Réflexions sur la recherche
"Le" Pic Saint-Loup et son château mythique dans le soleil du soir
(photo J.C.E., le 19.08.2002)
Observations sur les sources de la génération 1 :
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Observations sur les sources de la génération 2 :
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Observations sur les sources de la génération 3 :
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Observations sur les sources de la génération 4 : Cet acte indiqué seulement sous la courte rubrique "Mariage de Pierre COULONDRES" et écrit en latin d'une écriture cursive serrée n'aurait peut-être pas été découvert si une contributrice, Madame Pascale GARCIAS, ne nous l'avait signalé. Il faut s'arrêter un instant la-dessus. En effet, les Archives départementales de l'Hérault (AD 34) possèdent une riche réserve d'actes notariés du 15ème siècle. Une bonne partie est microfilmée mais leur analyse suppose de longs visionnages qui sont impossibles à faire quand on habite loin des AD 34. Pourtant, ce sont ces archives et uniquement celles-là qui permettraient de trouver de nouvelles pistes et, qui sait, de nouveaux actes important. A ce jour (11.02.2008), ce fonds est en partie numérisé. On peut donc espérer qu'il sera disponible en ligne sur Internet prochainement. Seule une analyse à domicile, en prenant son temps, permettrait une lecture exhaustive et rationnelle de ces minutiers si difficiles à parcourir. Et là, comme soeur Anne sur sa tour, nous attendons depuis longtemps ! Le système est prêt mais le Conseil général de l'Hérault ne le diffuse pas car sa volonté est qu'il soit payant. On a parlé de 2 euros par jour. A ce tarif, il vaut mieux abandonner ses ambitions tout de suite. Au fait, Madame Christine ALBANEL, n'est-ce-pas vous qui avez affirmé que l'accès aux archives publiques devait être gratuit ? Le feuilleton est à suivre, Madame la Ministre. Nous reprenons le fil de ce feuilleton, le 16.04.2008, pour dire que, finalement, après la mobilisation des chercheurs (en particulier, grâce à une importante pétition à partir du forum CGW 34 et aussi grâce à quelques conseils avisés et discrets auprès des décideurs), le Conseil général de l'Hérault a décidé que la mise en ligne serait gratuite pour les utilisateurs. Le système devrait voir le jour avant l'été. La photo ci-dessous est une copie du rapport présenté le 14.04.2008 par M. Philippe SAUREL (conseiller général délégué, notamment, aux Archives départementales, et adjoint au maire de Montpellier). Après discussion, le Conseil général a voté favorablement pour la gratuité de la consultation des archives départementales en ligne sur Internet.
La mise en ligne est faite depuis le 19 mai 2008. Voir la suite de ce commentaire dans les observations sur les sources de la
génération 6.
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Observations sur les sources de la génération 5 : Autre hypothèse encore plus passionnante : la lignée de Sueilles (au village de Cazevieille) est elle simplement un rameau de celle de Saint-Gély-du-Fesc (et du Triadou) ? L'analyse des actes notariés conservés montre que les deux frères EUZET qui ont épousé les deux soeurs FIGAREDE, héritières du mas de Sueilles, ont dû se marier vers 1450. Or, dans un courrier écrit par Madame François EUZET (de Sainte-Croix-de-Quintillargues), elle évoque - sans donner la référence - un contrat de mariage au mas de Sueilles, dans lequel Jean et Guillaume EUZET (du Triadou) viennent assister comme témoins. Il ne peut s'agir que de Guillaume (génération 4) et de Jean, son fils (génération 5). Les pièces encore existantes montrent que Guillaume n'apparaît plus dans les actes après 1450 et que, dans le procès des censives du Triadou, les titulaires du mas du Triadou sont ses deux fils, Jean et Arnaud, en 1456. Evidemment, c'est insuffisant pour conclure à la parenté entre Guillaume et Jean (du Triadou), d'une part, Bringuier et Antoine (du mas de Sueilles), d'autre part. Cependant, on constate que la politique de ces familles est bien semblable; Ainsi, en 1423, ce sont deux frères COULONDRES qui se marient avec les deux soeurs EUZET, héritières du mas d'Euzet, à Saint-Gély-du-Fesc. Ainsi, en 1450, ce sont les deux frères EUZET (héritiers du mas du Triadou) qui épousent deux soeurs REDIER, du mas de Lascours. Dans les deux cas, celui qui paraît être le patriarche qui décide est Mathieu EUZET (génération 3). N'est-il pas aussi à l'origine du double mariage de Bringuier et Antoine EUZET, au mas de Sueilles ? Et, dans ce cas, ceux-ci ne sont-ils pas aussi deux fils de Guillaume et petits-fils de Mathieu ? Additif, le 26.10.2012 : depuis que cette note a été écrite, un autre acte, le contrat de mariage de Marquese LATOUR (le 09.11.1464) a été trouvé, confortant l'analyse ci-dessus (se reporter à Cazevieille (l'introduction).
