis de décès du 26.12.1940 dans L'Eclair du 27.12.1940, pour la mort de Léon RAVOUX, pharmacien, habitant 29, boulevard Raspail, à Avignon ; sont cités dans l'avis : Mme Léon RAVOUX, M. et Mme Amédée PONS, M. Pierre LAVAL (pharmacien) et Mme, Jean Louis PONS, Mlle Marie RAVOUX, Mme Louis RAVOUX, M. Joseph RAVOUX, M. Alexis de BROCHE des COMBES, M. Paul de BROCHE des COMBES, Mme et M. EUZET ... ; un message du 13.09.2016 de Mme Ghislaine ROURE de BROCHE précise les naissances respectives de ses parents (1867 et 1873, ainsi que les noms de ses grands-parents (Léon Louis Sauveur RAVOUX - 1830-1892 et Rose Marie Antoinette ROMIEU - 1840). Génération7-Galibert
RAYNAUD Alphonse fs Benoît (menuisier) et Marie AUGERAU (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 05.10.1875, à Sète ; x Marie Thérèse EUZET (fa Pierre et Clotilde Marie Louise LABORDE), le 27.06.1901, à Sète ; pas de Cm ; il signe mais sa mère ne sait pas signer ; + 09.08.1961 Le Plessis-Robinson (92) (information sur ce + dans le site de M. Guy TURROQUES sur GeneaNet) Génération5-Portalès
REBOIS Marguerite fa Jean (cultivateur) et Marie Anne BEAUDASIÉ (sans profession, + 30.03.1857, à Frontignan), de Frontignan ;
° 15.03.1857, à Frontignan ; couturière ; x Alexandre EUZET (fs François Alexandre et Jeanne Louise CAMBON), le
01.12.1876, à Frontignan ; pas de Cm ; elle signe et son père aussi. Génération5-Portalès
REDON Marguerite fa ? ; ° vers 1860, à Sarlat, en Dordogne ; x Benjamin Aimé ("Louis") EUZET (fs Benjamin et Emilie CREMAILH), le 03.01.1881, à Sarlat (24) ; + avant le 10.07.1959 Génération5-Galibert
REVEST Marie Catherine fa Georges (arrimeur) et Madelaine GRAND (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 21.12.1835, à Sète ; couturière ; x Jean Baptiste EUZET (fs Blaise et Jeanne Marie NOURRIGAT), le 08.04.1858, à Sète ; pas de Cm ; elle signe mais pas ses père et mère ; domiciliés à Marseille (le 29.10.1863 et le 02.08.1865) ; revenus ensuite à Sète, domiciliés " maison CHALLIER, Quai inférieur de l'esplanade n° 3", là où naissent leurs enfants (de 1867 à 1871) ; veuve le 02.03.1873 quand son mari meurt à Marseille, "à l'hôpital de la conception" ; signalée au recensement de Sète de 1881 comme chef de famille, avec 4 enfants : Antoine (mécanicien), Lazare (manoeuvre), Elise (couturière) et Georges (cuisinier, absent, à Nice), "rue du Pont neuf" ; signalée au recensement de 1906 de Forcalquier (04) avec son fils Etienne EUZET, sa petite-fille Marie Denise EUZET et sa fille Elise, tous chez le mari de cette dernière, Paul VALLENTY, son beau-fils. Génération4-Portalès
RICHARD Catherine fa Jean et Barbe NIQUET (domiciliés à Sète) ; ° vers 1779, à Sète (elle a 32 ans à
son mariage) ; x Jacques EUZET (fs Louis et Magdelaine BARRES), le 18.09.1811, à Sète ; elle ne sait pas signer.
Génération3-Portalès
RIEUNIER André Fulcrand Eléonor Lucien fs Louis Charles Lucien (marchand de cuir) et Marie GAUZY (sans profession), domiciliés à Sète ; ° 15.03.1857, à Sète ; x Elisabeth EUZET (fa Jacques et Marie BOUNY), le 25.10.1883, à Sète ; employé de commerce ; Cm 24.10.1883, notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète ; il signe André RIEUNIER ; ses parents signent aussi ; dans ce Cm dont la communauté est réduite aux acquets, il apporte "son trousseau qui comprend son linge de corps, effets d'habillement, sa montre en or et sa chaîne, le tout estimé 1000 francs" dont il n'est pas dressé d'état estimatif ; son pére lui donne en avancement d'hoirie 4000 francs dont il lui a payé 1000 francs avant cet acte et il payera le surplus "quand il le jugera à propos et jusqu'à ce payement il en servira l'intérêt à 5 % l'an par moitié de six mois en six mois et par avance à partir d'aujourd'hui" ; de son côté la mère d'Elisabeth EUZET apporte 4000 francs comme dot à titre d'avancement d'hoirie (meubles, linge, etc.) ; M. RIEUNIER père et la veuve EUZET se réservent chacun le droit de reprendre les sommes données en cas de prédécès ; on lit dans le Journal de Cette du 17.02.1888 : "Nous avons lu dans le Petit Provencal il y a quelques jours un éloge flatteur et mérité d'une charmante soirée qu'a donné Madame RIEUNIER EUZET dans la salle Sainte Eugénie au Château-d'Eau. Nous avions oublié de mentionner cette petite fête qui a été si agréable aux familles ; nous mettons donc tout notre empressement à féliciter M. RIEUNIER de son inspiration et surtout de sa voix chaude et vibrante qui a fait le plus grand plaisir." ; Génération6-Galibert
RIMBAUD Alexis Augustin fs Pierre (perruquier, + 01.02.1856, à Sète) et Marie RIEUNIER (sans profession), de Sète ; ° 03.04.1815, à Sète ; perruquier ; x1 Rosalie CHANOINE (sans profession, + 22.07.1855, à Sète) ; x2 Dorothée Rosalie EUZET (fa François et Rosalie THEULON), le 22.05.1857, à Sète ; pas de Cm ; il signe Ale RIMBAUD ; sa mère a donné son consentement au mariage par acte du notaire Alphonse COUZIN, de Sète, le 22.05.1857 ; au mariage, assistent François RIEUNIER (pensionné, 73 ans) et Jean Paul RIEUNIER (gérant de commerce, 62 ans), oncles d'Alexis, qui signent ; signalé au recensement de Sète de 1861 comme coiffeur, avec son épouse et 3 enfants de son premier mariage, "rue Saint Clair, n° 197" ; signalé au recensement de Sète de 1866 comme perruquier, avec son épouse et 3 enfants de son premier mariage, "rue de l'Esplanade, n° 94". Génération5-Galibert
