La lignée des EUZET du mas d'Euzet de Saint-Gély-du-Fesc (34).
(T 19 suite 2)

Extraits des travaux d'Henri FOURNOL sur Puéchabon :

- Essai de reconstitution des familles de Puéchabon (Hérault), et
- Mémoire pour l'obtention du diplôme de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales



Patronymes (dans l'Etude de 1990).
Géographie - Histoire - Démographie (dans le Mémoire de 1995).



Une forêt généalogique



Patronymes

Il s'agit, ci-après, d'extraits de la version de fin 2000 qui est la mise à jour de la première édition (datée elle-même de mars 1990) Cette mise à jour tient compte des apports d'autres chercheurs (Monique DAUVERGNE, Jean-Louis CRESPIN et Emile PIOCH). Henri FOURNOL prévoyait d'en remettre des exemplaires aux Archives départementales de l'Hérault (à Montpellier), à la mairie de Puéchabon, à l'Institut National d'Etudes Démographiques (à Paris), au Laboratoire de Démographie Historique de l'Ecoles des Hautes Etudes en Sciences Sociales (à Paris), au Centre d'Entraide Généalogique de France (à Paris), à la Bibliothèque Généalogique (à Paris) ainsi qu'aux chercheurs qui l'ont aidé.

Dans le vocabulaire employé, il utilise les termes d'arbre, d'arbrisseaux (un ou deux niveaux) et de brindilles (individus isolés).

Henri FOURNOL est décédé le 01.01.2009.

A. B. C. D. E. F. G. H. J. L. M. N. O. P. Q. R. S. T. V. Y.

Fiches A



ABADIE : Arbre unique dont les racines se trouvent à Ganties, en Haute-Garonne, et dont la souche à Puéchabon vient de deux fils y arrivant peu après le milieu du XIXe siècle. Des descendants existent toujours à Puéchabon actuellement.

ALARIC : Arbrisseau d'Aniane dont descend l'épouse du rédacteur. Pas de liens directs avec Puéchabon.

ALBAGNAC : Arbre unique dont les racines se trouvent à Camarès, en Aveyron, et dont la souche à Puéchabon vient de Guilhaume arrivé vers 1737. On trouve des descendants à Puéchabon jusqu'après 1921.

ALEGRE : Deux arbres et trois arbrisseaux, tout cela paraissant venir de la région autour de St Martin de Londres (il existe un Mas d'Alègre à 2 km à l'est de cette ville). L'arbre 1 va du milieu du XVIe siècle au début du XVIIIe siècle et l'arbre 2 commence à la fin du XVIIe siècle avec des descendants jusque vers la fin du XIXe siècle.

AMALOU : Arbre unique dont on ne connaît pas l'origine des racines. Une branche part à Viols (vers 1686) puis revient en partie, d'autres vont faire souche à Aniane. Cet arbre couvre à Puéchabon la période de 1655 à 1835 environ. On trouve ce patronyme sous plusieurs formes dont Malon.

AMARGER : Arbre unique dont les racines se trouvent au Buisson, en Lozère, et dont la souche à Puéchabon vient de Jean Baptiste arrivé vers 1860. On trouve des descendants à Puéchabon jusqu'après 1911.

ANDRE : Quatre arbres dont le premier est peut-être une vieille famille de Puéchabon du milieu du XVIe siècle s'y éteignant vers 1670. L'arbre 2 est d'Aniane avec mariages fin du XVIIe siècle avec la famille SAGNIER de Puéchabon. L'arbre 3 est d'une famille de potiers de St Jean de Fos dont une fille s'est mariée avec un habitant de Puéchabon. L'arbre 4 doit avoir ses racines à Nant, en Lozère, et on trouve encore de ses descendants à notre époque. Trois arbrisseaux sont originaires de St Guilhem à des époques différentes.

ANDRES : Famille d'un couple espagnol venue quelques années à Puéchabon au milieu du XXe siècle après être passée à Viols le Fort.

ARCHIMBAUD : Patronyme fréquent à Aniane. Deux arbres à Puéchabon, l'un d'Anianais dont l'un est venu prendre femme à Puéchabon, l'autre dont les racines sont à Canet et qui, avec une femme de Puéchabon, a donné une famille installée d'abord à Aniane puis à Puéchabon, jusqu'au début du XXe siècle.

ARNAL : Un arbre d'une vieille famille de Puéchabon dont les branches s'éteignent au début du XVIIe siècle faute de garçons survivants.

ARNAUD : Cinq arbres, un d'Aumelas prenant femme à Puéchabon début du XVIIIe siècle, trois d'Aniane avec mariages avec des individus de Puéchabon de la fin du XVIe siècle à nos jours (arbre 2) et un dont la souche originaire de Viols le Fort et passant par Argelliers est venu s'enraciner à Puéchabon vers 1875 et dont on trouve des descendants à notre époque.

AUBERT : Arbre originaire du Pouget venant prendre femme à Puéchabon vers le milieu du XIXe siècle.

AUBESQUIER : Arbre unique dont les racines sont à Chanpaniach, en Lozère, faisant souche à Puéchabon fin du XVIe siècle et s'y trouvant jusqu'à la seconde moitié du XVIIIe siècle.

AUSSET : Arbre originaire de Cocurès en Lozère, arrivé à Puéchabon dans la seconde moitié du XIXe siècle et y persistant encore de nos jours.

AVINENS : Arbre dont les racines se trouvent à Viols le Fort et faisant souche à Puéchabon fin du XVIIe siècle jusque vers la fin du XIXe.

AZEMAR : Arbre d'Aniane dont un garçon est venu prendre femme à Puéchabon au début du XVIIIe siècle et que l'on suit jusqu'à la fin du siècle.


Fiches B



BADARON : Arbre unique d'une vieille famille de Puéchabon s'éteignant vers la seconde moitié du XVIIe siècle.

BALESTIER : Trois arbres et deux arbrisseaux ou brindilles (sans liens visibles avec eux). L'arbre 1, vieille famille de Puéchabon dont on retrouve des descendants jusqu'à l'époque actuelle, l'arbre 2 qui en est peut-être une branche du XVIIe siècle et l'arbre 3 d'Aniane avec mariages avec des femmes de Puéchabon.

BALJOU : Arbre unique de Causse-de-la-Selle du XIXe dont deux fils sont venus prendre femme à Puéchabon, un troisième s'y étant établi de 1880 environ jusqu'à sa mort en 1963.

BALSAN : Arbre dont l'origine est à Montpellier au début du siècle, dont le fils est venu se marier et avoir des enfants à Puéchabon.

BAREL : Arbre unique dont les racines sont au Poitou avec descendants à Puéchabon au XVIIe siècle.

BARRIER : Arbre de Bédarieux dont le fils a pris épouse à Puéchabon au début du XIXe siècle, sa fille étant décédée chez sa grand-mère maternelle.

BARTELEMY : Arbre de Coudot en Aveyron venu probablement pour un temps à Puéchabon à la Révolution.

BARTHE : Famille de St André de Sangonis dont le fils venu prendre femme à Puéchabon y habitait en 1962.

BARTHEZENE : Arbre dont les racines se trouvent au Château de Londres au XVIe siècle et existant à Puéchabon jusqu'au début du XVIIIe.

BEDES : Arbre dont les racines se trouvent à Montarnaud et formant une famille à Puéchabon début du XVIIIe siècle, famille s'éteignant faute de garçons.

BELGUIRAL : Famille assez nomade s'étendant du début du XIXe siècle jusqu'à notre époque et habitant Puéchabon pendant environ 25 ans au début du XXe.

BELLOC : Arbre à racines de St Martin de Londres et qui, d'Argelliers, est venu pousser deux branches à Puéchabon au XIXe siècle, branches suivies jusqu'à notre époque.

BENOIT : Vieille famille de Puéchabon d'au moins du XVIe siècle y existant jusque fin du XIXe et se retrouvant ailleurs dans le département de nos jours.

BERGER : Un arbre du XXe siècle d'une famille venue du Loiret fonder une famille à Puéchabon par deux mariages et quatre arbrisseaux ou brindilles en provenance probablement tous de St Jean de Fos et probablement tous liés entre eux.

BERMOND : Arbre originaire de Puéchabon au XVIe siècle et y prospérant jusqu'au début du XVIIIe.

BERTOU : Famille d'Aniane dont un fils venu se marier à Puéchabon fin du XIXe siècle y est resté une dizaine d'années avant de retourner à Aniane.

BEZIERS : Arbre de Vailhauquès avec une génération à Puéchabon jusqu'au milieu du XIXe siècle sans descendance faute de garçons.

BIMOND : Famille originaire de Montpellier dont l'aïeul est venu se marier une seconde fois à Puéchabon au début du siècle et y a eu des descendants y vivant jusqu'à une époque récente.

BIZOT : Famille originaire de St Usage en Côte d'Or dont un fils est venu se marier à Puéchabon fin du XIXe siècle et y est resté le temps d'avoir deux enfants.

BLAQUIS : Arbre de St André de Majencoules dans le Gard avec une génération à Puéchabon jusqu'à la fin du XVIIIe siècle sans garçon comme descendance.

BOISSIER : Arbre dont les racines sont de St Julien du Tournel en Lozère et ayant fait souche à Puéchabon fin du XIXe siècle jusqu'à une époque récente.

BOISSIERE : Arbre d'Avèze dans le Gard dont le fils s'est marié à Puéchabon au XIXe siècle où il a fait souche jusque vers 1950.

BOISSOU : Arbre de Pousthomy en Aveyron dont le fils habitant Montpellier s'est marié à une fille de Puéchabon, leur fille y étant morte au début du XVIIIe siècle.