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Observations sur les sources de la génération 6 : Après, c'est-à-dire aujourd'hui (3 août 2008), il faut changer complètement de méthode de travail. Le site des AD 34 est particulièrement riche, même s'il est encore en montée en charge (notamment, en ce qui concerne les minutiers anciens rassemblés par l'évêché de Montpellier). Nous avions suggéré aux informaticiens de mettre en priorité les tables décennales et, le plus rapidement possible, les déclarations de mariages. C'est fait et ce sont autant de "raccourcis" qui facilitent la recherche et libèrent le serveur. Pouvoir consulter à domicile les registres paroissiaux, l'état civil, les recensements, beaucoup de minutiers anciens, l'enregistrement, le cadastre, etc. veut dire qu'il est temps de vérifier les données déjà inscrites sur le site, rectifier les erreurs, combler les oublis, croiser un maximum de données, sans être lié par des impératifs de temps, en tout cas dans une moindre mesure. Pour autant, les déplacements sur place sont toujours nécessaires, afin de compléter avec les séries non numérisées, en particulier pour les minutiers. Ces déplacements peuvent être mieux préparés et donc être encore plus productifs aux AD mêmes et dans les villages pour les photographies. La période avant va être vite oubliée et les nouveaux généalogistes auront du mal à comprendre comment on pouvait travailler autrement. En fait, c'est l'ensemble de l'environnement généalogique qui est obligé de changer, à cause ou grâce à ces mises en lignes des archives départementales ou communales. Les associations sont amenées à délaisser les registres paroissiaux (les fameux "BMS") pour se recentrer sur les séries non numérisées mais d'une grande utilité pour se repérer plus facilement (enregistrement, insinuations, contrôle des actes, sous l'Ancien Régime, par exemple). De leur côté, les généalogistes professionnels se rendent compte que la demande va porter sur des époques plus anciennes (et donc d'une lisibilité moins évidente), car les chercheurs vont apprendre rapidement à remonter le temps avec ces "archives à domicile". Bref, l'après ne sera plus jamais comme l'avant ... Dans la recherche historique et généalogique, arrive toujours un moment où surgissent de nouveaux outils qui permettent de faire "un bond qualitatif" dans la connaissance. Après l'arrivée des archives de l'Hérault en ligne en juin 2008, la fin du mois d'août et le début septembre 2009 ont vu la mise en ligne des inventaires de contrats de mariage, testaments et autres actes notariaux filiatifs - à partir de la fin du XIIIe siècle et jusqu'au XVIIe siècle - réalisés par l'archiviste Y. CHASSIN du GUERNY. La numérisation a été faite par "Mike", c'est-à-dire Michel MORICE qui en a assuré aussi la mise en ligne sur "Planète Généalogie". C'est d'une richesse extraordinaire, aussi bien pour le Gard que pour l'Hérault. Pour ce dernier département, on y retrouve le notariat ancien acquis par le clergé : série 2 E 95 qui est, actuellement (le 09.09.2009), en partie seulement mis en ligne sur le site des AD 34 ; il y a aussi les inventaires (un résumé plus ou moins long) des plus anciens minutiers des notaires de Lodève et de Ganges. Or, ces minutes sont, le plus souvent, difficilement lisibles. C'est donc un accélérateur des recherches qui est mis gratuitement à notre disposition. Grâce à ce travail minutieux et quasiment exhaustif, il est désormais possible de repérer les actes les plus intéressants et de les retrouver plus facilement dans les minutiers numérisés ou encore accessibles sur papier.