RIVIERE Jeanne fa Jean (agriculteur) et Marie RICHARD (sans profession), domiciliés à Montpellier ; ° 09.05.1812, à Sète ; x Baptiste Sulpice EUZET (fs Jean Baptiste et Marianne AUBERT), le 02.02.1835, à Sète ; publications à Montpellier et à Sète ; couturière ; elle ne sait pas signer, ni ses parents ; signalée au recensement de 1836, avec son mari (mais qui a le prénom de Pierre), sans enfants ; signalée au recensement de Sète de 1841, avec son mari, sans enfants, "rue du Palais" ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, sans enfants, habitant "rue Saint Louis" ; héritière générale et légataire universelle de son mari, par son testament du 08.07.1845 (Alexandre junior CAZALIS, notaire de Sète) ; ce testament n'est enregistré que le 02.06.1863, après le décès de son mari à Sète, le 02.06.1863 ; signalée au recensement de Sète de 1856 avec son mari, au "73, Grand rue Haute" ; signalée au recensement de Sète de 1861 avec son mari, au "195, Grand rue Haute" Génération4-Portalès
ROCHE Marius François Basile fs François (gendarme, + à Nîmes, Gard, le 27.02.1891) et Cécile RIVET (sans profession, + à Beaucaire, Gard, le 16.05.1885) ; ° 08.09.1858, à Alzon (30) ; x1 Adèle DOYEN (+ à Angoulème, Charente, le 04.03.1890) ; x2 Joséphine Barbe EUZET (fa Modeste et Jeanne CARRIERE), le 13.04.1894, à Montpellier ; pas de Cm ; il signe ROCHE Marius ; domestique quand il se marie ; il ne peut pas produire les actes de décès de ses parents, "faute de connaître le lieu de leur décès et celui de leur dernier domicile" (alors que l'acte de mariage donne ces indications) ; + avant le recensement de Montpellier de 1926. Génération6-Galibert
ROURE Jeanne Marie Blanche fa ? ; ° ? ; x Paul Lucien Victor EUZET (fs Anne Marie et père inconnu), le 16.04.1931, à Montpellier ; + en 1984, à Montpellier Génération6-Portalès
ROUSSEL Raphael fs Pierre (maçon) et Catherine DIANE, domiciliés à Sète ; ° vers 1783 ( "âgée de 25 ans 2 mois" au moment du mariage) à Sète ; maçon ; x Marguerite EUZET (fa Antoine et Claire PARAILLAC), le 06.12.1809, à Sète ; il ne sait pas signer ; signalé au recensement de 1841 (mais avec le prénom Jean) comme maçon, avec sa femme (mais qui a le prénom Elisabeth) et 4 enfants, "rue du Palais" ; signalé au recensement de 1851 comme maçon, avec sa femme et 1 enfant, habitant "rue Saint Sacrement" ; sa veuve, Marguerite EUZET décède à Sète, le 15.11.1873, "rue Saint Clair 25". Génération4-Galibert
SAACKÉ Jean Baptiste Marie Antoine Georges fs Frédéric Gustave (courtier en marchandises, 29 ans à la naissance de son fils, il signe G. SAACKÉ) et Marie GLEIZES (sans profession, 27 ans à la naissance de son fils), domiciliés à Sète ; ° 11.08.1875, "dans la maison ALTAZIN, quai de Bosc, n° 1", à Sète ; sont présents à l'acte de naissance : Jean Baptiste GLEIZES (courtier en marchandises, 29 ans, oncle maternel) et Félix CHEVREUIL (commissionnaire, 47 ans, cousin paternel), domiciliés à Sète ; x Marie Claire Françoise EUZET (fa Claude Albert et Claire Françoise GUIZONNIER), le 04.01.1913, à Sète ; il signe Geo SAACKÉ ; pas de Cm ; présents au mariage : Jean Baptiste GLEIZES (courtier, 66 ans, son oncle) ; à noter qu'il a un frère né en 1884 qui s'appelle Jean Baptiste Marie Gustave (qui, lui, se mariera à Paris)
SALMON Yvonne Marie Joséphine fa Frédéric Eugène (propriétaire, 49 ans à la naissance d'Yvonne et + avant le mariage de celle-ci) et Berthe HULLOT (sans profession, 32 ans à la naissance de sa fille), domiciliés à Guéret (23) ; ° 05.11.1892, "boulevard de la Comédie", à Guéret, en présence de Victor Auguste Ernest HULLOT (chef de gare en retraite, grand-père d'Yvonne, domicilié à Guéret) ; Cm le 24.07.1929 avec Joseph Baptiste EUZET : 1/ les futurs époux déclarent qu'ils seront séparés de biens, conformément aux articles 1536 et suivants du Code civil , 2/ Les futurs époux contribueront aux charges du ménage dans la proportion de leurs revenus respectifs sans être assujétis à aucun compte entre eux ; 3/ Chacun des futurs époux restera propriétaire des objets mobiliers lui appartenant ; 4/ La future épouse ou ses héritiers seront garantis et indemnisés par le futur époux ou ses successeurs de toutes dettes et de tous engagements qu'elle aurait pu contracter dans l'intérêt du futur époux avec lui ou pour lui pendant le mariage ; 5/ Le remploi des biens propres de chacun des futurs époux qui serait aliéné ou remboursé pendant le mariage s'effectuera conformément à la loi sans que les banques, tiers ou agents de change puissent en aucun cas exiger des comptes ni être responsables de ceux qui seraient deffectueux ; l'acte est passé en l'étude où signent les parties (notaire Maurice Paul Antoine DOMERGUE, de Montpellier) ; x