BONAL : Arbre de Puéchabon existant jusqu'au milieu du XVIIe siècle.

BONNET : Arbre de Montagnac du début du XVIIe siècle dont descend l'épouse du rédacteur. Pas de liens directs avec Puéchabon.

BOSC : Arbre de St Jean de Védas dont le fils s'est marié à Puéchabon vers le milieu du XIXe siècle et où est née une fille qui s'y est aussi mariée.

BOUCHET : Famille de Chambéry en Savoie dont le fils venu se marier à Puéchabon fin du XIXe siècle a eu des enfants dans la région.

BOUDON : Arbre originaire de Gignac installé à Aniane et ayant donné une femme à Pierre DUPIN de Puéchabon au milieu du XVIIIe siècle.

BOUET : Arbre d'origine inconnue existant à Puéchabon du milieu du XVIIIe siècle au début du XIXe.

BOUFFIN : Arbre originaire de La Bastide en Lozère dont le fils marié à Puéchabon y a eu de nombreux enfants au début du XVIIe siècle avec un seul, une fille, arrivée à l'âge adulte et mariée.

BOUISSON : Individu de St André de Sangonis marié à Puéchabon vers 1957 et ayant eu trois enfants.

BOURDIOL : Arbre unique mais originaire probablement de deux couples de Viols le Fort alliés au début du XIXe siècle avec des filles de Puéchabon et y ayant prospéré (ou dans la région) jusqu'à une époque récente.

BOUSQUET : Arbrisseau d'un montpelliérain ayant épousé vers 1933 une fille de Puéchabon.

BOYER : Deux arbres d'une vieille famille de Puéchabon (peut-être d'une seule souche) qui y ont prospéré jusqu'au début du XVIIIe siècle.

BREMOND : Arbre originaire de Combaillaux dont le fils, veuf, a épousé une fille de Puéchabon et il y a eu une descendance jusqu'au début de notre siècle.

BRES : Un arbre et trois arbrisseaux ou brindilles originaires probablement tous de St Jean de Fos. L'arbre correspond à une famille de potiers décrits dans l'ouvrage "Les potiers de terre de St Jean de Fos", de Jean-Louis VAYSSETTES, depuis le XVIe siècle, un descendant étant venu, à la Révolution, épouser une fille de Puéchabon et y avoir ses enfants (peut-être seulement les premiers). Les arbrisseaux et brindilles doivent avoir des liens avec cet arbre et entre eux, mais ils n'ont pu être mis en évidence.

BROS : Arbre dont les racines sont de Lanuéjols en Lozère et dont un fils, berger, est venu épouser une fille de Puéchabon au siècle dernier et y fonder une famille existant jusqu'il y a peu.

BRUN : Arbre à triple départ, le fondateur, originaire de Ganges, ayant été marié trois fois donnant trois branches à Puéchabon dans la seconde moitié du XIXe siècle, certaines jusqu'aux temps récents.

BUFFETAUT : Venu de Pantin, Seine-St-Denis, Louis est venu au milieu du siècle épouser une fille de Puéchabon et y avoir cinq enfants.

BURE : Arbre dont on ne connaît pas la provenance, à Puéchabon au début du XVIIIe siècle.

Fiches C



CABANES : Arbre originaire de St Jean de Fos, à Puéchabon à partir de la première moitié de ce siècle.

CAIZERGUES : Arbre d'Argelliers dont un fils est venu prendre femme à Puéchabon et y avoir un enfant au milieu du XIXe siècle.

CALVET : Individu de Montarnaud marié à Puéchabon vers 1933 et y ayant eu sept enfants.

CAMBON : Un arbre et sept arbrisseaux ou brindilles, tous d'Argelliers à des périodes différentes entre le XVIe et le XIXe siècles, l'arbre correspond à un enfant d'Argelliers marié deux fois à Puéchabon et y ayant eu un fils marié à Paris au cours de la Grande Guerre.

CAMMAL : Deux arbres et deux arbrisseaux, presque tous de la région de St Martin de Londres. L'arbre a ses racines à Frouzet avec probablement deux cousins mariés à Puéchabon au début du XVIIIe siècle, dont l'un a eu une descendance jusqu'à la fin du XIXe. L'arbre 2 dont la souche est à St Martin de Londres comprend deux frères et une soeur venus à Puéchabon au XIXe siècle. Le premier frère marié à Puéchabon y a fondé sa famille, sa soeur s'étant mariée au frère de sa belle-soeur. Les deux arbrisseaux sont l'un du XVIIIe siècle de St Martin de Londres, l'autre de Montpellier au XIXe, avec chaque fois mariage avec une femme de Puéchabon.

CAPIEU : Arbrisseau du milieu du XVIIe siècle.

CAPION : Un arbre et deux arbrisseaux originaires d'Argelliers. L'arbre correspond à deux frères créant deux familles à Puéchabon au XVIIIe siècle. L'un des arbrisseaux est du XVIIe siècle et l'autre du XIXe.

CAPMAL : Arbre dont la racine est de St Jean de Fos avec un mariage à Puéchabon au milieu du XIXe siècle avec descendants jusqu'à nos jours.

CARDONNET : Arbre unique dont les racines sont de St Martin de Londres et qui, par des mariages au XVIIe siècle, a donné une famille que l'on suit jusqu'à la fin du XIXe siècle.

CARLAC : Arbre du début du XVIIIe siècle formé par le mariage d'un homme venu de Murles (mais originaire de Chirac, en Aveyron), avec une femme de Puéchabon.

CARRIERE : Arbre composé par la descendance illégitime qu'a eue une fille originaire de Causse de Frouzet, veuve de Jean GUY de Puéchabon, avec un autre homme de Puéchabon, Estienne PORTES.

CAUSSE : Patronyme qui semble très répandu, ce qui ne facilite pas la séparation des divers arbres. Neuf arbres ont été formés, sans tenir compter des arbrisseaux et brindilles qui ont été reportés à l'Annexe II car il n'était pas possible de mieux les relier au reste. En résumé, les arbresvont :
- l'arbre 1 du XVIe siècle au début du XVIIIe,
- l'arbre 2 du XVIe siècle au début du XVIIe,
- l'arbre 3 du XVIe siècle au début du XVIIe également,
- l'arbre 4 du milieu du XVIIe siècle au milieu du XVIIIe,
- l'arbre 5 de même,
- l'arbre 6, enraciné à St Jean de Fos, du milieu du XVIIIe au milieu du XIXe,
- l'arbre 7 de la fin du XVIIe siècle (à Montpellier puis à Aniane) au milieu du XVIIIe (à Puéchabon),
- l'arbre 8 du milieu du XVIIIe siècle au milieu du XIXe,
- l'arbre 9, le plus important, enraciné à St Jean de Buèges, du milieu du XVIIIe siècle à la fin du XIXe.

CAVALLIER : Deux arbres, l'un d'une vieille famille de Puéchabon du XVIe siècle s'éteignant au milieu du XVIIIe par manque de garçons et l'autre récent, venu de Gignac au début du siècle et existant encore il y a vingt ans.

CEVERO : Famille originaire d'Algérie dont la petite-fille a épousé un homme de Puéchabon.

CHASSEFYERE : Deux arbres, l'un existant à Puéchabon seulement quelques années à la Révolution et dont une fille y est restée par mariage tout le XIXe siècle et l'autre venu de St Bauzille de Putois quelques années à cheval sur les XIXe et XXe siècles avec mariage et quatre enfants.

CHION : Arbre unique correspondant à un menuisier venu de Montpellier s'établir à Puéchabon au début du XIXe siècle avec enfants y demeurant tout le siècle.

CHRISTOL : Arbre d'origine héraultaise venu se fixer à Puéchabon du début du siècle jusqu'à nos jours.

CLAPAREDE : Deux arbres, le premier d'une famille de bûcherons habitant Puéchabon quelques années autour de 1900 et le second venu d'Argelliers vers la même époque, également pour quelques années (arbres peut-être apparentés).

CLARET : Arbre unique de souche Ste Enimie, en Lozère, dont un fils, berger, est venu se marier à Puéchabon au milieu du XIXe siècle et dont les descendants se retrouvaient à Cournonterral jusqu'à une époque récente.

CLAUZEL : Deux arbres, l'un dont la souche est de Valmalle et dont un garçon est venu prendre femme à Puéchabon au début du XVIIe siècle pendant que deux de ses cousines venaient s'y établir en mariant deux frères HERMET, l'autre de souche de St Bauzille de Putois avec un mariage et trois enfants, morts tout de suite, à Puéchabon au milieu du XIXe siècle.

CLAVEL : Arbre unique, d'origine inconnue, établi à Puéchabon du début du XVIIIe siècle jusqu'au milieu du XIXe.

COMBACAL : Un arbre et deux arbrisseaux, tous de St Jean de Fos avec des garçons venus prendre femme à Puéchabon, fin du XVIIe puis début du XVIIIe pour l'arbre, début du XIXe pour un arbrisseau et milieu du même siècle pour l'autre.

COMBERNOUS : Arbre de Campagnan d'où un veuf est venu vers 1875 se marier à Puéchabon et où un de ses fils est venu mourir chez son grand-père maternel.

COMBES : Quatre arbres, les deux premiers de vieille souche de Puéchabon du XVIe siècle dont l'un est parti à Aniane au début du XVIIe et dont l'autre existe encore à Puéchabon de nos jours. Le troisième arbre est d'un anianais venu prendre femme à Puéchabon au milieu du XIXe siècle (peut-être descendant du premier). Le quatrième, au XXe siècle, dont la souche est à Ceilhes, est d'un montpellièrain qui a pris femme à Puéchabon.

