La lignée des EUZET du mas d'Euzet de Saint-Gély-du-Fesc (34).

La branche d'Aigues-Mortes.
(T 71)



Pour mieux situer les EUZET d'Aigues-Mortes, il est suggéré:

De les retrouver dans la généalogie de la lignée des EUZET de Saint-Gély-du-Fesc et du Triadou, du XIVème siècle au XXIème siècle : "La lignée" (générations 15 à 17)



Signification des abréviations :
° : naissance
b : baptême
p : parrain
m : marraine
fs : fils
fa : fille
test : testament
x : mariage
Cm : contrat de mariage
+ : décès
(+) : enterrement
ca : environ, vers
AD : Archives départementales
















La présentation du lieu.
L'état des connaissances.
Questions.

1/ La présentation du lieu



Aigues-Mortes, d'après la carte de Cassini
(18ème siècle)

L'état des connaissances

- génération 1 (Génération 15
La lignée )

- Jean Pierre Pascal (fs Jean Claude et Madeleine FONTANIEU) ° 20.07.1774, paroisse Notre-Dame-des-Tables, à Montpellier ; le parrain : Jean Pierre Pascal ROUSSET (négociant à Barcelone) ; parmi les signataires : Estevan GARRIGA ; x1 Geneviève Elisabeth BERTRAND : 10 frimaire an 8 (01.12.1799), à Montpellier, employé au département, "ayant congé absolu de service militaire" ; le 7 fructidor an IX (25.08.1801), il est premier témoin, àMontpellier, pour la déclaration de la naissance d'Ermance Louise Marie COMTE (soeur du philosophe Auguste COMTE, né lui-même le 19.01.1798, à Montpellier), fille de Louis Auguste COMTE, financier, et de Félicité Rosalie BOYER ; dans cet acte, il est indiqué comme "financier", âgé de 27 ans, habitant Montpellier ; l'autre témoin est aussi un financier de Montpellier, Esprit VIEL ; la naissance a eu lieu dans la maison Causse, rue Aiguillerie ; x2 Louise Bernarde AUTERACT 14 floréal an 13 (04.05.1805), à Montpellier ; Cm à la même date : régime dotal ; il y est indiqué comme financier et son père lui donne une "rente annuelle de 400 francs payable moitié de six en six mois par avance a dater de ce jour sans aucune retenue pendant la vie du dit EUZET père" ; pour l'observation de cette clause, Jean Claude EUZET affecte et hypothèque spécialement "sa maison sise en cette ville rue Boucherie n° 88" ; l'acte est passé dans la maison de François AUTERACT et tous signent ; Pascal signe "EUZET fils" (notaire François AUTERACT, de Montpellier) ; le 07.04.1809, il reconnaît au bénéfice de son épouse une somme de 2169 francs correspondant à la vente de terres qu'elle a fait, suite au partage des biens qui a eu lieu à la succession de sa mère ; pour assurer cette somme, Pascal affecte et hypothèque une maison et jardin qu'il possède à Montpellier, au faubourg Boutonnet, île Bécat ; pour plus de détails sur cet acte, voir Montpellier (suite 1), à l'article de Louise Bernarde AUTERACT (notaire Jacques Philippe Louis ANDUZE, de Montpellier) ; jugement d'adjudication rendu par le tribulal civil de l'arrondissement de Montpellier, le 01.03.1814, concernant les biens de Jean Dominique AUTERACT ; à la suite de ce jugement, Pascal vend des terres qu'il a acquises à cette occasion ; c'est ce qui est indiqué dans l'acte de vente du 16.08.1814 à Pierre RÉFOUSSAT et à Gabriel CHAUCHON, agriculteurs de Lansargues ; au premier, il vend la moitié d'un champ à Lansargues, tènement de la Lauréasse, et un champ à Lansargues, tènement de Cascavel, les deux pour 695 francs ; au second, il vend l'autre moitié du champ au tènement de Lauriasse, pour 315 francs ; les acheteurs devront payer ces montants aux créanciers du sieur AUTERACT dans l'ordre qui sera établi dans le procès verbal d'ordre du tribunal civil ; dans l'attente du paiement, les propriétés acquises seront "en précaire jusqu'au parfait payement" ; l'acte est passé à l'étude du notaire, en présence de François POUCHET et de François Pierre Toussaint GUIRAUD (propriétaires à Lansargues) qui signent avec les parties, sauf RÉFOUSSAT qui ne sait pas ; Pascal (qui est simplement indiqué comme habitant de Montpellier) signe "EUZET fils" (notaire François Pierre Toussaint CAMREDON, de Lansargues) ; le 25.11.1809, il vend une "maison cour et remise attenants" à Lansargues, "rue Montel", à Louis BOUSCARAIN (propriétaire à Lansargues) pour 2100 francs ; cet acte (à étudier) est indiqué chez le même notaire pour la quittance délivrée après paiement, le 21.04.1817 ; ce dernier acte est passé à l'étude du notaire, en présence de Gabriel BALESTRIER et Antoine REFFOUSSAT (propriétaires à Lansargues) qui signent avec les parties ; dans cet acte, Pascal est appelé Jean Pierre Pascal EUZET fils, habitant à Montpellier, et il signe "EUZET fils" (notaire François Pierre Toussaint CAMREDON, de Lansargues) ;

