La lignée des EUZET de Saint-Félix-de-Lodez et de Sète.

La branche de Limoges (suite 2).



Histoire.

Histoire.



"Le" trompe-l'oeil de Limoges
(photos J.C.E., le 25.01.2010)













Quand on regarde cette oeuvre monumentale, on ne sait plus distinguer le "vrai" du "faux". Le rapprochement des murs à colombages avec les scènes peintes donne cette impression unique. Il faut aussi savoir que ce mur est face aux halles de la ville (de style "Baltard"), un monument superbe mais qui n'a rien à voir avec le Moyen-Âge. Cependant, si on se reporte à la photo de la chapelle Saint-Aurélien du XVe siècle et aux immeubles du XXe siècle qui sont un peu plus loin, on se dit que cette ville a le secret du mélange, de la mixité. Limoges ressemble à un tableau composite. Renoir y voisine parfaitement avec l'art naïf et l'ensemble constitue une sorte d'abstraction. Faut-il alors s'étonner si, dans ce lieu, les oeuvres de Jean-Marie EUZET ont ainsi glissé du figuratif à l'abstrait ? Coïncidence, bien sûr, juste une impression visuelle, celle d'un touriste qui a fait un rapide tour de ville, après une journée passée aux Archives municipales !



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Limoges

Limoges (suite 1)

Limoges (suite 3)

Les lignées issues de l'Hérault.