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Observations sur les sources de la génération 7 : Ainsi, dans le procès des censives du Triadou, le chapitre cathédral de Montpellier a mis en avant un "levoir" de 1456 et des reconnaissances des années 1520 et 1523 pour faire valoir ses prétentions contre les droits des EUZET. L'objectif était de présenter des reconnaissances plus anciennes que celles des EUZET. Or, ceux-ci n'avaient en main que les reconnaissances prononcées sous l'égide du notaire Claude LEBLANC, dans les années 1615 à 1618, car on sait que les actes plus anciens avaient été détruits pendant les guerres de religion. Ainsi, présenter des reconnaissances des 15ème et 16ème siècles permettait au chapitre de déclarer que ses droits étaient antérieurs et donc supérieurs. C'est pourquoi, dans son mémoire du 28 juin 1726, Jean EUZET s'est attaché à montrer la fausseté de ces "preuves" : "à l'égard de la 1ère pièce (...) que ce n'est pas même un levoir car l'on n'y voit aucun payment couché à la marge ; c'est un prétendu extrait d'un autre extrait abrégé non signé qui ne fait pas même mention des notaires qui ont retenu les prétendues reconnaissances y énoncées et qui enfin ne paraît pas même si ancien qu'on le suppose car outre qu'il est écrit (en) français, d'ailleurs le style dans lequel il est conçu n'est ni du 14ème ni même du 16ème siècle, de sorte que ce prétendu extrait ne peut passer suivant la doctrine de FERRIERE (...)" De même, le mémoire de Jean EUZET démolit l'argumentation du chapitre pour les reconnaissances du 16ème siècle : "c'est encore un autre extrait d'extrait qui non seulement a les mêmes défauts que le précédent (...) et ce qui est encore pis, il choque la vraissemblance car si en 1520, Pierre, Antoine et autre Antoine EUZET avaient reconnu au prieur de Saint Firmin un quart du mas du Triadou et Pierre BERTIN un autre quart, il n'y a nulle apparence que trois ans après seulement, aux mêmes mois et aux mêmes jours et même prieur, leur en eut exigé des nouvelles, n'y ayant point de changement ni du Seigneur ni des emphytéotes". etc. etc. Ce mémoire dégage une impression de rigueur mais on se dit que, peut-être, les EUZET sont allés un peu loin dans l'argumentation en accusant le chapitre cathédral d'avoir fabriqué des faux. Pourtant un autre procès (concernant le prieuré du Triadou) entre l'évêque de Montpellier et son chapitre est édifiant à cet égard. Parmi les arguments développés par l'évêque, on peut lire notamment ceci : "Il faut (...) regarder comme inutile et mettre encore à l'écart l'extrait que le chapitre prétend avoir tiré du registre contenant un abrégé des transactions et actes prétendus trouvés dans les archives de Saint Firmin (...) par deux raisons hors de réplique. La première, parce que régulièrement (...) les abrégés des actes faits par les notaires même recevants ne font aucune foi en justice. La seconde parce que l'abrégé que le chapitre rapporte par extrait ne dit ni de quel acte cet abrégé a été tiré, ni le temps auquel il a été fait, ni le lieu ou il a été passé, ni le notaire qui l'a reçu." etc. etc. Mais c'est sur le commentaire suivant (du mémoire de l'évêque) que l'on veut surtout attirer l'attention : "La seconde (réflexion) est prise de la qualité de l'auteur de cet ouvrage (une pièce présentée par le chapitre), c'était un chanoine de la cathédrale St Pierre, intéressé à augmenter et étendre les droits et les privilèges de son corps (...) il est vrai que le même auteur qui suivant toute apparence a forgé cette pièce à plaisir (...) etc. etc. Ainsi, on voit que les procédés du chapitre sont les mêmes dans le procès des censives du Triadou (contre les EUZET) et dans le procès pour la collation du prieuré du Triadou (contre l'évêque), ces deux procès étant concomitants. En deux mots, le chapitre n'hésitait pas à fabriquer et à utiliser des faux pour faire aboutir ses prétentions. Si nous avons tenu, ici, à rappeler ces faits, c'est que les chercheurs se trouvent par rapport à ces procès des 17ème et 18ème siècles devant des questions auxquelles il est souvent difficile de répondre. Qui avait raison ? Que valaient les arguments respectifs ? La qualité de corps de l'Eglise des évêques ou des chapitres cathédraux supposait-elle une plus grande honnêteté par rapport aux personnes privées ? etc. etc. Les arguments développés contre le chapitre cathédral de Montpellier montrent qu'il faut savoir prendre de la distance par rapport aux arguments et ne pas accepter sans critiques ce qui est développé dans ces mémoires.
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Observations sur les sources de la génération 8 : Additif, le 26.10.2012 : depuis que cette note a été écrite, un autre acte, le contrat de mariage de Mathieu EUZET (le 29.10.1522) a été trouvé, confortant l'analyse ci-dessus (se reporter à Assas (génération 1).