Joseph Baptiste EUZET (fs Antoine et Célina FAURE), le 04.09.1929, à Paris (18ème arrondissement) ; elle habite à Paris "1 rue Cavalotti" (18ème arrondissement) quand elle se marie ; sont témoins : Georges SALMON (avocat) et sa mère, veuve, Berthe SALMON (les deux habitant aussi 1, rue Cavalotti) ; elle signe Y. SALMON ; signalée dans le recensement de Sète de 1931 avec son mari et une domestique au "17, quai Noël Guignon" ; signalée dans le recensement de Sète de 1931 avec son mari et une domestique au "17, quai Noël Guignon" ; signalée dans le recensement de Sète de 1936 avec son mari, une cuisinière (sic) : Tobie Octave CUSSAC, et une nièce, Jeanne DESBEAUX (née en 1895, à Paris), au "17, quai Noël Guignon" (maison 17) ; l'annuaire DIDOT BOTTIN de 1976 indique au 17, quai Noël Guignon : "EUZET Mme" et aussi, pour la même adresse : "EUZET-PRAT, vins en gros"; + 13.08.1985, à Balaruc-les-Bains (34) Génération6-Galibert
SCOTTO DI POMPÉA Marguerite Victorine ; fa Michel (pêcheur, 53 ans à la naissance de sa fille, originaire de Procida, en Italie, "sujet italien", il ne sait pas signer ; + avant le mariage de sa fille) et Jeanne ROUMAGNAC (44 ans à la naissance de sa fille, sans profession), domiciliés à Sète à la naissance de leur fille ; ° 20.01.1909, à Sète, "dans la maison Giordano, rue du Prado" ; x Georges EUZET (fs Hilaire et Germaine Rose GAYSSET), le 14.04.1928, à Sète ; elle est domiciliée à Sète quand elle se marie, "rue Gambetta, 16" ; sont présents et témoins des mariés : Louis EUZET (45 ans, négociant en vins, quai de Bosc, 55, cousin de l'époux) et Joseph ARNAL (48 ans, employé de commerce, boulevard des casernes, cousin de l'époux), domiciliés à Sète ; elle signe M. SCOTTO ; pas de Cm ; signalée, sans profession, au recensement de Sète de 1931 au "1, rue du Musée" avec son mari et leur fille Josette ; le couple quitte Sète et s'installe à Perpignan, en 1935 (information de la famille) ; + à Perpignan, le ? ; le patronyme est écrit avec un A final dans son acte de naissance et dans son acte de mariage mais c'est, peut-être, une déformation, le patronyme originel se terminant probablement par un O (POMPÉO). Génération6-Portalès
SEGUR Jean Pierre fs Pierre (boulanger + à Laissac, Aveyron, 09.11.1841) et Marianne COUSTOU (sans profession + à Laissac
16.01.1832) ; ° 18.11.1803 (26 brumaire an 12), à Laissac ; cultivateur ; domicilié à Sète ; x
Françoise Claire EUZET (fa Louis et Catherine PASCAL, veuve de Pierre GROS), le 03.05.1845, à Sète ; il ne sait pas signer.
Génération3-Portalès
SERANE Gracie ; patronyme écrit parfois SERANNE ; fa Honoré (maître jardinier en 1772) et Marguerite PRADIER, de Gignac ; ° ca 1739 (64 ans au décès) x Jacques EUZET (fs Jacques et Claire GALIBERT), le 19.06.1759, à Gignac (paroisse Saint Pierre) ; dans le texte, le patronyme est écrit avec deux N mais avec un seul N dans la signature d'Honoré ; elle ne sait pas signer ; au mariage, assistent son père, le père de son époux, Barthélémy BUFARD, oncle de l'époux, Jean DAUMAS, maréchal, et Joseph DUPIN ; le 30 brumaire an VI, son fils Antoine EUZET (tonnelier) déclare qu'il a présentement reçu de Gracie SERANE la somme de 300 francs en écus et monnaie ayant cours, en "acompte de son troisième de l'héritage de son père dont sa mère a l'usufruit", en référence au testament de son père (du 28.07.1781) ; les parties déclarent que les intérêts du capital payé que ledit Antoine eut pu exiger depuis son mariage qu'il a cessé de vivre avec sa mère, "sont et demeurent compensés avec le loyer de la chambre qu'il a occupée et occupe dans la maison de sa mère et qu'ils se tiennent respectivement quittes" ; Gracie SERANE déclare que "c'est des deniers et espèces que lui ont prêté ses deux fils aînés Jacques et Honoré EUZET, cultivateurs audit Sète, à la stipulation dudit Jacques, présent et acceptant pour les deux, qu'elle vient de faire le susdit payement de 300 francs dont elle se reconnaît leurs débiteurs pour les répéter à sa mort sur les biens qu'elle laissera, si elle n'a pas le moyen de leur rendre ladite somme durant sa vie" ; l'acte est fait en l'étude, en présence de Joseph MERLY et de Jean VEZY fils aînés (tonneliers de Sète) qui signent avec Jacques EUZET (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; héritière de son beau-frère, Mathieu EUZET (par son testament du 02.03.1779, notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; à ce titre cohéritière au partage des biens de son beau-père, Jacques EUZET, le 24.01.1780 (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; + 25.ventôse an XI (16.03.1803), à Sète, veuve de Jacques LAUZET ; dans cet acte, son prénom est écrit Grace. Génération2-Galibert