CONDAMINE : Arbre originaire de St Bauzille de la Sylve avec mariage à Puéchabon à la Révolution et descendance jusqu'au milieu du XIXe.

CONTRESTIN : Arbre très important de vieille souche de Puéchabon au XVIe siècle dont certaines branches se sont développées jusqu'à une époque récente. Cinq brindilles que l'on ne peut rattacher à l'arbre mais qui pourraient bien y appartenir.

COSTE : Un arbre et trois arbrisseaux. L'arbre est d'une vieille souche de Puéchabon du XVIe siècle que l'on y trouve jusqu'au début du XVIIIe. Les arbrisseaux (dont deux viennent de Montarnaud) ne sont peut-être pas liés à l'arbre car COSTE est un patronyme assez répandu dans le Midi.

COSTON : Arbrisseau existant à Puéchabon de nos jours venant d'un arlésien venu se marier à Puéchabon.

COULONDRES : Arbre unique d'une famille de Viols-le-Fort de la fin du XVIIe siècle dont les deux fils se sont mariés à deux soeurs de Puéchabon, la famille de l'un y demeurant jusqu'à la fin du XIXe. Le patronyme de COULONDRES se trouve en parallèle avec le nom de VINCENT ou VINSOU qui vient du prénom du grand-père (voir au chapitre 6).

COUPIAC : Deux arbres, l'un d'une vieille souche de Puéchabon du XVIe siècle disparaissant vers le milieu du XVIIe, l'une des filles ayant épousé un homonyme vers la fin du XVIe, souche du second arbre qui se développe à Puéchabon jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. De plus sept arbrisseaux ou brindilles, pour la plupart de la fin du XVIe.

COURNON : Patronyme assez répandu et dont il est difficile de suivre les liaisons entre les six arbres que l'on a distingué, probablement originaires de Puéchabon (et les quatre arbrisseaux ou brindilles qui restent). En résumé les arbres vont :
- l'arbre 1 du milieu du XVIe siècle à la fin du XVIIe,
- l'arbre 2 du milieu du XVIe siècle au milieu du XVIIe,
- l'arbre 3 du milieu du XVIe siècle à la fin du XVIIe,
- l'arbre 4 du milieu du XVIe siècle à nos jours,
- l'arbre 5 du début du XVIIe siècle au début du XIXe,
- l'arbre 6 du début du XVIIe siècle à nos jours.

COURNUT : Deux arbres et un arbrisseau. Un arbre est originaire de St Jean de Buèges, un fils étant venu au début du XVIIe siècle, par deux mariages successifs à Puéchabon, créer une famille qu'on y retrouve jusqu'au début du XIXe et dont une branche se retrouve à Aniane aux mêmes dates. L'autre, dont la souche est de Causse de la Selle, couvre le XVIIIe et s'éteint faute d'héritiers mâles. L'arbrisseau est un homme de St Martin de Londres venu prendre sa seconde épouse à Puéchabon.

CRESPIN : Arbre originaire de St Bauzille de Putois, à Puéchabon au XVIIe siècle, représenté par des filles jusqu'au début du XVIIIe.

CUMINAL : Arbre originaire de St Denis en Lozère dont un fils est venu prendre femme à Puéchabon au milieu du XVIIIe siècle et y a eu alors des enfants.




"Saint-Sylvestre-de-Montcalmès, extérieur"
p. 327 de l'article "Les églises romanes du diocèse de Montpellier, par Maurice de DAINVILLE
(dans le tome II des Mémoires et documents, en 1940, de la Société archéologique de Montpellier)



Fiches D

DAUDE : Deux arbres, un dont la souche est à St Jean de Bruel en Aveyron d'où un couple est venu à Puéchabon au milieu du XVIIe siècle fonder une famille que l'on suit jusqu'au milieu du XIXe et l'autre venu de St Martin de Londres au milieu du XIXe siècle et que l'on suit jusqu'à nos jours.

DAUMAS : Arbrisseau de tronc de Montpeyroux dont une fille est venue se marier à Puéchabon en 1846 avec un garçon de St André. On ne voit pas de raison pour cela.

DECURGEZ : Arbre fondé par un garçon, tailleur de pierre, venu du Valais suisse, à la fin du XIXe siècle, épouser une fille de Puéchabon.

DEJEAN : Arbre de Lunel-Viel dont des individus se sont retrouvés, pour mourir, à Puéchabon, parce qu'un de ses membres y était curé.

DELEUZE : Patronyme assez répandu dont on a retenu trois arbrisseaux ou brindilles dont un venu de St André de Buèges au début du XVIIe siècle et deux de St Jean de Fos (début XVIIe siècle pour l'un, début XVIIIe pour l'autre).

DELIEUZE : Un arbre dont un membre est venu de St Jean de Fos au début du XIXe siècle fonder une famille de sept enfants qui ont dû partir ensuite ailleurs. Il se peut qu'il s'agisse d'une branche des DELEUZE.

DESCOURNUT : Un arbre d'une vieille famille de Puéchabon du milieu du XVIe siècle que l'on connaît jusqu'à nos jours et deux arbrisseaux ou brindilles qui pourraient s'y rattacher.

DESFOUR : Arbre de St Jean de Fos dont un fils est venu se marier à Puéchabon fin du XIXe siècle.

DEVEZE : Deux arbrisseaux ou brindilles du XVIe siècle, dont un d'Aumessas et un de Montarnaud.

DOUMERGUE : Deux arbres dont un originaire de Causse de la Selle au début du XVIIe siècle avec deux branches, l'une aboutissant à la grand-mère maternelle du rédacteur et l'autre étant celle d'une ancêtre de sa femme. L'autre est d'une famille dont on ne connaît pas l'origine que l'on suit à Puéchabon du milieu du XVIe siècle au miliau du XVIIIe.

DUMAS : Arbre d'une vieille famille de Puéchabon du milieu du XVIe siècle qui s'arrête au début du XVIIe où ne restent que des filles.

DUPIN : Patronyme le plus répandu à Puéchabon (et dans les environs probablement). On a pu distinguer neuf arbres sans que l'on puisse affirmer qu'il n'y a pas de liaisons entre eux, et une cinquantaine d'arbrisseaux ou de brindilles qui ont peut-être des liaisons avec eux et/ou entre eux (ou peut-être pas). Pour les arbres on peut noter :
- Arbre 1 d'une vieille souche de Puéchabon avec de nombreuses branches du début du XVIe siècle à nos jours,
- Arbre 2 également d'une vieille souche de Puéchabon, peut-être branche du précédent, s'arrêtant au début du XXe siècle,
- Arbre 3 : à Aniane avec trois mariages avec des familles suivies par ailleurs,
- Arbre 4 : à Puéchabon du milieu du XVIe siècle à la fin du XVIIe mais dont les racines sont ailleurs qu'à Puéchabon d'après le surnom de Massillargues du plus ancien membre connu,
- Arbre 5 : d'une souche de Montferrier à Puéchabon du milieu du XVIIe siècle jusqu'aux temps récents,
- Arbre 6 : originaire de Béziers dont le fils, installé à Aniane, est venu se marier à Puéchabon après un premier veuvage, mais avec les enfants de son premier et de son second mariage d'Aniane et sa troisième épouse d'Aniane ainsi que ses enfants,
- Arbre 7 : arbre d'origine ou de ramification inconnue que l'on suit du milieu du XVIIIe siècle jusqu'aux temps récents,
- Arbre 8 : comme le précédent
Pour les arbrisseaux et brindilles, on n'a pas osé ne pas retenir tous les DUPIN trouvés qui peuvent être rattachés à l'un ou l'autre arbre ou entre eux. Quelques-uns ont des lieux d'origine connus : Aniane, Montpellier, Pompignan et Arles dans les Bouches-du-Rhône.

DURAND : Cinq arbres et quatre arbrisseaux ou brindilles. L'arbre 1 est un arbre de Murles dont descend l'épouse du rédacteur, sans liens directs avec Puéchabon. L'arbre 2 qui a son origine à St Jean de Fos est d'une vieille famille de potiers de la fin du XVIe siècle qui se retrouve à Puéchabon de la fin du XVIIIe aux temps récents. L'arbre 3 est connu à Puéchabon du début du XVIIIe siècle au début du XIXe. L'arbre 4 a son origine à Saugras et couvre presque tout le XVIIIe siècle et le début du XIXe. L'arbre 5 correspondant à une famille de la seconde moitié du XIXe d'un homme de St Jean de Fos marié, comme sa soeur, à Puéchabon. Parmi les quatre arbrisseaux ou brindilles, un est de Murles, un de St Jean de Fos et un de Viols le Fort.

DUSFOURS : Un arbre et un arbrisseau. L'arbre a sa souche à Brissac et un de ses fils s'est marié à Puéchabon au début du XVIIe siècle avec des descendants jusqu'au début du XVIIIe. L'arbrisseau est de St André avec deux filles mariées au milieu du XVIIIe siècle à deux frères DAUDE de Puéchabon.



Fiches E

ESPINAS : Arbre dont la souche est au Château de la Roquete (c'est-à-dire au Château de Londres) et dont fille et garçon sont venus se marier à Puéchabon au début du XVIIe siècle, le garçon y fondant une famille que l'on suit jusqu'au troisième quart du XVIIIe.

ESPINASSE : Famille venue du Tarn et du Tarn-et-Garonne vers 1900 s'installer à Puéchabon jusqu'à nos jours.