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Observations sur les sources de la génération 9 :
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Observations sur les sources de la génération 10 :
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Observations sur les sources de la génération 11 : Ajout, le 04.11.2018 : se reporter au fichier Erreurs et extrapolations à ne pas faire
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Observations sur les sources de la génération 12 :
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Observations sur les sources de la génération 13 : Côté adulte, la secrétaire de mairie avait du mal à comprendre l'intérêt d'un jeune garçon pour des registres paroissiaux poussiéreux qui étaient au premier étage, au dessus de la poste. Elle m'avait installé dans cette pièce silencieuse - et fraîche - avec la pile des registres sur la table. Dehors, c'était la fournaise des après-midi du mois d'août avec ses rues désertes où même les chats se cachaient du soleil. J'ai encore le souvenir délicieux de ces heures calmes passées à feuilleter ces vieux grimoires et j'avais rapidement remarqué qu'il manquait un registre ! j'en demandais la raison à la secrétaire de mairie qui me répondit vertement qu'elle n'y était pour rien ... Cela ne m'empêcha pas de remonter les générations pour arriver à un "Joseph fils de Joseph". J'avais l'impression d'avoir atteint le ciel et j'en savais plus que mes parents sur nos ancêtres qui portaient notre patronyme. Côté enfant, je revois l'étonnement et l'incompréhension de mon camarade de jeux quand je lui ai indiqué que je ne passerai plus toutes les journées à courir avec lui dans la garrigue. J'ai alors compris que pour moi, un monde se terminait et que quelque chose de nouveau commençait à prendre corps. Quarante-trois ans plus tard, en 1999, j'ai eu la grande chance de rencontrer M. Henri FOURNOL qui avait fait un travail colossal sur l'histoire du village de Puéchabon et sur sa population. Pour les EUZET, ses analyses étaient complètes jusqu'à notre Joseph mais le mystère demeurait : d'où venait-il ? (au passage, ce chercheur m'a indiqué qu'un des registres paroissiaux avait été longtemps égaré puis qu'on l'avait retrouvé ... la boucle était bouclée). En tout cas, il était temps de reprendre sérieusement ces recherches de jeunesse et le travail de M. FOURNOL me permettait de commencer par là où j'avais abouti : la vie de Joseph EUZET. L'hypothèse la plus probable de son origine étant Saint-Martin-de-Londres, j'ai donc commencé à étudier les minutiers notariaux de cette commune pour la période d'avant la Révolution et puis tout s'est enchaîné, malgré de multiples difficultés. Celles-ci étaient liées au fait que, non seulement le contrat de mariage a été signé chez un notaire de Saint-Bauzille-de-Putois (et non de Puéchabon) mais encore que cet acte a été passé en 1743, alors que le mariage a été célébré en 1746. En prime, ce mariage s'est passé dans l'église Sainte Anne, à Montpellier. Un périple d'autant plus surprenant que la véritable origine de Joseph était Viols-le-Fort et non Saint-Martin-de-Londres. Il a donc fallu beaucoup de temps pour comprendre tout cela mais il en reste un très grand plaisir et d'excellents souvenirs. Et puis, quand les passions de l'adulte rejoignent celles de l'enfant, c'est "le top", comme disent nos jeunes d'aujourd'hui.
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Observations sur les sources de la génération 14 : Surtout, nous voulons insister sur un point. Les ressources informatiques deviennent plus fournies dès que l'on s'intéresse à la deuxième partie du 18ème siècle. Il faut donc en profiter pour les passer périodiquement en revue (Généanet, Généabank, etc). En effet, la présence d'un patronyme dans une commune éloignée de la zone d'étude habituelle peut révéler le passage ou l'installation d'un membre d'une lignée venu là, après un mariage, une période militaire ou tout autre évènement. C'est tout l'intérêt d'être relié aux autres chercheurs par les groupes de discussion, les blogs, les associations, etc. Pour notre part, il nous reste encore à étudier les cas de EUZET qui sont signalés à Saint Pavin, Falaise, Caen, Millac, etc. Pour notre patronyme, il est essentiel de vérifier s'il s'agit "d'émigrés" du Languedoc ou si l'on se trouve en présence de variantes dans les graphies normandes ou bretones des HEUZET, HOUZET, HEUZÉ, etc. Bref, encore des recherches et des voyages en perspective !