le 23.03.1818, il vend à Jean BRESSON (agriculteur à Lansargues) un pré de 8 ares à Lansargues, pour un montant de 100 francs ; il s'en était rendu adjudicataire "lors de la déconfiture des biens dudit feu Me AUTERACT qui a eu lieu d'autorité du tribunal civil de l'arrondissement de Montpellier" ; Pascal, absent, se fait représenter par Honnoré MICHEL, "président du consistoire de Montpellier" selon un acte privé du 20.03.1818 lui donnant procuration ; l'acheteur paye immédiatement, à charge d'mployer le prix à l'acquit de ce qui est dû à Elisabeth ARVIEUSE, veuve NAUVILLE, première créancière du notaire AUTERACT ; dans cet acte, Pascal est indiqué comme "Jean Pierre Pascal EUZET fils marchant de souliers", à Montpellier ; l'acte est passé à Lansargues, en présence de Guillaume BRESSON et d'André BRUNEL, propriétaires à Lansargues (notaire François Pierre Toussaint CAMREDON, de Lansargues) ; "financier" en l'an 13, 1809, 1813, 1835, "percepteur de la contribution" en 1806-1807, "receveur des contributions directes" en 1807, "marchand de souliers" en 1818, "ancien marchand en 1821 et "demeurant présentement à Paris" puis, quand son fils Emile se marie (le 27.04.1835) : "financier domicilié de la ville de Paris" ; pour ce mariage qui a lieu à Blaye (33), il ne se déplace pas et donne son consentement par un acte en brevet passé auprès du notaire de Paris, Auguste MONNOT LE ROY ; dans cet acte qui est une procuration donnée à son épouse (qui demeure alors à Montpellier), il est indiqué comme propriétaire et son adresse est "rue Saint Honoré, n° 90" (c'est à son domicile que meurt son fils Eugène, le 30 septembre de cette même année) ; il signe ; le 01.12.1829, il arrive de Nîmes à Aigues-Mortes (30) avec son fils Gustave, selon le journal du maire d'Aigues-Mortes, Jean VIGNE-MALBOIS (voir la photo de l'extrait dans ce fichier) ; le 30.03.1838, il participe à une expertise et à un partage des biens, suite à un naufrage au Grau-du-Roi (30), selon le journal du maire d'Aigues-Mortes, Jean VIGNE-MALBOIS (voir la photo de l'extrait dans ce fichier) ; le 22.09.1842, il donne son consentement au mariage de son fils Gustave, "artiste dramatique à Paris, avec la personne qui lui conviendra" ; dans cet acte, il est indiqué comme financier (notaire BASTIDE, d'Aigues-Mortes - vu dans le registre de l'Enregistrement, bureau d'Aigues-Mortes) ; le 02.11.1842, il devient bénéficiaire de la ferme des droits d'octroi d'Aigues-Mortes par un bail de 3 ans (du 01.01.1843 au 31.12.1845) ; le loyer annuel est de 7850 francs, payable de mois en mois pr douzième, à payer au receveur municipal de la commune (Enregistrement, bureau d'Aigues-Mortes) ; dans cet acte, il est indiqué comme "rentier en cette ville" ; il est habitant d'Aigues-Mortes et "fermier de l'octroi" quand il décède ; + 20.03.1843, à Aigues-Mortes, dans sa maison d'habitation. Voir Paris et Montpellier