ESTOURNET : Arbre fondé par un garçon originaire de St Jean de Fos, marié à Puéchabon au début du XVIIIe siècle.

ETIENNE : Arbre correspondant à l'ascendance d'une fille bâtarde décédée à Puéchabon en 1874 chez le mari de la mère originaire de St Guilhem.

EUZET : Arbre d'origine inconnue formé par mariage avec une fille de Puéchabon au milieu du XVIIIe siècle et y existant jusqu'au début du XXe (une branche est partie à Toulouse). [Note : j'ai signalé, en 2001, l'ascendance (Saint-Martin-de-Londres et, avant, Viols-le-Fort) à Henri FOURNOL et c'est toute la descendance masculine (au lieu d'une branche) que l'on retrouve à Toulouse, au XXe siècle].



Fiches F

FABRE : Patronyme assez répandu et dont il est difficile de lier entre eux les trois arbres et les trois arbrisseaux ou brindilles. L'arbre 1 est une vieille famille de Puéchabon et va du milieu du XVIe siècle au milieu du XIXe. L'arbre 2 est originaire du Château d'Algue de St Michel de Roubies, dont on ne sait où cela se trouve, et va du milieu du XVIe siècle au milieu du XVIIIe. L'arbre 4 correspond à la famille d'un maître d'école du XVIIIe siècle, venu probablement de Lodève. Un des arbrisseaux vient de la Boissière, un autre de Viols le Fort.

FARRUSSENC : Arbre unique dont l'origine est peut-être à Puéchabon fin du XVIe siècle que l'on suit jusqu'au début du XVIIIe et qui va ensuite s'établir à Aniane où on le suit, exceptionnellement, jusqu'au milieu du XIXe car c'est une famille étudiée par Mme DAUVERGNE, d'Aniane, qui a communiqué ses notes au rédacteur.

FAVRE-MERCURET : Arbre fondé à Puéchabon par un homme d'Hotonnes, dans l'Ain, vers la fin du XIXe siècle et y existant toujours de nos jours.

FAYET : Deux arbres et deux arbrisseaux ou brindilles, tous d'Aniane. Les arbres ont été étudiés du début du XVIIe siècle au XVIIIe siècle (au début pour l'un, à la fin pour l'autre) avec les mariages avec des filles de Puéchabon.

FEDIERE : Arbre de charbonniers venus du Château de la Roquete et ayant eu des enfants à Puéchabon.

FELDEN : Famille d'un strasbourgeois venu se marier à Puéchabon durant la dernière guerre et dont un enfant y existe encore de nos jours.

FESQUET : Brindille d'une fille mariée à un homme de Puéchabon.

FLORIT : Arbre dont la source est à Aumessas au milieu du XVIe siècle et dont on suit une branche à Puéchabon jusqu'au début du XIXe.

FOBIS : Deux arbres dont le premier, d'origine inconnue, se trouve à Puéchabon du début du XVIIe siècle au début du XXe, et dont le second originaire de Montpeyroux au début du XIXe siècle s'est développé à Puéchabon jusqu'aux temps récents.

FONZES : Arbre d'un homme de Vendémian venu épouser une fille de Puéchabon avec deux enfants (ses premiers ?) nés à Puéchabon.

FORMENTAL : Arbre d'une vieille famille de Puéchabon du milieu du XVIe siècle s'éteignant après le milieu du XVIIe, faute de garçons survivants.

FOURNIER : Deux arbres et deux arbrisseaux. L'arbre 1 a sa source à Montarnaud avec deux générations mariées à Puéchabon en 1634 et 1671. Pour l'arbre 2 la souche est de La Roque Ste Marguerite en Aveyron avec un fils venu se marier et avoir deux fils à Puéchabon dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Les arbrisseaux sont aussi de Montarnaud et peut-être de la même famille que l'arbre 1.

FREZON : Deux arbres d'Aniane, avec mariages à Puéchabon, que l'on suit du milieu du XVIe siècle jusqu'au milieu du XVIIIe pour l'un et jusque seulement la fin du XVIIe pour l'autre.



Fiches G

GAEL : Arbre unique dont les racines sont à Dourbies dans le Gard à la fin du XVIIe siècle et s'étendent à Puéchabon jusque vers la fin du XIXe. Au début le patronyme est GAREL pour devenir plus tard GAEL et même GAËL.

GAILHAC : Deux arbres dont le premier, très important, est d'une vieille famille de Puéchabon que l'on suit depuis le milieu du XVIe siècle jusqu'à nos jours. L'arbre 2, indépendant du premier, est venu de St-Jean-de-Fos vers la fin du XIXe siècle avec mariage et des enfants à Puéchabon et retour à St-Jean-de-Fos où on le suit jusqu'à une époque récente.

GALABERT : Deux arbres qui ont peut-être même origine, inconnue, allant du début du XVIIe siècle au milieu du XVIIIe.

GALZI : Arbre unique d'origine inconnue allant du début du XVIIIe jusqu'aux temps récents.

GARIN : Arbre dont la souche est à St Bresson dans le Gard au milieu du XVIe siècle et dont un membre marié à Puéchabon y a fondé une famille qui y existe jusqu'au début du XVIIIe.

GARONE : Deux arbres. L'un est de St-Martin-de-Londres avec deux filles venues se marier à Puéchabon et l'autre d'Aniane avec comme racine un tuilier du milieu du XVIe siècle, arbre que l'on suit jusqu'au milieu du XVIIIe avec quatre mariages avec des habitants de Puéchabon.

GAUDET : Deux arbrisseaux du milieu du XVIe siècle, peut-être alliés entre eux, avec des filles mariées et vivant à Puéchabon jusqu'après le milieu du XVIIe.

GAUJOU : Arbre de Viols-Laval du début du XVIIIe siècle (et dont peut-être la souche se retrouve au milieu du XVIIe) avec enfants que l'on suit jusqu'au milieu du XVIIe.

GAY : Patronyme assez répandu dans la région avec cinq arbres dont on ne pense pas qu'ils soient reliés entre eux, soit :
- Arbre 1 : de St Guilhem-le-Désert au début du XVIIe siècle que l'on suit jusqu'aux temps récents,
- Arbre 2 : d'origine inconnue allant du début du XVIIe siècle au milieu du XVIIIe,
- Arbre 3 : de St Jean-de-Fos installé à Aniane au début du XVIIIe siècle avec un mariage avec une fille de Puéchabon et prospérant à Aniane avec à nouveau un mariage et retour à Puéchabon vers le début du XIXe siècle,
- Arbre 4 : de Madières à la fin du XVIIe siècle, à Puéchabon du milieu du XVIIIe jusqu'à nos jours,
- Arbre 5 : de Pégayrolles-de-Buèges à la fin du XVIe siècle dont une fille est venue se marier deux fois à Puéchabon au milieu du XVIIe.

GEISSE : Arbre originaire de Joncels au milieu du XVIIIe siècle établi à Puéchabon jusqu'au début du XXe.

GELI : Berger originaire de Trélans, en Lozère, venu se marier et avoir des enfants à Puéchabon vers le milieu du XIXe siècle.

GERVAIS : Arbre dont l'origine est à St Etienne-d'Issensac et que l'on trouve à Puéchabon au début du XVIIe siècle.

GILIODES : Arbre dont la souche se trouve au mas des Roses, sur le territoire de Puéchabon, au début du XVIIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon et dans la région jusqu'à nos jours.

GINESTIE : Arbre dont la souche est de St Bauzille-de-Putois dans la seconde moitié du XIXe siècle et qui après passage à Puéchabon se trouve de nos jours principalement à Gignac.

GINESTOUS : Petit arbre que l'on trouve peu de temps à Puéchabon dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

GINIER : Arbre dont un fils venu de Lapanouse-de-Cernon, en Aveyron, s'est marié trois fois à Puéchabon vers le milieu du XVIIe siècle.

GOUNEL : Arbre de souche de Dourbies dans le Gard avec deux cousins venus se marier à Puéchabon au début du XIXe siècle et y fonder deux familles dont l'une existe encore de nos jours.

GOUSTIN : Deux arbres d'Aniane, peut-être apparentés, avec quelques mariages avec des gens de Puéchabon, que l'on suit du milieu du XVIe siècle au début du XVIIIe.

GRAILHES : Arbre de Pouzols dont le fils est venu vers le début du siècle fonder une famille à Puéchabon.

GRANIER : Deux arbres et cinq arbrisseaux ou brindilles. L'arbre 1 est un vieil arbre de Puéchabon que l'on suit du milieu du XVIe siècle jusqu'à nos jours. L'arbre 2 est un arbre d'Aniane de la fin du XVIe siècle qui s'étend jusqu'au début du XVIIIe avec deux mariages avec des femmes de Puéchabon.

GROS : Quatre arbres et quatre arbrisseaux ou brindilles. L'arbre 1 est d'une vieille souche de Puéchabon du XVIe siècle s'étendant jusqu'au début du XVIIIe. L'arbre 2, de la fin du XVIe au début du XVIIe siècle, est d'un homme de St Martin-de-Londres venu se marier et décéder à Puéchabon. L'arbre 3 viendrait de Combefagues (?) vers le milieu du XVIIe siècle avec une fille vivant jusqu'en 1738. L'arbre 4 a sa souche à Argelliers et va du milieu à la fin du XVIIIe siècle. Deux des arbrisseaux viennent respectivement de Viols et d'Argelliers.