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Observations sur les sources de la génération 15 : Les AD 75 possèdent aussi une partie des registres de catholicité (baptêmes, mariages, enterrements)" mais il s'agit seulement de ceux qui ont été remis par l'Archevêché. Il y a de nombreuses lacunes que l'on peut combler en s'adressant directement aux paroisses, lesquelles ont conservé leurs registres originaux. Cependant, il est impossible de faire soi-même une recherche. Par ailleurs, chaque paroisse a son propre processus plus ou moins facile pour le demandeur, plus ou moins long, plus ou moins cher (par exemple, 10 € par acte trouvé pour Saint Eustache en 2006, une "obole" au montant non fixé pour Saint Germain des Prés en 2006, etc.). Certaines fixent le tarif dès le départ, d'autres sont sensibles au don que l'on peut faire, d'autres enfin ne demandent rien (ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut rien donner en compensation des recherches faites). Surtout, on se rend compte qu'il vaut mieux faire une demande bien ciblée avec une date précise. Pour revenir aux AD 75, un des problèmes devant lequel on se trouve, c'est que l'on ne sait pas comment a été faite la reconstitution (qui a d'ailleurs été réalisée en deux fois). Ont-ils utilisé tous les registres de catholicité déposés aux AD 75, par exemple ? Selon la réponse, il faut ou non passer du temps avec les registres disponibles. Nous tenons à dire, enfin, que le personnel est toujours prêt à aider, à donner des explications ou des conseils. Comme dans les AD de province, c'est une marque essentielle de ce service public : la disponibilité des hommes et des femmes qui y travaillent. Il faut cependant conclure que retrouver une filiation à Paris reste un exercice compliqué dont le résultat est très incertain. La seule véritable possibilité de progresser est du côté du minutier central qui se trouve aux Archives nationales mais là on se heurte à un autre problème : le nombre élevé d'études parisiennes. Pour avancer, il faut au moins une adresse précise et une période, afin de consulter (sur microfilm en libre service, au 3ème étage du CARAN, aux Archives nationales) les rubriques (contrats de mariage, de vente, testaments, procurations, etc.) des études les plus proches. La liste de ces études et leur durée d'existence se trouve dans la même salle que ces microfilms. Si on trouve l'acte recherché, il faut ensuite faire une demande avec la cote et on a alors le plaisir de voir arriver le registre tant convoité. C'est tout le bien que l'on peut souhaiter aux chercheurs. Après tout, plus c'est long et compliqué, plus le plaisir est grand ! Pour en revenir à Jean Pierre Pascal, signalé comme "financier", on peut observer que son père, Jean Claude, est probablement lui-même de ce milieu où, en tout cas, qu'il le fréquente assidûment, comme nous le voyons dans le registre paroissial de Notre-Dame-des-Tables, de Montpellier. Ainsi, le 4 juillet 1765, Jean-Claude est parrain de baptême de Jean Marie CHASSARY, fils d'Etienne CHASSARY qui est "financier". Le 4 juin 1768, il est présent au baptême d'une fille d'un "agent de change". Aussi, n'est-il pas surprenant de voir que ceux qui sont présents le jour du baptême de Jean Pierre Pascal (le 20 juillet 1774) sont du même milieu avec, en plus une tonalité européenne qui suggère l'orientation des affaires de Jean Claude EUZET. Le parrain est Jean Pierre Pascal ROUSSET qui est "négociant à Barcelone". Parmi les présents, signe avec le parrain et la marraine un certain Estevan GARRIGA que l'on peut supposer catalan. Quand on voit aussi que la première épouse de Jean Pierre Pascal est la fille d'Alexandre BERTRAND, homme de loi, et que sa deuxième épouse est la fille de Jean Dominique AUTERACT, notaire de Montpellier, on se rend compte que cette branche a réussi l'union du grand négoce, de la finance et des métiers du droit. Le grand-père, Laurent EUZET, était simplement "marchand quincaillier" à Montpellier, mais il a dû faire de bonnes affaires qui ont préparé la suite. L'arrière-grand-père, Jean, n'était encore qu'un notable du Triadou, greffier consulaire et héritier, en quelque sorte, des petits métiers du droit qui ne devaient plus être très rémunérateurs. Le règne des procureurs était déjà terminé. Il fallait inventer autre chose. C'est manifestement ce qu'ont fait Laurent, Jean Claude et Jean Pierre Pascal, en trois générations. L'objet de cette note est de montrer l'intérêt à connaître "l'environnement" qui explique (en partie) l'évolution d'une branche dans une lignée. Parmi les sources originales du début du XIXe siècle, on trouve les "passeports pour l'intérieur" qui devaient être établis quand on se déplaçait hors de sa commune ou de sa zone de vie habituelle. Les archives communales de Cazevieille (34) conservent une série de ces passeports. Ils ont été classés avec l'ensemble des archives de cette commune par M. et Mme GUÉ. Ce classement bien fait a permis de sauver ce qui reste encore d'archives d'après 1789 et ces passeports permettent de connaître, notamment, les détails physiques des intéressés. Ce sont de véritables "photographies", à une époque où les vraies photographies n'existaient pas encore.