Pascal au Grau-du-Roi pour une expertise et/ou un partage, après un naufrage
(30.03.1838 - journal de Jean VIGNE-MALBOIS, maire d'Aigues-Mortes)

Le maire a noté dans l'un de ses carnets : "J'ai été au Grau avec Adrien où nous avons trouvé Messieurs COURTON, commissaire de marine, CLARIS, EUZET, beau-père de Siméon (Siméon THÉAULON, le mari de Clémentine EUZET), le juge de paix et les négociants représentant les intérêts de la marchandise naufragée, savon, farine etc ... Nous étions 15 personnes à déjeuner chez MEZY. On a reconnu les savons sauvés et fait un partage reglé d'après les connaissements etc."

- génération 2 (Génération 16 La lignée)

- Madeleine Pétronille Clémentine (fa Jean Pierre Pascal et Geneviève Elisabeth BERTRAND) ° 1er vendémiaire an 9 (23.09.1800), "maison ROUET, rue D'asport", à Montpellier ; le premier témoin de baptême est Jean Claude EUZET, son aïeul, qui est indiqué comme marchand mercier ; x Siméon Guillaume Jean Antoine THÉAULON, le 28.02.1821, à Montpellier ; bans passés les 04.02. et 11.02.1821, à Montpellier et à Aigues-Mortes (30) ; le mariage est célébré en présence de Jean Claude EUZET, toujours marchand (74 ans), Louis Charles BERTRAND, avoué (39 ans), Pierre Louis DARTIS, avoué (63 ans) et Pierre Guillaume ARNAVIELHE, praticien (35 ans), tous habitant à Montpellier ; assiste aussi Eugène Jean Dominique EUZET, frère de Clémentine, et la seconde épouse de son père : Louise Bernarde AUTERACT (fille du notaire de Montpellier, Jean Dominique AUTERACT). Les deux mères sont décédées mais les deux pères sont présents, dont Antoine TEAULON qui est avocat et juge de paix du canton de la ville d'Aigues-Mortes ; Jean Pierre Pascal EUZET est indiqué comme "ancien marchand" : il est donc clair que l'on passe ici, pour cette branche des EUZET, du monde des marchands (la quincaillerie, la mercerie) au monde de la finance, du droit et de la justice. L'étape suivante sera parisienne ; sans profession ; le 15.09.1829, la famille se retrouve à Aigues-Mortes pour une soirée musicale - où chante son frère Gustave - chez Homéride SCHILIZZI (médecin, futur maire de la commune), selon le journal du maire d'Aigues-Mortes, Jean VIGNE-MALBOIS ; c'est dans sa maison que son frère Gustave anime une autre soirée musicale, le 01.12.1829, selon le journal du maire d'Aigues-Mortes, Jean VIGNE-MALBOIS (voir la photo de ces deux extraits dans le fichier d'Aigues-Mortes) ; le 28.07.1835, devant le notaire BASTIDE d'Aigues-Mortes, sa tante, Elisabeth Pétronille (dite Périne) BERTRAND, fait son testament et lui lègue l'usufruit de tous ses biens, cependant qu'elle en lègue la nue-propriété aux enfants de Clémentine et de Siméon ; ce testament est enregistré le 16.03.1844 au bureau d'enregistrement d'Aigues-Mortes (il est précisé en marge que le décès est du 20.03.1843 et que la succession est du 14.09.1843) ; le 17.04.1843, elle accorde une procuration (en blanc) à l'effet d'accepter la succession de son père, sous bénéfice d'inventaire, et doit, en conséquence, se présenter au greffe du tribunal civil de 1ère instance de Nîmes pour faire la déclaration nécessaire (notaire BASTIDE d'Aigues-Mortes - indiqué dans le registre de l'Enregistrement du bureau d'Aigues-Mortes, le 19) ; + 02.08.1868, à Aigues-Mortes, dans sa maison d'habitation, épouse de Siméon THÉAULON (patronyme écrit avec un H). Voir Montpellier