GUIBAL : Deux arbres et un arbrisseau. L'arbre 1 doit être originaire de Puéchabon vers la fin du XVIe siècle et s'y retrouve jusqu'au milieu du XVIIIe. L'arbre 2 est un arbre que l'on trouve à Aniane du milieu du XVIIe siècle à la fin du XVIIIe avec mariages avec des habitants de Puéchabon. L'arbrisseau, qui semble indépendant des deux arbres, correspond à une fille de Molles, dans le Gard, venue se marier à Puéchabon au tout début du XVIIIe siècle.

GUIGOU : Deux arbres, l'un d'Aniane du début du XVIIIe siècle et l'autre de Combaillaux que l'on suit de la fin du XVIIIe siècle jusqu'au mariage d'un garçon à Puéchabon à la fin du XIXe, une fille ayant vécu jusqu'aux temps récents.

GUIRAUD : Arbre unique d'origine inconnue que l'on suit du début du XVIIe siècle jusqu'à nos jours.

GUIZARD : Trois arbres, deux d'Argelliers, le second étant probablement de la descendance du premier qui couvre la première moitié du XVIIe siècle alors que le second commence vers la seconde moitié du XVIIIe et se poursuit à Puéchabon jusqu'à nos jours. L'arbre 3 distinct des autres vient de Plaissan et couvre la seconde moitié du XXe siècle jusqu'à nos jours.

GUY : Arbre dont la souche est à Bez, dans le Gard, dans la seconde moitié du XVIe siècle et qui prospère à Puéchabon jusqu'au milieu du XVIIIe.



Fiches H

HERMET : Vieil arbre unique de Puéchabon que l'on suit avec ses nombreuses branches du début du XVIe siècle jusqu'à nos jours.

HUBAC : Arbre de Causse-de-la-Selle, dont descend l'épouse du rédacteur, que l'on suit depuis le début du XVIIe siècle jusqu'au mariage d'une fille avec un puéchabonnais.

HUGOL : Arbre de Puéchabon de la fin du XVIe siècle s'éteignant au milieu du XVIIe faute de descendants mâles.

HUGONNET : Arbre du milieu du XVIe siècle que l'on suit à Puéchabon jusqu'au début du XVIIIe.



Fiches J

JALRAS : Famille d'Aniane dont la souche était à St Guilhem venue quelque trente ans à Puéchabon au début du siècle.

JAOUL : Un arbre et deux arbrisseaux d'origines inconnues, probablement charbonniers et probablement alliés entre eux. L'arbre, avec deux mariages à Puéchabon, s'y rencontre pendant les trois quarts du XVIIe siècle. Les arbrisseaux vont du XIXe siècle au tout début du XXe.

JEAN : Arbrisseau de Viols du XVIIe siècle faisant partie des ascendants de l'épouse du rédacteur.

JOLY : Petit arbre originaire de Montpellier et Ganges dont le fils est venu épouser une puéchabonnaise, en premières noces, à la fin du XIXe siècle.

JOULLIE : Trois arbres. L'arbre 1 est d'une vieille famille de potiers du XVIIe siècle de St Jean-de-Fos dont un fils est venu se marier à Puéchabon en 1769 et y avoir deux enfants avant de retourner à St Jean-de-Fos -où on suit la famille jusqu'àprès le milieu du XIXe siècle). L'arbre 2, aussi de St Jean-de-Fos, descend peut-être du précédent et se trouve à Puéchabon du milieu du XIXe siècle jusqu'à une époque récente. L'arbre 3 est d'une famille de charrons d'Aniane du début du XIXe siècle venue pour se marier à Puéchabon avant de retourner à Aniane vers le début du XXe.

JOURDAN : Arbre unique dont la souche est à St Jean-de-Fos au milieu du XVIIIe siècle et que l'on suit à Puéchabon jusqu'à la fin du XIXe.

JOURDE : Arbre d'Aniane que l'on suit du XVIIe siècle au XXe avec mariage d'une fille avec un homme de Puéchabon.



Fiches L

LABEILLE : Arbre unique existant à Puéchabon dès le XVIe siècle et dont certaines branches sont parvenues jusqu'à notre époque.

LACAN : Deux arbres, le premier dont la souche est à Pouzols à la fin du XVIIe siècle dont un fils, chirurgien, est venu s'installer à Puéchabon vers le milieu du XVIIIe et que l'on retrouve dans la région encore de nos jours. Le second arbre, de souche de Ste Eulalie en Aveyron passant par Aniane, a eu une fille mariée en premières noces à un homme de Puéchabon.

LACAS : Arbre d'Aniane que l'on suit depuis la fin du XVIIe siècle jusqu'à deux mariages à Puéchabon autour du milieu du XIXe.

LACHET : Arbre de Trémouilles en Aveyron que l'on suit depuis le début du XIXe siècle jusqu'à notre époque où une fille a épousé un cultivateur de Puéchabon.

LACROIX : Famille de Montpellier de la fin du XVIIIe siècle dont le fils est venu épouser une fille de Puéchabon.

LALE : Famille de Montagnac du début du XVIIe siècle dont un fils est venu au début du XVIIIe s'établir à Puéchabon, s'y marier et y fonder une famille dont les descendants peuvent être suivis dans la région jusqu'à nos jours. A l'origine le nom n'était pas LALE mais ALOS.

LALEQUE : Cinq arbres et quatre arbrisseaux. L'arbre 1 est de St Jean-de-Buèges de la fin du XVIe siècle avec deux mariages à Puéchabon au début du XVIIe. A part l'arbre 3 qui est originaire de Frouzet et existe à Puéchabon de la fin du XVIIIe siècle au début du XXe, les autres arbres et les arbrisseaux ont leur souche à Causse-de-la Selle :
- l'arbre 2 dans la seconde moitié du XVIIIe siècle à Puéchabon jusque vers le milieu du XIXe,
- l'arbre 4 durant le XIXe siècle,
- l'arbre 5 du milieu du XIXe siècle au milieu du XXe,
- les arbrisseaux au XVIIe siècle pour les deux premiers et aux XVIIIe et au XIXe siècle pour les autres.
Probablement les LALEQUE sont des branches d'une famille de charbonniers de Causse-de-la-Selle venant travailler dans les bois de Puéchabon.

LALIER : Famille de Ségur, en Aveyron, que l'on trouve à Puéchabon durant tout le XVIIIe siècle à la suite de deux de ses membres curés. Trois filles de cette famille se sont mariées à Puéchabon.

LARROQUE : Deux arbres. Le premier d'une famille existant à Puéchabon du XVIe siècle au XVIIe et le second venant de St Martin-de-Londres au début du XVIIe.

LARROUYET : Famille originaire de St Goin, Pyrénées-Atlantiques, de passage à Puéchabon vers la fin du XVIe siècle, un fils y étant instituteur.

LAUTARD : Arbrisseau de St André au XVIe siècle dont une fille s'est mariée à Puéchabon au début du XVIIe.

LAUTIER : Arbre dont la souche est à Lagamas au XIXe siècle passant à St Saturnin et à St Paul-et-Valmalle avec deux mariages avec des Puéchabonnais au début du XXe.

LAVAL : Quatre arbres et deux arbrisseaux ou brindilles. Les trois premiers arbres sont d'origines inconnues et se trouvent à Puéchabon du début du XVIIe siècle au début du XVIIIe pour les deux premiers et au milieu du XIXe siècle pour le troisième. L'arbre 4 a sa souche à Viols-Laval au début du XVIIIe siècle et est suivi à Puéchabon et dans la région jusqu'aux temps récents. Les arbrisseaux ou brindilles sont de Viols (sans doute Viols-Laval) du début du XVIIe siècle.

LAZUTTES : Six arbres :
- l"arbre 1 d'une vieille famille de Puéchabon du milieu du XVIe siècle avec plusieurs branches dont une que l'on suit jusqu'au début du XIXe,
- l'arbre 2 d'origine inconnue que l'on suit du milieu du XVIIe siècle jusqu'au début du XXe,
- l'arbre 3 également d'origine inconnue de la fin du XVIIe siècle,
- l'arbre 4, dont la souche est à Argelliers à la fin du XVIe siècle, prospère à Puéchabon jusqu'à nos jours,
- l'arbre 5 de même origine du début du XVIIIe siècle (peut-être de la même souche) va jusqu'à la fin du XIXe,
- l'arbre 6 vient de St André au début du XIXe siècle avec mariage et enfants à Puéchabon avant le milieu de ce siècle.

LONJON : Petit arbre de Montpeyroux avec un mariage avec une fille de Puéchabon en 1869 et dont le fils se trouve encore dans le Lot-et-Garonne au milieu du XXe siècle.



Fiches M

MARRE : Deux arbrisseaux de Viols à la fin du XVIe siècle, probablement apparentés, avec mariages à Puéchabon.

MARTEL : Arbre originaire de Puéchabon au XVIe siècle s'y retrouvant jusqu'à la seconde moitié du XVIIe.

MARTIN : Famille dont la souche est à Lauroux au XIXe siècle et dont un fils est venu se marier à Puéchabon et s'y établir jusqu'à nos jours.

MARTINIER : Arbre dont la souche est à Murles d'où deux frères sont venus à la fin du XVIIe siècle se marier à Puéchabon et y ont prospéré jusqu'à la fin du XIXe.

MASSAL : Arbre originaire de Puéchabon au XVIe siècle y subsistant jusqu'au milieu du XVIIe.

MATHIEU : Arbre originaire de Puéchabon au XVIe siècle que l'on suit jusqu'à nos jours.

MAURAND : Arbre originaire de Puéchabon au XVIe siècle que l'on y trouve jusque vers le milieu du XVIIe représenté uniquement par des filles.

MAUREL : Petit arbre originaire des Laubies, en Lozère, avec deux mariages à Puéchabon au XIXe siècle.