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Observations sur les sources de la génération 16 : Nous avons admiré la modernité des AD 78 (fabrication immédiate de la carte d'admission avec photo incrustée, pas d'obligation de prendre rendez-vous pour avoir une place, accueil particulièrement soigné, salle de consultation spacieuse et lumineuse, informatique très poussée (possibilité d'envoyer des actes informatisés sur sa propre messagerie, depuis la salle de lecture, par exemple), bref le maximum de modernité et de confort. On ne peut en dire autant des AD 76 qui sont, certes, dans un bâtiment majestueux mais la partie réservée aux Archives en est la portion congrue : une réservation obligatoire pour consulter les microfilms dans une plage horaire extrêmement réduite (ce qui, par téléphone devient un exploit car, du coup, la ligne est toujours occupée), une salle de consultation de microfilms minuscule et donc un faible nombre d'appareils et pas d'informatique, une autre petite salle pour l'étude des registres pour laquelle il faut aussi retenir une place d'avance, les inventaires des séries à consulter sur un palier, bref des conditions difficiles mais, heureusement, un personnel performant et dévoué qui compense les défauts de locaux et de volonté politique d'investir dans ce secteur (la recherche a été faite en novembre 2006 ; il faut espérer que cette situation n'est plus la même aujourd'hui, début 2008). Justement, le numéro hors-série de la Revue française de Généalogie sur "Les Archives départementales" (paru en avril 2008) indique pour les AD 76 : "Les travaux d'aménagement de la nouvelle salle de lecture, en cours depuis deux ans, doivent s'achever en juin 2008. La capacité sera alors suffisante pour ne plus être obligé, comme actuellement, à réserver sa place de lecteur de microfilms au moins 4 semaines à l'avance ! La numérisation sera achevée en 2009 et l'état civil en ligne en 2010." En fait, à lire ce numéro spécial, on voit bien que l'on débouche sur une période complètement nouvelle pour la recherche. Bientôt, les déplacements dans les AD ou les mairies seront réservés à l'étude des pièces qui ne seront pas encore numérisées et mises en ligne ... et les généalogistes regretteront le temps béni où ils avaient le plaisir de consulter les registres originaux en papier ... ils le regrettent déjà ! Additif au 19.08.2009 : une consultation aux AD 76 (Rouen), ce jour, nous permet de dire que les conditions de travail sont totalement différentes, avec deux salles spacieuses où l'on peut consulter aussi bien les registres papier que les microfilms ou encore profiter des nombreux ordinateurs pour ce qui est déjà mis en ligne mais ... c'est tellement bien qu'il est prévu - paraît-il - de tout changer en 2011 ; il y aurait alors trois sites dans Rouen (il y en a déjà deux actuellement). Un progrès ? Nous verrons bien mais nous constatons surtout que tout change dans le monde des archives ... sauf le personnel qui était compétent avant et qui le reste aujourd'hui, avec en prime un accueil sympathique. Additif au 21.08.2009 : une consultation aux AD 75 (Paris), ce jour, confirme ce grand "chamboulement" des habitudes et des méthodes. il ne reste plus que quelques lecteurs de microfilms dans la salle de consultation. Les autres ont été remplacés par des ordinateurs car, non seulement l'état civil est numérisé mais c'est le cas aussi des recensements (y compris celui de 1946), du recrutement des conscrits et du répertoire des enfants assistés de la Seine (depuis 1742). Désormais, la salle est silencieuse alors qu'auparavant, on était continuellement "bercé" par les bruits des microfilms que l'on enroulait dans un sens ou dans un autre. La numérisation continue (en particulier, pour la seconde reconstitution de l'état civil d'avant 1860) et le tout devrait bientôt se retrouver en ligne, sur Internet.
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Observations sur les sources de la génération 17 :
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Observations sur les sources de la génération 18 : Sur la conservation, nous avons été frappé (voire scandalisé) en parcourant les brocantes ou autres salons de "vieux papiers", de constater que de nombreux documents de beaucoup de familles, parfois très personnels et récents, s'étalaient aux yeux de tous et étaient mis en vente. La règle des "moins de cent ans", sauf pour ses propres ascendants, s'applique sur Internet mais les brocanteurs peuvent, eux, vendre des lettres parfaitement datées, avec les adresses et tous les détails de ce qui fait la vie de couples unis ou désunis. Quant aux photos, ces brocantes sont remplies d'albums ou de clichés, la plupart du temps anonymes, les familles ayant négligé d'inscrire la moindre indication au verso de ces multiples portraits en noir et blanc ou sépia. Manifestement, beaucoup de greniers ont été rapidement vidés avec tout leur contenu après la mort de leurs propriétaires. Les héritiers n'ont pas pu ou pas voulu se charger de ces "vieilleries" et ces souvenirs se sont retrouvés sur les marchés ou chez les antiquaires. Nous ne voulons pas trop insister sur ce point, d'autant que certains pourraient dire qu'il vaut mieux cela plutôt que de jeter ces souvenirs dans les poubelles. Nous n'avons pas de solution miracle mais tout de même, quel gâchis ! En tout cas, pour notre part, il nous semble qu'il faut trouver des solutions adaptées à chaque contexte. En ce sens, un site Internet peut permettre de sauver l'image du document écrit, lequel est souvent trop fragile et parfois encombrant. Sur ce