La lignée des EUZET du mas d'Euzet de Saint-Gély-du-Fesc (34).
La branche de Rouet.
(T 88-1)
Références
- 1711, le 12 septembre : contrat de mariage de Jean EUZET et Catherine CANCEL (notaire Pierre TESSES, de Montpellier : 2 E 57/372, f° 259, aux AD 34).
- 1757, le 22 octobre : sépulture de Catherine CANCEL, paroisse Saint Pierre, de Montpellier (3 E 177/18, vue 236 du registre du registre en ligne, aux AD 34).
- 1814, le 17 mars : Jeanne (fs Jean Jacques et Suzanne RICARD) : prêt de 1300 francs consenti à Claude, son frère (notaire Fulcrand Benjamin MAUMEJAN, de laval de Montferrand : 2 E 47/39, aux AD 34 - à compléter)
- 1822, le 14 mars : quittance pour 125 francs, par Jeanne EUZET (veuve d'André PEPIN) à Louis EUZET, pour le prêt de 1300 francs consenti à Claude EUZET, le 17.03.1814 (notaire Fulcrand Benjamin MAUMEJAN, des Matelles : 2 E 47/101, f° 154, n° 30, aux AD 34)
- 1822, le 28 décembre : quittance (définitive) pour 191 francs, par Jeanne EUZET (veuve d'André PEPIN) à Louis EUZET pour le prêt de 1300 francs consenti à Claude EUZET, le 17.03.1814 (notaire Fulcrand Benjamin MAUMEJAN, des Matelles : 2 E 47/101, f° 230, n° 91, aux AD 34)
Saint-Etienne-de-Gabriac
(photo R.E., le 24.05.2010)
Informations sur les conjointes et les conjoints de EUZET.
Voir aussi Les patronymes des conjoint(e)s
CANCEL Catherine fa Jean (+ avant le 12.09.1727) et Jeanne COULET, du Castel de Londres (le Mas-de-Londres) ; ° vers 1677 (selon l'acte de décès) ; x Jean EUZET (fs Sébastian et Giniesse EUZET, de Saint Etienne de Gabriac, c'est-à-dire Rouet), Cm 12.09.1711, notaire Pierre TESSES, de Montpellier ; ce Cm est conclu alors que Jean EUZET est emprisonné à Montpellier, suite à une plainte de Catherine CANCEL car, "sous promesse de mariage", Jean l'avait "rendu enseinte de ses oeuvres" et elle avait "accouchée il y a environ cinq ans d'un fils qui fut baptisé dans l'église paroissiale dudit Castel de Londres et auquel a été donné le nom de Jean" ; à défaut d'exécution de la promesse et suite à sa plainte, les officiers ordinaires de Montpellier avaient procédé à la prise de corps contre Jean EUZET ; aussi, le Cm s'est-il passé dans la prison de "M. le sénéchal et siège présidial" de Montpellier et, plus précisément "entre les deux guichets de la consigne" ; Catherine CANCEL s'est constituée ses biens en dot mais les futurs époux déclarent que la valeur de leurs biens n'excèdent pas 100 livres ; est présent Jean CANCEL (frère de Catherine) qui indique le consentement verbal de leur mère, Jeanne COULET, et qui s'oblige de rapporter l'acte de ratification dans les 15 jours ; est présent Jean PRUNET, praticien de Montpellier, qui a la procuration faite par Sébastian EUZET, reçue par Me CAUSSE, notaire de Saint-Martin-de-Londres et destinée à rester "en liasse" ; Jean EUZET déclare qu'il "désire pour la décharge de sa conscience effectuer ladite promesse de mariage" ; sont encore présents : Laurens VAQUIER (procureur au Sénéchal "qui a attesté à nous notaire connaître ledit EUZET"), le concierge des prisons et un prisonnier qui signent ; les futurs époux ne savent pas signer ; + 21.10.1757, paroisse Saint Pierre, de Montpellier, (+) le 22 au "couvent de la paroisse" et elle est ainsi signalée : "veuve de M. EUSET du château de la Roquette, âgée de 80 ans".