SERVEILLE Charles André Eugène fs Antoine Pascal Auguste (né le 21.08.1827 à Ajaccio, rentier en 1884, à Bône, en Algérie ; + 24.11.1896 à Oran, en Algérie, vérificateur des douanes) et Marie Jeanne LEONARDI (née en 1827, en Corse ; sans profession ; + le 14.11.1879, à Oran, en Algérie) ° le 11.12.1858, à Oran (Algérie) ; domicilié à Tébessa (Algérie) ; receveur des douanes ; x Jeanne Marie Louise EUZET (fa Jean et Eugénie Marie SICCARDI), le 21.01.1884, à Sète, sans Cm ; à son mariage, est présent Pierre SERVEILLE, chef du mouvement de la compagnie Mokta-el-Hadid, 38 ans, son frère ; il habite toujours à Tébessa après le mariage puisque son fils Pierre Marie Charles y naît le 02.12.1884 et y meurt le 03.08.1885 ; il habite ensuite à Bône (Algérie, aujourd'hui Annaba) où naît sa fille Marguerite Marie Joséphine, en 1887 ; son épouse décède en 1945 (peut-être à Monaco où il meurt, le 18.11.1941, et où décèdera sa fille, en 1957 (voir dans les références pour l'origine d'une partie de ces informations). Génération 6-Galibert
SICCARDI Eugénie Marie fa Jean Louis (fabricant de chaussures) et Marie Thérèse SCHELL (couturière) ; ° 15.07.1841, à Marseille ; domiciliée à Marseille, chez ses père et mère quand elle se marie ; x Jean EUZET (fs Jean et Jeanne VERGNES), le 26.01.1865, à Marseille ; pas de Cm ; couturière ; elle signe mais sa mère ne sait pas signer ; l'avis de décès de Jean EUZET passe dans Le Petit Marseillais du 02.11.1886 où elle est indiquée comme "veuve Eugénie EUZET" ; le 05.08.1903, Le Petit Marseillais fait paraître l'avis de décès de Marius SICARDI (dans cet avis, le patronyme est écrit avec un seul C), mort le 3 août, à 57 ans ; la famille est ainsi représentée : Mme Pauline SICARDI, M. et Mme Ernest SICARDI et leur fils, "Mme veuve EUZET née SICARDI", M. Louis EUZET et ses enfants, M. et Mme FOULC et leur fils, M. Baptistin SICARDI, M. et Mme NOUVEAU et leurs enfants (de La Seyne), MM. AUDRAN (d'Auriol), M. et Mme SERVEIL et leurs enfants ; l'adresse est au 10, Victor-Gelu, à Marseille. Génération 5-Galibert
TARTAS Nelly fa ? ; x Georges EUZET (fs Jean Baptiste et Marie Catherine REVEST), le ? ; + avant le 10.10.1904 ; en effet, Georges devient veuf, en 1904, comme on le voit dans l'avis de "messe de sortie de deuil" du 11.10.1904, "en l'église de l'Estaque (Plage)", suite au décès de son épouse, Nelly EUZET (Le Petit Marseillais du 10.10.1904) ; normalement, , le retrait de deuil se fait 40 jours après le décès (qui devrait donc se situer, ici, début septembre) ; le nom de son épouse est indiqué dans l'avis de "messe anniversaire", un an plus tard, en l'église de l'Estaque, le 05.10.1905 : il s'agit de Nelly TARTAS (Le Petit Marseillais du 04.10.1905) Sète (génération 5 Portalès)
TAURIAC Félicie Alexandrine fa Louis (boucher, domicilié à Sète) et Catherine BRAU (sans profession + 28.06.1863,
à Marseille) ; ° 09.08.1855, à Marseille - 13 ; x Jean Baptiste EUZET (fs Etienne et Marie BONNIEU, veuf d'Elisabeth EUZET), le
06.06.1877, à Sète ; sans profession ; pas de Cm ; elle signe.
Génération5-Portalès
THEULON (ou TEULON) Marie Rose fa Jean (patron de bateau de pêche, capitaine de mer ; il ne sait pas signer) et Marguerite VIDAL, domiciliés à Sète ; ° 17.04.1793, à Sète ; acte du 19, les témoins étant Jean Baptiste VIDAL (tonnelier) et Jean GRENIER (marchand) ; dans cet acte, son prénom est seulement Marie ; x Antoine EUZET (fs Jacques et Elisabeth FARRAND), le 06.05.1812, à Sète ; était notamment présent au mariage : Jean Baptiste VIDAL, fabricant de tabac ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1836, avec son mari et 7 enfants (Marguerite, Elisabeth, Modeste, Honorine, Jeanne, Honoré, Marie) ; signalée au recensement de Sète de 1841 avec son mari et 7 enfants (Modeste, Honoré, Benjamin, Marguerite, Honorine, Jeanne, Marie), "quartier du mas neuf" ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, 59 ans, avec son mari et 4 enfants (Honoré, jardinier, 19 ans, Modeste, jardinier, 13 ans, Jeanne, 24 ans, et Marie, 18 ans), habitant "chemin Saint Joseph" (section B, île glacière) ; le jugement du tribunal civil de première instance de Montpellier du 22.04.1858 l'autorise à agir comme tutrice de Benjamin EUZET, son fils mineur, conformément à la loi du 03.05.1841 ; le 09.06.1858, avec ses enfants, elle vend à la Compagnie des chemins de fer du Midi et du canal latéral à la Garonne, "58 ares 89 centiares, d'un champ semé en luzerne, situé sur le territoire de la commune de Frontignan, faisant partie du n° 113 de la section D du cadastre de Frontignan", au prix moyen de 5115,80 francs, produisant un intérêt de 5 % l'an, à partir du 28.08.1857 (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète - annonce légale dans le Messager du Midi du 30.06.1858) ; + 25.07.1865, à Sète, dans sa maison d'habitation "rue Hôtel-de-Ville n° 17" Génération4-Galibert