qu'il est utile de montrer ou indiquer sur le site, notre opinion n'est pas encore complètement arrêtée et il serait intéressant d'engager une discussion avec les internautes qui nous font l'honneur de nous lire. Il y a, d'ailleurs, le problème inverse que l'on rencontre pour les époques lointaines. Ici, il y a trop de documents là où, ailleurs, on peine à retrouver des pièces d'origine. Il n'est pas question de tout montrer (par exemple, les photos), car ce serait sans grand intérêt et probablement lassant. Il faut donc choisir et, même dans ces choix, il faut certainement écarter des pièces ou des informations jugées trop confidentielles. Dans une époque où l'étalage des vies personnelles, favorisé par les médias, fait florès (pour ne pas dire fureur), il nous semble qu'il faut trouver un juste milieu qui sauvegarde l'intimité mais qui favorise l'histoire ; cependant, nous reconnaissons bien volontiers que cet équilibre est difficile à trouver et qu'il dépend, en partie, des sensibilités de chacun. Dans certains cas, il n'y a aucune hésitation à avoir. Ainsi, le cahier de Pierre, André EUZET fait partie de ces pièces uniques qui donnent un éclairage sur toute une branche sur plusieurs générations. Nous remercions ses héritiers et descendants de nous en avoir fait copie pour le mettre à disposition de nos lecteurs. C'est l'exemple même qui montre qu'il faut, encore et encore, essayer de chercher de nouveaux documents inédits. Nous avons eu la chance d'avoir, pour cette génération, l'aide précieuse de deux chercheurs. Mme Jacqueline FREDON pour Vacquières et M. Richard POUGET pour Vendargues. Sans ces deux personnes nous n'aurions pas progressé si vite dans la connaissance de ces deux branches. Ces contacts avec d'autres chercheurs sont un des plaisirs de la généalogie bien comprise, celle qui dépasse la simple analyse de l'état civil et qui soulève un coin du voile du passé sur des vies révolues.
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Observations sur les sources de la génération 19 : La suite se trouve aux Archives municipales, au dessus de la médiathèque centrale Emile ZOLA. On peut y obtenir, sans difficultés, les actes de décès pour la période 1903-1932. Nous en sommes repartis avec 23 actes. La deuxième étape était plus délicate. Il s'agissait d'obtenir les actes de décès pour la période 1933-2006 au Service de l'Etat civil de la mairie de Montpellier, l'entrée de l'Hôtel-de-Ville se situant 1, place Francis PONGE, derrière le centre commercial "Le Polygone". En droit, on peut effectivement demander à consulter les registres de décès mais, en pratique, c'est loin d'être évident. En effet, comme dans toutes les grandes villes, on se trouve face à une batterie de guichets et rien n'est prévu pour une telle consultation. A notre demande, il nous a d'abord été répondu qu'il n'y avait pas de place, que le personnel était occupé, qu'ils voulaient bien faire des recherches mais qu'ils enverraient plus tard le résultat. Cependant, comme un guichet était inutilisé, nous avons alors proposé d'y faire nous-même ces recherches, sous réserve de céder la place en cas d'affluence. Heureusement, c'était le matin, juste après l'ouverture, et il y avait peu de monde. Les employés nous apportèrent les registres, les uns après les autres, et nous avons pu tout noter, sans déranger personne. Malgré l'absence des registres des années 1999, 2000, 2001, 2005, 2006, nous avons pu repartir avec des informations complètes sur 33 actes de décès, les plus récents (à partir de 1996) faisant même l'objet d'une "copie conforme" officielle, après traitement informatique. Il restait encore une source d'informations intéressante : le cimetière. Nous sommes donc allés au cimetière Saint Lazare. Une première visite en nous dirigeant au hasard dans ses allées n'a rien donné. Autant ce genre de recherche sans aide est envisageable pour les petites localités (ce que nous avons fait à Assas ou à Saint-Bauzille-de-Putois, par exemple), autant les résultats sont décevants avec une grande ville. Aussi, une deuxième fois, nous nous sommes adressés à la conciergerie, près de l'entrée de la partie du cimetière la plus ancienne qui se trouve "Rond-point du Souvenir Français". Nous avons eu la chance d'y rencontrer (un samedi matin, à l'ouverture) M. Marc LEFRANC, l'un des concierges du cimetière, très aimable et particulièrement efficace pour nous aider. Nous sommes repartis après avoir noté toutes les informations disponibles pour 39 enterrements qui ont eu lieu dans ce cimetière, entre 1937 et 2007. A cela se sont ajoutées 7 informations sur des décédés qui n'ont fait que transiter avant l'inhumation dans un autre cimetière, entre 1998 et 2007 (il faut savoir que ces transferts sont notés dans des registres particuliers). De plus, comme nous n'avions pas le temps de faire de plus amples recherches, ce monsieur nous a aimablement proposé de faire lui-même le complément pour la période 1870-1936. Il nous a, effectivement, adressé un courrier, quelques jours plus tard, comprenant 40 informations sur les inhumations ayant eu lieu dans cette période. Des renseignements croisés de tous ces services publics, nous pouvons estimer avoir désormais une vue quasiment exhaustive pour les décès des EUZET de Montpellier, de 1870 à juin 2007 (plus, quelques informations sur certains conjoints et d'autres encore sur des EUZET de villages proches de Montpellier). Nous tenons à souligner, en conclusion, que c'est grâce à l'amabilité de toutes les personnes de ces services en relation avec le public que nous avons pu aboutir à ce résultat.