MAURY : Deux petits arbres. Le premier est de St Jean de Fos, un fils étant venu prendre femme en 1809 à Puéchabon où elle a eu son premier né. Le second, d'origine inconnue, est représenté au XIXe siècle par le père et le fils maîtres d'hôtel, le fils se mariant en secondes noces avec une fille de Puéchabon.

MAZEMAT : Famille de Dreu, dans le Gard, dont un fils, berger, est venu marier une fille de Puéchabon au début du XVIIIe siècle et y fonder une famille qui s'éteint à la fin du siècle, faute de descendants.

MEISSONNIER : Famille d'Aniane que l'on ne trouve pas à Puéchabon mais dont descend l'épouse du rédacteur.

METGE : vVieille famille de Puéchabon du XVIe siècle que l'on suit jusqu'à la seconde moitié du XVIIIe.

MEZOUL : Petite famille de St Bauzille-de-Putois dont un fils est venu se marier et avoir un enfant à Puéchabon au milieu du XIXe siècle.

MICHEL : Trois arbres :
- l'arbre 1 de Viols y couvre tout le XVIIe siècle et n'a pas de liaison particulière à Puéchabon mais fait partie des ascendants de l'épouse du rédacteur,
- l'arbre 2 est d'Aniane et on le suit du début du XVIIe siècle jusque vers la fin du XVIIIe avec un mariage à Puéchabon,
- l'arbre 3, peut-être descendant de l'un des deux autres (ou des deux) est suivi du début du XIXe siècle jusqu'à notre époque.

MILHE : Arbre dont la souche est à Roquebrune sans mariages à Puéchabon mais que l'on a conservé car une descendante, institutrice, est restée à Puéchabon plus de quarante ans jusqu'à son décès à l'âge de 79 an en 1939.

MOLENAC : Deux arbrisseaux de Grabels, peut-être de même souche, avec mariages à Puéchabon à la fin du XVIIIe siècle.

MONTAGNIE : Arbre dont la souche est à St Jean-de-Fos au XVIe siècle que l'on suit à Puéchabon jusqu'au XVIIIe. Un arbrisseau d'origine inconnue est peut-être allié au précédent et est connu par deux mariages à Puéchabon vers 1575 et en 1604.

MONTAIGNON : Arbre dont la souche est à St Martin-de-Londres au XVIe siècle et que l'on suit à Puéchabon jusqu'à la première moitié du XVIIIe.

MOULIS : Arbre dont la souche est à St Guilhem au milieu du XVIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon jusqu'à notre époque.



Fiches N

NAZAIRE : Arbre fondé à Puéchabon au milieu du XVIIIe siècle par un enfant trouvé (de père et mère inconnus) que l'on suit jusqu'au milieu du XIXe.

NICOT : Arbre dont la souche est à Murles et dont deux filles sont venues se marier à Puéchabon vers le milieu du XVIIIe siècle.

NOUALHAC : Arbre originaire de St-Martin-de-Londres au XVIIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon de la fin de ce siècle jusqu'à nos jours.



Fiches O

OLIVIER : Deux arbrisseaux du XVI siècle. Le second originaire d'Argelliers fait partie des ascendants de l'épouse du rédacteur et a donné une femme à un habitant d'Aniane en 1633.

OLLIER : Vieil arbre de Puéchabon, peut-être OLIVIER à l'origine au XVIe siècle, et qui s'éteint au milieu du XVIIIe faute de descendants mâles.



Fiches P

PAGES : Arbre d'origine inconnue que l'on suit du début du XVIIe siècle jusqu'au milieu du XVIIIe.

PALMIER : Arbre dont la souche est à Massegros, en Lozère, vers la fin du XIXe siècle et qui existe encore à Puéchabon de nos jours.

PASCAL : Arbre dont la souche est à Malzieu, en Lozère, vers la fin du XVIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon et dans la région jusqu'à nos jours.

PASCOU : Arbre du diocèse de Mende avec un fils ayant eu un enfant naturel avec sa fiancée de Puéchabon.

PASTRES : Arbre dont la souche est à Chananz, en Lozère, au milieu du XVIe siècle et s'éteignant à Puéchabon au XVIIe faute de descendants mâles.

PAUL : Arbre dont l'origine est à Viols au XVIIe siècle et que l'on suit à Puéchabon jusque vers la fin du XVIIIe.

PAULET : Arbre d'Argelliers dont un fils est venu se marier et avoir deux enfants à Puéchabon au début du XVIIIe siècle.

PEIRO : Arbrisseau. Espagnol marié à Puéchabon vers 1934 avec une DUPIN.

PELISSON : Petit arbre de St Martin-de-Londres avec mariage et un enfant à Puéchabon vers la seconde moitié du XVIIe siècle.

PEPIN : Arbre de souche à Montarnaud dont un fils, par deux mariages à Puéchabon, y a eu deux familles dans les débuts du XVIIe siècle.

PERIER : Vieil arbre de Puéchabon que l'on suit du milieu du XVIe siècle jusqu'à la fin du XVIIe.

PETIT : Arbre de St Paul-le-Froid, en Lozère, à la fin du XVIIe siècle dont un fils est venu se marier et avoir des enfants à Puéchabon au XVIIIe. Le patronyme est tantôt PETIT tantôt PRIVAT, ce dernier pouvant être le prénom de l'ancêtre (à St Paul-le-Froid, de nos jours, les deux patronymes coexistent en parts à peu près égales).

PEYRONNET : Arbre originaire de St Maurice au XIXe siècle dont le fils, marié à Puéchabon, y a fondé une famille que l'on trouve jusqu'à une époque récente.

PEYTAVI : Famille originaire du Gard venue habiter Puéchabon de 1880 à 1930 environ (après être passée dans la région de Ganges) avec la dernière fille mariée à Puéchabon.

PIOCH : Patronyme très répandu à Puéchabon et dans la région (parfois sous la forme PUECH) et qu'étudie particulièrement Monsieur Emile PIOCH d'Argelliers. Ce dernier est persuadé que toutes les familles PIOCH ne forment qu'un seul arbre mais comme les liaisons ne sont pas évidentes on a conservé la séparation en six arbres :
- l'arbre 1 est une vieille famille de Puéchabon que l'on suit du milieu du XVIe siècle jusque vers la fin du XVIIe,
- l'arbre 2 est un arbre très important d'Aniane que l'on suit du XVIe siècle jusqu'à nos jours avec quelques mariages avec des familles de Puéchabon,
- l'arbre 3 est d'origine inconnue du XVIIe siècle venu à Puéchabon au début du XVIIIe et qui y a prospéré jusqu'à nos jours dans la région propre,
- l'arbre 4 est de St André-de-Majencoules, dans le Gard, au début du XVIIIe siècle, avec des échanges fréquents avec Puéchabon et est venu s'établir à Argelliers,
- l'arbre 5, de St Jean-de-Fos, est suivi du début du XVIIIe siècle jusqu'au milieu du XIXe,
- l'arbre 6 de St Saturnin à la fin du XVIIIe siècle a eu un fils marié à Puéchabon et y ayant eu ses enfants au milieu du XIXe.

POMIER : Arbre dont la souche est à Sauclières, en Aveyron, au milieu du XVIe siècle et qui existe à Puéchabon du début du XVIIe au début du XVIIIe.

PONTIER : Arbre de St Paul du début du XVIIe siècle dont un fils est venu se marier à Puéchabon au milieu du XVIIIe et y a prospéré dans la région proche jusqu'aux temps récents.

PORTALES : Deux arbres, l'un de St Etienne-du-Pont du XVIe siècle qui a donné une femme à COURNON en 1603, l'autre d'origine inconnue venu s'établir à Puéchabon au milieu du XVIIe siècle et que l'on suit jusqu'au milieu du XVIIIe.

PORTES : Vieil arbre de Puéchabon du XVIe siècle qui y a prospéré jusque vers 1925.

POUJOL : Deux arbres, l'un d'origine inconnue du XVIIIe siècle que l'on suit à Puéchabon jusqu'au milieu du XIXe, l'autre dont la souche est à St Guilhem-le-Désert au début du XIXe et dont un fils s'est marié deux fois à Puéchabon avec descendance jusqu'à nos jours.

POULAUD : Arbre dont la souche est à Montpeyroux à la fin du XVIIIe siècle avec descendance, hors de Puéchabon, jusqu'à nos jours.

POURTALIE : Arbre de St Jean-de-Fos de la fin du siècle dernier dignement représenté à Puéchabon de nos jours (maire en exercice en 1990).

POURTIER : Petit arbre de St Jean-de-Fos dont un fils s'est marié et a eu deux enfants à Puéchabon au milieu du XVIIIe siècle.

PRADAL : Arbre dont la souche est à Asprières, en Aveyron, au début du XVIIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon jusqu'au début du XIXe.

PRIVAT : Arbre dont l'origine remonte à une famille de tuiliers du XVIe siècle venue de Montpellier à Aniane où elle s'est établie jusqu'à la fin du XVIIIe avec plusieurs mariages avec des filles de Puéchabon. Le patronyme a été au début sujet à variations entre PRIVAT et COSTE.



Fiches Q

QUATREFAGES : Deux arbrisseaux du XVIIe siècle dont un originaire de St Jean de Bruel en Aveyron.

QUEYREL : Arbrisseau de la famille d'un homme de Troche, en Corrèze, venu se marier à Puéchabon vers 1949.



