La lignée des EUZET du mas d'Euzet de Saint-Gély-du-Fesc (34).
La branche d'Eaubonne.
(T 69)
Pour mieux situer les EUZET d'Eaubonne, il est suggéré : de consulter "les EUZET de Beaulieu" dans
Beaulieu (génération 4) |
Signification des abréviations : ° : naissance b : baptême p : parrain m : marraine fs : fils fa : fille test : testament x : mariage Cm : contrat de mariage + : décès (+) : enterrement |
La présentation du
lieu.
1/ La présentation du lieu
2/ L'état des connaissances
La Marianne d'Eaubonne est attribuée à un sculpteur nommé J. CHAUMONT
Génération 1 "La lignée" (générations 19) : :
Génération 2 "La lignée" (générations 20) : :
3/ Questions Les lignées issues de l'Hérault
L'état des
connaissances.
Questions.
Eaubonne est une commune du département du Val d'Oise, presque totalement urbanisée, à 15 km de Paris.
Acquise par une délibération du 17.08.1878, pour un montant de 60 francs,
frais supportés par les conseillers municipaux (photo J.C.E., le 18.02.2010)
- Antoine, Gabriel (fs François Marius et Anna, Appollonie GROLIER) ° 11.11.1902, à Beaulieu ; signalé aux recensements de Beaulieu de 1906 et 1911, avec ses parents ; signalé au recensement de Beaulieu de 1921 avec ses parents mais comme domestique chez François BOISSIER ; classe 1922, n° 209 du registre matricule de Montpellier ; description physique à l'incorporation, le 14.11.1922 : cheveux : châtain, yeux : châtain, front : moyen, nez : gros, visage : ovale, taille : 1 m 67 ; service comptant au 01.11.1922, au 3ème régiment d'infanterie (matricule 3933) ; nommé musicien le 06.05.1923 ; renvoyé dans ses foyers le 07.05.1924 ; le 11.04.1926, il habite "133 rue du Ranelagh, à Paris" (16ème arrondissement) ; affecté spécial de la compagnie des chemins de fer du Nord comme homme d'équipe au 05.01.1928 ; passé d'office en domicile dans la subdivision de la Seine Central, "ayant son emploi à Paris" ; x Marthe Augustine GUIDOT, le 26.04.1928, à Paris (16ème arrondissement) ; témoins : Pascal MARQUIÉ (chauffeur de taxis, à Paris) et Louis ARZALIER (chauffeur, à Paris) ; employé de la compagnie des chemins du fer du Nord quand il se marie, il est alors toujours domicilié "133 rue du Ranelagh", à Paris mais, le 15.05.1928, il habite "29, boulevard Peirere, à Paris" (17ème arrondissement) ; pas de Cm ; il signe ; le 12.03.1929, il habite "64, rue du Cros Roger, maison Morin, à Ermont", en Seine-et-Oise (actuellement dans le Val-d'Oise) ; il est témoin au mariage de son frère, Guillaume, le 14.06.1930, à Paris (16ème arrondissement) ; il est alors indiqué comme employé de chemin de fer, à "Ermont" ; il est témoin au mariage de sa soeur Clotilde, le 08.06.1933, à Beaulieu ; il est alors indiqué comme facteur de ville à Ermont" ; il est témoin au mariage de son frère, Emilien, le 28.07.1934, à Paris (17ème arrondissement) ; il est alors indiqué comme employé des chemins de fer du Nord, "rue du Stand, à Ermont" ; + 31.01.1994, à "Eaubonne (Val-d'Oise). Paris et Beaulieu
- Emilien Joseph (fs François Marius et Anna, Appollonie GROLIER) ° 31.03.1910, à Beaulieu ; signalé aux recensements de Beaulieu de 1911 et de 1921, avec ses parents ; signalé au recensement de Beaulieu de 1926 avec ses parents mais comme apprenti menuisier chez GISSOT, à Lunel-Viel ; "c'est chez Antoine EUZET (son frère) qu'Emilien a séjourné à Paris dès ses 18 ou 19 ans (1928 ou 1929) lorsqu'il était ébéniste. Il nous avait raconté qu'il avait été pris d'une crise aiguë d'appendicite chez une dame dont il installait le magasin (rayonnages). Cette personne avait tout de suite alerté médecin ou hôpital et le chirurgien ne voulait pas opérer un mineur. C'était en 1926 ou 1928. Emilien lui dit : Mon frère est sur un train de l'Est ou ailleurs (cheminot), quand on l'atteindra je serai mort. Le médecin s'est laissé fléchir et l'opération a bien réussie mais il avait déjà la péritonite. C'est là que j'ai su qu'il y avait un sanctuaire de Notre Dame de Beaulieu, qui est un lieu de pélerinage. Car Emilien racontait qu'à son réveil il avait vu devant lui, sur le pied du lit de l'hôpital, Notre Dame de Beaulieu qui lui souriait." (lettre de 1996 de Mme Annie FERRIER à Mme Martine VICKERY) ; il n'est pas signalé au recensement de 1931 de Beaulieu ; "boxeur poids mi-lourd ; il faisait un régime strict de façon à ne pas passer au poids lourd ; il faisait des spectacles de boxe et il était aussi menuisier" (information par Mme Martine VICKERY, le 28.02.2018, suite à une communication téléphonique avec Mme Suzanne GUERIN) ; x Fernande CHEFDEVILLE, le 28.07.1934, à Paris (17e arrondissement) ; il est domicilié "17, avenue de Clichy" (17e arrondissement), quand il se marie ; pas de Cm ; les témoins majeurs sont : Antoine EUZET (employé des chemins de fer du Nord, rue du Stand, à Ermont, Seine-et-Oise) et Paul GUIDOT (tourneur sur métaux, Croix de guerre, 111, avenue de Lutèce, à La Garenne-Colombes, Seine) ; les parties et les témoins signent ; ébéniste à Eaubonne (95) en 1946 avec son épouse et 4 enfants (recensement d'Eaubonne) ; + 17.06.1982, à Montpellier. Paris et Beaulieu
- Martial François (fs Emilien Joseph et Fernande CHEFDEVILLE) ° 23.06.1942, à Eaubonne (95) ; + 16.05.1990, à Beaulieu (34) - le reste, confidentiel
- (confidentiel)