Une soirée musicale où se retrouvent Clémentine et Gustave
(15.09.1829 - journal de Jean VIGNE-MALBOIS, maire d'Aigues-Mortes)

Dans cette soirée musicale, à Aigues-Mortes, le maire a noté dans l'un de ses carnets : "Le petit EUZET frère de Mme Siméon [il s'agit de Gustave et de sa soeur Clémentine, mariée avec Siméon THÉAULON] a chanté avec guitare - a fait danser au flageolet et joué la scène de Polichinelle".


- Gustave Louis Esprit (fs Jean Pierre Pascal et Louise Bernarde AUTERACT) ° 06.07.1813, maison d'ARAT (?), place aux herbes, à Montpellier (c'est probablement l'achat de cette maison par la ville de Montpellier qui fait l'objet d'un arrêt de la cour de Cassation, le 11.06.1844 - voir plus de détails dans les références de "Montpellier (suite 1)") ; chanteur (basse- taille, c'est-à-dire baryton ou première basse), sa carrière commence en 1833 et va jusqu'aux années 1856-1859 ; on voit par l'exemple de la soirée musicale qu'il a animée, le 15.09.1829 qu'il avait déjà - à 16 ans - un certain talent mais, en fait, dès le mois de décembre 1829, la décision de se consacrer à ce métier était prise, ainsi que c'est écrit dans le journal du maire d'Aigues-Mortes, Jean VIGNE-MALBOIS :

Avant de partir étudier à Paris
(01.12.1829)

"De retour de Nismes ce soir. Venu avec le père de Mme Siméon THÉAULON et le plus jeune de ses fils qui a une voix de basse-taille très belle mais encore en friche. Il nous a chanté ce soir chez Siméon. On le destine pour le théâtre et on va l'envoyer étudier à Paris."


Gustave chante des romances chez sa soeur Clémentine
(20.04.1838 - journal de Jean VIGNE-MALBOIS, maire d'Aigues-Mortes)

Le maire a noté dans l'un de ses carnets : "EUZET, frère de Mme THÉAULON, est venu ce matin. Nous nous sommes réunis chez Siméon une douzaine de personnes pour l'entendre chanter. Il n'a chanté que quelques romances parce qu'il est indisposé. Il part ce soir pour Bordeaux où il est engagé." Effectivement, on sait que Gustave a chanté au théâtre de Bordeaux, en 1837-1838 (voir, notamment, les articles parus en 1838 dans la Revue du théâtre, journal des auteurs, des artistes et des gens du monde).

