La lignée des EUZET du mas d'Euzet de Saint-Gély-du-Fesc (34).

La branche de Versailles.
(T 38 suite 1)



Références
Informations sur les conjointes et les conjoints de EUZET.
Méthodes

Références

- Etat civil de Paris, aux AD 75.

- Etat civil de Saint-Mandé, aux AD 94.

- Etat civil de Versailles, aux AD 78.

- Etat civil de Vincennes, aux AD 94.

- Acte de naissance de Jeanne EUZET, en 1829, adressé par M. Jean-Yves MARCADET.

- Recensements : consultation en cours (à partir du site des AD 78, sur Internet).

- Journal La Concorde de Seine et Oise, n° du 29.12.1861, pour Noël EUZET, article sur le fonds de coiffeur au 1, rue Satory, à Versailles (en ligne sur le site des AD 78).




Informations sur les conjointes et les conjoints de EUZET.
Voir aussi
Les patronymes des conjoint(e)s

DUNYACH Paul François Jérôme fs Jean (tailleur d'habits) et Marguerite DURAN (+ 25.03.1840, à Prats-de-Mollo), à Prats-de-Mollo (66) ; ° 20.12.1824, à Prats-de-Mollo ; tailleur d'habits en 1853, marchand de vin en gros en 1873 ; il signe ; il habite "à Paris, rue saint Honoré 140" quand il se marie ; son père n'est pas présent au mariage mais consentant et il marque son consentement par acte du 25.03.1853 du notaire DURAN, de Prats-de-Mollo ; x Jeanne EUZET (fa Jean et Reparada Maria MARINI), le 23.04.1853, à Vincennes (94), commune où elle est domiciliée ; c'est aussi à Vincennes que naissent leurs enfants : Edmond Joseph DUNYACH, le 08.03.1854 et Caroline Fanny DUNYACH, le 18.08.1855 ; le couple habite ensuite à Saint-Mandé (actuellement, Val-de-Marne) où ont lieu les mariages de leurs deux enfants, Edmond Joseph DUNYACH le 27.09.1874 et Caroline Fanny DUNYACH le 29.11.1873 ; + avant le 14.03.1895 ; les DUNYACH sont originaires des Pyrénées Orientales ; ainsi, le 15.07.1873 a lieu à Saint Mandé le mariage de Marie Rose Marguerite DUNYACH, corsetière, née à Prats-de-Mollo (66), fille de Jean (décédé à Prats-de-Mollo, le 01.09.1855) et de Marie Catherine GOT (décédée à Amélie-les-Bains, 66, le 11.11.1860) ; en fait, ce sont plusieurs membres de la famille DUNYACH qui habitent Saint Mandé dans les années 1870, dont Joseph (fabricant de corsets), oncle de Paul ; ces informations ressortent à la fois du fonds COUTOT (propriété du site américain "Ancestry"), de l'état civil de Saint Mandé, des tables décennales de Vincennes (ces trois instruments étant consultables en ligne, sur Internet) et de l'état civil de Vincennes, aux Archives départementales de Créteil (AD 94) ; ces consultations ont été faites en février 2009

FAUCQUENOY Célestine Joseph fa Benjamin Joseph (journalier, + à Marquillies - 59) et Marie Augustine DELEFORGE (+ , à Marquillies - 59) ; couturière ; ° 06.10.1826, à Marquillies ; demeure à Paris, "rue Neuve bourg l'abbé, n° 9", quand elle se marie (il est probable qu'il s'agisse de la rue appelée actuellement "rue du Bourg-l'Abbé" (dans le 3ème arrondissement nouveau, ex-6ème arrondissement ancien) ; couturière ; elle signe ; x Noël EUZET (fs Pierre et Suzanne PEYRE), le 17.12.1850, à Paris (10ème arrondissement ancien, 6ème arrondissement nouveau) ; déclarations de promesse de mariage faite dans les mairies du 6ème et du 10ème, arrondissements anciens ; action en notoriété rectificative de son nom devant le notaire Jacques DEFRESNE, de Paris. Le restaurateur Auguste BUCAN, restaurateur demeurant à Paris, rue de l'Université, n° 14, et Eugène Pierre SABATIER, traiteur demeurant à Paris, rue du Bac, n° 88, ont attesté du nom FAUCQUENOY (le problème venait d'une inscription FAUQUENOIS sur une rente 5 % de la dette publique et, de plus, il y avait eu une erreur sur le prénom - Célestine Amélie, au lieu de Célestine Joseph - ; l'extrait de l'acte de mariage a aussi été présenté comme preuve ; pour l'acte de naissance de son fils, Eugène-Clovis EUZET, l'un des deux témoins est Clovis FAUCQUENOY, oncle maternel âgé de 43 ans, entrepreneur de travaux de cimetière, demeurant à Lille (59) ; avec Noël EUZET, elle a habité à Paris, puis à Versailles. Paris et Versailles et Pavilly et "garrigues suite 3b" (génération 16)