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Observations sur les sources de la génération 20 :
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Observations sur les sources de la génération 21 :
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Observations sur les sources de toutes les générations et de toutes les lignées : "Comme j'habite loin de Montpellier, j'utilise fréquemment le site des AD que je trouve très bien fait et en constante amélioration. Je pense, en particulier, aux multicritères de recherche pour les notaires et à l'inclusion de toutes les cotes, y compris pour les minutiers qui ne sont pas en ligne. Tout cela permet de préparer au mieux une visite aux AD, en "ciblant" à l'avance les cotes à demander, ce qui évite de perdre de temps, une fois sur place. Cependant, pour "optimiser" un déplacement, mieux vaut connaître à l'avance les nouveautés, surtout si elles sont communicables. Faute de les connaître, les seules possibilités sont de parcourir le site des AD de long en large pour découvrir d éventuelles extensions (sans jamais être sûr que l'on ne passe pas à côté d'arrivées majeures) ou encore de questionner le personnel (qui est, il faut le souligner, toujours aimable et efficace). Pour mon dernier déplacement (les 10 et 11 octobre), j'ai pu, ainsi, consulter certains minutiers venant des AD du Gard et un minutier venant d'un privé. C'est déjà bien pour moi mais ne pourrait-on pas faire autrement, en visant l'ensemble des utilisateurs ? Certes, je sais qu'il existe la lettre d'information de Pierresvives mais elle ne remplit que très partiellement l'objectif ci-dessus et développe, surtout, l'aspect évènementiel. Ma suggestion est de créer sur le site des AD un nouvel "outil" relatif aux nouveautés, à mettre à jour une fois par semestre (au minimum) ou à chaque mise à jour du site (idéalement). Cet outil pourrait soit se décliner par rubrique : une information "Nouveautés" pour chacune (notaires, compoix, Etat civil, etc.), soit faire l'objet d'une rubrique en soi, ce qui serait encore plus pratique pour les chercheurs. Bien sûr, une forme adéquate serait à trouver pour les informations, en particulier pour les périodes prévues ou supposées de communication effective des nouvelles arrivées mais ce ne devrait pas être un gros problème. Je sais que l'outil proposé n'existe sur aucun site d'AD mais, justement, ne serait-ce pas une belle occasion de mettre en avant le dynamisme de vos services et, en même temps, d'offrir une prestation de qualité (supplémentaire) aux utilisateurs du site ? Et puis, tant pis, pour les jaloux qui ne manqueraient pas de se dresser contre cette innovation." Je suis conscient que ce type de suggestion peut être parfois irritant pour un responsable de service public mais je sais aussi que ce contact direct est une bonne façon de faire passer des idées qui, avec un peu de chance et de temps, peuvent aboutir à un résultat quand c'est fait seulement avec un esprit critique et sans esprit de critique. (note du 04.11.2018) Le 24.11.2018, une réponse de Mme Sylvie DESACHY (Conservatrice générale du Patrimoine, Directrice des Archives départementales de l'Hérault) est arrivée. Voici un extrait de son courrier pour le point évoqué ci-dessus : "Concernant votre demande sur les actualités de la collecte et du classement sur le site internet, c'est un projet sur lequel nous avons effectivement déjà réfléchi et qui nous semble tout à fait intéressant. Nous l'inscrirons prochainement à notre feuille d'évolution du site internet." (lettre du 15.11.2018). Bravo, Mme la directrice !
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La lignée des EUZET de Saint-Gély-du-Fesc et du Triadou
La lignée des EUZET de Saint-Félix-de-Lodez et de Sète
Les lignées issues de l'Hérault
Les noms des conjoint(e)s
Les noms des parents de conjoint(e)s
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