THEULON (ou TEULON) Rosalie fa Jean (patron de bateau de pêche, capitaine de mer ; il ne sait pas signer) et Marguerite VIDAL, domiciliés à Sète ; ° 24.05.1790, à Sète ; Cm, le 17.06.1809, avec François EUZET (fs Honoré et Marie PELUF) ; Jean THEULON (père de Rosalie) constitue en dot et en avancement d'hoirie, pour sa fille, 1000 francs ; François reconnaît cette somme qu'il reçoit, assure et hypothèque sur tous ses biens, présents et à venir, au profit de sa future épouse, pour les lui restituer (ou à qui de droit), le cas arrivant ; l'acte précise que le mariage sera réalisé selon la "forme voulue por la loi et devant les autels de l'église catholique dont ils professent la religion" ; l'acte est passé "dans l'appartement que les futurs doivent occuper", en présence d'André RUINIER (tailleur d'habits) et de Jacques MOREAU (traiteur), de Sète qui signent avec le futur, certains parents et amis, en particulier Jacques et Antoine EUZET (notaire Guillaume GOUDARD, de Sète) ; x François EUZET, le 17.06.1809, à Sète ; étaient notamment présents au mariage : Jean VIDAL, fabricant de tabac et Jean QUERMEL, fabricant de tabac, domiciliés à Sète ; elle ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1841, avec son mari et 3 enfants (Dorothée, Ange, Abel), "quai supérieur de la place" ; le 10.09.1847, François EUZET fait son testament, par lequel il lui lègue, 1/4 en toute propriété et 1/4 en usufruit de tous ses biens meubles et immeubles qu'il délaissera à son décès pour qu'elle en prenne possession de suite après sa mort, avec dispense de fournir caution relativement sudit usufruit ; l'acte est fait en l'étude, en présence de témoins instrumentaires qui signent avec lui : Antoine CANÈBE (marchand tapissier), Hillaire Alexandre MARTIN (perruquier), Jacques THAU aîné (propriétaire) et Antoine SIMONNET (arrimeur), tous de Sète (notaire Alexandre Junior CAZALIS, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1851 comme "deb. de café", 61 ans, avec son mari et trois enfants : Dorothée (même profession, 35 ans), François (tailleur de pierres, 22 ans) et Abel (tonnelier, 9 ans), habitant "quai supérieur de la place" ; veuve, le 06.04.1856 ; le 15.06.1860, elle dicte un testament au notaire : "Je donne et lègue par préciput et hors part à Rosalie Dorothée EUZET ma fille, épouse d'Auguste RIMBAUD, perruquier, demeurant à Cette, un quart en toute propriété de tous les biens qui composeront ma succession pour en disposer comme elle avisera à dater du jour de mon décès." ; l'acte est "fait et lu en entier en la maison de M. RIMBAUD dans une chambre au premier étage éclairée par une fenêtre ouvrant sur la place de l'Hôtel-de-Ville" ; les témoins instrumentaires présents, requis par la testatrice, sont : Jean Baptiste AFFRE (orfèvre) et Louis Joseph ROUVIER (cordonnier), de Sète, qui signent ; elle ne sait pas signer (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) ; signalée au recensement de Sète de 1861 comme propriétaire avec son fils François et la famille de celui-ci, "Ile Portail de Vergne, quai supérieur de la place" ; + 15.11.1861, à Sète, dans sa maison d'habitation "quai supérieur de la place n° 2" Génération4-Galibert
THOMAS Catherine fa Jean Gabriel (+ avant le mariage de sa fille ; son prénom est seulement Jean à la naissance de sa fille) et Claire DAUMAS, de Sète, paroissiens de Saint Louis, à Sète ; ° 12.02.1751, à Sète ; b 13.02.1751, paroisse Saint Louis ; p : François DAUMAS ; m : Catherine LAFONT ; x Jean Jacques EUZET (fs Jacques et Cécile PORTALES), le 27.05.1773, à Sète ; le 11.08.1777, son mari se porte fort pour elle, en ce qui concerne deux champs qu'elle possède "situés à la plage de Marseillan" ; entre ces deux champs, il y a une terre appartenant à Jean Pierre LUSSIOL (travailleur de Sète), lui-aussi du fait de son épouse dont il se porte fort ; "les dites terres faisant des sinuosités", des contestations se sont élevées et une médiation a été décidée : les experts sont Pierre SALAGÉS cadet (ménager) et Martin POUGET (travailleur de Sète) ; trois bornes ont été posées pour arriver à une division qui convienne aux deux parties ; les frais sont payés par moitié ; sont présents et signent : Guillaume JULIAN et Julien DUSSOL, de Sète, et l'expert SALAGÉS ; les parties ne savent pas signer (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ; veuve, le 19.06.1792 ; elle vend à Pierre BAISSE (cultivateur), le 13.08.1806, une "vigne rouge" dont elle a la propriété, possession et jouissance, "de la succession de Gabriel THOMAS, son père", au terroir de Frontignan, contenant environ 18 ares ; le prix est de 280 francs, "eu égard au mauvais état", la terre étant en friche depuis trois ans ; l'acquéreur paye immédiatement en pièces d'or et partie en argent ; une quittance est délivrée ; l'acte est fait dans l'étude, en présence de deux tonneliers de Sète, Jean LIGON et Jean Pierre GRANIER, qui signent ; les parties ne savent pas signer (notaire Pierre GOUDARD, de Sète) ;
+ 25.05.1835, à Sète, veuve de Jean EUZET. Génération2-Portalès
TRINQUIER Pierre fs Trophime (charpentier de navires, + 18.02.1858, à Sète) et Marie
CHALIER (sans profession) ; ° 16.03.1818,
à Sète ; x Madeleine Françoise EUZET (fa Jean Baptiste et Marianne AUBERT), le 20.06.1844, à Sète ;
tonnelier ; il signe mais ses père et mère ne savent pas signer ; signalé au recensement de 1846 comme cultivateur, avec sa
femme et un fille, "Grand rue haute" ; signalé au recensement de 1851 (cultivateur, 39 ans) avec sa femme et deux
enfants, habitant "Grand rue haute" ; + 29.07.1859, à Sète.