Fiches R

RACANIER : Deux arbres, l'un originaire de Sauclières en Aveyron au XVIIe siècle dont les descendants sont suivis à Aniane jusqu'au milieu du XVIIIe, l'autre originaire de St Jean-de-Fos au début du XIXe siècle dont deux fils sont venus se marier à Puéchabon et y faire souche jusqu'à nos jours.

RANBAUD ; Arbre dont la souche est à Viols venu s'implanter à Puéchabon au début du XVIIe siècle.

RAYMOND : Trois arbres. L'arbre 1 a son origine à Dourbies dans le Gard à la fin du XVIe siècle et existe à Puéchabon jusqu'au milieu du XVIIIe. L'arbre 2, dont on ne cannaît pas l'origine, va du XVIIe siècle au milieu du XVIIIe. L'arbre 3 de St Jean-de-Buèges a été de passage à Puéchabon pendant une vingtaine d'années autour de 1900.

REBOL : Arbre originaire du Château de la Roquete au XVIe siècle avec descendance à Puéchabon au début du XVIIe siècle avec deux filles qui s'y sont mariées.

REDONNEL : Arbrisseau du XVIe siècle faisant partie des ancêtres de l'épouse du rédacteur.

REVEL : Arbre dont la souche est à Roques, en Lozère, au XVIe siècle que l'on suit à Puéchabon jusqu'à la fin du XVIIIe.

REVERSAT : Arbre de Montagnac du XVIIe siècle sans liaison directe avec Puéchabon mais dont descend l'épouse du rédacteur.

REYNES : Arbre de Montpeyroux du XVIIe siècle dont un fils est venu prendre femme à Puéchabon.

RICARD : Deux arbres. L'arbre 1 a sa souche à Nant en Aveyron au début du XVIIe siècle et a prospéré à Puéchabon jusqu'à la fin du XVIIIe. L'arbre 2 est de La Boissière avec un fils venu se marier et avoir deux enfants à Puéchabon dans la première partie du XIXe siècle.

RICHOME : Deux arbres, le premier de Vailhauquès du XVIe siècle avec mariages à Puéchabon dans la première moitié du XVIIe et le second d'origine inconnue, peut-être descendant du premier, avec mariages à Puéchabon au XIXe siècle.

RIVIERE : Arbre unique dont l'origine est à La Panouse en Lozère au milieu du XVIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon jusqu'à nos jours. Au début le nom de l'ancêtre était Pierre JULIEN et celui de son fils François JULIEN mais lors du second mariage de ce dernier le père est nommé Julian RIVIERE et lui-même Jean François RIVIERE.

ROBERT : Deux arbres, l'un de Viols du XVIIIe siècle dont un fils est venu se marier et avoir ses enfants à Puéchabon à la fin du siècle et l'autre de St Julien-du-Tournel en Lozère au début du XIXe siècle que l'on suit à Puéchabon et dans le Midi jusqu'à nos jours.

ROGER : Arbre d'origine inconnue du XVIIe siècle que l'on trouve à Puéchabon jusqu'au début du XVIIIe.

ROUEL : Arbrisseau de Viols des XVIIe et XVIIIe siècles d'où descend l'épouse du rédacteur.

ROUGER : Arbre d'Argelliers du XIXe siècle que l'on trouve, avec trois mariages, à Puéchabon jusqu'à une époque récente.

ROUQUET : Arbre de St Hippolyte, dans le Gard, du XVIe siècle dont un fils est venu se marier à Puéchabon où il n'a eu que deux filles, ce qui termine la branche vers le milieu du XVIIe siècle.

ROUSSEL : Arbre dont la souche est à Pégairolles-de-Buèges et qui s'est développé à Aniane sur tout le XVIIe siècle et jusqu'au milieu du XVIIIe.

ROUVEYROLY : Arbre de Ganges du XIXe siècle que l'on retrouve à Puéchabon jusqu'aux temps récents.

ROUX : Deux arbres. L'arbre 1 d'origine inconnue au début du XVIIe siècle se retrouve à Puéchabon puis à Aniane jusqu'au milieu du XVIIIe. L'arbre 2 dont la souche est à Combaillaux à la fin du XVIIIe existe encore à Puéchabon de nos jours.

RUFIE : Arbrisseau d'origine inconnue de la première moitié du XVIIIe siècle.



Fiches S

SAINT-JULIEN : Arbre de St Jean-de-Fos du début du XIXe siècle dont un fils est venu se marier et s'établir à Puéchabon où on le trouve jusqu'au début du XXe siècle.

SALENDRES : Arbre dont la souche est de St Martial, dans le Gard, à la fin du XVIIIe siècle dont un fils par deux mariages est venu fonder à Puéchabon une famille que l'on y trouve jusqu'à la fin du XIXe.

SALES : Deux arbres et un arbrisseau. L'arbre 1 dont la souche est à St Guilhem à la fin du XVIIIe siècle s'est développé à Puéchabon jusqu'au début du XXe. L'arbre 2 dont la souche est à St Bauzille-de-la-Sylve à la fin du XIXe siècle dont on retrouve les descendants de nos jours vers Gignac. L'arbrisseau correspond à des ancêtres de l'épouse du rédacteur avec une fille mariée avec un GAILHAC de Puéchabon en 1767.

SALOT : Arbre dont la souche est à St Germain, en Lozère, à la fin du XVIe siècle et que l'on trouve à Puéchabon jusqu'au milieu du XVIIIe.

SAMBOUIS : Branche des Bouches-du-Rhône des ancêtres de l'épouse du rédacteur aboutissant au père de sa grand-mère, tailleur de pierre, venu travailler dans la région de Puéchabon où il a épousé en 1876 une GAILHAC avant d'aller s'installer à St Jean-de-Fos.

SANNIER : Trois arbres et huit arbrisseaux ou brindilles. On a :
- l'arbre 1 d'une vieille souche de Puéchabon du XVIe siècle qui y a prospéré, ou dans la région, jusqu'à nos jours,
- l'arbre 2, qui doit être d'une branche collatérale de la précédente, est suivi à Puéchabon du XVIe siècle au milieu du XVIIIe,
- l'arbre 3 qui est peut-être affilié aux précédents couvre le XVIIe siècle.
Les arbrisseaux ou brindilles n'ont pas pu être rattachés aux arbres précédents et l'on ne connaît pas leurs origines.

SARRAN : Deux arbres. L'arbre 1 existant au XVIe siècle s'éteint vers le milieu du XVIIe faute de descendants mâles. L'arbre 2 dont la souche est à St André de Majencoules dans le Gard au début du XIXe siècle a prospéré à Puéchabon jusqu'à nos jours.

SECONDI : Petit arbre d'origine inconnue que l'on trouve à Puéchabon au début du XIXe siècle.

SERANE : Trois arbres et trois arbrisseaux. L'arbre 1 est celui d'ancêtres de l'épouse du rédacteur du XVIe siècle de La Boissière. L'arbre 2 dont l'origine est à St Jean-de-Buèges au XVIe siècle est présent à Puéchabon jusqu'au milieu du XVIIIe. L'arbre 3, comme l'arbre 1, a son origine à La Boissière au XVIe siècle et est probablement apparenté à ce dernier sans que l'on puisse le prouver. Deux des arbrisseaux ont leurs origines connues, l'un à Vailhauquès au XVIe siècle, l'autre à Argelliers au début du XVIIIe.

SERVIERE : Arbrisseau du début du XXe siècle, famille d'un gendarme né à Aniane.

SEVERAC : Arbre dont la souche est à St Guilhem-le-Désert à la fin du XVIIIe siècle et qui s'éteint à Puéchabon au début du XXe faute de descendants mâles.

SIMON : Arbre dont l'origine est à St Hilaire dans la première moitié du XIXe siècle et dont un fils marié à Puéchabon en 1864 a fondé une famille qui s'est distinguée en particulier avec le dernier maire avant l'actuel (1990).

SINDON : Arbrisseau d'Aniane non directement présent à Puéchabon qui correspond au XVIIe siècle à des ancêtres de l'épouse du rédacteur.

SIVAN : Arbrisseau de la famille d'un "régent des écoles" du milieu du XVIIIe siècle.

SORO : Arbre dont l'origine est en Espagne dont un fils s'est marié à Puéchabon à la fin du XIXe siècle et qui s'est trouvé représenté par des filles jusqu'aux temps récents.

SOULAS : Un arbre et trois arbrisseaux. L'arbre correspond à la famille d'un homme peut-être originaire de Viols et d'une femme peut-être de Combaillaux que l'on trouve à Puéchabon au début du XVIIIe siècle. Deux des arbrisseaux sont originaires de Viols au XVIIIe siècle et probablement apparentés à l'arbre précédent.

SOULIER : Trois arbres, tous d'Aniane au XVIe siècle et probablement apparentés :
- l'arbre 1 que l'on suit jusqu'à la fin du XVIIe siècle,
- l'arbre 2 qui y prospère jusqu'à la fin du XVIIIe,
- l'arbre 3 que l'on suit, comme le premier, jusqu'à la fin du XVIIe.

SOUBEYRAN : Arbre d'Aniane du XVIIe siècle dont un fils a pris femme à Puéchabon.

SYLVESTRE : Petit arbre de Gignac du XVIIe siècle dont un fils s'est marié à une femme de Puéchabon, celle-ci ayant eu son premier enfant.



Fiches T

TARDIEU : Deux arbres dont le premier, assez important, a son origine à St Paul-le-Froid en Lozère à la fin du XVIIe siècle avec trois frères mariés à Puéchabon ou dans la région donnant des branches que l'on suit jusqu'à des temps récents. L'arbre 2 ne semble pas apparenté au premier car originaire de St Jean-de-Cuculles au XIXe siècle avec un mariage à Puéchabon.