LEMAÎTRE Adèle Joséphine Josèphe fa Charles Auguste (+ avant le mariage de 1920) et Césarine Adèle Josèphe BONVARLET (+ avant le mariage de 1920) ; ° le 17.01.1869, à Frévent (62) ; x Eugène Clovis EUZET (fs Noël et Célestine Joseph FAUCQUENOY), le 11.12.1920, à Paris (14e arrondissement) ; quand elle se marie, elle habite 33, avenue du Parc Montsouris", à Paris, à la même adresse que son mari ; elle est sans profession ; pas de Cm ; sont présents au mariage : Henri MAILLE (Chirurgien dentiste, médaille militaire) et Albert BLASSELLE (Lieutenant-colonel en retraite, Officier de la Légion d'honneur) ; tous signent ; elle signe A LEMAÎTRE ; elle est en vie quand meurt son mari, le 10.12.1930, à la même adresse. "La lignée" (génération 17)

MARINI Francesca Reparada Maria fa ? ; ° ? ; elle a un enfant "naturel", Jeanne EUZET, de Jean EUZET (fs Jean et Marie AUDARD ?), avec qui elle vit à Versailles, sans être mariée, "allée percée n° 4", le 10.12.1829 ; ; elle a dû ensuite se marier avec Joseph ROUSSEAU, car celui-ci est témoin au mariage de Jeanne, en 1853, et il est indiqué ainsi : "57 ans, tonnelier, demeurant à Vincennes, beau-père de la mariée" ; de son côté, Jean EUZET habite Plauzat, dans le Puy-de-Dôme, ce qui veut certainement dire qu'il était séparé de la demoiselle MARINI depuis longtemps ; ses prénoms sont "Françoise Réparada" dans l'acte de naissance de Jeanne mais "Reparada Maria" dans l'acte de décès de Jeanne, alors que les véritables prénoms sont "Francesca Reparada Maria" comme c'est indiqué dans l'acte de mariage de Jeanne, en 1853, les témoins et Jeanne attestant qu'il y a eu une erreur dans l'acte de naissance ; + 05.01.1853, à ? (indication illisible dans l'acte de mariage de sa fille Jeanne).

SABRAS Charlotte Antoinette fa Pierre François Auguste (marchand de nouveautés, 60 ans en 1884) et Irma GOUJON (sans profession, 59 ans en 1884) ° 12.04.1860, à Breteuil (60) ; domiciliée avec ses parents à Paris, "rue Saint Sauveur, 4 bis", quand elle se marie ; x Eugène Clovis EUZET (fs Noël et Célestine Joseph FAUCQUENOY), le 11.06.1884, à Paris (2ème arrondissement) ; Cm 07.06.1884, notaire BREUILLAUD, de Paris ; elle signe ; présents au mariage, notamment : Frédéric Amand GOUJON, 66 ans, représentant de charbonnage, demeurant à Paris, "impasse Coeur de Vey, avenue d'Orléans", oncle de l'épouse, Eugène Frédéric Nicolas GOUJON, 38 ans, marchand de charbon, demeurant à Paris, "rue de la Chapelle, 118", cousin de l'épouse ; ses parents et les témoins signent aussi ; + 05.08.1908, à Pavilly (76), d'après les tables décennales. Une recherche a été menée sur Breteuil pour trouver l'origine des SABRAS. Effectivement, entre 1851 et 1862, on trouve deux SABRAS. D'une part, Pierre François Auguste, marié à Irma GOUJON et, d'autre part, Maxime Alexandre, marié à Flore Célina LEBESGUE. Le premier signe "SABRAS aîné" ou simplement SABRAS et le second "M. SABRAS" ou "SABRAS LEBESGUE". On peut donc penser qu'il s'agit de deux frères, Maxime étant le cadet. Le premier est certainement né en 1823 et le second en 1825. L'aîné est toujours indiqué comme "marchand de nouveautés" et le cadet est d'abord "marchand de nouveautés" puis "marchand épicier" (en 1860). Pierre habite au 23 rue grande, à Breteuil. Maxime habite d'abord au n° 5 rue de Paris, "chez M. LENTÉ" (en 1854), puis au n° 55 de la rue grande, toujours à Breteuil. Pierre apparaît au recensement de 1851, il y est encore au recensement de 1856 mais il n'y est plus au recensement de 1861. Maxime apparaît au recensement de 1856, il y est encore au recensement de 1861 mais il n'y est plus au recensement de 1866. Les enfants de Maxime sont : 1/ Marie Flore Berthe, née le 06.04.1854 ; 2/ Ernest Eugène Maxime, né le 26.11.1855 ; 3/ Emile Charles Maxime, né le 01.07.1860 ; 4/ Blanche Ernestine Emilie, née le 26.02.1862. Les enfants de Pierre sont : 1/ Georges Auguste Arthur, né le 08.10.1851 ; 2/ Marthe Antoinette, née le 20.08.1853 ; 3/ Fernand Alexandre, né le 11.01.1856 ; 4/ Charlotte Antoinette, née le 12.04.1860. On ne trouve aucun acte avant les dates indiquées ici. La conclusion est donc claire : Pierre et Maxime venaient d'ailleurs. Probablement marchands ambulants, ils ne se sont pas mariés à Breteuil où il n'y a pas non plus de GOUJON. Breteuil étant à la limite de l'Oise et de la Somme, ils peuvent aussi bien venir de l'un ou de l'autre département. En tout cas, ces deux SABRAS sont restés à Breteuil ... le temps de faire huit enfants, entre 1851 et 1862 : une belle halte dans leur parcours de vie ! "La lignée" (génération 17)




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Versailles

Versailles (suite 2)

Les lignéees issues de l'Hérault