Génération4-Portalès
TRINQUIER Rémi fs Trophìme (charpentier de navires, + 18.02.1858, à Sète) et Marie CHALIER (sans profession ; + 31.12.1851, à Sète), domiciliés à Sète ; petit-fils de François TRINQUIER (marin + 27.01.1821, à Sète) et Marie SAUTECOEUR (sans profession + 23.10.1836, à Sète [grand-mère paternelle]) ; ° 14.05.1827, à Sète ; charpentier de navires ; x Madeleine Françoise EUZET (fa Jean Baptiste et Marianne AUBERT, veuve de Pierre TRINQUIER), le 19.02.1863, à Sète ; pas de Cm ; il ne sait pas signer ; le 07.03.1867, il vend à François ARNAUD (tailleur à Sète), une pièce de terre, n° 1105, section B du cadastre de Sète, pour le prix de 200 francs que l'acquéreur paye immédiatement ; il assiste et autorise son épouse dans cette vente, celle-ci tant en son nom personnel qu'au nom de ses enfants mineurs et de son mari décédé, Pierre TRINQUIER ; ces enfants mineurs (nés à Sète) sont : Baptiste né le 08.11.1847, Anne née le 20.11.1849, Jean Baptiste née 13.07.1852 et Ursule née le 17.04.1856 ; parmi les vendeurs, il y a aussi sa fille majeure, Marianne, couturierre (dont le père est aussi Pierre TRINQUIER), née le 26.10.1845 ; les autres vendeurs sont Crépin TRINQUIER (charpentier) et Louis TRINQUIER (calfat) ; la terre vendue vient de la succession de Trophime TRINQUIER, leur père et grand-père, décédé sans avoir fait de dispositions testamentaires ; l'acte est fait en l'étude (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; Génération4-Portalès
TURCAN Marguerite Anne fa Grégoire (cultivateur) et Marie Anne ROCHE (+ avant le mariage de sa fille), domiciliés et demeurant à Beaurecueil (13) ; ° 20.11.1808, à Beaurecueil ; femme de chambre à Marseille, "rue Saint Ferréol n° 27" quand elle se marie x Louis EUZET (fs Blaise et Gracie GABINAUD), le 11.01.1845, à Marseille (information initiale de M. Didier VERLAQUE) ; elle signe Marguerite TURCAN mais son père ne sait pas signer ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, 40 ans (le nom étant écrit TURCAND), avec son mari et deux enfants : Jean (3 ans) et Mazarine (10 ans, en fait c'est Lazarine), habitant "rue Montmorency" ; signalée au recensement de Sète de 1886 (son nom étant écrit TURQUANT), avec son fils François, sa belle-fille et sa petite-fille Marguerite , "chemin Caraussanne, n° 29" ; le 30.06.1887, avec son fils François, elle vend à Jean Pierre Julien FOCH "une parcelle de terrain propre à bâtir de contenance de 382,75 m², à Sète, rue de la Caraussane, faisant partie d'un plus grand corps qui appartient aux vendeurs. Cette parcelle confronte au nord ladite rue de la Caraussane, du sud RODIER, de l'est AURIOL et de l'ouest les vendeurs, telle au surplus que cette parcelle est décrite et désignée par les lettres A, B, C, D, E, F sur un plan dressé par l'architecte des parties sur une feuille de papier", n° 1859 de la section B du cadastre de Sète ; l'origine de propriété de cette terre est la suivante : "appartenant aux vendeurs pour s'en être rendus adjudicataires conjointement et solidairement suivant jugement du tribunal civil de Montpellier rendu à la suite de surenchère sur la licitation des biens dépendant 1) de la communauté de biens ayant existé entre ledit Louis EUZET et défunte la dame Marie BUISSON sa première épouse 2) de la communauté ayant existé entre ledit Louis EUZET et la dame TURCAN sa deuxième épouse venderesse actuelle 3) de la succession dudit sieur Louis EUZET" (jugement du 07.06.1886) ; le prix de la vente est 2000 francs dont 900 francs ont été payés, d'où un solde de 1100 francs à 5 % l'an ; la prise de possession est immédiate ; dans cet acte, il est dit qu'elle ne sait pas signer (notaire Alphonse COUZIN, de Sète) Génération4-Portalès
VALLARD (ou VALARD) Etienne fs Guillaume (jardinier) et Marie BOUILLON (sans profession) domiciliés à Gignac ; ° 06.02.1805 (17 pluviose an 13), à Gignac ; x Rosalie EUZET (fa Honoré et Marie PELUF), le 01.09.1830, à Sète ; bans à Sète et à Gignac ; jardinier ; il est domicilié à Sète quand il se marie ; il signe Etienne VALARD ; ses père et mère ne savent pas signer ; il est signalé dans le recensement de Montpellier de 1836 sous le nom d'Etienne BALARD, comme garçon jardinier, avec Rosalie EUZET (indiquée comme épouse BALARD) et un fils de 6 ans, Guillaume BALARD ; de même, dans l'acte de décès de Rosalie EUZET, le 06.10.1838 à Montpellier, le patronyme est écrit par erreur "BALARD" ; il est alors domicilié à Montpellier, probablement là où elle meurt : "dans la maison GASQUET, au faubourg Saunerie" ; + 18.05.1894, "20, rue Saint Claude", à Montpellier, "veuf de Rosalie EUZET" ; la déclaration de décès est faite par son fils, Guillaume VALARD, jardinier comme lui, âgé de 64 ans ; le patronyme VALLARD est courant sur Gignac au début du XIXe siècle (comme on le voit dans les premières tables décennales). Génération4-Galibert