TEISSERAN : Arbre du XVIIe siècle d'origine inconnue avec sept enfants dont on ne connaît pas le devenir (sauf pour un, décédé à un an).

TEISSIER : Deux arbres, le premier d'origine inconnue de la seconde moitié du XVIIe siècle que l'on suit jusqu'au milieu du XVIIIe, le second a sa souche à Mas d'Orcières en Lozère dans la première moitié du XIXe siècle et, avec deux mariages à Puéchabon vers 1920, se retrouve dans la région jusqu'à nos jours.

TRIAIRE : Petit arbre de Sumène dans le Gard au XVIIIe siècle avec mariage à Puéchabon (un enfant mort-né est arrivé deux mois après la mort du père).

TRICOU : Deux arbres d'ancêtres de l'épouse du rédacteur :
- l'arbre 1 dont la souche est à St Jean-de-Buèges au XVIe siècle a donné plusieurs branches dont une suivie jusqu'au début du XXe siècle,
- l'arbre 2 dont la souche est à Argelliers au XVIe siècle également, deux filles étant venues se marier à Puéchabon (dont une trois fois).



Fiches V

VAISSETE : Arbre originaire d'Aniane au début du XVIIe siècle dont une fille est venue se marier avec un GAILHAC de Puéchabon à la fin du siècle.

VALDEBOUSE : Arbre dont la souche est à St Jean-de-Bruel en Aveyron dans la seconde moitié du XVIIe siècle et qui a prospéré à Puéchabon et dans la région jusqu'à nos jours.

VALLAT : Petit arbre d'une famille de Lanuéjols dans le Gard dont un fils est venu prendre femme à Puéchabon vers 1930.

VANAY : L'origine de ce petit arbre est à Colombey-Muraz en Suisse. Un fils, tailleur de pierre, est venu épouser une puéchabonnaise en 1887 et habiter par moment à Puéchabon et y avoir certains de ses enfants.

VAQUIER : Vieil arbre de Puéchabon du XVIe siècle avec plusieurs branches dont une que l'on retrouve de nos jours en plusieurs lieux.

VAREILLES : Trois arbres :
- l'arbre 1 originaire d'Aniane au début du XVIIe siècle installé à Puéchabon vers le milieu du siècle avec des descendants jusqu'à la seconde moitié du XVIIIe siècle,
- l'arbre 2 originaire de Causse-de-la-Selle, également au début du XVIIe siècle, que l'on retrouve à Puéchabon de la fin de ce siècle jusqu'à la fin du XVIIIe,
- l'arbre 3 originaire également d'Aniane vers le milieu du XVIIe siècle avec une fille épousant un CONTRESTIN de Puéchabon en 1701. Peut-être apparenté à l'arbre 1.

VERDIER : Arbre unique de Puéchabon du XVIe siècle que l'on suit jusqu'au premier tiers du XIXe siècle.

VIALA : Sept arbres et sept arbrisseaux ou brindilles. Ce patronyme est assez répandu dans le Midi et l'on a :
- l'arbre 1 originaire de St Guilhem-le-Désert au début du XVIIe siècle que l'on suit à Puéchabon jusqu'au milieu du XIXe,
- l'arbre 2 de Causse-de-la-Selle au XVIIIe siècle n'a pas de liaison directe avec Puéchabon mais correspond à des ancêtres de l'épouse du rédacteur,
- l'arbre 3 est d'origine inconnue et couvre les deux premiers tiers du XVIIe siècle,
- l'arbre 4 est d'Aniane suivi du début du XVIIe siècle jusqu'au début du XVIIIe,
- l'arbre 5 est d'origine héraultaise (le fils, garde-chasse, était né à Mudaison vers 1806) avec deux filles mariées à Puéchabon vers 1870,
- l'arbre 6 est une famille venue de la Lozère, vers le premier tiers du XIXe siècle,
- l'arbre 7 vient aussi de la Lozère, d'Estables, vers le second tiers du XIXe siècle avec le fils marié deux fois à Puéchabon, la première fois avec une fille de Puéchabon, la seconde fois avec une lozérienne.
Pour la plupart, les arbrisseaux ou brindilles sont originaires de Causse-de-la-Selle ou de sa région entre le milieu du XVIIe siècle et le milieu du XIXe.

VICHE : Arbrisseau correspondant à la famille d'un homme du Pouget venu vers la fin du XVIIe siècle à Puéchabon pour s'y marier et y avoir deux enfants (le premier avant le mariage).

VIGOUREL : Arbre d'Aniane que l'on suit du milieu du XVIIe siècle jusque vers la fin du XVIIIe avec un mariage avec une puéchabonnaise en 1730.

VILLARET : Trois arbres et un arbrisseau. L'arbre 1 est un arbre d'Aniane suivi du XVIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe avec plusieurs mariages avec des familles de Puéchabon. L'arbre 2 est aussi d'Aniane au XVIe siècle (paut-être apparenté au premier) avec un mariage avec une BOYER de Puéchabon. L'arbre 3 a sa souche à Alzon dans le Gard, à la fin du XVIIe siècle et est suivi à Puéchabon jusqu'au début du XIXe siècle. L'arbrisseau correspond à un mariage d'habitants de St Guilhem en 1612 dont on ne voit pas pourquoi il a eu lieu à Puéchabon.

VINAS : Famille d'un pupille élevé à Puéchabon autour de 1936 et qui est venu s'y établir et y avoir ses enfants vers 1965.

VISSEQ : Arbre dont la souche est à St Jean-de-Fos au début du XIXe siècle et dont un fils est venu se marier à Puéchabon en 1861 où il a fondé une famille qui a essaimé principalement du côté de Mauguio jusqu'à nos jours.



Fiches Y

YLARY : Arbre de Montarnaud du XVIe siècle que l'on suit à Puéchabon jusqu'au premier quart du XVIIe. YLARY est peut-être une déformation de ALARIE.




Géographie - Histoire - Démographie

L'introduction de son Mémoire (le 10.05.1995) présente, d'une façon humoristique, la problématique : "Qui a entendu parler de Puéchabon ? Jusqu'au 17 juillet 1994, Puéchabon était un village peu connu car sans hommes célèbres. Je n'ai trouvé, en dehors de ses murs, qu'un Raymond de Podio Abone, secrétaire du pape Innocent III, qui signa en 1215, à la foire de la Saint-Jean de Troyes, le reçu d'une somme de 1200 marcs sterlings. Cette somme, qui représentait le coût de l'inféodation du comté de Melgueil, était versée par un marchand de Montpellier, Jean BOCADOS, pour le comte de Guillaume d'AUTIGNAC, évêque de Maguelonne. Il est certain que c'était peu pour arriver à une renommée mondiale. mais le 17 juillet 1994, le Tour de France est passé à Puéchabon ! Le programme de la quatorzième étape, Castres-Montpellier (...) le montre bien. La côte de Puéchabon, sur la route D 32, quoique seulement de 4e catégorie, monte depuis Aniane, vers 60 m, jusqu'à 300 m au sortir de la commune vers Viols-le-Fort. Le monde entier, 150 pays avec environ un milliard de téléspectateurs, a pu voir, sous un soleil caniculaire, les cinq échappés, SÖRENSEN, STEPHENS, HERVÉ, GHIROTTO et JAERMANN, passer à Puéchabon avec 9 minutes d'avance sur le peloton dans lequel HEPPNER chute et se blesse à la tête. L'hélicoptère de France 2 a montré, non seulement les coureurs dans la côte avant et après Puéchabon, mais aussi tout le village (...)"

Dans la suite de l'introduction, il explique comment il est passé de la recherche généalogique familiale à la généalogie de toute la population puéchabonnaise. En voici, quelques extraits : "Puéchabon était aussi le lieu d'origine de l'arrière-grand-mère de ma femme, Marie Philomène GALHAC (ou GAILHAC), née le 6 mai 1859, mariée à un tailleur de pierre venu des Bouches-du-Rhône, Paulin Joseph SAMBOUIS. C'est aussi à Puéchabon qu'est née le 10 juin 1877 leur première fille, Victorine Césarine Onésime, grand-mère maternelle de ma femme. (...) C'est, bien entendu, lorsque nous nous sommes mis à rechercher les ancêtres de nos enfants, donc mes ancêtres et ceux de ma femme, que nous nous sommes rendus à Puéchabon pour consulter les registres dont les premiers dataient de 1598. (...) On y trouve (sur l'arbre généalogique de son épouse) à peu près 280 personnes réparties sur une douzaine de générations. Les dates données pour les naissances et les mariages sont en général exactes pour les XVIIIe et XIXe siècles, approchées pour le XVIIe siècle et estimées pour le XVIe siècle. Elles précisent la correspondance entre parents et enfants dans les liaisons de consanguinité. C'est justement pour débrouiller les problèmes de consanguinité que j'ai été conduit alors à élargir mes recherches généalogiques jusqu'à la reconstitution de toutes les familles de Puéchabon et de ne pas me contenter d'une simple généalogie ascendante. Ces travaux de reconstitution m'ont amené à rédiger en 1990 une étude intitulée Une forêt généalogique - Essai de reconstitution des familles de Puéchabon (Hérault) qui n'a fait l'objet que d'un tirage privé et un peu confidentiel. Des corrections y ont été apportées au fur et à mesure des recherches ultérieures et l'arbre représenté en fait le point à la fin 1994 pour les ascendants de ma femme, mais les autres familles ont été également corrigées et complétées au fur et à mesure. Ce ne sont plus 280 personnes qui sont citées dans cette étude, mais près de 15 000." (à compléter)

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