il a chanté dans plusieurs théâtres de Paris (l'Opéra, l'Opéra Comique, la Renaissance, l'Odéon, le Théâtre-Italien, ...), dans des théâtres de province (Bordeaux, Le Havre, Marseille, ...), en Italie (Brescia, Florence, Milan, Trieste, Turin, ...) et en Espagne (Madrid) ; voir les étapes de sa carrière et les commentaires de la presse dans Paris 1 (suite 2) ; x Victoire Aimée LEMAIGNEN, le 23.08.1858, à Paris (arrondissement ancien des Batignolles) ; il signe toujours avec le prénom Gustave ; installé à Aigues-Mortes, au moins en 1860 et 1861 (puisque leur fille Alice naît dans cette commune et y meurt l'année suivante), il est alors indiqué comme "rentier", ce qui veut dire qu'il n'exercait plus sa profession de chanteur ; le couple s'installe ensuite à Nîmes, où naît leur fille Clémence, en 1864 ; il est alors signalé comme "propriétaire", ce qui confirme qu'il a définitivement arrêté sa profession de chanteur ; à Nîmes, le couple habite "place du grand temple, 4" ; un article de Charles LIOTARD dans les Mémoires de l'Académie de Nîmes (édition de 1881) confirme la retraite - active - de Gustave EUZET : "Il serait injuste de ne pas tenir compte des résultats obtenus pour le perfectionnement de l'art du chant, par l'enseignement de M. EUZET, ancien pensionnaire de l'Opéra de Paris, pendant la durée de sa retraite à Nîmes, 1870-1880" (article intitulé : "Le culte de la musique à Nîmes. Le théâtre et les concerts pendant cinquante ans. Souvenirs d'un amateur") ; son nom se retrouve dans liste du jury d'expropriation pour cause d'utilité publique pour l'année 1876-1877, au titre de l'arrondissement de Nîmes ; il est alors indiqué comme propriétaire, domicilié à Aigues Mortes ; de même, son nom se retrouve dans liste du jury d'expropriation pour cause d'utilité publique pour l'année 1880-1881, au titre de l'arrondissement de Nîmes ; il est alors indiqué comme rentier, domicilié au Grau-du-Roi (ces listes sont dans les rapports du Conseil général du département du Gard) ; comme le Grau du Roi n'était, jusqu'en 1879, qu'un hameau d'Aigues-Mortes, on peut penser qu'il n'a pas changé de propriété mais, en 1876-1877, elle devait être dans la commune d'Aigues-Mortes, hameau du Grau du Roi, alors qu'en 1880-1881, elle devait être au Grau du Roi, commune devenue autonome ; il devait avoir des attaches au Grau du Roi dès 1876 comme on le voit dans un article du Midi qui fait le compte rendu d'un concert au profit d'une oeuvre qui a eu lieu à l'hôtel Pommier du Grau du Roi et à laquelle il a participé ; un point complet sur cette question sera fait après l'étude des recensements d'Aigues-Mortes et du Grau du Roi (à compléter) ; le 05.10.1878, avec son épouse, il achète une maison au Grau-du-Roi, "rive droite du chenal, confrontant du levant le chenal maritime, du midi POMMIER, du nord les acquéreurs et du couchant les dunes" (on voit ainsi qu'il habitait près de cette maison ; l'acte précise que le couple est demeurant et domicilié au Grau-du-Roi) ; la propriété comprend "une maison avec sol, cour, puits, jardin et petit enclos sur le derrière" ; la vente est faite par Mélanie BARBUT (épouse de Louis CASTEL, propriétaire) ; le prix est de 8000 francs (notaire AGUILLON, d'Aigues-Mortes - indiqué dans Le Midi du 16.11.1878, dans un avis de Purge d'hypothèques légales) ; + le 10.08.1881, au Grau-du-Roi (30) ; l'acte de décès précise qu'il est propriétaire, "né à Montpellier et demeurant à Nîmes" ; le recensement de Nîmes de 1881 montre que Victoire Aimée LEMAIGNEN habite toujours à Nîmes, indiquée comme veuve, propriétaire et chef de ménage, avec sa fille Clémence, au "27, rue de la Madeleine". Paris et Montpellier et Nîmes

- génération 3 (Génération 17 La lignée)

Alice Adélaide (fa Gustave Louis Esprit et Victoire Aimée LEMAIGNEN) ° 20.02.1860, à Aigues-Mortes ; + 01.07.1861, à Aigues-Mortes.

[voir la suite dans : Nîmes. ]



Vue d'Aigues-Mortes, depuis la tour de Constance


Questions



sommaire

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Les lignées issues de l'Hérault

Aigues-Mortes (suite 1)

Aigues-Mortes (suite 2)

Montpellier.

Paris.

Nîmes.