VALLENTY Paul Philippe Eugène Marcel fs Laurent Jules, cafetier (né à Roquebrune, 83, domicilié à Barjols, 04, avec ses parents, quand il se marie en 1863, fils de Jean Paulin, cafetier, et d'Elisabeth PAYAN, il signe VALENTY Jules, 23 ans à la naissance de son fils) et Magdeleine Adèle BOEUF (mariée à 16 ans, fille de Lazare, limonadier, et de Marie Elisabeth ROMAN, née à Marseille, domiciliée à Pertuis, 84 ), domiciliés à Barjols (83) ; ° 07.01.1866, à Barjols ; x Elise EUZET (fa Jean Baptiste et Marie Catherine REVEST), le ?, à ? ; signalé dans le recensement de Forcalquier (04) de 1906 (écrit VALENTY) comme hôtelier, au ""n° 21, boulevard LATOURETTE et rue du rempart", avec son épouse, sa belle-mère (Marie Catherine REVEST), son beau-frère Etienne EUZET et la fille de ce dernier, Marie Denise EUZET ; il n'est pas signalé à cette adresse au recensement de Forcalquier de 1901 et les recensements suivants (1911, etc.) n'ont pas été consultés (ils ne sont pas en ligne sur le site des AD 04) ; il devait déjà y être en 1904 car le dossier militaire d'Etienne EUZET indique que ce dernier éait à Forcalquier, domicilié au "Grand hôtel, chez M. VALENTY (écrit VALENTIN) ; cet hôtel existe toujours (en 2011, même boulevard mais au n° 10) ; l'état civil de Barjols montre que Paul VALLENTY a eu un frère (né le 10.08.1864) et une soeur (née le 13.12.1866) pour lesquels le père a déclaré les naissances et, dans les deux cas, signé VALENTY (avec un seul L) Jules ; + avant le 06.07.1947 (date du décès d'Elise EUZET, veuve, sans enfant) Génération5-Portalès
VERGNES Jeanne fa Gabriel (propriétaire) et Marguerite JALIBERT, de Gignac ; ° 15.02.1806, à Gignac ; Cm, le 11.09.1825 avec Jacques Honoré EUZET (fs Jacques et Elisabeth FARRAND) : régime dotal ; Gabriel VERGNES, père de la future épouse, donne à sa fille 500 francs en numéraire, une armoire en bois noyer (120 francs), une paire de pendants d'oreilles et cinq bagues, le tout en or (160 francs), un clavier en argent (20 francs) et une croix et chaîne en or (220 francs) ; la somme de 500 francs est mise sur table, comptée et emboursée par Jacques EUZET père (du consentement de son fils) et il en fait reconnaissance sur ses biens en affectant et hypothéquant à cet effet les immeubles qu'il possède à Sète, consistant en champs, vignes et jardin, "sous la condition expresse que ledit EUZET père sera tenu de rembourser la dite somme de 500 francs à son fils lorsque ce dernier trouvera à la placer sur un immeuble de bonne éviction et libre d'hypothèques, à la charge toutefois de prévenir son dit père trois mois à l'avance" ; à l'égard de l'armoire et des bijoux (le notaire indique alors que leur montant total est de 500 francs alors que l'addition des différents montants est de 520 francs) ; Jacques, Honoré les a examinés et agréés peu avant cet acte, Jacques, Honoré "les tient pour remis le présent mariage s'accomplissant et en fait reconnaissance sur ses biens présents et à venir." ; EUZET père donne à son fils en avancement d'hoirie les meubles nécessaires pour la garniture d'une chambre : "un lit complet bois noyer avec sa paillasse, deux matelas, traversin et deux couvertures, une commode aussi bois noyer et son dessus en marbre, une glace à cadre doré, six chaises, deux bergères et un canapé garni en paille et une table ronde bois noyer, le tout évalué à la somme de 600 francs, lesquels meubles et effets le futur déclare avoir déjà reçus et en a remercié son dit père" ; les parties ont fait les obligations et soumissions de droit ; l'acte est passé dans la maison de Gabriel VERGNES, à Gignac, en présence de deux témoins : Pierre BARRAL (avocat) et Pierre Paul LAPIERRE (instituteur) de Gignac ; tous les présents signent mais Elisabeth FARRAND n'est pas présente (notaire Antoine PONS, de Gignac) ; x Jacques Honoré EUZET, le 12.09.1825, à Gignac ; elle signe ainsi que ses parents ; parmi les signataires, il y a aussi Françoise VERGNES et Jean JALIBERT ; les bans sont passés à Sète et Gignac ; signalée au recensement de Sète de 1841 avec son mari, 5 enfants (Jacques, Etienne, Jean, Marie Elisabeth, Elisabeth Marie Marguerite) et 3 domestiques, "quartier du mas neuf" (île n° 9) ; signalée au recensement de Sète de 1851, sans profession, 45 ans, avec son mari et 6 enfants : Jacques EUZET (jardinier, 25 ans), Jean EUZET (jardinier, 17 ans), Elisabeth 1 EUZET (14 ans), Elisabeth 2 EUZET (11 ans), Marguerite EUZET (9 ans) et Gabriel Benjamin EUZET (7 ans), habitant "chemin Saint Joseph" (section B, île glacière) ; le 17.03.1851, son mari fait un testament dans lequel il lègue à sa veuve la moitié en usufruit de tous ses biens délaissés (information dans l'acte de notoriété du 26.03.1863 ; en fait, la formulation du testament est différente : "Je lègue à Jeanne VERGNE (le notaire écrit le patronyme sans le S final), mon épouse, la jouissance de tout ce que je laisserai à mon décès. Cet usufruit sera exercé par ma femme durant toute sa vie. Je la dispense de fournir caution, à raison de cet usufruit." ; l'acte est passé en l'étude, en présence de Julien DUSSOL (négociant), Jean Louis DUSSOL (propriétaire), Guillaume LAVABRE (fabricant de chandelles), Hilaire PORTAL (négociant) et Bernard Auguste CORNEVIN (menuisier), tous de Sète, ni parents ni alliés du testateur ni de la légataire ; ils signent avec le testateur (notaire Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète) ; veuve le 26.09.1852 ;
signalée au recensement de Sète de 1861 comme propriétaire avec sa fille Marie et son fils Jean (capitaine), "banlieue Glacière, 282" ; le 12.05.1866, le minutier d'Antoine Marius Salomon VIVAREZ, de Sète, enregistre la vente d'une pièce de terre, vigne sise à Sète au "quartier des métairies" par Jeanne VERGNES, veuve de Jacques EUZET, et par ses enfants vivants, Marie, Eliza et Etienne (qui a la procuration de son frère Gabriel) ; son fils Jean ne participe pas à la vente, ayant cédé ses droits dans la succession de son père, par acte passé le 24.06.1864 (notaire CAVALLIER, de Montpellier) ; la vente est faite à Jean MERLY, tonnelier de Sète, pour un montant de 2500 francs ; cet immeuble avait été acheté par Jacques EUZET, le 22.11.1845 à J.B. DONNADIEU et son épouse, Jeanne PRAT pour un montant de 1600 francs (notaire Antoine, Marius, Salomon VIVAREZ, de Sète) ; le 05.01.1865, Jeanne VERGNES et ses enfants vendent à Louis André PÉRIDIER (négociant à Sète) : "un jardin avec maison d'habitation, écurie, puits à roue, maison servant de café avec tonnelle et dépendance, le tout ne formant qu'un seul corps, situé à Cette, faisant partie des n° 1888, 1889 et 1890 de la section B du cadastre, confrontant du nord les héritiers de M. Antoine EUZET pour un autre jardin qui a été du même corps (voir le schéma qui se trouve à l'article de Modeste EUZET, pour le n° 1889), du sud la Compagnie de lumière du gaz et AURIOL, de l'ouest AURIOL et de l'est le chemin des métairies, sur lequel cet immeuble a accès au moyen de deux entrées. La superficie de cet immeuble est d'environ un hectare quarante ares. Les glacis de la commune de Cette séparent le dit chemin de la propriété vendue sur une grande partie de la façade, à l'est." Origine : "Cet immeuble était la propriété de M. Jacques EUZET père, ancien jardinier de Cette, y décédé le 26 mars 1832." Le 18 mai 1832, il fut procédé au partage entre les héritiers de la succession paternelle (notaire Jacques LAURENS, de Sète) et l'immeuble vendu fut attribué à son fils cadet, Jacques Honoré EUZET, qui est décédé à Sète, le 26.09.1852. Avant son décès, le 17.03.1851, il a légué à son épouse (Jeanne VERGNES) la moitié en usufruit de tous ses biens délaissés. Le prix de l'immeuble est 50000 francs sur lesquels l'acquéreur paye 40000 francs en or et en billets de banque, en présence du notaire et des témoins ; une quittance est délivrée ; pour le solde (10000 francs), PÉRIDIER s'engage à les payer après l'accomplissement des formalités de transcription et de purge des hypothèques légales et autres formalités de droit ; l'intérêt est de 5 % l'an, à partir de ce jour, payable de 6 en 6 mois, à terme échu ; l'acte est fait en la demeure de Mme EUZET, née VERGNES, en présence de deux témoins ; tous signent, sauf la dame EUZET née VERGNES qui "a déclaré ne le pouvoir à cause du tremblement et de la faiblesse de sa main" (notaire Alphonse COUZIN, de Sète)
un avis de purge d'hypothèques légales paraît dans le Messager du Midi du 15.01.1867 : "Il résulte d'un procès verbal d'adjudication tenu par Me COUZIN, notaire à Cette à la date du 7 novembre 1866, et d'un acte de déclaration de command, reçu aux minutes dudit notaire à la même date, que le sieur Jules COMOLET, négociant, domicilié à Cette, s'est rendu adjudicataire d'un seizième d'un immeuble dépendant de la succession du sieur Jacques EUZET, quand vivait jardinier, domicilié à Cette, dont la vente était poursuivie à la requête des héritiers dudit Jacques EUZET. L'entier immeuble dont partie a été adjugé au sieur COMOLET, se compose d'une pièce de terre champ, située dans la commune de Cette, au quartier dit la Plage de la Mer, porté à la matrice cadastrale de ladite commune sous le numéro 174 de la section A, pour une contenance de 33 ares 40 centiares, confrontant du sud le chemin de fer, du nord EUZET dit Foulrainc, de l'est un chemin de charrette, et de l'ouest LAPEYSSONIE. L'adjudication de l'entier immeuble vendu fut faite en faveur du sieur Victor COMOLET, négociant à Cette, au prix de 10.000 francs, mais sous la réserve par ce dernier de faire l'élection de command en faveur de divers dans les délais de droit." [une copie du dépôt de l'acte au greffe du tribunal civil de Montpellier avait été adressé à Jeanne VERGNES (veuve de Jacques EUZET) et à Marie BOUNY (épouse séparée de corps de Jacques EUZET), le 24.12.1866 - la vente aux enchères par licitation volontaire avait eu lieu le 26.09.1866 sur la mise à prix de 6000 francs, selon le Messager du Midi du 17.09.1866] ; dans le même journal et dans le même numéro du 15.01.1867, il est encore indiqué que "la maison de commerce J.L. DUSSOL et Compagnie, négociant, domiciliée à Cette, s'est rendue acquéreur de huit seizième" du même immeuble. Ces avis ont pour objectif de purger l'immeuble vendu des hypothèques légales qui pourraient le grever, indépendamment de toute inscription. Jeanne VERGNES est signalée au recensement de Sète de 1872, sans profession, avec ses filles Marie et Elise, "quai de Bosc, n° 25" ; signalée au recensement de Sète de 1876, sans profession, avec ses enfants, Marie (39 ans) et Elisabeth (37 ans), ainsi que Jeanne, sa petite-fille (10 ans, née à Marseille, fille de Jean EUZET et d'Eugénie Marie SICCARDI), "quai de Bosc 25" ; + 05.10.1880, "quai de la République, n° 5". Génération4-Galibert
VIEU Flore fa Joseph (carpentier de navires ; + "sans que les futurs époux ayent connaissance du lieu où est
décédé le susdit Joseph VIEU, père de la contractante, ainsi que le lieu où il avait fixé son dernier domicile,
ce qui nous a été déclaré et affirmé par serment la main levée à Dieu, tant par les contractants que par
les père et mère du contractant, ainsi que par la mère de la contractante") et fa de Rose LACROIX, domiciliée à
Sète ; ° 09.11.1805 (18 brumaire an 14), à Sète ; x Pierre EUZET (fs Honoré et Marie PELUF), le
01.07.1826, à Sète ; elle ne sait pas signer ni sa mère ; signalée comme "jardinier" au recensement de Sète de 1836,
avec son mari mais sans enfants. Génération4-Galibert
VIOLET Jean Antoine fs Christophe et Marie DEON (domiciliés à Sète) ; ° vers 1790, à Sète (25 ans à
son mariage) ; x Françoise EUZET (fa Louis et Catherine PASCAL), le 26.011815, à Sète ; tonnelier ; il signe ; signalé au
recensement de Sète de 1841 comme tonnelier, avec sa femme, et 5 enfants, "quai supérieur de la place". Génération3-Portalès